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Société - Page 706

  • Le césaropapisme russe contre le nationalisme ukrainien

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    51159_patriarche-kirill-cyrille-moscou-orthodoxe-russe_440x260 (1).jpgSur le site de « La Vie », Antoine Arjakovsky, directeur de recherche au Collège des Bernardins, spécialiste de l'orthodoxie, répond aux questions de Marie-Lucile Kubaki :

     Quel impact la situation de crise en Ukraine a-t-elle eu sur les relations entre les Eglises ?

    D'un côté, les Eglises orthodoxes ukrainiennes (Patriarcat de Moscou – PM - et Patriarcat de Kiev - PK), qui avaient résisté ensemble pendant trois mois, ont voulu aller plus loin en reposant la question de la réunification depuis leur séparation en 1991. Le patriarche Philarète a fait des annonces et il y a eu un synode du patriarcat de Kiev. De l'autre, assez rapidement, le patriarche Cyrille de Moscou (photo) qui ne veut pas que l'Eglise ukrainienne relevant de sa juridiction se réconcilie avec le patriarcat de Kiev, a changé la tête de l'Eglise orthodoxe ukrainienne. Le 2 mars, il a ainsi remplacé Vladymyr Sobodan par Onufri de Tchernivtsi. Le métropolite Onufri est un proche de Cyrille, pro-moscovite. Certains ont apprécié malgré tout que ce soit un évêque ukrainien plutôt qu'un évêque russe. En effet, au mois de décembre dernier, le chef de l'Eglise orthodoxe en Biélorussie, le métropolite Philarète (à ne pas confondre avec Philarète de Kiev) n'a pas été remplacé par un évêque orthodoxe de Biélorussie mais par un proche de Cyrille, un évêque russe. Les Ukrainiens craignaient que Cyrille ne fasse la même chose et des noms dont celui du métropolite Hilarion Alfeyev, numéro deux du patriarcat de Moscou, commençaient à circuler.

    La suite ici : "Le patriarche Cyrille est en train de perdre l'Eglise orthodoxe ukrainienne"

  • Qu’est-ce qu’une famille ?

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     Communication du philosophe Fabrice Hadjadj au Grenelle de la Famille, Paris, palais de la Mutualité, 8 mars 2014 : "Qu'est-ce qu'une famille ?" Lieu du premier amour, de la première éducation, du respect des libertés, le principe de la famille est dans le sexe. Sans quoi, elle ne serait que "l'excellence de l'orphelinat".Réf.

    Sur le site Liberté politique: Fabrice Hadjadj : "Qu'est-ce qu'une famille ?"

  • Jacques Testart prévient : le risque de l'eugénisme se précise

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    Pour Jacques Testart, sur le site de La Vie,  "le risque de l'eugénisme se précise"

    Trente-deux ans après avoir fait naître Amandine, premier « bébé éprouvette » français, le biologiste Jacques Testart appelle à la démédicalisation de la procréation. Dans un nouvel et passionnant essai (Faire des enfants demain, au Seuil), il alerte sur les risques de basculer avant la fin du siècle dans un eugénisme d'ampleur inédite dans l'histoire de l'humanité.

    L'assistance médicale à la procréation (AMP) va devenir, dites-vous, la façon pour tous de faire ses enfants. Pourquoi ?

