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Hostilité au christianisme et à l'Eglise - Page 102

  • A propos d'une amie "benoitphile à 100%"

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    Nous avons très souvent apprécié le travail de grande ampleur accompli par une fidèle amie sur le site intitulé "Benoît-et-moi" voué à la défense et à l'illustration du pontificat de Benoît XVI.

    Récemment, un article paru sur notre blog et intitulé "Conclave, les loups sont aux aguets" y a été repris in extenso mais assorti de réserves. Ainsi, dit notre amie, "je ne pense pas que le prochain pape sera soumis aux mêmes attaques que Benoît XVI". Or, il n'a pas fallu attendre bien longtemps pour voir le pape, élu mercredi soir, être aussitôt la cible d'une attaque en règle, l'accusant de collusion avec la dictature de Videla. Et ce n'est très certainement qu'un début.

    Il fallait s'y attendre et nous nous y attendions; c'est le contraire qui aurait été étonnant. Le déchaînement contre l'Eglise va crescendo depuis de nombreuses années et cela ne cessera pas. Nous sommes déjà, ou nous sommes près d'y être, dans une phase apocalyptique d'affrontement entre les disciples du Christ et ses adversaires. Il ne s'agit donc pas d'un acharnement contre un pape en raison de sa personnalité particulière mais bien contre celui qui est le Vicaire du Christ, peu importe qu'il s'appelle Wojtyla, Ratzinger ou Bergoglio (et rétrospectivement Pacelli).

    Nous espérons donc que le travail entrepris pour défendre le pape précédent contre les attaques incessantes de la meute sera poursuivi sous le nouveau pontificat, y compris par notre amie qui est si vaillante dans ce combat. Je suis persuadé que le pontife devenu émérite ne l'en dissuaderait pas.

  • Bergoglio et la dictature : démenti du Saint-Siège et réfutations (mise à jour)

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    A PROPOS D'ACCUSATIONS CONTRE LE NOUVEAU PAPE
    Cité du Vatican, 15 mars 2013 (VIS). A la fin du point de presse de ce jour, le P.Federico Lombardi a lu une note relative aux accusations qui ont refait surface ses derniers jours contre le nouveau Pape: "La campagne conduite par une revue contre Jorge Mario Bergoglio, qui remonte à des années, est bien connue. Le caractère anticlérical de ces attaques, allant jusqu'à la calomnie et la diffamation des personnes, est bien connu. Les accusations concernant l'actuel Pape remontent à l'époque où il n'était pas encore évêque, mais simplement supérieur des jésuites en Argentine. Elles font référence à deux prêtres enlevés pendant la dictature, et qu'il n'aurait pas protégé. Or aucune accusation formelle et documentée n'a jamais été déposée contre lui. La justice l'a entendu une fois et à simple titre de témoin et le P.Bergoglio n'a jamais été suspecté ou accusé, ayant d'ailleurs fourni les preuves de son extranéité à l'affaire. Il existe d'autre part nombre de dépositions démontrant combien le P.Bergoglio a agi pour sauver des personnes en danger à l'époque. Il est tout autant connu qu'après être devenu évêque, dans l'élaboration de la démande de pardon, Mgr.Bergoglio a déploré les défaillances de l'Eglise argentine face à la dictature. Les accusations en question découlent d'une lecture historique de cette période promue depuis des années par des milieux anticléricaux. Elles n'ont pas lieu d'être".
    Lire, en complément : http://www.marianne.net/Le-pape-et-les-complices-de-la-dictature-argentine_a227411.html ou : francois-et-les-loups-de-gubbio/ ou encore cette intervention de Leonardo Boff : http://www.kathpress.co.at, et enfin, cet article sur Aleteia : 

    Le Prix Nobel de la Paix argentin Adolfo Pérez Esquivel et l’ancienne médiatrice du pays ont démenti catégoriquement que Jorge Mario Bergoglio, élu évêque de Rome sous le nom de pape François, ait été complice de la dictature dans son pays.

