De nombreux parents se plaignent de ne plus trouver des albums ou des livres qui émerveillent ou font rêver les petits. Il faut dire que certains éditeurs occupent une place quasi monopolistique dans ce créneau et abreuvent les jeunes esprits d'histoires triviales empreintes de la nouvelle bienpensance où il est question de situations familiales déstabilisées, de gros mots, de défécations, d'homosexualité etc. Cela requiert, de la part des parents et éducateurs chrétiens une réelle vigilance avant de mettre un livre dans les mains d'un enfant.
Enseignement - Education - Page 185
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La littérature enfantine hors des sentiers battus du culturellement correct
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La repentance mémorielle est tributaire du politiquement et culturellement correct
À l'heure d'une repentance mémorielle continuelle confinant à l'opportunisme politique, pourquoi ne pas suggérer à l'Education nationale de battre sa coulpe, en incitant le corps enseignant à procéder à la lecture dans les classes d'une lettre d'un écrivain russe arrivé à Paris au printemps 1789, et exprimant bientôt sa surprise d'observer que les agitateurs révolutionnaires représentaient à peine 1% d'un peuple qui, par ailleurs, continuait de tenir en haute estime le roi Louis XVI et sa famille ?...
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L'Institut Sophia à l'honneur sur Zenit
L’Institut Sophia, pour « envisager la vie avec plus d’espérance »
Une année à Bruxelles
« Envisager la vie avec plus de paix, plus d'espérance et de confiance, comme un chemin simple et beau, riche des découvertes qu'ils ont faites » : c'est l'un des fruits d'un an passé à l'Institut Sophia de Bruxelles, indique Véronique Bontemps.
Laetitia de Chaillé a interviewé pour Zenit Véronique Bontemps, l'une des responsables de l'Institut Sophia. Pour l'année 2011-2012, on peut s'incrire en ligne sur le site Internet de l'Institut.
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Les délires pédagogiques dont meurt notre enseignement
En marge d'une grève générale organisée ce jour dans l'enseignement de la "Communauté française de Belgique", nous reproduisons une tribune libre que nous avons "commise" dans la Libre, il y a déjà quelque temps, bien avant que ne soit ouvert ce blog :
Bienheureux Chaboteau !
Dans son "Toine Culot, obèse ardennais", Arthur Masson dépeignait en ces traits l'instituteur de Trignolles : " C'est un homme intelligent, fort d'une belle indépendance à l'égard de tout ce qui ressemble au formalisme. Pour s'amuser un brin, parfois il lit les élucubrations savantes des mandarins de la pédagogie contemplative, puis classe dans un tiroir "ad hoc" ces papiers tout grouillants de litteras, d'astérisques et d'apostilles qui enseignent sans rire l'art de barbouiller des cervelles nettes. Ces beaux papiers une fois écroués dans le tiroir, Monsieur Chaboteau continue la méthode Chaboteau qui, elle, a fait ses preuves ."
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Apprentissage de la lecture : méthode globale, mixte, syllabique ou alphabétique ?
Nous avons trouvé, sur le site "skhole.fr", un excellent dossier consacré à l'apprentissage de la lecture qui nous conforte dans l'idée que la très mauvaise orthographe constatée dans l'enseignement, et la pauvreté de pensée, trouve son origine dans les méthodes utilisées à l'école pour apprendre à lire.
"Depuis près d’un demi-siècle se développe et se répète ce qu’il est convenu d’appeler la « querelle » des méthodes de lecture employées à l’école primaire, opposant principalement les défenseurs des méthodes « globales » et « mixtes » aux tenants des méthodes « syllabiques » ou « alphabétiques ».
découvrir ce dossier ici : dossier méthodes de lecture
Lire ci-dessous les conclusions qu'en tire J. Gautier :
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Le prix Lyssenko attribué à Philippe Meirieu
Philippe Meirieu, prix Lyssenko 2011
Le Prix Lyssenko, un anti-prix :
Le samedi 30 avril 2011, à 15 heures, en l'Espace Léopold Bellan, 64 rue du Rocher, à Paris VIIIe, le Club de l’Horloge remettra à Philippe Meirieu le prix Lyssenko.
Cette nomination apparaît comme la réparation d’une injustice. Car dès l’origine du Prix Lyssenko en 1990, Philippe Meirieu méritait d’être couronné. C’est en effet ce doctrinaire des pédagogies nouvelles qui a inspiré les méthodes actuellement en vigueur dans l’Education nationale : Philippe Meirieu a mis l’élève au centre de l’école et relayé les savoirs au second plan ; Philippe Meirieu a promu le pédago-ludisme au détriment de l’effort d’apprentissage ; Philippe Meirieu a inspiré les Instituts de formation des maîtres (IUFM), aujourd’hui remplacés mais dont l’esprit demeure ; Philippe Meirieu a contribué à imposer toutes les pédagogies de rupture visant à éloigner les parents de l’éducation de leurs enfants ; le tout avec un vocabulaire pédant visant à sacraliser le pédagogiquement correct.