    Parce que nous allons vraisemblablement être capables de produire sans limites des gamètes à partir de cellules banales. C'est une révolution biologique car jusqu'à présent, on connaît deux lignées bien distinctes : les banales cellules somatiques, et les cellules germinales. Or voilà que les Japonais et les Coréens, notamment à partir des travaux du prix Nobel Shinya Yamanaka, nous montrent sur la souris qu'on peut fabriquer l'une à partir de l'autre. Pour l'ovule cela va tout changer, car c'est la cellule la plus rare ! On va donc être en mesure de produire des embryons in vitro par centaines, et de recourir au DPI (diagnostic pré-implantatoire) pour choisir et transplanter celui qui présente le moins de défauts. L'AMP, qui est actuellement un parcours du combattant, va devenir indolore et sans astreinte puisqu'il suffira de laisser quelques unes de vos cellules de peau au laboratoire. Celui-ci procédera à la transformation cellulaire, puis à la fécondation, à des tests génétiques, et appellera le couple pour le transfert de l'embryon qui aura été choisi. Les couples pourront aussi se faire stériliser pour ne plus avoir à se soucier de contraception : ils pourront quand même procréer quand ils le veulent. Et deuxième révolution : celle de la génétique avec la détection de caractéristiques innombrables, et de l’outil informatique pour en déduire des prédispositions. Il n'y a donc pas de raison que l'AMP ne devienne pas une façon normale de fabriquer sérieusement des bébés, plutôt que de laisser faire le hasard.

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  • A propos de l'abrogation de la transmission automatique du patronyme

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    Une opinion de Joseph Junker sur LaLibre.be :

    Sans que personne ne lui demande quoi que ce soit, la chambre des représentants s’apprête à voter la fin de la transmission automatique du patronyme. Un compromis surréaliste qui a tout d’une bonne blague belge, mais aussi et surtout une loi inutile et génératrice de ce qu’elle prétend précisément combattre: le sexisme.

    Certes, cette différence de traitement en faveur de l’homme détonne un peu dans une société qui aime à se revendiquer égalitaire, voire égalitariste. Mais n’y voir qu’un relent de patriarcat, un symbole de domination masculine à abattre pour le plus grand bien de la société heureuse… qui n’avait rien demandé, et bien permettez-moi de trouver cela un petit peu court.

    Car on se demande bien de quelle égalité il est question ici ! Comme si la filiation de la mère et du père s'établissait de la même manière, comme si le lien entre l'enfant et le père était dès le premier instant de la vie le même que celui entre l'enfant et la mère, comme si le père pouvait donner vie à un enfant en sa propre chair plutôt que symboliquement en lui donnant son nom !

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  • Pourquoi il faudrait emboiter le pas au New Hampshire qui a rejeté l'euthanasie et le suicide assisté

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    Lu ICI :

    Un ancien membre de la Chambre des représentants explique pourquoi le Québec devrait emboîter le pas au New Hampshire en rejetant le suicide assisté et l'euthanasie

    MONTREAL, March 17, 2014/PRNewswire/ --

    Par 219 voix contre 66, l'État du New Hampshire a massivement rejeté le suicide assisté le 6 mars 2014. Élue à trois reprises à la Chambre des représentants, Nancy Elliott a expliqué pourquoi le New Hampshire a rejeté le suicide assisté et exposé les raisons qui devraient conduire des sociétés progressistes comme le Québec à dire non à l'euthanasie.

    Il existe de nombreuses similitudes entre la législation du New Hampshire et celle du Québec Les deux projets ouvrent grand la porte à des dérapages dans les hôpitaux. Les conditions à remplir, telles que définies dans les deux projets de loi, sont à la fois vagues et très ouvertes. Les prévisions médicales ne sont pas toujours justes. De nombreuses personnes jugées condamnées ont survécu aux prévisions des médecins. Dans certaines pathologies, les malades ne sont pas nécessairement mourants et peuvent vivre encore de nombreuses années si elles sont soignées. Mme Elliott a ainsi donné l'exemple de Richard Bloom du New Hampshire. Atteint d'un cancer du pancréas, on lui donnait 18 mois à vivre. Après s'être vu refuser tout traitement, dans un premier temps, il a obtenu d'être traité après avoir longuement bataillé contre les prestataires de soins médicaux et, 9 ans plus tard, se porte bien.

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  • ONU : Grégor Puppinck dénonce les infanticides, les avortements tardifs et les atteintes à la liberté de conscience

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (18 mars)

    Infanticide, avortement tardif et atteinte à la liberté de conscience dénoncés devant l'ONU

    A l'occasion d'un premier débat sur la violence contre les enfants et d'un autre sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, qui se sont déroulés le 14 mars dernier devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Grégor Puppinck, directeur du European Center for Law and Justice (ECLJ) a souhaité dénoncer les infanticides, avortements tardifs et atteintes à la liberté de conscience.

