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Spiritualité - Page 171

  • Abbaye de Lagrasse : 14 écrivains y passent trois jours et publient un livre commun

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    Lu sur le site web "riposte catholique" ce 21/11/2021:

    Au printemps dernier, 14 écrivains sont allés en pèlerinages à l’abbaye de Lagrasse, où ils ont passé trois jours et trois nuits. Leur livre commun édité chez Fayard sur cette expérience inédite sort le 25 novembre prochain.

    Il a donné lieu à un très bel article du Figaro, sous la plume de Pascal Bruckner, qui publie les bonnes feuilles et commence ainsi : « Que l’on soit croyant ou non, arriver à Lagrasse pour quelques jours, partager la vie des frères, c’est subir une immersion instantanée dans une société aux antipodes de la nôtre : le silence en lieu et place du bruit, la frugalité plutôt que l’abondance, la coupure plutôt que la connexion. Logé dans une cellule sobre mais vaste, la chambre de l’évêque, qui donne sur un jardin splendide, on s’endort le soir, ­fenêtres grandes ouvertes, au chant des crapauds et du ­rossignol, on se réveille avant 6 heures sur le pas menu des chanoines qui se rendent à matines » .

    Il s’agit de Pascal Bruckner lui-même, Sylvain Tesson, Camille Pascal, Jean-René Van der Plaetsen, Frédéric Beigbeder, Jean-Paul Enthoven, Jean-Marie Rouart, Franz-Olivier Giesbert, Sébastien Lapaque, Thibault de Montaigu, Louis-Henri de La Rochefoucauld, Boualem Sansal, Simon Liberati, Xavier Darcos. Ils reversent leurs droits d’auteurs à l’abbaye, pour les travaux de restauration.

    Préface de Nicolas Diat. Postface du père Emmanuel-Marie Le Fébure du Bus, Fayard/Julliard, 360 p., 23 €. Précommande en ligne

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    Ref. Abbaye de Lagrasse : 14 écrivains y passent trois jours et publient un livre commun

  • Gloire, louange et honneur à Toi, Christ Roi Sauveur

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    H. Gloria laus et honor
    Mulierum Schola Gregoriana Clamaverunt Iusti | Michał Sławecki - magister chori
    GN, t. I, p. 99

    R/ Gloria, laus et honor tibi sit, Rex Christe, Redemptor,
    Cui puerile decus prompsit Hosanna pium.
    Gloire, louange et honneur à Toi, Christ Roi Sauveur.
    Pour toi le cortège des enfants chanta "Hosanna !"

    1.- Israel es tu rex, Davidis et inclyta proles,
    Nomine qui in Domini, rex benedicte, venis.
    Tu es le roi d'Israël, tu es le glorieux rejeton de David,
    roi béni qui viens au nom du Seigneur.

    2.- Cœtus in excelsis te laudat cælicus omnis,
    et mortalis homo, et cuncta creata simul.
    Le chœur céleste en entier te loue au plus haut des cieux ;
    à lui se joint l'homme mortel et toute la création.

    3.- Plebs Hebræa tibi cum palmis obvia venit ;
    Cum prece, voto, hymnis, adsumus ecce tibi.
    Le peuple hébreu vint au devant de toi avec des palmes,
    avec nos prières, nos vœux et nos hymnes, nous voici devant toi.

    4.- Hi tibi passuro solvebant munia laudis ;
    nos tibi regnanti pangimus ecce melos.
    Ceux-ci te payaient leur tribut de louanges, alors que tu allais souffrir ;
    Et nous, voici que nous te célébrons par nos chants, maintenant que tu règnes.

    5.- Hi placuere tibi, placeat devotio nostra ;
    rex bone, rex clemens, cui bona cuncta placent.
    Ils ont su te plaire, que te plaise aussi notre dévotion :
    bon Roi, doux Roi, à qui plaît tout ce qui est bon.

  • Marthe Robin : une imposture ?

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    Marthe_Robin_2.jpgEn huit mois, quatre ouvrages ont été publiés sur Marthe Robin, deux l’accusant de fraude et d’imposture, deux prenant la défense de celle que l’Église a déjà proclamée « vénérable ». De l’historien Yves Chiron (*), sur le site web du mensuel « La Nef » (n°341 Novembre 2021) :

    « La controverse n’est pas anodine, parce que Marthe Robin [1902-1981], la mystique stigmatisée de Châteauneuf-de-Galaure, co-fondatrice des Foyers de Charité, a eu, de son vivant, une réputation de sainteté qui dépassait largement la France et, surtout, parce que sa cause de béatification a déjà été étudiée par la Congrégation pour la Cause des Saints. Ceux qui portent de graves accusations contre elles contestent donc sa pratique héroïque des vertus que l’Église a pourtant proclamée le 7 novembre 2014.