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  • La désinformation ertébéenne à l'oeuvre

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    Un ami nous écrit :

    "Mercredi soir déjà, après l'élection du pape, la RTBf a interviewé A.-J. Léonard. Celui-ci a avoué ne pas connaître le cardinal Bergoglio. Le journaliste de Brigode  s'est emparé de cet aveu et a demandé (je reconstitue de mémoire): "connaissant l'humour d'A.J. Léonard, n'est-ce pas une manière de prendre ses distances vis-à-vis du nouveau pape"? Onctueux, avec un bon sourire, l'incontournable Gabriel Ringlet avoue ne pas savoir mais...

    Jeudi soir, le même de Brigode introduit un reportage où l'on reprend la partie "intéressante" de la veille à laquelle on juxtapose l'interview de Mgr Léonard réalisée lors de l'élection de Benoît XVI. On souligne le constraste. Pour Benoît XVI: "je le connais, je me réjouis"; pour François: "je ne le connais pas", - "Qui souhaitiez-vous ?" -"Un pape plus jeune." Et la journaliste en voix off : "Joseph Ratzinger avait 78 ans".

    Autre  manipulation du sieur de Brigode: à l'évocation du passé "trouble" de Bergoglio, il lance un reportage d'une autre journaliste qui nuance l'accusation: "certains disent que", "il aurait". De Brigode reprend la parole et introduit un reportage sur la dictature argentine en escamotant  les nuances de sa collègue...

    Par contre, mercredi soir, lors du "12 minutes" vers 22h30, la journaliste passe toute l'interview de Mgr Léonard,  (à 20h, elle était tronquée) et son seul invité, prof à l'Ulb, du centre d'étude des religions, qui avait parlé de Benoît XVI, lors de sa démission, avec beaucoup de respect et même en avouant son admiration pour le philosophe, commente la nouvelle élection avec le même respect tout en soulignant in fine et brièvement qu'il ne partage pas les vues de François sur l'homosexualité.

    L'ULBiste est apparu bien plus honnête que Gabriel Ringlet interviewé en long et en large (pas en profondeur, évidemment, il n'en a pas) par la RTBf. Ringlet n'a pas dit qu'il représentait son église à lui. C'est pourtant bien ce qu'il a fait et ce soir-là et sur RTL radio le lendemain matin. Ce type fait des ravages comme son copain de Brigode. Il suffit d'entendre parler les gens pour en prendre la mesure..."

    Il nous semble que Natalia Trouiller pèche par optimisme en évoquant un "état de grâce" au lendemain de l'élection pontificale....

  • "Douze salopards" au Conclave ?

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    C'est ce qu'affirme le SNAP, un collectif américain constitué de victimes de la pédophilie ecclésiastique. Mais qu'est-ce qui se cache derrière ce groupe de pression dont les accusations ont été largement répercutées par la presse ? Massimo Introvigne nous livre un éclairage solidement étayé dans un article que notre amie de "Benoît-et-moi" a fort opportunément traduit; merci à elle : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/pressions-sur-le-conclave.php

  • Quand le Père Zanotti cloue Plantu au pilori

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    C'est sur "Boulevard Voltaire" :

    Plantu : dégueulis à l’usage de bobos retardés

    Ce 1er mars, Plantu a offert au journal l’un de ses dessins les plus réussis, avec pour noble sujet, que dis-je, pour dégueulis à l’usage de bobos retardés, le pape Benoit XVI, aviné, devant sa télé, soutane retroussée, journal porno à ses pieds, pizza sur la table, télécommande en main, fin prêt pour une retraite bien salée. Rien de bien nouveau sous l’ombre du Monde! Et comme Plantu ne croit sans doute pas en Dieu, ou du moins, en l’honnêteté de ceux qui le représentent, on peut penser, sans crainte de se tromper, qu’il est allé, pour dessiner son chef-d’œuvre, chercher son inspiration dans son propre monde intérieur, ce qu’on ne saurait lui reprocher, puisqu’il est de vérité que l’on ne décrit bien que ce que l’on vit soi-même. Et à en croire les as du crayon, c’est encore plus vrai pour le dessin. Toutefois, malgré l’offense qui est ici recherchée sous un humour de pissotière, sans grand effet, d’ailleurs, et j’en suis sûr, sous la fierté pour l’artiste de railler au nom de la liberté d’expression qui bon lui semble, il convient tout de même de remercier ce grand dessinateur qui, sans le savoir, vient de servir magnifiquement la cause de l’Église en honorant de son œuvre unique l’une des plus grandes vérités que l’Évangile ait révélée au monde, à savoir que l’outragé, le méprisé, le moqué, finit par gagner la partie. Le Christ en tête, avec sa couronne d’épines, son manteau d’opérette, son roseau de sceptre, et derrière lui, la foule des humiliés, aujourd’hui sur les autels, pour avoir tenté d’aimer jusqu’à la démesure l’humanité tout entière, y compris les Plantu, l’ont parfaitement démontré. On ne saurait donc que trop conseiller à ce bon dessinateur et, puisque j’y suis, au Monde, de continuer avec élan leur approche irrespectueuse et parfois ordurière de nos Pères, de manière à consolider la foi catholique dans les esprits insoumis qui, grâce à leur art d’écrire et de dessiner, sont de plus en plus nombreux ici-bas. Plantu, vous vous êtes planté !