    Lors du premier débat, le directeur de l'ECLJ a invité le Conseil à "condamner [l]es violations graves des droits des enfants causées par les infanticides et les avortements tardifs, et à s'engager pour l'interdiction universelle de l'avortement au-delà du seuil de viabilité". En effet, il a été constaté, d'une part que de nombreux "enfants naissent vivants après des avortements et sont abandonnés à la mort sans soins ou tués" et d'autre part que "certaines méthodes d'avortements tardifs, extrêmement violentes, constituent de véritables actes de tortures".  
    Actuellement, un enfant prématuré à 21 semaines peut être sauvé. Or, dans des pays comme en Suède ou au Royaume-Uni, "l'avortement sur demande est légal jusqu'au delà du seuil de viabilité", ou encore comme en France, jusqu'à la fin de la grossesse en cas de malformations. Ainsi, en Angleterre, en 2005, 66 enfants sont nés vivants après un avortement, 622 au Canada entre 2000 et 2011: "tous ont été abandonnés à la mort ou tués par injection ou asphyxie". En Angleterre d'ailleurs, l'asphyxie ou l'injection létale est même une pratique recommandée aux médecins par le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists, pour les bébés nés vivants après un avortement. Pourtant, souligne Grégor Puppinck, ce sont ces mêmes médecins qui "mettent tout en oeuvre pour sauver des enfants prématurés nés au même terme. Tuer un enfant né vivant est un infanticide". 

    Lors du second débat sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, Grégor Puppinck a notamment dénoncé "les atteintes au droit à l'objection de conscience des médecins, infirmières et pharmaciens face à l'avortement". 
    En premier lieu, le directeur de l'ECLJ a tenu à faire part de sa crainte que "les pays occidentaux soient confrontés à une nouvelle idéologie qui s'oppose à la liberté de conscience et en particulier au droit à l'objection de conscience". Pour justifier son propos, G. Puppinck cite la Suède qui "refuse de reconnaître le droit des médecins à ne pas pratiquer l'avortement" ou encore la France qui "refuse de reconnaître le droit des pharmaciens à ne pas collaborer à l'avortement, quand un pharmacien, un médecin ou une infirmière sont licenciées à cause de leur objection de conscience". 
    Ainsi, G. Puppinck demande au Conseil des droits de l'homme "de veiller davantage au respect du droit à l'objection de conscience en matière morale qui est gravement remis en cause dans plusieurs pays occidentaux". 

    (Zenit.org 17/03/2014)

  • Cafouillage à la pastorale familiale de l'Eglise de France

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    De Stéphanie Le Bars (Le Monde) sur son blog ("Digne de Foi") :

    Fabienne Brugère, philosophe à l’université de Bordeaux-III, devait intervenir,  mercredi 19 mars, dans le cadre d’une formation de responsables catholiques spécialistes des questions de famille, proposée par la conférence des évêques de France (CEF), à Paris et intitulée « Prendre soin de l’autre, un appel lancé à tous ». Mme Brugère est connue pour ses travaux sur l’éthique du « care ». Suite aux "inquiétudes" mises en avant par certains cercles, pas uniquement ultra-conservateurs, et à une « supplique » relayée par le site intégriste Le Salon beige, Mgr Brunin, évêque du Havre et président du conseil Famille et société a décidé d’annuler cette intervention. Les contestataires dénonçaient la proximité de Mme Brugère avec la spécialiste des études de genre, Judith Butler, son engagement pour le mariage pour tous ou pour la défense du droit à l’avortement. Mgr Brunin a estimé, « que les conditions du dialogue » n’existaient pas et qu’il était plus sage d’éviter des « crispations ».