    L’ouvrage qui a lancé la controverse a retenu d’emblée l’attention parce qu’il reprenait et développait un rapport rédigé lors de la phase diocésaine du procès de béatification de Marthe Robin. En 1988 le Père Conrad De Meester, un carme belge, dont les études sur les écrits de sainte Thérèse de Lisieux et de sainte Élisabeth de la Trinité font autorité, avait été chargé d’examiner les lettres et les écrits laissés par Marthe Robin. Il avait remis son volumineux rapport – plus de 300 pages – l’année suivante. Il est mort en 2019 et c’est à titre posthume qu’est paru l’ouvrage tiré de son rapport, sous un titre propre à attirer la curiosité des lecteurs (1). Le terme « fraude » a été choisi à dessein. Toutes les démonstrations de l’auteur visent à établir que Marthe Robin aurait trompé, pendant toute sa vie, son entourage et les innombrables visiteurs qui venaient à son chevet : elle n’était pas paralysée de tous ses membres ni complètement aveugle, elle écrivait elle-même des textes soi-disant dictés à des secrétaires, et ces textes, – qui sont des méditations, des prières, des récits de la Passion du Christ – sont pour beaucoup recopiés d’auteurs mystiques. Les démonstrations du Père De Meester, recourant à la graphologie tout autant qu’à l’analyse comparative des textes, sont impressionnantes. Il a même remis en cause le caractère surnaturel de la stigmatisation.

    Le rapport De Meester, établi en 1988-1989, n’est qu’un des vingt-huit rapports demandés dans le cadre de la cause de béatification. Ces rapports portaient, chacun, sur des questions bien précises et furent rédigés par un spécialiste de la discipline concernée (histoire, théologie, médecine, psychologie, psychiatrie, littérature, démonologie et graphologie). Tous les problèmes et questions soulevés par ces différentes expertises ont été examinés ensuite par la Congrégation pour la Cause des Saints et résolus par elle.

    Réponses au Père De Meester

    En réponse à l’ouvrage du Père De Meester, le Père Bernard Peyrous publiait quatre mois plus tard : Le vrai visage de Marthe Robin (2). Ancien postulateur de la cause de béatification de Marthe Robin (3), déjà auteur d’une Vie de Marthe Robin (2006), il retrace l’histoire du procès en canonisation pour réfuter les accusations de l’expert carme.

    Sur l’accusation principale portée par le Père De Meester – le plagiat –, le Père Peyrous expose comment « un travail de plusieurs années » a été nécessaire pour réfuter cette accusation et mettre en lumière « la méthode de travail » de Marthe Robin : « Les textes de Marthe sont tout sauf un plagiat et un emprunt. Elle maîtrise bien les textes qu’elle utilise et en connaît des parties entières par cœur. Cela ne doit pas étonner. Nous savons que Marthe Robin avait une mémoire extraordinaire. Beaucoup de témoignages l’ont confirmé. […] De plus, constatant qu’elle perdait peu à peu la vue, Marthe a dû fournir un grand effort pour apprendre des textes par cœur, en particulier grâce à sa mémoire visuelle qui, nous l’avons dit, était très développée. Marthe Robin n’avait aucune connaissance des habitudes universitaires qui demandent que les citations soient mises en évidence et restituées à leur auteur. »

    De façon plus générale, le Père Peyrous montre une disproportion factuelle : le rapport hostile du Père De Meester est à mettre en regard avec le « déluge de témoignages favorables à Marthe Robin et convaincus de sa sainteté : huit cents témoins au procès, vingt-six experts sur vingt-huit, deux instances confirmatives : le tribunal diocésain et la Congrégation pour la Cause des Saints à Rome ».

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  • Charles de Foucauld sera proclamé saint le 15 mai 2022

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    Du site de Radio Notre-Dame :

    Charles de Foucauld sera canonisé le 15 mai 2022

    Le religieux français et célèbre ermite du désert, Charles de Foucauld, mort au début du XXè siècle dans le Sahara algérien, sera canonisé le 15 mai 2022, a annoncé le Saint-Siège.

    Le Pape François avait « autorisé la publication de huit décrets reconnaissant plusieurs miracles et martyres », en mai dernier comme le rapportait le bureau de presse du Vatican. Le Saint-Père avait ainsi reconnu l’attribution à Charles de Foucauld un deuxième miracle, ouvrant la voie à sa canonisation.

    « Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira », écrivait Charles de Foucauld dans sa prière d’abandon. Volonté de tout donner, de tout laisser pour être à la « dernière place », comme Jésus. Charles de Jésus est mort le 1 er décembre 1916 après 30 ans d’une perpétuelle conversion.

