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Patrimoine religieux - Page 63

  • "Introduction à la liturgie" : le manuel à l'usage des fidèles de Denis Crouan est disponible en ligne

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    UNE INTRODUCTION À LA LITURGIE
    MANUEL À L’USAGE DES FIDÈLES

    Par Denis Crouan, Docteur en théologie

    Cet ouvrage de 50 pages est un dictionnaire de la liturgie. Il est disponible en ligne (ici).

    Le 17 octobre 1985, s’adressant aux Membres de la Congrégation pour le Culte divin, le pape Jean-Paul II déclarait : « La liturgie ! Tout le monde en parle, écrit, ou discute à ce sujet. On la commente, on la loue, on la critique. Mais qui en connaît vraiment les principes et les normes d’application ? La Constitution Sacrosanctum Concilium désignait la liturgie comme la source et le sommet de la vie de l’Église (cf. n.10) : que fait-on pour que cette définition sublime passe dans la réalité ? » 

    Aujourd’hui, la liturgie demeure l’occasion de nombreux débats et plus de cinquante ans après Vatican II, on remarque que dans un certain nombre d’églises, « quelque chose ne va pas ». Alors que l’Église demande aux fidèles et, en premier lieu, aux prêtres, de s’en tenir exclusivement aux livres liturgiques officiels pour célébrer les Offices, on constate qu’il existe autant de façons de traiter la liturgie qu’il y a de célébrants et de groupes de fidèles. Remettre de l’ordre dans la façon de traiter le Culte divin n’est pas tâche facile : il suffit, en effet, de demander aux pratiquants ce qu’est la liturgie pour voir que les réponses sont multiples, généralement très incomplètes, souvent contradictoires. À force de méconnaître le concile Vatican II et d’en outrepasser les directives, tout le monde s’autorise aujourd’hui à parler, à revendiquer, à exprimer ses opinions... Mais combien écoutent ce que dit l’Église au sujet de « sa » liturgie ? Combien de fidèles se l’approprient ? 

    Le travail présenté ici se propose d’aider toutes les personnes qui s’intéressent à la liturgie, qu’elles soient pratiquantes ou non, catholiques on non, à retrouver les repères essentiels qui font qu’une messe est incontestablement une messe et non un Office imprégné d’un subjectivisme ou d’un sentimentalisme sans rapport avec la célébration de la foi. 

    Denis Crouan, le 28 juin 2022
  • Nunc scio vere (Introït pour la fête des saints Pierre et Paul)

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    Introitus Introit
    Act. 12, 11 Act. 12,11
    NUNC scio vere, quia misit Dóminus Angelum suum: et erípuit me de manu Heródis, et de omni exspectatióne plebis Iudæórum. Ps. 138, 1-2 Dómine, probásti me, et cognovísti me: tu cognovísti sessiónem meam, et resurrectiónem meam. ℣. Glória Patri. Maintenant, je reconnais d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé Son ange : qu’Il m’a arraché de la main d’Hérode et à toute l’attente du peuple juif. Ps. 138, 1-2. Seigneur, Tu m'as sondé, et Tu me connais : Tu sais quand je m’assieds, et quand je me lève.
  • "Bruges en musiques" : un superbe film sur Arte

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    Du site d'ARTE TV :

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    Bruges en musiques (accessible du 19 juin au 23 septembre)

    Avec pour étape majeure l’hôpital Saint-Jean, joyau du passé médiéval de Bruges, une promenade artistique et musicale dans huit siècles d’histoire de la cité flamande. Avec des extraits d'oeuvres de Guillaume Dufay, Johannes Ockeghem, Josquin des Prés, Joseph Haydn et Arvo Pärt.