    Cet incident, diversement apprécié des croyants, démontre que les fortes dissensions, mises à jour à l’occasion du débat sur le mariage pour tous, persistent au sein de l’Eglise catholique sur la volonté de s’ouvrir au dialogue avec la société et sur la capacité des croyants à dialoguer entre eux. Dans un éditorial, le journal La Croix s’est ému de cette « reculade sous la pression d’une minorité érigée en police de la pensée » et regretté « une occasion perdue de dialoguer ». "On ne pouvait pas faire comme si ces peurs n'existaient pas et passer outre", indique de son côté Monique Baujard, directrice du service national Famille et Société pour la CEF, qui reconnait aussi que la décision n'a été "ni facile, ni agréable à prendre". "Nous avons préféré la patience à l'affrontement. C'est un pas de côté, pas un pas en arrière", nous indique-t-elle encore. Mme Brugère réagit à cette affaire.

    Lire la suite sur le blog de S. Le Bars

  • Eglise: Vers un droit humain reconnu à la communion pour les divorcés-remariés ?

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    La problématique de la famille, sujet du prochain synode de l’Eglise catholique, va-t-elle se résumer à ouvrir la communion sacramentelle aux divorcés qui vivent dans les liens d’une nouvelle union ? Le cardinal Marx (photo)marx (1).jpg, l’un des bras droits du pape François, fait le forcing , comme le rapporte le site web de « Radio Notre-Dame » (Paris):

    Le cardinal Marx, proche du pape François, a ainsi déclaré, dans un entretien au quotidien allemand Die Welt, qu'il était favorable pour accorder le sacrement de l'eucharistie aux divorcés-remariés, qui en étaient exclus jusqu'à présent, après cependant une période de "pénitence". Le nouveau président de la Conférence des évêques allemande s'appuie ici sur une proposition du cardinal allemand Walter Kasper, qui déclarait en février dernier au Vatican que les "divorcés qui ont reconnu leur échec pourraient demander à être réintégrés aux sacrements, après une période de pénitence".

    Un discernement à faire "au cas par cas"

    Tout en reconnaissant que les réactions des différents cardinaux à ce sujet avaient été variées, le cardinal Marx a estimé que "c'est un chemin envisageable, mais qui doit toujours se faire au cas par cas". Avec cette proposition, le cardinal allemand rebondit directement sur la volonté du pape François de vouloir lancer une grande réflexion sur le sujet, en vue éventuellement d'une évolution.

    Le pape François appelle à ne pas condamner les divorcés-remariés

    Aujourd'hui tout le monde au sein de l'Eglise s'entend sur l'indissolubilité du mariage, mais beaucoup sont également conscients que ceux pour qui le mariage a échoué ne peuvent pas être exclus de l'Eglise aussi radicalement. "Quand l'amour échoue, car souvent il échoue, nous devons entendre la douleur de cet échec, accompagner les personnes qui ont connu l'échec de leur propre amour. Ne condamnez pas." avait déclaré le pape à ce sujet.

    Réf. Le cardinal Marx s'engage pour la communion des divorcés-remariés

    Encore un petit effort pour préciser la nature (si j’ose ce vilain mot obsolète) de l’ union « pénitente », eu égard aux implications de  la théorie du genre qui préoccupe aussi les théologiens subjectivistes. Archevêque de Munich et Président de la Conférence épiscopale d’Allemagne, Marx est aussi  Membre du C8  institué par François JPSC.  

  • La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

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    La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

    via Euthanasie STOP

    Willem LEMMENS
    Prof. Universiteit Antwerpen, Centrum voor Ethiek

    Maintenant que l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs est acquise, le lobby pro-euthanasie passe à la vitesse supérieure, emmené par le professeur gantois Etienne Vermeersch. Selon lui, la moindre critique s'inscrit dans une campagne de dénigrement contre une loi qui a fait atteindre à notre pays des « sommets éthiques inégalés ». Il considère que les voix discordantes sont soit mal informées, soit de mauvaise foi. Vermeersch va jusqu'à qualifier le dépôt d'une plainte auprès du parquet ou de l'Ordre des Médecins de « stratégie funeste ». Enfin, il a créé un site Web, « Eerbied » (respect), qui recueille des signatures pour défendre ce qu'il appelle « la dignité de la fin de vie en danger ».

