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Spiritualité - Page 198

  • Pourquoi Marthe Robin n'est pas une falsificatrice ?

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    M+ éditions
    A le plaisir de vous présenter
    Le nouveau livre de
     
    Arnaud DUMOUCH
    MARTHE ROBIN
     
    Pourquoi Marthe Robin n'est pas une falsificatrice ?
    Premier livre de défense de Marthe

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    Pourquoi Marthe Robin n'est pas une falsificatrice ?

    Petite vidéo de présentation : 

    L'attaque violente contre la droiture de cœur de Marthe fait partie du dispositif qui authentifie la valeur de sa vie et de sa mission. Il me semble qu'on peut répondre en montrant la vraie Marthe de la Galaure, cette personne hypersensible que son Seigneur a aimée. Marthe, totalement dans l'oubli d'elle-même et dans le don, sans aucun retour.

    Arnaud DUMOUCH

    2021 : Marthe Robin n'est pas encore béatifiée. Cependant elle est déjà vénérable ce qui signifie que ses vertus héroïques ont été reconnues. On ne mesure pas encore l'influence immense qu'elle aura eue au XX° s dans l'accompagnement de la crise et des premières fleurs du renouveau de l'Eglise qu'elle a annoncé en termes clairs. Presque toutes les communautés nouvelles ont été encouragées et accompagnées par elle. La fragilité et les péchés des fondateurs ne l'empêchaient nullement de les engager au service de l'Eglise, comme le fit Jésus à son époque. Néanmoins on ne regarde pas assez son influence en théologie. Plus que sainte Faustine, elle voit de ses yeux le retour du Christ qui se passe dans une grande lumière à l'heure de la mort. Suite au suicide de son frère Henri, elle apporte aussi un nouveau regard sur le sort des suicidés. 

    En 2020, une attaque bien injuste a été lancée par les éditions du Cerf contre la sainteté de Marthe. Dieu ne semble pas en accord avec ces accusations post mortem et les miracles continuent de se multiplier faisant avancer le processus de béatification.

  • « C’est Jésus qui révèle le cœur de Dieu »

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    De zenit.org ():

    Catéchèse: « Jésus révèle le cœur de Dieu » (traduction complète)

    La prière et la sainte Trinité

    « C’est Jésus qui révèle le cœur de Dieu »: c’est ce qu’affirme le pape François dans sa 25e catéchèse du mercredi sur la prière, donnée en italien, ce 3 mars 2021, depuis la bibliothèque privée du Vatican.

    « Jésus nous a révélé l’identité, cette identité de Dieu, Père, Fils et Esprit Saint », a insisté le pape François.

    Le pape a insisté sur cette « vocation » : « Nous ne pouvions vraiment pas espérer de plus haute vocation: l’humanité de Jésus – Dieu s’est fait proche en Jésus – a rendu la vie de la Trinité elle-même disponible pour nous, a ouvert, a ouvert en grand cette porte du mystère de l’amour du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »

    Le pape a aussi souligné le lien entre prière et liberté du chrétien: « Dieu regarde les mains de celui qui prie: pour les rendre pures, il ne faut pas les laver, mais il faut plutôt s’abstenir de mauvaises actions. »

    Voici la traduction officielle de la première partie de la catéchèse du pape François sur la prière et la sainte Trinité.

    AB

    Catéchèse – 25. La prière et la Trinité (1/2)

    Chers frères et sœurs, bonjour!

    Dans notre chemin de catéchèse sur la prière, aujourd’hui et la semaine prochaine nous voulons voir comment, grâce à Jésus Christ, la prière nous ouvre à la Trinité – au Père, au Fils et à l’Esprit –, à la mer immense de Dieu qui est Amour. C’est Jésus qui nous a ouvert le Ciel et projetés dans la relation avec Dieu. C’est Lui qui a fait cela : il nous a ouvert cette relation avec le Dieu Trine : le Père, le Fils et l’Esprit Saint. C’est ce qu’affirme l’apôtre Jean en conclusion du prologue de son Evangile: «Nul n’a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est tourné vers le sein du Père, lui, l’a fait connaître» (1,18). Jésus nous a révélé l’identité, cette identité de Dieu, Père, Fils et Esprit Saint. Nous ne savions vraiment pas comment on pouvait prier: quels mots, quels sentiments et quels langages étaient appropriés pour Dieu. Dans cette requête adressée par les disciples au Maître, que nous avons souvent rappelée au cours de ces catéchèses, se trouve tous les tâtonnements de l’homme, ses tentatives répétées, souvent ratées, de s’adresser au Créateur: «Seigneur, enseigne-nous à prier» (Lc 11,1).