  • Quand médisances, calomnies et médiocrité s'invitent à "C dans l'air" (corrigé)

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    Peut-être avez-vous regardé l’émission « C dans l’air » de lundi consacrée aux « Dossiers secrets du Vatican ». Une vraie caricature du genre avec des reportages constitués par de troubles images auxquelles on peut faire dire n’importe quoi et des allégations assénées et répétées inlassablement, aussi gratuites qu’invérifiables. Les personnalités invitées se sont surpassées : l’inévitable Terras déchaîné et véritablement hystérique, l’oracle obligé - Odon Vallet – débitant ses jugements approximatifs avec une condescendance ridicule, Isabelle de Gaulmyn avec très peu de consistance. Seul Jean-François Colosimo tranchait dans ce chorus par sa pondération et son souci d’objectivité.

    A regarder une telle émission, on peut se demander comment l’Eglise pourrait survivre à tant de malversations et de vices en tout genre dont le malheureux pape sortant illustrerait l’impuissance à remédier. On doit également en conclure à la débilité de tous ces catholiques, tels ceux qui se sont pressés place Saint-Pierre dimanche dernier, qui s’obstinent dans leur attachement à l’Eglise. Et tout cela à partir d’un mystérieux dossier remis au pape par les cardinaux chargés de l’enquête sur Vatileaks et que Benoît XVI a choisi de garder secret pour le remettre à son successeur. Les illustres augures rassemblés sur le plateau étaient-ils censés en connaître le contenu ? Dans la négative, tout cet échange basé sur des supputations fumeuses et malodorantes se révèle sans fondement et trahit la malveillance d’un certain monde médiatique d’autant plus agressif qu’on le sentait frustré de n’avoir pas accès au véritable contenu de documents gardés secrets, sans doute pour de bonnes raisons.

    Pourquoi ces vertueux faiseurs d’opinion feignent-ils l’étonnement et l’indignation lorsqu’ils semblent découvrir qu’il y a de l’hommerie dans l’Eglise ? Ne savons-nous pas, depuis la trahison de Judas et le reniement de Pierre, que, même dans l’entourage le plus proche du Christ, le mal est tapi. Doit-on en conclure pour autant que le Christ, à cause de tout cela, n’a pas pu accomplir sa mission ? Et, bien sûr, nous aspirons, nous aussi, à une conversion de l’Eglise, dans sa tête et dans ses membres, à commencer par celle de chacun d’entre nous, pour qu’elle puisse rendre témoignage, en toute transparence et cohérence, de Celui qui nous aime et qui nous sauve.

  • Nouvelle campagne médiatique contre l'Eglise

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    Voir : 

    Dernière campagne en date, certainement pas la dernière à prévoir... mais en tout cas, des attaques inouïes et terrifiantes selon Massimo Introvigne (traduite par notre amie de Benoit-et-moi). Pour le vaticaniste italien, on assiste à du jamais vu orchestré par une galaxie d'organisations hostiles à l'Eglise (féministes, LGBT, maçonniques, ...), appuyé par l'ultra-fondamentalisme islamiste, porté aussi par des milieux catholiques progressistes, et même par des gens de l'entourage direct du pape (cfr Vatileaks). Tous ces adversaires ne sont évidemment pas prêts à désarmer et il faut s'attendre à les voir déclencher de nouvelles attaques dans les temps à venir. Ce qui ne doit pas nous étonner ou nous conduire à la désespérance. Le disciple n'est pas au-dessus du maître et on sait combien ce dernier fut outragé au point de ne plus ressembler à un homme...