    Né Charles Eugène de Foucauld de Pontbriand à Strasbourg le 15 septembre 1858, Charles a une soeur Marie. Ils seront tous les deux élevés par leur grand père, le colonel Beaudet de Morlet après la mort de leur parent. Piètre étudiant, et lecteur de livre « léger », il s’éloigne de la foi « à 17 ans j’étais tout égoïsme, tout vanité, tout impiété, tout désir du mal, j’étais comme affolé » dira-t-il plus tard. St Cyr ne lui réussit guère plus où il vit de beuveries et d’orgies. Il sort tout de même avec le grade d’officier et part pour l’Algérie où il connaitra la prison pour désobéissance.

    Vie_Pere-de-Foucauld-1.jpg

    Le voyage au Maroc

    C’est sa demande de réaffectation et la rencontre avec François-Henry Lapperine qui mettra fin sa vie de débauche. En six mois de campagne à combattre la tribune des Kroumirs du côté d’Ouran, Charles se mue en vrai chef, soucieux de ses hommes et adopte un comportement exemplaire. Il quitte donc l’armée le 28 janvier 1882. Le Maroc est interdit aux Européens, c’est donc travesti et sous une fausse identité qu’il voyagera: « je me donnais pour israélite. Durant mon voyage, mon costume fut celui des juifs marocains, ma religion la leur, mon nom le rabbin Joseph. Je priais et je chantais à la synagogue, les parents me suppliaient de bénir leurs enfants ». A travers de petits carnets, Charles va cartographier tout une partie du Maroc.  Le 23 mai 1884, il est maigre, pied nus et sale quand il se présente au poste frontière. Charles de Foucauld vient de parcourir 3000 km dans un pays encore inconnu. Son travail enthousiasmera le monde scientifique, il connait la gloire.

    A la recherche de Dieu

    Cette gloire, il n’en veut pas. Il reprend sa vie parisienne, la rencontre avec des « personnes très intelligentes, très vertueuses et très chrétiennes » le ramènera à l’église St Augustin où officie l’Abbé Huvelin. On est en 1886, Charles de Foucauld a changé sa perception de la foi. Après s’être confessé et avoir communié, il a cette révélation:  » aussitôt je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour Lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi: Dieu est si grand. » Il veut donner sa vie à Dieu et les moines trappistes l’attirent par leurs vies dans la pauvreté. Il entre au noviciat en 1890. Heureux, il apprend beaucoup mais ressent encore un manque. Il veut fonder une petite communauté pour « mener aussi exactement que possible la vie de Jésus: vivant uniquement du travail des mains, suivant à la lettre tous ses conseils ». 

    Le Sahara et ses amis Touaregs

    Sept après, il quitte Notre Dame des Neiges et part à Nazareth où les Soeurs Clarisses le prennent comme domestique. Il écrit la règle des Petits Frères mais il doit devenir prêtre car dit-il « ma règle est si étroitement liée au culte de la sainte eucharistie qu’il est impossible qu’elle soit observée par plusieurs sans qu’ils y aient un prêtre et un tabernacle (…) ». Devenu prêtre, il part pour Beni Abbès mais fonde avant l’Union des frères et soeurs du Sacré-Coeur mais dans sa congrégation, personne ne la rejoint. En 1903, Charles est attiré par les touaregs et leur mode de vie au sein du désert. Il les rejoint alors, vit en ermite, apprend leur langue et traduit même les évangiles. En 1914, la guerre est déclarée en Europe. Sa vie est menacée mais Charles de Foucauld refuse de partir. Il sera assassiné le 1 er décembre 1916 par des pillards.

    Son association de laïcs compte 48 membres, sa congrégation, personne. Pourtant en 1921, la publication de sa biographie par René Bazin va considérablement accroître sa notoriété. Des ermites veulent prendre sa suite. L’héritage spirituel de Charles de Foucauld vit. Aujourd’hui une vingtaine de congrégations suivent sa spiritualité et près de 6000 laïcs. Il a été béatifié par Benoît XVI le 13 novembre 2005 rappelant que Charles de Jésus est « une invitation à aspirer la fraternité universelle », et sera donc canonisé 15 mai 2022

  • Un livre du cardinal Sarah pour encourager les prêtres

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    Du site de l'hebdomadaire Famille Chrétienne :

    Le cardinal Sarah : « Des prêtres ont détourné le sacerdoce pour en faire l’instrument de leur perversion »

    Conférence du cardinal Sarah à la cathédrale de Créteil | 94 Citoyens

    16/11/2021 à 10:00
    Pourquoi publier un tel ouvrage sur la figure du prêtre dans le contexte actuel de l’Église ?