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  • La vidéo du Pape de mars 2021: « La confession parle de l’infinie miséricorde de Dieu »

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    De zenit.org ():

    La Vidéo du Pape de mars 2021: « La confession parle de l’infinie miséricorde de Dieu »

    “De la misère à la miséricorde” 

    (Cité du Vatican, le 2 mars 2021) – La Vidéo du Pape de mars, qui vient d’être publiée, communique l’intention de prière que le pape François confie à toute l’Église catholique à travers le Réseau Mondial de Prière du Pape. Il s’agit d’un message plein d’espérance, qui invite à redécouvrir la force de renouvellement personnel qu’apporte le sacrement de la réconciliation dans nos vies. “Prions pour vivre le sacrement de la réconciliation avec une profondeur renouvelée, afin de goûter l’infinie miséricorde de Dieu” demande François. La vidéo de ce mois s’ouvre sur sa propre pratique de la confession “pour me guérir, me guérir l’âme”.

    “Jésus nous attend, nous écoute et nous pardonne”
    “Nous sommes présents avant nos fautes dans le cœur de Dieu » dit le Saint-Père dans La Vidéo du Pape, en insistant une fois encore sur la force de l’amour de Dieu sur notre être et notre agir. Recevoir ce sacrement, ce n’est pas se tenir devant un juge, mais c’est venir à une rencontre d’amour avec le Père qui nous reçoit et nous pardonne toujours. “Au cœur de la confession, il y a non pas les péchés que nous disons mais l’amour divin que nous recevons et dont nous avons toujours besoin” ajoute François. Cet amour passe avant tout, avant les erreurs, les règles, les jugements et les chutes.

    Des prêtres miséricordieux
    Le P. Frédéric Fornos S.J., Directeur International du Réseau Mondial de Prière du Pape, a rappelé la dernière phrase de l’intention de François : “Prions pour que Dieu donne à son Église des prêtres miséricordieux et non bourreaux.” Il a ajouté : « Ce n’est pas la première fois que le Pape demande cette grâce. En bon berger, il connaît la souffrance de son peuple, ses péchés, son besoin de « ministres de la miséricorde ». C’est le temps de la miséricorde. Dans sa lettre apostolique Misericordia et misera, publiée en conclusion du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde, il a invité les prêtres à être comme Jésus, pleins de compassion et patients. C’est un chemin de conversion pour qu’ils soient « témoins de la tendresse paternelle », « clairvoyants dans le discernement », et « généreux en donnant le pardon de Dieu ». Le pape demande que notre cœur soit proche du cœur de Jésus, et cela est une grâce ».

    Au cours de l’Angélus du 14 février dernier, le Saint-Père a demandé de remercier, en les applaudissant, les confesseurs miséricordieux. Dieu ne se lasse pas de pardonner. Alors “Prions pour vivre le sacrement de la réconciliation avec une profondeur renouvelée, afin de goûter l’infinie miséricorde de Dieu”.

    Où regarder la Vidéo ?
  • Le Linceul de Turin, signe pour notre temps

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    De Michel Janva sur le Salon Beige :

    Le Saint Suaire de Turin : un signe pour notre temps

    Un lecteur me signale 3 vidéos sur le Saint-Suaire.

    La première partie est une présentation qui se veut accessible à tous, des principales avancées scientifiques et historiques sur cet objet unique qu’est le Saint Suaire de Turin. Cette présentation s’appuie sur de multiples publications scientifiques :