    (Dans ce registre, RTL TVI se surpasse. Si l'on veut assister à un chorus haineux de déchainement anticatholique, on pourra visionner l'émission "On refait le monde" de ce dimanche midi.)

  • Quand d'aucuns tentent de manoeuvrer l'opinion publique pour faire pression sur le prochain Conclave

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    COMMUNIQUE DE LA SECRETAIRERIE D'ETAT

    Cité du Vatican, 23 février 2013 (VIS). La Salle de Presse a diffusé ce midi le communiqué suivant de la Secrétairerie d'Etat: "Le Saint-Siège a toujours étroitement défendu la liberté du Collège cardinalice, à qui revient de droit l'élection du Souverain Pontife. Elle constitue la garantie d'un choix strictement fondé sur le bien de l'Eglise. Au cours des siècles, les Cardinaux ont été soumis à toute sorte de pressions, personnelles ou collectives, destinées à conditionner leur décision en les pliant à des logiques politiques. Jadis ce sont les puissances qui cherchaient à conditionner l'élection papale. On tente aujourd'hui d'utiliser le poids de l'opinion publique, généralement sur la base d'évaluations ignorant la nature spirituelle du moment que vit l'Eglise. On déplore donc qu'avant le conclave, où les Cardinaux exprimeront leur choix librement et devant Dieu, on diffuse des informations non vérifiées ou invérifiables, quand elles ne sont pas totalement fausses, au dam des personnes et de l'institution. Plus que jamais les catholiques se concentrent sur l'essentiel qui est de prier pour le Saint-Père et pour que l'Esprit Saint éclaire les Cardinaux, de prier pour le futur Pape. Ils sont conscients de ce que l'avenir de l'Eglise réside dans les mains de Dieu".

    Et sur Radio Vatican : "Le père Lombardi : On tente de jeter le discrédit sur l'Eglise"

    Foi et espérance. C’est avec ces mots simples que le père Lombardi a voulu répondre avec force aux récentes attaques faites contre le Saint-Siège. Depuis une semaine et à l’approche du conclave la presse fait état d’intrigues dans les hautes sphères du Vatican. Dans son éditorial pour Radio Vatican, le directeur de la salle de presse du Saint Siège a également fustigé ceux qui souhaitent semer « la confusion » et « jeter le discrédit sur l’Eglise ». 

    « Médisance, désinformation voire calomnie », les mots du père Lombardi auront rarement été aussi durs contre les détracteurs de l’Eglise. C’est dire l’enjeu de la situation après la renonciation annoncée de Benoît XVI. « Certains cherchent à profiter du mouvement de surprise et de désorientation en exerçant des pressions inacceptables » a dénoncé le père jésuite. En effet depuis quelques jours, la presse italienne regorge d’articles évoquant la présence d’un « lobby gay » au sein du Vatican et qui serait victime de chantage de laïcs. De quoi « conditionner l’exercice du vote de tel ou tel membre du Collège des Cardinaux sur lequel pèserait d’éventuels soupçons » dénonce le père Lombardi. Et d’ajouter : « C’est une description profondément injuste de l’Eglise ». « Celui qui voit le monde seulement à travers le prisme de l’argent, du sexe et du pouvoir est au final incapable de voir autre chose dans l’Eglise également ».

    Un temps pour la conversion et l'espérance

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège défend ainsi l’esprit dans lequel l’Eglise voudrait vivre ce temps d’attente et de préparation. Un esprit tourné vers un temps de réflexion sincère sur les attentes spirituelles du monde et sur la fidélité de l’Eglise à l’évangile. Un chemin pénitentiel de conversion vers la joie de Pâques. Le père Lombardi coupe court à tous les mensonges : conversion et espérance, c’est comme cela que nous vivons et que nous vivrons ce chemin vers Pâques. 