    J’entends manifester mon affection, mon encouragement aux prêtres qui sont en difficulté - j’ai appris qu’en France des prêtres étaient allés jusqu’à se suicider -, mais aussi à tous ceux qui sont encore très vaillants, très convaincus de leur sacerdoce. Il s’agit de les encourager à ne pas perdre Dieu, à avoir le courage de suivre le Christ comme ils l’ont accepté dès le début, au jour de leur ordination. Car la crise que nous traversons aujourd’hui dans l’Église dépend essentiellement de la crise sacerdotale. Je souhaite donc que les prêtres trouvent une source de réflexion pour vivre pleinement leur sacerdoce. Si ce sacrifice n’est pas perpétué par des prêtres dans l’eucharistie, le monde est perdu.

    Face à cette crise, certains proposent de réformer les structures, la gouvernance de l’Église. Vous appelez d’abord à réformer le sacerdoce...

    Exactement, car ceux qui ont vraiment réformé l’Église sont les saints. Prenez par exemple Luther et saint François d’Assise : il y avait alors à leurs époques les mêmes scandales, les mêmes difficultés à croire encore à l’Église, mais l’un a voulu réformer les structures en sortant de l’Église quand l’autre a voulu radicalement vivre l’Évangile. C’est la radicalité de l’Évangile qui va réformer l’Église, ce ne sont pas les structures.

    Cela signifie-t-il que les structures seraient inutiles ?

    Le Christ n’a jamais créé de structures. Bien sûr, je ne dis pas qu’elles ne sont pas nécessaires. L’organisation est utile, dans la société, mais ce n’est pas premier. Ce qui est premier, c’est la toute première parole du Christ dans l’Évangile de Marc : « Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. » Si les prêtres, si la société se tournent vers Dieu, alors je pense que les choses changeront. Si les cœurs ne sont pas changés par l’Évangile, la politique ne changera pas, l’économie ne changera pas, les relations humaines ne changeront pas. C’est le Christ qui est notre paix, qui va créer des relations humaines plus fraternelles, de collaboration, de coopération, ce ne sont pas les structures. Elles sont d’ailleurs souvent un danger, parce que nous nous réfugions derrière elles. Dieu ne demandera pas des comptes à une conférence épiscopale, à un synode... C’est à nous, évêques, qu’Il demandera des comptes : comment avez-vous géré votre diocèse, comment avez-vous aimé vos prêtres, comment les avez-vous accompagnés spirituellement ?

    Comment réagissez-vous aux révélations fracassantes sur les abus commis par une petite partie du troupeau ?

    Nous devons nous sentir profondément blessés, en souffrir comme le Christ a souffert lorsque Judas L’a vendu, lorsque Pierre L’a renié. Ces révélations doivent nous faire souffrir et même pleurer. Nous ne devons pas avoir peur de la vérité. Il faut évaluer ce qui est réel, cette exigence est juste car l’Église doit être un modèle, les prêtres doivent être des modèles et un seul cas d’abus serait de trop. La découverte de tant de péchés commis nous fait mieux comprendre l’apparente stérilité de nos églises locales. Comment pouvions-nous donner du fruit alors qu’un tel cancer nous rongeait de l’intérieur ? Nous devons retrouver le sens de la pénitence et la contrition. En vérité, nous avons parfois confondu miséricorde et complaisance avec le péché. Nous devons maintenant adorer Jésus présent dans le Saint-Sacrement en réparation des profanations commises contre son image dans l’âme des enfants. Il ne faut pas non plus nous laisser abattre par le découragement. D’abord, l’immense majorité des prêtres est demeurée fidèle, et c’est une source d’action de grâces. Leur fidélité quotidienne et cachée ne fait pas de bruit, mais elle porte silencieusement de profonds germes de renouveau. Il nous revient de voir comment les prêtres coupables peuvent être punis et, si possible, soignés, guéris, accompagnés, afin que de tels actes ne se reproduisent plus. Il nous revient, surtout, de ne plus laisser ces horreurs détourner les âmes du Christ et enfermer tant de victimes innocentes dans la souffrance.

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  • Préservons le Monastère de la Visitation à Kraainem comme havre de prière, de paix, d'intercession et de compassion

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    SAUVONS LE MONASTERE DE LA VISITATION A KRAAINEM (Brussels - Belgium)

     
    Amis Européens du Monastère de la Visitation à Kraainem (Brussels) a lancé cette pétition et l'a adressée aux responsables de la fédération française de l'Ordre religieux des soeurs de la Visitation.

    STOP A LA SPECULATION IMMOBILIERE EN BELGIQUE ET A LA DESTRUCTION DE NOTRE PATRIMOINE SPIRITUEL !