    • « Le Saint Suaire » de Pierre de RIEDMATTEN, fidélité, 2020
    • « La Passion de N.S. Jésus Christ selon le chirurgien » de Perre BARBET, Mediaspaul 14ème édition en 2003
    • « 101 Questions sur le Saint Suaire » de Pierluigi BAIMA BOLLONE, Saint-Augustin, 2001
    • « Il Mistero della Sindone » de Giulio FANTI et Savero GAETA, Rizzoli, 2013
    • « Apologie pour le Suaire de Turin par deux scientifiques non croyants » d’André CHERPILLOD et Serge MOURAVIEV, Mymekia, 1998
    • « Geoffroy de Charny » de Philippe CONTAMINE, revue histoire et société, Université de Provence, 1992
    • « Histoire d’Abgar et de Jésus » d’Alain DESREUMAUX, Brepols, 1993
    • « Le Suaire de Jésus de Nazareth » de Barbara FRALE, BAYARD, 2011
    • « Le Linceul de Jésus enfin authentifié ? » de Jean-Baptiste RINAUDO et Claude GAVACH, Guibert, 2010
    • « La science à l’épreuve du Linceul… » d’Arnaud-Aaron UPINSKY, Guibert, 1996
    • « Nouvelles découvertes sur le Suaire de Turin » d’André MARION et Anne-Laure COURAGE, Albin Michel, 1997
    • « Neuf années d’études palynologiques sur le Linceul » de Max FREI, revue Shroud Spectrum n°3, 1982
    • « Synthèse de l’affaire C14, vingt ans après le test de 1988 » de Pierre de RIEDMATTEN MNTV, 2010
    • « Le Saint Suaire revisité » de Jean LEVEQUE et René PUGEAUT, Ed. du Jubilé, 2003

    2 autre vidéos complètent cette présentation :

    • Une contemplation (2ème partie) des meilleures photos du Saint Suaire qui s’appuie sur des textes et musiques sacrés
    • Une méditation (3ème partie) autour des principales questions que ce signe nous inspire.

  • Le carême avec Don Marmion (2ème partie)

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    La première partie est ICI

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  • Pandémie : "De quoi avez-vous peur, hommes de peu de foi ?"

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    D'Anne Bernet sur le site de l'Homme Nouveau :

    Covid-19 : "De quoi avez-vous peur, hommes de peu de foi ?"

    Covid-19 : ''De quoi avez-vous peur, hommes de peu de foi ?''

    En complément du dossier "Crise sanitaire ou crise de la foi" de l'HN n°1730, Anne Bernet présente deux ouvrages à propos de l'Église en temps de pandémie. L'un avec une approche d'abord historique, l'autre plus théologique, ils proposent tous deux des éléments de réflexion pour prendre du recul la façon dont l'Église s'est organisée pour affronter la crise et analyser notre façon de gérer nos peurs et supporter la souffrance.

    Penser … C’est peut-être ce qui aura le plus manqué ces derniers mois à une société saisie de panique collective, absorbant comme une éponge les informations aussi anxiogènes que contradictoires débitées nuit et jour par les chaînes de télévision et des médecins qui prenaient trop manifestement goût à leur soudaine importance et à leur médiatisation. L’on aura tout dit, tout entendu, tout cru, concernant ce « mal qui répand la terreur », tout accepté, surtout, pour le contrer, comme si la peste noire, la variole ou le choléra nous avaient soudain fondu dessus et voués collectivement dans d’atroces souffrances à la mort à brève échéance. Le pire, dans cette séquence de démence généralisée, aura été, hélas, l’attitude d’hommes de Dieu qui, trop souvent, l’auront bien peu été.

    Il faudra du temps pour que l’Église porte un jugement critique sur son attitude et ses choix et cela ne se fera sans doute qu’après en avoir constaté dans leur tragique ampleur toutes les conséquences spirituelles, mais aussi économiques, politiques et sociales. Très vite, certains, cependant, se sont penchés sur l’événement, et ont tenté de l’analyser ; les livres vont probablement se multiplier dans les prochains mois mais en voici deux, parmi les tout premiers parus, qui proposent des analyses assez opposées.

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  • 2 mars: Conférence sur le SAINT SUAIRE par Pierre de Riedmatten

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    2 MARS | CONFÉRENCE SUR « LE SAINT SUAIRE » PAR PIERRE DE RIEDMATTEN

    Le Saint-Suaire est le linge qui recouvrit le visage de Jésus de Nazareth ou bien le linceul qui servit à envelopper son corps après la mort – conformément au mode de sépulture en usage chez les Juifs – avant de le déposer au tombeau selon le Nouveau Testament.

    Le Saint Suaire ne cesse d’interpeller aujourd’hui. Il est une véritable question scientifique.

    Jean-Michel Forestier, vice-président de l’association MNTV qui a pour but la connaissance et la contemplation du Linceul de Turin, l’étudie depuis des années. L’orateur fera ressortir la beauté du mystère qui habite le linceul de Turin.