  • Des bobards battus en neige (sale) à propos de la décision du pape

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    Nous lisons sur Aleteia, sous la plume de Philippe Oswald :

    C’est une «pana montata » (crème fouettée) comme la presse italienne en raffole : un article du quotidien de gauche La Repubblica (21 février) signé par l’ancienne directrice de L’Unita (quotidien communiste), insinue que la « démission » (plus justement nommée renonciation) de Benoît XVI serait un geste de désespoir parce qu’il aurait pris connaissance d’un rapport secret sur la puissance d’un lobby gay au sein du Vatican ! Du nanan pour les agences de presse et donc pour nombre de journaux et de radios en France notamment…Mais pour Jean-Marie Guénois, chargé des questions religieuses au Figaro,  cette « crème montée » n’est en réalité qu’un soufflé. Qu’il se charge de dégonfler avec maestria (texte et vidéo): http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/22/01016-20130222ARTFIG00463-lobby-gay-au-vatican-pas-de-lien-avec-le-depart-du-pape.php

    Le diagnostic pipé d’un sociologue
    Dans un registre plus sérieux en apparence, le sociologue Olivier Bobineau feint de s’interroger sur le site de L’Express : « l’Eglise, grand corps malade ? ». S’il pointe à juste titre « le choc anthropologique » que représente le message de l’Eglise face « au « cancer » de la « modernité » (qu’il se garde de définir), le sociologue n’hésite pas à soutenir que celle-ci ne pourrait plus progresser, ce que démentent les statistiques annuelles de l’augmentation des catholiques dans le monde. Mais plus encore que cette erreur factuelle, c’est la nature même de l’Eglise et du rôle du pape que méconnaît Olivier Bobineau en affirmant péremptoirement que « l’Eglise veut encadrer le sentiment des individus depuis son centre romain ». On n’est pas loin des poncifs véhiculés depuis le dix-huitième siècle sur « le Vatican » et « l’ordre noir » (les jésuites) ! La chute de l’article dévoile son dessein : sommer l’Eglise de sacrifier à la « modernité » (comme si celle-ci était en pleine forme !) ou s’enfermer dans le « repli identitaire » …pour disparaître. C’est en réalité juste le contraire qui s’est toujours produit et va se reproduire sous nos yeux : c’est dans la mesure où elle ne cède pas à l’esprit du monde et reste fidèle à sa mission d’annoncer la Bonne Nouvelle du salut que l’Eglise se renouvelle et refleurir sans cesse.http://www.lexpress.fr/actualite/societe/renonciation-de-benoit-xvi-l-eglise-grand-corps-malade_1219588.html
     
    Hommage à quatre voix
    C’est précisément pour favoriser ce renouveau que le pape Benoît XVI a choisi de passer le flambeau. Car : «La renonciation de Benoît XVI n’est pas un abandon ». C’est ce qu’ont très bien compris, chacun à sa manière, un philosophe, un chef d’entreprise, un prêtre, un écrivain : François-Xavier Bellamy, le Père Guy Gilbert, Henri de Castries (PDG de Axa) et Jean Raspail. L’hebdomadaire Valeurs Actuelles a réuni leurs contributions dans un bel hommage à « l’exemplarité d’un homme dont le but n’a jamais été que de servir ».

    http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/%E2%80%9C-renonciation-beno%C3%AEt-xvi-n%E2%80%99-pas-abandon%E2%80%9D20130221.html

  • Le bulletin de février-mars de l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    ... est disponible en cliquant sur le lien suivant Bulletin_2_2013.pdf

    Un contenu riche et des échos souvent dramatiques de la situation de l'Eglise en Syrie, au Pakistan et ailleurs, mais aussi avec des initiatives marquées du sceau de l'Espérance.

  • A travers le cardinal Mahony, c'est l'Eglise qui est à nouveau la cible des médias

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    Sur la Nuova Bussola Quotidiana, Massimo Introvigne dénonce un "tsunami de bêtises" qui déferle à nouveau contre l'Eglise à travers l'univers médiatique. Il s'agit cette fois d'un cardinal américain accusé d'avoir "couvert" des crimes de pédophilie et qui, selon les groupes de pression, devrait être interdit de Conclave. Nous nous apprêtions à traduire le "décryptage" de cette affaire mais nous avons été pris de court par le site Benoît-et-moi qui a déjà mis en ligne cette traduction et qui titre "les abus sexuels s'invitent au conclave" : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/les-abus-sexuels-sinvitent-au-conclave.php