    Or, force est de constater qu'un nombre croissant de personnes sont sincèrement inquiètes face à la pratique toujours plus répandue de l'euthanasie dans notre pays, en raison de la multiplication des interventions contraires à la dignité humaine dans le domaine des soins cliniques.Un grand nombre de pédiatres ont manifesté leur totale désapprobation à l'égard de l'extension de la loi aux mineurs. Certains proches parents de patients euthanasiés ont fait part du traumatisme provoqué chez eux par l'absence de toute oreille attentive à leur point de vue. Une fin de vie digne suppose pourtant le respect de la liberté et de la dignité de tous : du patient, bien entendu, mais aussi du médecin, du personnel soignant et des proches.

    Le professeur Willem Lemmens de l'Universiteit Antwerpen, soutenu par plus de cinquante cosignataires, a rédigé une réponse à l'article de Vermeersch.

    Vous pouvez lire son texte ici : "Het waardig levenseinde in gevaar. Hoezo?" (lien vers le texte)

    Vous pouvez également marquer votre accord avec ce texte en signant ci-dessous.

    N'hésitez pas à FAIRE CIRCULER largement !

    Signez le texte

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  • Quand les Belges ne savent plus à quel saint se vouer…

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    Tout le monde en parle. Le témoignage de notre ami Jean-Pierre Snyers :

    1061744760_B972230125Z.1_20140313230947_000_GS923RQU5.2-0.jpgA quoi attribuer l'illumination le soir venu de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay ? Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel.  Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée.  J'ai pu regarder tant et plus  et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir.  Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici  enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire. Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test. Qu'en conclure ? Une chose est sûre :  à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée. Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous  dira peut-être  si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain -France), est d'ordre divin ou non.  Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ?  Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . »

     Jean-Pierre Snyers ,

    auteur de 22 livres religieux

    adresse blog : http://jpsnyers.blogspot.be/

    Aux dernières nouvelles, la statue phosphorescente a finalement été transférée à l’Université de Liège pour expertise (un spécialiste de l’Université Libre de Bruxelles avait déjà rendu un avis péremptoire, excluant a priori toute cause inexplicable du phénomène) JPSC.

  • La Belgique n'est plus la même !

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    Sur Euthanasie STOP :

    Aujourd'hui, la Belgique n'est plus la même !

    par Pierre VAN de PUTTE, cadre

    Certes, la loi (autorisant l'euthanasie des mineurs) a été votée (et c'est vraiment triste), mais ...

    La Belgique a commencé à changer parce que vous avez entrepris et mené, certains depuis (très) longtemps, cette lutte contre la désinformation et la manipulation, et pour un traitement vraiment humain des personnes en souffrance, en particulier les enfants.

    Une conscience a commencé d'émerger, tant par rapport à l'euthanasie que par rapport au potentiel que forment tous les silencieux que nous sommes dans l'arène politique.

    Grâce à vous,

    Nous avons prêté l'oreille à des personnes qu'on n'écoute trop peu et leur avons cédé le devant de la scène ;

    Nous sommes entrés, ne serait-ce qu'un peu, dans le quotidien de ceux et celles qui souffrent, de ceux et celles qui les soignent ;

    Nous avons entendu des alternatives intéressantes et séduisantes – malheureusement trop rares, trop petites et trop peu connues ;

    Nous avons découvert la parodie manipulatrice d'un pseudo instrument de contrôle pourtant acclamée ;

    Nous avons entendu des médecins, des infirmières et d'autres professionnels de la santé dénoncer l'absurdité de la proposition ;

    Nous avons entendu les mensonges perfides de plusieurs politiciens et débusqué d'autres honnêtes et courageux ;

    Merci pour vos initiatives judicieuses et fermes, pour vos efforts persévérants et généreux, toujours avec patience et le respect des personnes.

    Merci aussi pour le témoignage de votre jeunesse qui se lève pour faire de ce monde un monde meilleur !