    LES PÉPITES DU MERCREDI
    « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. »
    Mt 13,44

    L’équipe des Pépites du mercredi vous propose d’aller à la recherche de ces trésors peu connus et de vous enrichir de Dieu.

    QU’EST CE QUE C’EST?
    Un parcours de formation chrétienne composé de deux cycles au choix.
    1 cycle= 1 conférence + 5 mercredis
    Ces rencontres se déclineront sous le mode interactif.
    Au programme : prière, lecture, partage de réflexion, exposé, débat.
    Prêt pour un « Update catho » ?

    Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur ce lien.

    Pour avoir plus d’infos:
    pepitesdumercredi@gmail.com

    PAF pour un module:
    30€ (50€ solidarité)
    Ceci ne doit pas constituer un empêchement


    Date / Heure
    Date(s) - 02 mars 2021
    20h30 - 22h00

  • RDC : Luca Attanasio, un martyr de plus dans une liste déjà longue au pays des grands lacs

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    fb-img-1614007109815.jpgL’histoire bégaye dans l’Est du Congo depuis les lendemains anarchiques de l’indépendance bricolée, voici soixante ans, par un gouvernement belge irresponsable.

    L’ambassadeur italien Luca Attanasio (43 ans), assassiné ce 22 février 2021 sur la route de Goma à Rutshuru (à hauteur du Nyiragongo, en plein parc des Virunga) est un martyr de plus dans la liste impressionnante jalonnant l’histoire du Congo depuis 1960. Diplomate au grand cœur, il   était aussi un chrétien ami des pauvres, en Italie et au Congo, comme le relate ici Colette Braeckman sur son blog hébergé par le journal  bruxellois « Le Soir » :

    "Luca Attanasio, l’ambassadeur d’Italie tué lundi matin au nord de Goma, dans la zone du parc des Virunga alors qu’il allait visiter un centre de distribution de vivres dans une école gérés par le Programme alimentaire mondial, était plus qu’un diplomate, qu’un politique. Il a laissé au Congo le souvenir d’un homme de cœur et les témoignages commencent à se multiplier. Depuis son arrivée au Congo voici 5 ans, d’abord attaché d’ambassade puis ambassadeur, il s’était donné une double mission : représenter son pays comme diplomate européen mais aussi se montrer attentif aux pauvres, faire pour eux ce qu’il pouvait, à titre personnel et avec son épouse mère de ses trois enfants.

    Proche des sœurs des pauvres de Bergame, il multipliait les visites auprès des plus humbles des Congolais, les malades, les vieillards, les enfants des rues. On le vit à la mission de Tumikia, à Kikoti. Son épouse et lui se rendaient régulièrement dans le home de vieillards de Masina où ils préparaient de la nourriture et partageaient le repas des personnes âgées  A Kisangani, où les religieuses manquaient de courant, ce qui mettait en danger les couveuses et la banque de sang, le diplomate trouva bien vite la solution : son épouse et lui achetèrent un groupe électrogène de 100 KVA et la livraison se fit sans caméras ni communiqué de presse.

    A Kinshasa, il organisa à l‘hôtel Pullman une collecte de fonds pour soutenir des actions de bienfaisance et sa femme ouvrit dans la capitale un centre appelé « Mama Sophia » destiné à accueillir les enfants de la rue. C’est là qu’il découvrit une fillette, presque à l’agonie et l’emmena à l’hôpital du Cinquantenaire, couvrant tous les frais d’une opération coûteuse…

    Son engagement social était bien antérieur à sa nomination au Congo : proche de la communauté Sant Egidio, il avait monté des projets pour les personnes handicapées, pour les vieillards et en Italie, il avait reçu le Prix Nassiryia, récompensant les œuvres de paix mais jamais il ne se vantait de cette distinction.

