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Hostilité au christianisme et à l'Eglise - Page 103

  • La dictature du relativisme selon Benoît XVI

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    Extrait d’un article de Benjamin Wicker consacré à Benoît XVI sur le site « Benoît et moi » :

    « (…) dans le dernier billet de ce blog, j'ai parlé de la mise en garde du pape Benoît XVI, nous avertissant que nous sommes, de plus en plus, les malheureux sujets d'une dictature - une «dictature du relativisme» - qui cherche à imposer la notion empoisonnée que les êtres humains ne peuvent pas connaître la vérité.

    Ce poison attaque le cœur même de notre humanité. Faits à l'image de Dieu, nous sommes des animaux rationnels dont la plus grande perfection est de connaître et aimer la vérité. Et la plus grande vérité, c'est Jésus-Christ lui-même, le Chemin, la Vérité et la Vie (…).

    Selon Benoît, les racines de notre relativisme se trouvent dans la tentative moderne de contracter la raison, de réduire son domaine, tout en la rendant maîtresse absolue dans ce domaine rétréci. Le rêve - il a commencé, en grande partie, comme le rêve du philosophe René Descartes - était de rendre la raison humaine infaillible, absolument certaine, en restreignant la raison aux seuls aspects matériels de la réalité qui peuvent être mesurés par les mathématiques. Au-delà de ce qui était physique et mesurable avec précision, rien n'était réel, ou du moins n'était rationnellement connaissable - ou, comme on en est venu à dire, tout était purement «subjectif».

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  • Discrimination à l'égard des chrétiens : le Saint-Siège dénonce le danger de l'intolérance au nom de la tolérance

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    Europe : le danger de "l'intolérance au nom de la tolérance"

    Source : zenit.org (Anne Kurian)

    Pour le Saint-Siège, la liberté religieuse est menacée par la tolérance érigée comme valeur suprême : cette dernière peut donner naissance à « une intolérance au nom même de la tolérance ». 

    Mgr Mario Toso, SDB, secrétaire du Conseil pontifical « Justice et Paix », est intervenu au cours de la conférence de haut niveau sur la tolérance et la non-discrimination, organisée par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), à Tirana, en Albanie, du 21 au 22 mai 2013.

    Il a pris la parole lors de la 2e session plénière, sur le thème de la « Lutte contre l'intolérance et la discrimination contre les chrétiens et les membres d'autres religions ». Une réunion qui prenait un relief particulier en cette année, anniversaire des 1700 ans de l'édit de Milan, par lequel l’empereur Constantin garantissait la liberté religieuse sur tout l’Empire romain (313).

    La tolérance intolérante

    L’évêque a constaté que depuis la dernière Conférence de haut niveau sur la tolérance et la non-discrimination, à Astana (2010), l'intolérance et la discrimination contre les chrétiens « n’ont pas diminué, mais plutôt augmenté en divers endroits de la région de l'OSCE ».

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  • Le nouveau Dan Brown : un manifeste anticatholique en faveur de la culture de mort

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    « Inferno », le nouveau roman de Dan Brown : « un manifeste anticatholique de la culture de mort » (source : aleteia.org)

    Outre la phobie de l’Eglise, le sociologue italien Massimo Introvigne y relève des appels répétés à l’avortement, la stérilisation forcée et l’euthanasie.

     « Le Vatican me déteste », déclare le docteur Elizabeth Sinskey, dans un passage du nouveau roman américain de Dan Brown « Inferno ». Celle-ci dirige l’Organisation mondiale de la santé et incarne une sainte  laïque qui apparaît en vision au personnage principal, le professeur en symbologie,  Robert Langdon, héros de ses trois précédents romans. « Vous aussi ? » lui répond ce dernier, « je croyais pourtant être le seul ».