    A BRUXELLES, ARCHIDIOCESE DE MALINES-BRUXELLES

    UNE NOUVELLE COMMUNAUTE RELIGIEUSE MENACEE DE FERMETURE ET VENTE DE SON MONASTERE A UN PROMOTEUR IMMOBILIER!

    MOBILISONS-NOUS POUR SA SAUVEGARDE!

    SIGNEZ ET DIFFUSEZ CETTE PETITION URGENTE.

    MERCI

    STOP A LA DESERTIFICATION SPIRITUELLE ET RELIGIEUSE DE BRUXELLES ET DE SES ENVIRONS !

    MAINTENONS LA DEVOTION AU SACRE-COEUR AU COEUR DE L'EUROPE

    PRESERVONS LE MONASTERE DE LA VISITATION A KRAAINEM

    COMME HAVRE DE PRIERE ET DE PAIX D’INTERCESSION ET DE COMPASSION

    • au cœur d’un site universitaire
    • au cœur d’un site hospitalier
    • au cœur d’un site de vie familiale et scolaire
    • au cœur de la VIE
    • au cœur de l’Europe

    Le 6 juin 1610, saint François de Sales et sainte Jeanne Françoise de Chantal fondent la Visitation Sainte Marie sous l’inspiration du Saint Esprit, « Pour donner à Dieu des filles d’oraison, si intérieures, qu’elles soient trouvées dignes de l’adorer en esprit et en vérité »

    • De par notre vocation,
      nous sommes appelées à la vie contemplative.
    • De par notre vie communautaire,
      nous cherchons à développer la charité en nous et entre nous.
    • De par notre vie de travail,
      nous partageons la condition de tant d’hommes et de femmes.
    • De par notre vie de prière et louange,
      nous exprimons l’adoration, la louange, la supplication, l’action de grâce de tous les hommes. 

    Le monastère de la Visitation à Kraainem, est le seul lieu d'établissement des sœurs de la Visitation en Belgique et dans le BENELUX : Vraiment un luxe en ce temps d’angoisse existentielle, spirituelle, sociale, sanitaire, et humanitaire ?

    N’éteignons pas ce FOYER DE PRIERE permanent qui réchauffe, console, éclaire et guérit le monde comme AUCUN PROJET culturel, résidentiel, immobilier ou autre, ne pourra le faire !

    Ne nous privons pas de la présence UNIQUE et VITALE, de religieuses contemplatives qui prient pour ceux qui souffrent dans leur âme et dans leur corps, pour ceux qui les soignent et se forment pour les soigner un jour, et pour toutes les intentions du monde.

    QUE LE MONASTERE DE LA VISITATION A KRAAINEM NE CESSE DE RAYONNER LA OU IL A ÉTÉ PLANTE ET AUSSI LOIN QUE DIEU VOUDRA.

    « Le vrai retrait du monde ne demande pas, en effet, de rompre la solidarité profonde qui doit unir les contemplatives à leurs frères humains. Sans se situer dans le monde, les sœurs n’en demeurent pas moins attentives à ses aspirations et à ses souffrances ».

    SIGNER LA PETITION

  • L’esprit de la liturgie en Afrique : de Keur Moussa au Bas-Congo

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    Keur Moussa : une abbaye bénédictine africaine au cœur du Sénégal:

    RDC : Litanie des saints (en kikongo) | Chorale Ngunga de Saint Jean Marie Vianney:

  • Motu Proprio « Traditionis Custodes » du pape François : quel impact sur les séminaires traditionalistes ?

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    Lu sur le site web « Salon beige »:

    « La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre vient de publier ses ‘statistiques annuelles’. Elle compte 526 membres dont 341 prêtres (dont 98 français incardinés), 185 séminaristes (dont 17 diacres). Les prêtres desservent 147 diocèses pour 259 lieux de cultes dont 47 paroisses personnelles. En France, aucun diocèse n’a érigé une paroisse personnelle pour la Fraternité Saint-Pierre. Une bizarrerie déjà évoquée dans nos colonnes par l’abbé Benoît Paul-Joseph, supérieur du district de France de la FSSP.

    En septembre malgré le motu proprio Traditionis Custodes, plus de 50 jeunes ont fait leur entrée dans les séminaires de la Fraternité. Avec 185 séminaristes (168 séminaristes et 17 diacres), les effectifs des deux séminaires (et de la maison de discernement de Sydney) sont au plus haut depuis la fondation en 1988.