    Reliée à la mer du Nord après un raz-de-marée au XIIe siècle, Bruges connaît au Moyen Âge un essor fulgurant. Commerçant avec l’Angleterre, les pays de la Baltique et le sud du continent, elle s’impose comme l’une des premières places financières, économiques et artistiques d’Europe. À la fin du Moyen Âge, les musiciens franco-flamands comme Guillaume Dufay, Johannes Ockeghem ou Josquin des Prés y accourent. Au XVe siècle, les ducs de Bourgogne s’emparent de la Flandre, et Bruges connaît son âge d’or. À la Renaissance, elle passe sous la tutelle des Habsbourg. L'atmosphère devient espagnole, les palais résonnent des polyphonies de Francisco Guerrero et Tomas Luis de Victoria, dont la musique religieuse accompagne les processions. Lorsque la branche espagnole de la famille s'éteint à la fin du XVIIe siècle, les Habsbourg d'Autriche en deviennent les nouveaux maîtres. Bientôt, le classicisme viennois de Joseph Haydn résonne en terres flamandes. Mais, privée de son accès à la mer par l’ensablement de ses canaux, la Venise du Nord va peu à peu se transformer en belle endormie. Ce sommeil paisible lui a permis de conserver l’un des plus beaux patrimoines architecturaux d’Europe.

    Cœur battant

    Après Le King’s College en musiques  et Le Louvre en musiques, Christophe Maillet et Gérard Pangon font de l’hôpital Saint-Jean, fondé en 1150 et devenu musée, le cœur battant de la promenade artistique et musicale qu’ils consacrent à Bruges, l’une des villes belges les plus visitées. Illustré par un choix d’œuvres de compositeurs du XVe siècle à nos jours, de Johannes Ockeghem à Arvo Pärt, le documentaire est rythmé par un concert du quatuor à cordes Kitgut Quartet, exécuté dans la chapelle du plus ancien hôpital de l'époque médiévale en Europe, où trône le Retable des deux saints Jean, chef-d’œuvre du primitif flamand Hans Memling.

  • La mission des prêtres : lutter contre l’asphyxie des âmes et des communautés

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    MGR_MATHIEU_ROUGE.jpgLu sur le site « Riposte Catholique », cette Tribune de Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, parue dans Le Figaro  à propos du travail suscité par le pape au sujet de la « synodalité » :

    " Le mois de juin est chaque année celui des ordinations sacerdotales, traditionnellement célébrées dans l’Église catholique à proximité de la grande fête des saints Pierre et Paul, le 29 juin. Bien que trop peu nombreuses dans notre pays, des ordinations continuent d’y avoir lieu : après au moins sept années de formation spécifique, faisant souvent suite à une qualification et une expérience professionnelle de haut niveau, de jeunes hommes, ayant perçu un appel intérieur à tout quitter pour suivre Jésus, à la manière des premiers apôtres, acceptent d’offrir leur vie pour l’annonce de l’Évangile et le service de tous.

    Il n’est certes pas facile d’être prêtre en France aujourd’hui, dans un contexte de profonde sécularisation.

    Le rapport, en lui-même à l’évidence salutaire et à terme certainement bienfaisant, de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église a pu susciter une sorte de suspicion généralisée à l’égard des prêtres, pourtant en grande majorité irréprochables et fidèles. Le travail suscité par le pape François sur la « synodalité », c’est-à-dire la coopération de tous les baptisés à la mission de l’Église, a pu, à côté de réflexions stimulantes et prometteuses, conduire à des critiques injustes voire violentes et blessantes à l’égard des prêtres comme tels.

    Mais tout cela est peu de chose à côté de la joie de méditer, de vivre, d’annoncer cette parole étonnamment libératrice que constitue l’Évangile, à côté du bonheur de manifester la proximité aimante de Dieu au milieu des joies et des peines de tous et de chacun. Peu d’expériences humaines sont aussi intenses que la célébration du baptême ou de la confession ou de l’eucharistie : le Christ offrant sa vie, qui se rend présent au milieu de ses disciples rassemblés par le pain et le vin consacrés. Pour ceux qui y sont appelés et qui s’y sont préparés en profondeur, le sacerdoce recèle des trésors inépuisables de joie.

