"La dénatalité étant un des problèmes majeurs de l’Europe, tout ce qui touche à la politique familiale est particulièrement sensible.
Si beaucoup de familles demandent une aide financière et des accommodements de la législation du travail pour faciliter leur tâche essentielle d’accueillir et d’élever les enfants, elles ne veulent pas, en contrepartie, que l’Etat leur retire le droit et l’exercice effectif de leur fonction parentale.
Deux philosophies et deux politiques s’entrechoquent lorsqu’il s’agit de proposer des mesures concrètes pour essayer de concilier ces deux impératifs.
Nulle part l’entrechoc de ces deux philosophies n’est plus visible qu’en Allemagne, où les régions occidentales de l’ancienne RFA privilégient les aides directes aux familles et le modèle de la mère au foyer et où les régions orientales de l’ancienne RDA privilégient plutôt la mise en place d’un réseau dense de crèches et autres équipements d’accueil d’enfants, perpétuant en quelque sorte le modèle qui y existait sous le régime communiste.
Le nœud de la question, partout en Europe, est : oui aux politiques qui favorisent la natalité ; mais à qui le rôle principal dans l’éducation des enfants, à l’Etat ou aux familles?
A cet égard, ceux qui liront le rapport « sur l’apprentissage au cours de la petite enfance au sein de l’Union européenne » demeureront avec un après-goût plutôt aigre-doux."
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Nous avons trouvé, sur le site "skhole.fr", un excellent dossier consacré à l'apprentissage de la lecture qui nous conforte dans l'idée que la très mauvaise orthographe constatée dans l'enseignement, et la pauvreté de pensée, trouve son origine dans les méthodes utilisées à l'école pour apprendre à lire.
Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, propose cette méditation sur Pâques
Lors de l’émission religieuse « À son image » réalisée par la télévision italienne, ce vendredi 22 avril, l’une des sept questions (sélectionnées sur deux mille) posées par des internautes du monde entier au pape Benoît XVI concerne spécifiquement le Samedi où le corps du Christ repose au tombeau : « Sainteté, que fait Jésus dans le laps de temps entre sa mort et sa résurrection? Et puisque, dans le Credo, on dit que Jésus, après la mort, est descendu aux Enfers, pouvons-nous penser que cela nous arrivera à nous aussi, après la mort, avant de monter au Ciel?”.
Le projet n’a pas passé la rampe aux Facultés jésuites Notre-Dame de la Paix à Namur et l’assentiment des Facultés Universitaires Catholiques de Mons est lui-même assorti d’une clause suspensive : les petits chaperons rouges soupçonnent-ils le grand méchant loup d’intentions pas trop catholiques ? Après tout, small is beautifull et de bons accords de coopération ne suffiraient-ils pas à mieux garantir les intérêts et la spécificité de chacun ? Sur la tournure prise par le projet, voici ce qu’écrit Laurent Gérard dans la Libre Belgique de ce 24 mars :