    Et ces rentrées ne se font pas au détriment des autres instituts traditionalistes, qui connaissent également une croissance ininterrompue. 63 personnes sont entrées dans les séminaires de la FSSPX et 26 à l’Institut du Christ-Roi. »

    Ref. 47 paroisses personnelles pour la Fraternité Saint-Pierre. Zéro en France

  • « Je n’ai que mon âme » : un nouvel album inspiré de Natasha St Pier

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    D'Athénaïs Clicquot sur Aleteia.org :

    « Je n’ai que mon âme », le nouvel album inspiré de Natasha St Pier

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    Thomas Braut; Natasha St Pier.

    4/11/21

    Après le succès de ses trois derniers albums sur les poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, Natasha St Pier revient le 19 novembre avec un tout nouvel album intitulé "Je n'ai que mon âme". À l'intérieur, des nouveautés mais aussi ses plus grands succès, que le public pourra retrouver lors de sa tournée actuelle dans les églises de France.

    De retour dans les églises de France depuis septembre pour sa tournée, Natasha St Pier fait à nouveau le bonheur de ses fans qui avaient hâte de réentendre ses plus belles chansons ! Car depuis ses derniers albums consacrés aux poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, le succès de la chanteuse ne tarit pas.

    Et cette nouvelle tournée, qui s’annonce bien chargée avec 65 dates prévues au total, verra se mélanger quelques nouveautés mais aussi les chansons préférées de son public en version plus « authentique ». Les fans auront ainsi la joie de réentendre ses plus beaux succès comme « Je n’ai que mon âme », « Vivre d’amour » (en duo avec Anne Sila), ou encore « Aimer c’est tout donner ». Parmi les nouveautés, quatre titres enregistrés avec Vincent Niclo et les petits chanteurs à la Croix de bois. Ensemble, ils revisiteront des titres phares de Noël comme « l’Ave Maria » ou « Il est né le divin enfant ». « Plus qu’un simple album live, je voulais partager l’émotion, l’histoire de mes titres […] cet album promet de belles découvertes », a confié la chanteuse.

    En attendant la sortie officielle de l’album prévue le 19 novembre, les fans peuvent déjà retrouver la chanteuse en tournée jusqu’au 23 décembre prochain.

  • Un secrétaire de Padre Pio se souvient de l'infatigable saint

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    Du Père Seán Connolly sur The Catholic World Report :

    Un secrétaire de Padre Pio se souvient de l'infatigable Saint

    "La grandeur de Padre Pio, dit le père John Aurilia, O.F.M. Cap, réside dans sa fidélité au simple désir d'être "un pauvre frère qui prie"."

    2 novembre 2021

    Le père John Aurilia, O.F.M. Cap., qui a été le secrétaire personnel de saint Padre Pio.

    La plupart d'entre nous connaissent les saints à travers les récits écrits de leur vie. Beaucoup de saints sont devenus saints eux-mêmes en lisant la vie des saints. Dans une lettre à sa tante, sainte Thérèse écrivait : "J'aime beaucoup lire la vie des saints. Le récit de leurs actes héroïques enflamme mon courage et m'incite à les imiter."

    Connaître personnellement un saint est tout autre chose. Nous avons tous probablement rencontré des "saints de tous les jours" qui, bien que cachés du monde, atteignent néanmoins de grands sommets de vertu en accomplissant fidèlement les devoirs ordinaires de leur état de vie. Bien que leurs actes ne soient pas célèbres, ce sont les Béatitudes vivantes qui nous inspirent. Peu de gens, cependant, ont l'occasion de connaître personnellement ces saints qui ont atteint le sommet de la vertu héroïque reconnue par l'Église à travers la canonisation.

    Padre Pio, décédé il y a 53 ans, est l'un des plus grands saints de notre temps. Au milieu de notre époque moderne et séculaire, Dieu a suscité ce prophète, thaumaturge et "Crucifix vivant" à travers les stigmates pour nous rappeler le surnaturel et nous montrer le chemin du retour vers Lui. Chaque année, il y a de moins en moins de personnes qui ont connu Padre Pio personnellement ; il y en a certainement encore moins qui l'ont connu aussi bien que John Aurilia, O.F.M. Cap. qui a été son secrétaire personnel.

    J'ai pu récemment passer un agréable dimanche après-midi avec le père Aurilia dans le presbytère de sa paroisse où il a répondu avec plaisir à mes nombreuses questions, déclarant au début de notre conversation : "C'est un honneur pour moi de servir en tant qu'ambassadeur de Padre Pio !".

    Le père Aurilia a maintenant 80 ans et est prêtre depuis 55 ans ; il est curé de la paroisse de l'Immaculée Conception dans le Bronx, à New York. Il est né à Montemarano, dans la province d'Avellino, en Italie. À l'âge de 14 ans, il est entré au petit séminaire des Franciscains capucins, nouvellement créé, situé à Pietrelcina, la ville natale de Padre Pio.