    Encore une fois le Vatican, donc l’Eglise catholique, est dans le collimateur de l’auteur. C’est « le fil rouge qui unit tous ses romans », relève le sociologue italien Massimo Introvigne, directeur du CESNUR (Centre d’Etudes sur les nouvelles religions)  et auteur de trois ouvrages critiques vis-à-vis des précédents romans de Dan Brown. 

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  • Europe : des lois de plus en plus restrictives à l'égard des chrétiens

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    Europe : la liberté religieuse restreinte par les lois (zenit.org)

    Discriminations contre les chrétiens

    Les discriminations légales et administratives contre les chrétiens en Europe sont en augmentation, affirme le sociologue italien Massimo Introvigne qui fait état de 41 lois susceptibles d’influer négativement sur la liberté religieuse des chrétiens dans 15 pays.

    Le coordinateur de l’Observatoire de la liberté religieuse, institué par le ministère italien des Affaires étrangères,  était l’un des derniers intervenants à la conférence de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), le 21 mai dernier, à Tirana, en Albanie, sur la tolérance et la non discrimination.

    Au regard du dernier rapport de l’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination contre les chrétiens, présenté mercredi à Vienne  et auquel l’observatoire italien a contribué, Massimo Introvigne signale qu’en 2012, les cas de sentences jugées dangereuses pour la liberté des chrétiens s’élève à 169.

    Il relève que les limites réputées les plus dangereuses sont celles imposées à l’objection de conscience de chrétiens qui ne veulent pas collaborer à l’avortement, à la vente de pilules abortives ou à la célébration de « mariages homosexuels » ; celles imposées à la liberté de prédication en faisant usant de lois  impropres contre de soi-disant « discours de haine »; à la liberté de l’école confessionnelle et à la limitation de la liberté d’éducation des parents ; à l’usage des symboles religieux ».

    Par ailleurs, ajoute le sociologue italien, « 74% des chrétiens européens estiment être plus discriminés que les personnes d’autres religions ou les athées, 71% que les media en général ne respectent pas les chrétiens, et 61% que les chrétiens sont discriminés sur leurs lieux de travail ». 

    « Certes, conclut Massimo Introvigne, on ne saurait mettre sur le même plan la violence homicide contre les chrétiens dans certains pays d’Afrique et d’Asie et les discriminations légales et administratives en Europe, mais en matière de liberté religieuse prévaut la logique du plan incliné, car là où la discrimination devient normale le passage à la violence n’est jamais loin ».

    Traduction d'Océane Le Gall

  • Espagne : Plus de Noël ni de Pâques dans les écoles des Asturies

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    Lu sur le site de “La Vie”, cette matinale d’Aymeric Christensen:

    “Le gouvernement de la Principauté des Asturies, communauté autonome d'Espagne, a envoyé aux écoles de la région une circulaire demandant que les références à des fêtes chrétiennes disparaissent des calendriers scolaires. C'est la ministre de l'éducation, Ana González Rodríguez, qui signe le document, dans lequel elle appelle ainsi à remplacer Noël par « vacances d'hiver » et Pâques (et la Semaine sainte) par « vacances de la fin du deuxième trimestre ».

    Cette décision, que le gouvernement défend en précisant qu'elle a été prise afin de respecter « la sensibilité » de chacun, a provoqué la colère de l'Observatoire pour la liberté religieuse et la liberté de conscience, qui appelle la ministre à prendre en compte le respect de la tradition : « Nous ne comprenons pas bien comment les gens peuvent être offensés par les noms de ces fêtes, et nous demandons à Madame González de bien vouloir nous l'expliquer ».

    Cette circulaire fait en tout cas écho à une initiative similaire ayant eu lieu récemment en Belgique, où il convient désormais d'appeler les vacances de la Toussaint « congé d'automne », Noël « vacances d'hiver », Pâques « vacances de printemps », etc. Même ce qui était jusqu'ici connu comme le « congé de Carnaval » est devenu pour les écoliers « congé de détente ».