    Saint Charles de Foucauld, tout récemment canonisé par le pape François, pour le bonheur de l’Église et la légitime fierté des Français, a témoigné d’une fraternité proprement universelle fondée sur un amour hors du commun de l’eucharistie, célébrée et adorée. Cet homme, ce prêtre, si contemporain par son enfance et sa jeunesse blessées, par sa recherche spirituelle laborieuse et tumultueuse, a découvert dans le Christ la lumière qu’il désirait intensément et compris qu’il valait la peine de tout sacrifier à l’accueil et au service de cette lumière.

    L’avenir du sacerdoce catholique ne relève pas d’abord de questions d’organisation ou de pouvoir. Il est, dans des conditions d’exercice qui peuvent évoluer évidemment, le signe sacramentel que l’Église n’est pas une organisation centrée sur elle-même mais qu’elle se reçoit du Christ pour pouvoir témoigner de lui. C’est l’oubli de cet enracinement spirituel et de cette perspective missionnaire qui conduit aux abus ou au déclin. Les périodes de grand renouveau de la foi en revanche sont toujours des époques d’approfondissement du mystère du Christ, vrai Dieu et vrai homme, sauveur d’une humanité menacée par la mort mais faite pour la vie éternelle.

    L’Église en elle-même n’est pas très intéressante, même pour les chrétiens, ou plutôt elle n’est intéressante que dans la mesure où elle se perçoit et se vit comme accueil rayonnant de la lumière du Christ. En dehors de cette perspective d’espérance et de foi, les débats ecclésiastiques internes sont condamnés à la médiocrité, voire à la violence et à la stérilité. La mission des prêtres est précisément de lutter contre cette asphyxie des âmes et des communautés, par un service et un témoignage humbles, profonds, joyeux, courageux, persévérants.

    Il y a quelques semaines, le jour de la Pentecôte, il m’a été donné de célébrer la messe pour plus de 30 000 jeunes, scouts unitaires de France, dans une atmosphère inoubliable de ferveur, de paix et de joie. Malgré les intempéries, au soir tombant, à l’heure où dans l’Évangile Jésus ressuscité se fait reconnaître aux disciples d’Emmaüs par la fraction du pain, ces jeunes et ceux qui les encadraient, avec l’énergie de fidèles laïcs pleinement responsabilisés, s’ouvraient avec enthousiasme à la nourriture précieuse entre toutes de l’eucharistie. Ils constituaient une vivante image du meilleur de la « synodalité » .

    La tentation est grande en notre temps de céder aux sirènes de la déconstruction et de la culture de l’annulation, parfois même dans l’Église. Celle-ci n’est pas d’abord une structure hiérarchique corsetée mais bel et bien une fraternité libératrice, à condition que l’Église se reçoive constamment du Christ rendu présent notamment par le ministère sacramentel des prêtres. Renoncer à cette source, c’est en fait renoncer à la fraternité non seulement ecclésiale mais encore universelle, que l’humanité, prisonnière de ses démons, l’actualité nous le montre assez, n’est pas capable de faire advenir par ses seules forces. La joie du sacerdoce, c’est la joie de contribuer au salut du monde en témoignant de ce qui le dépasse et le fonde.

    L’auteur de ces lignes a eu le bonheur d’ordonner deux prêtres à la cathédrale de Nanterre, tout près du mont Valérien, ce 18 juin, quatre-vingt-deuxième anniversaire de l’appel du général de Gaulle. Le père François de Gaulle, son neveu missionnaire, raconte que, rendant visite à son oncle illustre quelques jours après son ordination sacerdotale, il eut l’émotion de le voir, conformément à la tradition, tomber à genoux devant lui pour recevoir sa bénédiction de jeune prêtre aux mains fraîchement consacrées. Le héros de la France libre, l’homme du courage et de l’audace, le chef intraitable et apparemment sûr de lui, savait en fait que la force, la liberté et la paix ont une source et que les prêtres en sont les indispensables serviteurs."