    L'histoire de la construction de ce séminaire est très connue à l'époque. Lorsque Padre Pio était un jeune prêtre, il passait beaucoup de temps dans sa ville natale pour se remettre de ses problèmes de santé. Au cours d'un de ces séjours, il se promenait avec le pasteur local, Don Alfredo. Lorsqu'ils arrivèrent à un champ ouvert, Padre Pio remarqua qu'il avait remarqué une forte odeur d'encens et que Dieu devait avoir des projets pour cet endroit. Quelques années plus tard, une convertie américaine riche et généreuse, Mary Pyle, acheta le même champ et y construisit un nouveau séminaire pour les Capucins.

    Les séminaristes se rendaient chaque année à San Giovanni Rotondo, qui, dans les années 1950, était devenu un lieu de pèlerinage. Des milliers et des milliers de personnes venaient chaque année pour voir le célèbre stigmate qui résidait dans son couvent. La petite ville était inondée de pèlerins de tous horizons - paysans, médecins, avocats et journalistes - qui étaient prêts à dormir dehors dans les champs et à attendre jusqu'à deux semaines pour se confesser au Padre. Le Père Aurilia n'avait que 15 ans lorsque, en tant que novice, il rencontra pour la première fois Padre Pio. Il s'est laissé aller à l'exubérance de sa jeunesse en serrant la main de Padre Pio, la tenant fermement et la rapprochant de lui pour qu'il puisse voir de ses propres yeux la blessure des stigmates. Le Padre s'empresse de retirer sa main en disant : " Ça fait mal ! Y prêtes-tu attention ?"

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  • En novembre, prier pour les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out

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    Du Père Régent S.J. sur zenit.org :

    En novembre, prier pour « les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out », par le p. Régent SJ

    Pour une « compassion ajustée »

    Le pape François invite les catholiques à prier, pendant tout le mois de novembre 2021 « pour que les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out trouvent un soutien et une lumière qui les ouvrent à la vie ».

    « La prière d’intercession s’adresse à Dieu pour ceux qui sont dans la nuit. Elle est une demande pour que les épreuves qu’ils traversent débouchent pour eux d’abord et aussi pour tous, sur un matin d’action de grâce. Alors les morceaux d’épreuves qui jalonnent nos vies prendront place avec évidence dans le grand puzzle humain que Dieu a initié au jour de création. Ils seront éclairés dans le mystère du Fils qui donne sa vie et de tous les saints qui marchent à sa suite. En ce temps où nous les fêtons, nous pouvons les invoquer », explique le p. Daniel Régent SJ, directeur du Réseau mondial de prière du pape en France, dans cet éditorial.

    Édito – novembre 2021 –

    Veillons pour ceux qui sont dans la nuit

    « Prions pour que les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out trouvent un soutien et une lumière qui les ouvrent à la vie »

    Les proches, les amis, les priants, peuvent-ils aider ceux qui sont dans la nuit de la dépression ou dans le burn out ? La formulation de l’intention de prière du pape de ce mois laisse la question ouverte. Elle oriente vers une intercession adressée au ciel, à Dieu, pour que les personnes qui souffrent de ces maux trouvent sur leur chemin un soutien, une lumière. Cela laisse entendre que la proximité, la tendresse, la sollicitude, les stimulations, qui sont nécessaires, sont souvent démunies pour aider.

    L’intention ne distingue pas dépression et burn out ; elle les assimile, au moins dans des effets semblables : absence de force et de lumière. Certes, c’est à la médecine de définir l’une et l’autre, mais l’ignorance peut être source de maladresses. Prier doit s’accompagner d’une information minimale sans prétendre prendre la place du corps médical.

    Dépression et burn-out affectent les relations avec l’entourage amical, familial, professionnel. Celui-ci peut ressentir qu’il n’a pas de prise pour aider à une guérison alors même que l’organisme semble en bonne santé. De ce fait, chacun est renvoyé à lui-même, à des questions difficiles sur le sens de son histoire, de sa vie, de ses engagements, de son travail, sur l’origine de la force qui lui est donnée pour faire face aux épreuves, à celles qu’il a traversées.

    C’est avec cette résonance intime que la compassion devient ajustée. Il ne s’agit pas de se laisser entraîner dans une contagion maladive. Mais en tant qu’humain, nous sommes pétris de la même glaise, une glaise qui prend des formes si variées. L’histoire de chacun, la psychologie, la morphologie, la différence sexuelle, l’espace et le temps, les repères spirituels font de chacun un être unique. Ce que vit mon prochain n’est pas ce que je vis, et je n’ai pas à le vivre. Cela parle cependant au cœur de mon humanité. À ce titre, je ne peux m’en désintéresser sauf à me priver de cette richesse foisonnante et difficile à accueillir qu’est la vie des autres.