    Il connaissait bien l’Est du Congo et compatissait avec les victimes de la guerre. A plusieurs reprises il avait visité l’hôpital de Panzi où il avait rencontré le Docteur Mukwege. La veille de sa mort, il se trouvait à Bukavu, et avait assisté à une messe en compagnie du père Franco, très connu dans la ville et rencontré Marie Masson, une religieuse belge qui avait longtemps dirigé le bureau des œuvres diocésaines et qui s’occupe actuellement d’une organisation qui prend soin des personnes âgées, Wawe Wetu. L’ambassadeur s’était aussi informé de la situation des ressortissants italiens vivant au Sud Kivu dont plusieurs prêtres et religieuses. Avec de tels contacts, le diplomate engagé aux côtés des pauvres et des victimes n’ignorait rien des souffrances subies depuis un quart de siècle par les populations de l’Est du Congo et c’est discrètement, trop discrètement sans doute, qu’il rendait visite aux plus démunis et en compagnie de son épouse, tentait de les aider. Lors de sa mission au Nord Kivu, il avait emprunté une route classée « jaune » et pour laquelle aucune autorisation particulière n’était nécessaire et il n’était pas homme à se faire escorter par des caméras et précéder par des jeeps chargées d’hommes armés jusqu’aux dents…

    A son retour en Italie, l’ambassadeur mort en héros des pauvres reçut un accueil ému. Quant aux Congolais, ils se souviendront d’un homme qui les aimait vraiment et qui, à force de fréquenter et d’écouter les plus humbles d’entre eux, en avait peut-être appris trop sur les secrets de la région…"

    Ref. Luca Attanasio était l’ami des pauvres, en Italie et au Congo

    JPSC

  • Demandez, on vous donnera

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    Évangile du jour (Mt 7, 7-12) (source)

    Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu

    En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira. Ou encore : lequel d’entre vous donnera une pierre à son fils quand il lui demande du pain ? ou bien lui donnera un serpent, quand il lui demande un poisson ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ! Donc, tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes. »

    Méditation

    Dans l’Évangile d’aujourd’hui, Jésus nous enseigne un élément fondamental de notre foi, qui est l’un des objectifs du carême : la prière. Le Seigneur nous invite à poser un acte de foi difficile, parfois crucifiant. Il nous demande en effet de croire en l’efficacité de la prière. La prière engage tout notre être et s’alimente de toutes nos attentes. Elle n’est pas une méditation solitaire, une discipline oisive de l’ego perdu dans son vide intérieur, non, la prière est une relation personnelle et communautaire avec Dieu. Comme dans toute relation profonde, on y exprime sobrement son amour, sa gratitude, ses joies, ses regrets, ses peines, ses doutes, sa colère, ses demandes, ses désirs : la prière se tisse avec l’ensemble des fibres de notre cœur, c’est le langage des vivants, l’air pur de la vraie vie ! Pourquoi ne nous répond-il pas systématiquement selon notre mode humain ? Dieu est bon et sage… -Dieu est Dieu. Aussi agit-il de la manière la plus divine : il exauce toujours les prières de ses enfants, de manière mystérieuse, inattendue… sommes-nous bien disposés à écouter ses réponses ? Demain, dans la gloire du Royaume céleste nous comprendrons. Aujourd’hui, dans la lumière de la foi et animés par l’espérance, demandons, cherchons, frappons  !

  • L'ouverture de l'Afrique à la liturgie traditionnelle : un témoignage passionnant venu du Kenya

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    Christus Regnat in Kenya

    Du site "Paix liturgique"

    L'AFRIQUE OUVERTE A LA LITURGIE TRADITIONNELLE

    UN TEMOIGNAGE PASSIONNANT VENU DU KENYA

    La Lettre de Paix liturgique (lettre 785 du 23 Février 2021)

    Nous avons eu l’occasion de le signaler à plusieurs reprises, et notamment dans notre Lettre 678, l’Afrique est un continent très prometteur pour le développement de la messe traditionnelle. « L’Afrique, disions-nous, est sans doute le continent le moins touché par le phénomène de la messe traditionnelle, bien que la liste des pays où elle est célébrée ne soit pas négligeable. [… Mais] les demandes, sinon importantes mais en tout cas nombreuses, laissent penser que d’ici 20 ans toute l’Afrique sera concernée par la liturgie traditionnelle. »

    Mais voici que nous avons eu la chance de rencontrer il y a quelques semaines le père Jean, un prêtre du Kenya qui termine sa thèse de Théologie en Europe et qui nous a étonnés par son amour et son enthousiasme envers la liturgie traditionnelle de l’Eglise latine. Nous lui avons demandé de nous parler de celle-ci qu’il a découvert il y a déjà plusieurs années et dont il a expérimenté la célébration auprès de fidèles de son pays. Il a eu plusieurs fois l’occasion de parler de celle-ci avec son évêque qui l’a encouragé à poursuivre dans cette voie tout en gardant une certaine prudence, d’où son anonymat, cette expérience n’étant pas du goût de tous parmi les prêtres du presbyterium local et au sein de la conférence épiscopale nationale

    Paix liturgique : Comment présenteriez-vous la liturgie traditionnelle ?