    Ref : La mission des prêtres : lutter contre l’asphyxie des âmes et des communautés

  • Liturgie romaine : Mgr Roche confirme son intention d'imposer la messe de 1969

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    Lu sur le site web de Famille chrétienne et relaté par Denis SUREAU sur Forum Catholique :  

    Mgr Roche « C’est le « Monsieur liturgie » du Vatican. En tant que préfet du dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements depuis 2021, Mgr Arthur Roche est le premier à suivre de près le dossier épineux du Motu proprio Traditionis Custodes et de sa mise en application. Dans un entretien accordé à Vatican News le 16 juin, il est revenu sur le sujet à l’occasion de sa création imminente comme cardinal par le pape François, qui aura lieu le 27 août 2022.

    Une « tragédie »

    Le futur cardinal a d’abord déclaré : « C'est une tragédie qu'il y ait aujourd'hui ces soi-disant "batailles" sur la liturgie, car l’eucharistie est, par nature, le sacrement qui unit toute l'Église. » Il a souligné qu’il n’y avait « jamais eu de controverse sur la liturgie comme celle que nous vivons aujourd'hui, en partie parce qu'il n'y a jamais eu auparavant deux versions du Missel romain. Le Missel romain de 1962, et ensuite le Missel romain de 1970, qui a été produit avec toute la force du Concile Vatican II derrière lui et promulgué par saint Paul VI. »

    Revenant sur l’intention du pape François, il a réaffirmé que « [le pape] n'est pas contre la messe en latin. Et en fait, la messe en latin existe aussi bien dans la forme moderne, pour ainsi dire, du Concile, que dans le Missel de 1962. »

    Cependant, le cardinal assume que l’objectif du texte est bien d’organiser l’arrêt progressif du rite préconciliaire, comme le laissait sous-entendre le motu proprio. « Tout ce qui se passe, c'est la réglementation de l'ancienne liturgie du Missel de 1962 en arrêtant la promotion de celle-ci, parce qu'il était clair que le Concile, les évêques du Concile, sous l'inspiration du Saint-Esprit, mettaient en avant une nouvelle liturgie pour la vitalité de la vie de l'Église », déclare Mgr Arthur Roche. « Et cela est vraiment très important. Et résister à cela, c'est quelque chose qui est vraiment très grave. »

    Pourquoi défend-il avec autant d’insistance la primauté de la liturgie Paul VI sur celle antérieure au concile Vatican II ? Car « comme le Saint-Père l'a souligné dans Traditionis custodes, il existe une loi liturgique qui nous aide dans notre croyance à transmettre la doctrine de l'Église. Ainsi, la réforme de la liturgie est vraiment une chose très importante aujourd'hui et elle ne doit pas être considérée comme une option », explique le préfet du dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements – qui était une congrégation jusqu’à la réforme de la Curie entérinée par le pape le 19 mars 2022-. Mgr Arthur Roche invoque les travaux du père jésuite autrichien Josef Andreas, mort en 1975, qui « dans ses études, a montré comment au fil des siècles, la messe a été modifiée de cette manière afin de s'adapter aux besoins du jour. Et la résistance à cela est une question assez sérieuse, que le Pape a soulignée dans son document ».

    Ces déclarations ne sont pas de nature à surprendre. Elles sont dans la continuité de la ligne défendue par Mgr Arthur Roche depuis la promulgation du Motu proprio. En décembre dernier, il avait opté pour une interprétation stricte du texte dans la réponse formulée aux « dubia » (questions) des évêques qui voulaient savoir comment appliquer le texte. Il tranchait notamment en faveur de l’interdiction des confirmations et des ordinations dans le rite tridentin, et l’impossibilité de dispenses pour ceux qui refusaient de concélébrer »

    Ref. Liturgie romaine : Mgr Roche confirme son intention d'imposer la messe de 1969

    Le refus rigide de la coexistence de plusieurs formes du rite romain n’empêche cependant pas l’existence du rite zaïrois qui est explicitement reconnu comme une variante du rite romain: les Tradis  seraient-ils moins respectables que les Congolais ?