    Ici: Espagne : Plus de Noël ni de Pâques dans les écoles des Asturies

    L’Eglise postconciliaire n’a-t-elle pas longtemps prôné une “pastorale de l’enfouissement” ?  Résultat: aujourd’hui  l’arroseur est bien  arrosé.

  • Un nouveau condensé d'anticatholicisme rudimentaire made in RTBF

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    Un ami nous écrit :

    "Bonjour,

    Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion de voir cette émission de la RTBF ("cinquante degrés nord" consacrée à l'Eglise catholique). Je vous la transmets car c'est un merveilleux condensé de ce qui se dit de plus caricatural sur l'Eglise. On y entend une erreur factuelle toutes les 3 phrases, les reportages atteignent des niveaux inégalés dans la manipulation, le niveau global du débat est désespérément bas et les intervenants qui auraient pu défendre l'Eglise se montrent souvent assez maladroits. Même l'abbé Ringlet semble parfois désarçonné par l'ampleur de la bêtise des accusations portées, allant même parfois jusqu'à presque "défendre" la hiérarchie de l'Eglise. Le "journaliste" Jérôme Colin cache difficilement ses frustrations et se montre particulièrement mal informé, étalant l'incohérence de ses raisonnements sans aucun complexe aux travers de questions du genre; "Vous trouvez qu'il (ndlr Benoît XVI) a été amour, par exemple?" avec une intention ironique.

    http://www.rtbf.be/video/detail_cinquante-degres-nord?id=1822739 

    Cordialement,

    F. W."

  • Multiplication des agressions antichrétiennes

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  • Aller buter un curé

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    A juste titre, Eric de Beukelaer dénonce l'incitation à la haine promue contre les prêtres dans la foulée d'un film ("Au nom du fils") dont le thème est consacré à la pédophilie ecclésiastique et s'étonne de voir une déclaration telle que "je crois que je vais aller buter un curé" circuler sans faire problème.

    C'est ici : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/2013/05/13/je-crois-que-je-vais-aller-buter-un-cure/

  • L'archevêque de Poitiers réagit à la violation d'une église

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    A propos du vandalisme à l'église de Naintré (sur le site du diocèse de Poitiers)

    Suite aux dégradations et au vol dans l'église de Naintré en début de semaine dernière, Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers, publie ce communiqué pour dire sa solidarité et son indignation, et rappeler le respect dû à toutes les religions dans la société française.

    Voici le texte de l'archevêque :

    Vandalisme à l'église de Naintré  (Département de la Vienne)

    Il y a une semaine, l'église de Naintré (Département de la Vienne, Diocèse de Poitiers) a été victime d'actes de vandalisme. Plus précisément, il s'agit d'actes de profanation visant directement la religion catholique, puisque des objets du culte ont été sciemment abimés ou volés, la porte du tabernacle a été forcée et il y a eu vol d'hosties consacrées.

    Ces actes soulèvent l'indignation des fidèles de la paroisse et du diocèse comme de beaucoup d'autres personnes. L'église étant propriété communale, une plainte a été déposée.

    Le curé de la paroisse, l'abbé Thierry Delumeau, a célébré une messe de réparation et a rassemblé les fidèles pour la prière. C'est en effet ce que font d'abord les chrétiens, ils prient pour ceux « qui ne savent pas ce qu'ils font ».

    Mais, au-delà des personnes et des actes qu'elles accomplissent, il est important de rappeler que notre pays appelle par la Loi au respect des cultes et des croyances. Tout comme l’État et nos élus expriment leur indignation lorsque d'autres cultes sont atteints, ce principe doit s'appliquer lorsque des actes similaires touchent l’Église catholique. La liberté religieuse est un seul et même principe qui s'applique également à chacun.