    Père Jean : Comme je vous l’ai dit lors de notre première rencontre elle est d’abord pour nous apaisante, presque au sens étymologique car elle génère chez nous la paix.

    L’usage du latin nous permet de repousser les permanentes rivalités linguistiques qui existent dans nos pays d’Afrique – pensez simplement que chez nous au Kenya il y a plus de 70 langues vivantes communément utilisés ! – de ce fait le choix d’une langue dans la liturgie est toujours perçu par les autres locuteurs comme une emprise des uns sur les autres et cela génère plus de conflits que vous pouvez imaginer.

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  • L'ouverture de l'Afrique à la liturgie traditionnelle : un témoignage passionnant venu du Kenya

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    Christus Regnat in Kenya

    Du site "Paix liturgique"

    L'AFRIQUE OUVERTE A LA LITURGIE TRADITIONNELLE

    UN TEMOIGNAGE PASSIONNANT VENU DU KENYA

    La Lettre de Paix liturgique (lettre 785 du 23 Février 2021)

    Nous avons eu l’occasion de le signaler à plusieurs reprises, et notamment dans notre Lettre 678, l’Afrique est un continent très prometteur pour le développement de la messe traditionnelle. « L’Afrique, disions-nous, est sans doute le continent le moins touché par le phénomène de la messe traditionnelle, bien que la liste des pays où elle est célébrée ne soit pas négligeable. [… Mais] les demandes, sinon importantes mais en tout cas nombreuses, laissent penser que d’ici 20 ans toute l’Afrique sera concernée par la liturgie traditionnelle. »

    Mais voici que nous avons eu la chance de rencontrer il y a quelques semaines le père Jean, un prêtre du Kenya qui termine sa thèse de Théologie en Europe et qui nous a étonnés par son amour et son enthousiasme envers la liturgie traditionnelle de l’Eglise latine. Nous lui avons demandé de nous parler de celle-ci qu’il a découvert il y a déjà plusieurs années et dont il a expérimenté la célébration auprès de fidèles de son pays. Il a eu plusieurs fois l’occasion de parler de celle-ci avec son évêque qui l’a encouragé à poursuivre dans cette voie tout en gardant une certaine prudence, d’où son anonymat, cette expérience n’étant pas du goût de tous parmi les prêtres du presbyterium local et au sein de la conférence épiscopale nationale

    Paix liturgique : Comment présenteriez-vous la liturgie traditionnelle ?

    Père Jean : Comme je vous l’ai dit lors de notre première rencontre elle est d’abord pour nous apaisante, presque au sens étymologique car elle génère chez nous la paix.

    L’usage du latin nous permet de repousser les permanentes rivalités linguistiques qui existent dans nos pays d’Afrique – pensez simplement que chez nous au Kenya il y a plus de 70 langues vivantes communément utilisés ! – de ce fait le choix d’une langue dans la liturgie est toujours perçu par les autres locuteurs comme une emprise des uns sur les autres et cela génère plus de conflits que vous pouvez imaginer.

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  • Les générations se suivent et se ressemblent...

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    L'Evangile du jour :

    Quelques-uns des scribes et des pharisiens adressèrent la parole à Jésus : « Maître, nous voudrions voir un signe venant de toi. »

    Il leur répondit : « Cette génération mauvaise et adultère réclame un signe, mais, en fait de signe, il ne sera donné que celui du prophète Jonas.

    Car Jonas est resté dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits ; de même, le Fils de l'homme restera au cœur de la terre trois jours et trois nuits.

    Lors du Jugement, les habitants de Ninive se lèveront en même temps que cette génération, et ils la condamneront ; en effet, ils se sont convertis en réponse à la proclamation faite par Jonas, et il y a ici bien plus que Jonas.

    Lors du Jugement, la reine de Saba se dressera en même temps que cette génération, et elle la condamnera ; en effet, elle est venue de l'extrémité du monde pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici bien plus que Salomon.

    Matthieu 12,38-42; EAQ; évangile du jour