  • Dimanche de la solennité du Saint-Sacrement (Fête-Dieu)

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    Pain vivant qui êtes descendu du ciel, ayez pitié de nous.
    Pain de vie et d'intelligence, ayez pitié de nous.
    Notre pain qui êtes au-dessus de toute substance, ayez pitié de nous.
    Pain qui fortifiez le cœur de l'homme, ayez pitié de nous.
    Pain qui faites goûter les délices aux rois, ayez pitié de nous.
    Pain qui êtes la chair de Jésus-Christ pour la vie du monde, ayez pitié de nous.
    Pain qui contenez en vous toute sorte de douceur, ayez pitié de nous.
    Pain qui donnez la vie éternelle, ayez pitié de nous.
    Nourriture des Anges, ayez pitié de nous.
    Manne cachée, ayez pitié de nous.
    Mémorial des merveilles de Dieu, ayez pitié de nous.
    Froment des élus, ayez pitié de nous.
    Vin qui produisez les Vierges, ayez pitié de nous.
    Oblation très pure, ayez pitié de nous.
    Oblation très digne de Dieu, ayez pitié de nous.
    Mémoire de la mort du Seigneur, ayez pitié de nous.
    Hostie pacifique, ayez pitié de nous.
    Hostie pour les péchés, ayez pitié de nous.
    Sacrifice continuel, ayez pitié de nous.
    Sacrifice qui êtes toujours offert, ayez pitié de nous.

    (Extrait des Litanies du Saint-Sacrement)
  • Un débat sur les ordinations suspendues à Toulon et sur le rejet de la soutane et des dentelles

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Ordinations suspendues à Toulon, rejet des dentelles et de la soutane.

    Le Club des Hommes en Noir

    Trois semaines avant les ordinations dans le diocèse de Fréjus-Toulon, Rome demande à Mgr Rey d'y surseoir. Une décision exceptionnelle pour laquelle les motivations restent floues. En parallèle, le pape fustige les dentelles et Mgr de Kérimel prive ses séminaristes et ses diacres du port de la soutane.

     

  • Liège : ce samedi 18 juin, l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132) anime la Fête-Dieu en présence de l’évêque du lieu :

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    Programme 

    De 10h à 12h00 et de 14h00 à 16h00, visites en libre accès de l’exposition « La Fête-Dieu, mémoire de Liège : souvenirs et traditions populaires » avec projection en boucle de films anciens sur les fastes du VIIe centenaire (1946):

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    À 16h00, audition concertante : florilège de chants médiévaux interprétés par le chœur féminin de « Flores Myrtae »:

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    Flores Myrtae rassemble une dizaine de jeunes chanteurs professionnels qui ont tous étudié la musique ancienne dans des conservatoires ou des écoles de musique à Paris. L’Ensemble a été fondé en 2016 par Anna Zakova, qui, après sa formation musicale dans son pays natal, la Slovaquie, a continué à étudier les traditions musicales de la Bohême à Prague. À Paris, elle étudie le chant grégorien au Conservatoire national supérieur de musique et de danse et à l'École du Choeur Grégorien.

    À 18h00, Solennité de la Messe de la Fête: célébrée selon le missel de 1962 par Mgr Jean-Pierre Delville, Evêque de Liège, avec le concours du Chœur grégorien Flores Myrtae (dir. Anna Zakova) et l’Ensemble polyphonique liégeois « Praeludium » (direction et orgue : Patrick Wilwerth),

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    À 18h30, bénédiction du Saint-Sacrement et vénération des reliques de sainte Julienne suivies d’une réception offerte à tous. 