    + Pascal Wintzer

    Archevêque de Poitiers

    Le 11 mai 2013

  • cours philosophiques: l’arroseur arrosé

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    Dans « La Libre » d’aujourd’hui, le constitutionnaliste Marc Uyttendaele s’inquiète du devenir d’un projet cher aux milieux de la « libre » pensée et du monde laïc belges. Extrait :

     « Sur le plan juridique, il est désormais acquis que les écoles officielles doivent organiser des cours de religion et de morale, mais nul ne peut être contraint de les suivre, le cours de morale n’étant plus, depuis la consécration de la laïcité dans la Constitution, un cours résiduel.

    Sur le plan économique, il existe, à charge de la Communauté, un nombre important de professeurs de religion et de morale qui ne sont pas forcément à même de dispenser d’autres enseignements.

    Face à cette équation, la ministre de l’enseignement obligatoire propose d’organiser, à côté du cours engagé de morale laïque, un cours de morale neutre. Celui-ci serait destiné à tous les élèves qui ne se reconnaissent ni dans une religion reconnue, ni dans la laïcité organisée. Cette formule, juridiquement incontestable, n’en est pas moins insatisfaisante.

    En effet, elle ne permet pas de combler, au bénéfice de l’ensemble des élèves, le vide qui a été dénoncé. Ceux-ci continueraient à suivre un cours de religion ou de morale, mais seraient privés du droit de recevoir un enseignement objectif et critique sur l’ensemble des religions et des courants philosophiques.

    D’autres solutions existent. En vertu de la Constitution, les élèves ont droit, tout au long de l’obligation scolaire, à une éducation religieuse ou morale. La Constitution ne quantifie pas ce qui est recouvert par cette éducation et partant ne la cantonne pas dans un carcan horaire. Autrement dit, rien n’impose que deux heures soient consacrées hebdomadairement, pendant douze ans, à des cours de religion ou de morale.

    L’exigence constitutionnelle serait, par exemple, parfaitement respectée si au début de l’obligation scolaire, ces cours étaient dispensés deux heures par semaine pour être réduits au fur et à mesure du temps, et ne plus l’être qu’une heure par mois à la fin des études secondaires. En faisant ainsi de la place dans la grille horaire, tous les enfants pourraient bénéficier d’un enseignement objectif consacré à l’histoire des religions et à la philosophie.

    Ils seraient ainsi mieux armés pour comprendre la société dans laquelle ils vivent, quitte à pouvoir porter, librement, un regard critique sur les convictions de leurs propres parents.

    Le problème économique n’est évidemment pas insoluble. Une solution parmi d’autres consisterait à ne pas remplacer les titulaires des cours de morale et de religion qui prennent leur pension et d’associer, dans une phase transitoire, ceux qui sont encore en fonction au nouvel enseignement. Ils pourraient ainsi venir exposer à tous les élèves les éléments objectifs relatifs au culte ou au courant philosophique qui est le leur, à charge pour de nouveaux professeurs, formés à cette fin, de délivrer aux mêmes élèves un enseignement objectif et critique.

    Bref, la création d’un cours de morale neutre est une fausse bonne idée. Il s’agit, en quelque sorte, d’une réponse a minima aux objections juridiques qui ont été soulevées à l’encontre du système actuel. Une telle réforme revient en quelque sorte à sortir une vieillerie du grenier, à en faire une réparation de fortune et à la replacer là où on l’avait trouvée. Le moment est venu d’oser une grande réforme en offrant à tous les élèves des écoles francophones une plus grande connaissance des religions, une plus grande culture et un bagage critique. La société de demain ne pourra en être que meilleure. »

    Ici : Le cours de morale neutre, "une fausse bonne idée"

    Recadrons le débat :

    Tel qu’il est engagé, celui-ci ne concerne pas (encore ?) l’enseignement libre (c'est-à-dire en fait catholique) qui scolarise la moitié des jeunes belges.

    Le professeur Uyttendaele écrit que si «  les écoles officielles doivent organiser des cours de religion et de morale, nul ne peut être contraint de les suivre, le cours de morale n’étant plus, depuis la consécration de la laïcité dans la Constitution, un cours résiduel ».