A lire également : Les fondements idéologiques du « pédagogisme », par Henri Nivesse
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Un évêque soucieux de conforter la foi de ses frères
Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, propose cette méditation sur Pâques dans la Bussola Quotidiana (traduction par nos soins) :
"Pourquoi cherchez-vous parmi les morts Celui qui est vivant? Il n'est pas ici, il est ressuscité."L'Église est née de la constatation d'un fait: Jésus crucifié, mort et mis au tombeau, est ressuscité. Et l'existence de la Communauté chrétienne reste fondée sur ce fait. Elle ne résulte pas d'abord de l'enseignement religieux d'un maître, elle n'est pas principalement la communauté de ceux qui acceptent de vivre selon un certain code moral. Mais c'est tout simplement la communauté de ceux qui croient dans la réalité du fait suivant: Jésus est ressuscité.
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Samedi-Saint : « Il est descendu aux Enfers »
Lors de l’émission religieuse « À son image » réalisée par la télévision italienne, ce vendredi 22 avril, l’une des sept questions (sélectionnées sur deux mille) posées par des internautes du monde entier au pape Benoît XVI concerne spécifiquement le Samedi où le corps du Christ repose au tombeau : « Sainteté, que fait Jésus dans le laps de temps entre sa mort et sa résurrection? Et puisque, dans le Credo, on dit que Jésus, après la mort, est descendu aux Enfers, pouvons-nous penser que cela nous arrivera à nous aussi, après la mort, avant de monter au Ciel?”.
Benoît XVI y répond avec la pédagogie et la clarté d’expression qui lui sont coutumières :
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France : Philippe Isnard mis à pied pour avoir osé mettre en cause l'avortement
Professeur d'histoire à Manosque, Philippe Isnard a d'abord été suspendu par l'Éducation nationale pour quatre mois après avoir diffusé un film provie dans le cadre d'un débat sur l'avortement organisé en cours d'éducation civique. A présent, "Philippe Isnard a été frappé de la pire des sanctions possibles comme enseignant! En effet il est révoqué sans aucune indemnité d’aucune sorte et n’a plus droit à rien. Il est clair que cette révocation aussi officielle que brutale, de la part du Ministre de l’Education nationale, survenue juste au lendemain des élections, a pour objet de servir d’exemple a tous les enseignants qui auraient l’audace de discuter encore de l’avortement. L’avortement est désormais un dogme d’Etat.
Ce matin Philippe Isnard a été reçu comme un paria au lycée des Iscles à Manosque où il se rendait."
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Après la marche pour la vie...
« Tout vaut mieux que le silence et l’indifférence » me disait une amie au cours de cette manifestation. On ne peut lui donner tort.
Encore faut-il constater que réunir trois ou quatre mille manifestants n’est pas suffisant. Il ne s’agit pas de nier ce beau succès, surtout dans un pays où l’on a bien du mal à mobiliser des gens pour une cause de ce type. Plus qu’aucune autre, en effet, la société belge est gangrénée par le matérialisme, l’individualisme et le rejet des valeurs qui ont fondé la civilisation chrétienne.
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Non à une grande université aux intentions peu catholiques ?
Le projet n’a pas passé la rampe aux Facultés jésuites Notre-Dame de la Paix à Namur et l’assentiment des Facultés Universitaires Catholiques de Mons est lui-même assorti d’une clause suspensive : les petits chaperons rouges soupçonnent-ils le grand méchant loup d’intentions pas trop catholiques ? Après tout, small is beautifull et de bons accords de coopération ne suffiraient-ils pas à mieux garantir les intérêts et la spécificité de chacun ? Sur la tournure prise par le projet, voici ce qu’écrit Laurent Gérard dans la Libre Belgique de ce 24 mars :
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Remédier aux tares de l'enseignement dans les séminaires...
"Il y avait d'abord le déficit de formation philosophique de nombreuses institutions ecclésiastiques, une absence de références précises en la matière et une inadaptation du corps enseignant... Et puis il y avait la conviction exprimée par Jean-Paul II en 1988 dans l'encyclique Fides et Ratio, l'importance de la philosophie sous son aspect métaphysique...mais également la conscience de ce que la philosophie est indispensable pour la formation théologique".