    La prière d’intercession s’adresse à Dieu pour ceux qui sont dans la nuit. Elle est une demande pour que les épreuves qu’ils traversent débouchent pour eux d’abord et aussi pour tous, sur un matin d’action de grâce. Alors les morceaux d’épreuves qui jalonnent nos vies prendront place avec évidence dans le grand puzzle humain que Dieu a initié au jour de création. Ils seront éclairés dans le mystère du Fils qui donne sa vie et de tous les saints qui marchent à sa suite. En ce temps où nous les fêtons, nous pouvons les invoquer.

    Daniel Régent sj,

    Directeur du Réseau Mondial de Prière du Pape en France

  • Le Prix international de la culture catholique décerné à Fabrice Hadjadj : un prix qui rappelle la mission du christianisme

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    D'Andrea Mariotto sur le site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    Hadjadj, un prix qui rappelle la mission du christianisme

    3-11-2021

    Fabrice Hadjadj a reçu le prix international de la culture catholique. Dans la conférence qu'il a donnée pour l'occasion, le philosophe français a expliqué que la Révélation chrétienne "n'est pas au même niveau que les cultures", car "elle est ce qui permet à toute culture de grandir". Mais aujourd'hui, nous assistons à un nouveau paradigme délétère, technocratique, et le christianisme a une nouvelle "mission de salut".

    "En devenant chrétien, je deviens le contemporain de Moïse, Paul, Augustin, Thomas d'Aquin, Dante, Manzoni, mais aussi de Sophocle, Aristote, Virgile qui préparent l'Évangile. Je sais que, fondamentalement, les questions que Shakespeare ou Goldoni posent sont toujours valables pour moi". Même les écrits de Marx et de Nietzsche "n'auront de postérité que dans l'Église, parce que les catholiques s'intéresseront encore à leurs écrits, quand les adeptes de l'algorithme, de l'animalisme ou du fondamentalisme les auront abandonnés depuis longtemps". C'est l'un des passages de la conclusion de la conférence que le philosophe français Fabrice Hadjadj a donnée vendredi 29 octobre à Bassano del Grappa pour recevoir le 39e Prix international de la culture catholique. Une conférence dans laquelle, outre la culture, le lauréat a abordé un autre thème qui lui est cher, celui du transhumanisme et de la relation entre l'homme et la technologie.

    Quant à la culture, a-t-il expliqué, il est nécessaire d'avoir une approche d'agriculteur, étant donné que "le mot renvoie avant tout à une relation avec la terre". Il faut de la patience et de la conscience : "L'homme n'est pas celui qui initie ni celui qui contrôle entièrement l'œuvre. L'œuvre procède d'un don initial, celui de la graine". Ainsi, l'homme de culture, quel qu'il soit, "reconnaît toujours le don initial de la matière et de l'inspiration et sait que sa propre main est à la merci de l'arthrite". Dans ce contexte, la Révélation chrétienne occupe une place particulière. "Le catholicisme n'est pas une culture rivale, car il ne se place pas sur le même plan que les cultures. Si l'on peut comparer les cultures à des espèces végétales, la Révélation chrétienne n'est pas une espèce plus vivante et plus belle, qui devrait remplacer les autres, comme une herbe merveilleuse plus virulente qu'une mauvaise herbe. C'est plutôt le soleil, la pluie et les cisailles du jardinier. C'est ce qui permet à chaque culture de grandir, de se purifier, de donner des fleurs plus belles et des fruits plus savoureux."

    "Maintenant, je crains que nous ne soyons plus au temps de la culture", a-t-il poursuivi. " Le modèle n'est plus celui de l'agriculture, du don et des jours de faste. C'est celui de l'ordinateur, du contrôle total, et, bien sûr, comme ce contrôle produit un excès de tension, d'une perte totale de contrôle." Il n'y a plus la patience qu'exige la culture, la patience de l'homme qui plante un arbre en sachant qu'il ne sera probablement pas le seul à profiter de ses fruits, ou la patience de l'artisan qui participe à la construction d'une cathédrale en sachant qu'il ne sera pas le seul à voir l'œuvre terminée, mais ses petits-enfants. "Si le dispositif techno-émotionnel nous entraîne si facilement dans l'instantanéité et le présentisme, c'est que nous sommes sans espoir. Contrairement à l'ancien qui croyait à la transmission, contrairement au moderne qui croyait au progrès, le postmoderne ne croit plus au futur..... Il ne plante pas d'arbres. Il passe des commandes par "livraison express".

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