    Deux remarques : la laïcité reconnue dont parle le professeur Uyttendaele n’est évidemment pas celle de l’Etat et des pouvoirs publics mais la laïcité philosophique qui est assimilée aux six autres cultes reconnus. Ensuite, est-il si clair que nul ne peut être contraint de suivre ce type de cours ?  La Flandre a effectivement accepté que des parents puissent faire exception de conscience à l'ensemble des cours de religion et de morale, en raison de ce que, en Flandre, on estime le cours de morale insuffisamment neutre. Il ne s'agit donc pas de rendre les cours facultatifs, mais d'acter l'absence d'un cours subsidiaire neutre. Le cas ne semble pas encore s’être posé pour la Belgique francophone.

    Et voici donc la laïcité prise à son propre piège : si certains élèves ne se retrouvent pas dans les cours de religion et de laïcité engagée actuellement dispensés dans l’enseignement officiel, eh bien créons une nouvelle option : un cours de laïcité neutre.

    Ce n’est évidemment pas du tout ce que veulent les tenants de la pensée unique post-moderne : sous le masque de la culture et de la formation à l’esprit critique, ils entendent, au contraire, poser une grande accolade au-dessus de toutes les convictions religieuses ou philosophiques, dont l’enseignement serait progressivement asservi aux valeurs d’un Décalogue officiel. 

    Marc Uyttendaele, Vincent Peillon, même combat ? Oui, mais non vraiment la Belgique n'est pas la France à cet égard...     

  • Stop à toute forme d'intolérance religieuse

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    La Présidence du CCEE (Conseil des Conférences Episcopales Européennes) : stop à toutes formes d’intolérance religieuse!

    Avec une lettre envoyée à l’Archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard, victime d’un acte d’intolérance religieuse, mardi 23 avril à l’occasion d’une conférence à l’Université publique de Bruxelles, la Présidence du CCEE a voulu exprimer à l’archevêque sa “sincère proximité et solidarité” et condamner ces formes agressives d’intolérance religieuse.

    En même temps, elle insiste sur le fait qu’elle partage la position de la Conférence épiscopale de Belgique selon laquelle “qu'un débat démocratique sur des questions de société n'est possible que si on permet à chacun d'exposer ses idées dans le respect mutuel et la liberté d’expression”.

  • Le mythe de la Curie romaine

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    Dans les petits sermons (improvisés ?) qui assaisonnent ses messes quotidiennes, le pape François fustige, paraît-il,  nommément l’Institut des Œuvres de Religion (I.O.R.) et les services qui transforment l’Eglise en une O.N.G. bureaucratique.  La presse, si prompte à critiquer la moindre parole de Benoît XVI salue en son successeur François le nouvel Hercule qui, enfin, va nettoyer l’ (E)curie d’Augias. Tout cela est il bien sérieux ?

    Voici l’opinion de l’abbé Rimaz, exprimée sur son site « Le Suisse Romain » : 

    "La Curie romaine semble rimer avec intrigue, corruption ou incurie. Depuis les affaires médiatisées de la banque Ambrosiano (avec Mgr Marcinkus), surfant sur le pseudo assassinat de Jean Paul Ier, du drame de la garde suisse pontificale, de la toute récente affaire Vatileaks et de l'IOR, une sorte de légende noire reste plaquée sur le Vatican. Cela permet à certains fantasmes d'être nourris. 

    L'affaire Vatileaks est une non-affaire, qui sera bien vite oubliée. Ce fut l'occasion pour la presse italienne de tirer les ficelles pour embarquer le Vatican, "Oltre Tevere", dans des luttes politiques intestines (lire: Cardinal Herranz: une bulle de savon) 

    Sous les lumières des médias

    La première chose à retenir: le Vatican est sous les lumières médiatiques, notamment avec la profession de vaticanistes, spécialistes des affaires vaticanes qui n'existent qu'en Italie, un peu en Espagne, en France et aux USA

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