     

    Renseignements: tel. 04 344 10 89 ou email: sursumcorda@skynet.be

  • A Bruxelles, vendredi 17 juin: Procession des enfants à l'Abbaye de la Cambre

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  • 60 ans après Vatican II, faut-il être traditionaliste ou progressiste ? Débat avec Jean-Pierre Maugendre

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    60 ans après Vatican II, devons-nous être traditionalistes ou progressistes ? Débat avec Jean-Pierre Maugendre (69 mn) 

    https://youtu.be/TqSbJUSP-4s  

    27 mai 2022 : Un passionnant débat avec Jean-Pierre Maugendre qui aboutit au débat final suivant : Le pape François et ses prises de positions pastorales doit-il être opposé ou uni au pape Benoît XVI et à ses positions doctrinales ?   

    1° Définitions : Le traditionaliste veille à la vérité que nos pères ont toujours crue et défendue ; Le progressiste tient à l’amour des personnes et insiste pour la souplesse, l’attention à sa liberté.  

    2° Le pourrissement de la situation en intégristes à tendance janséniste (qu’il ne faut pas les confondre avec les traditionalistes) et en progressistes sécularisés. 

    3° Jésus était-il traditionaliste ou progressiste ? Ni l’un ni l’autre mais en lui, « Psaume 85, 11 Amour et Vérité se rencontrent, Justice et Paix s'embrassent ». 

    4° Conclusion : L’Eglise va-t-elle se sortir de cette dialectique qui ne vient pas de Dieu ? Le Seigneur nous y invite et la présence, ensemble de Benoît XVI (vérité) et de François (amour) en est le signe. 

    Jean-Pierre Maugendre, ancien élève de l'Ecole navale et ancien président du MJCF (Mouvement de la Jeunesse Catholique de France) est Directeur Général de l'association Renaissance catholique (renaissancecatholique.fr). Il anime, en collaboration avec Guillaume de Thieulloy, une émission d'information religieuse sur TV Libertés : Terres de mission.

  • Pèlerinage de Chrétienté à Chartres pour la Pentecôte : une belle vidéo de Boulevard Voltaire intitulée : Pour Dieu et pour la France, ils ont marché pendant 3 jours:

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    Pèlerinage de Chrétienté à Chartres pour la Pentecôte : une belle vidéo de Boulevard Voltaire intitulée : Pour Dieu et pour la France, ils ont marché pendant 3 jours. Pour Dieu, pour la France…et pour d’autres la Belgique que des Liégeois reconnaîtront sans peine, parmi tous ces témoignages à l’unisson glanés sur le site web « Riposte catholique » :

  • Cours de liturgie par Denis Crouan, docteur en théologie; 13ème leçon – L’histoire de la liturgie : la fin du Moyen âge et la dévotion expressive (XII° au XIV° s)

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    Liturgie 13 – L’histoire de la liturgie : la fin du Moyen âge et la dévotion expressive (XII° au XIV° s) (44 mn) 

    https://youtu.be/QS6MhU9of1I   

    Denis Crouan aborde dans cette leçon la liturgie à la fin du Moyen âge. Les fidèles développent progressivement un sens accru de la présence réelle du Christ. Cette adoration sacrée conduit à des dévotions plus marquées : 

    Encensement des offrandes (XIIe s)

    Tabernacle et réserve eucharistique

    Adoration du saint sacrement

    Exposition de l’hostie dans un ostensoir. 

    La vénération médiévale de l’Eucharistie atteint son apogée avec l’introduction de la fête du « Corpus Christi » (Sainte Julienne de Cornillon, 1193-1258). 

    À la fin du Moyen Âge, on aime ce qui est expressif tant dans l’architecture sacrée que dans la liturgie : Définition des couleurs liturgiques, chasuble romaine amples). C’est là une des origines de la « scénographie » du culte : la liturgie devient une occasion de parader et le goût baroque en est l’une des plus belles expressions. 

    COURS DE LITURGIE, PAR DENIS CROUAN, DOCTEUR EN THEOLOGIE, 2022 

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI 

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch. 

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin. 

    Denis Crouan 2022. 

    LA LISTE TOTALE ET DANS L'ORDRE DES COURS DEJA EN LIGNE : 

    Lire la suite