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Témoignages - Page 304

  • Un grand cardinal injustement oublié : Jean Daniélou s.J.

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    L'excellent vaticaniste (n'en déplaise à notre archevêque) Sandro Magister rend justice à la mémoire outragée de ce grand cardinal.

    Fin de la quarantaine pour le cardinal mis à l'écart

    Une journée d'études a mis fin au silence qui entourait Jean Daniélou, l'un des plus grands théologiens du XXe siècle. Le mystère de sa mort. L'hostilité de ses confrères jésuites. L'interview qu'ils ne lui avaient pas pardonnée

    par Sandro Magister

    ROME, le 11 mai 2012 – "Fenêtres ouvertes sur le mystère" : c’est le titre du colloque par lequel, il y a deux jours, l’Université Pontificale de la Sainte Croix a mis fin au silence qui entourait l’un des plus grands théologiens du XXe siècle, le Français Jean Daniélou, jésuite, créé cardinal par Paul VI en 1969.

    Un silence qui aura duré près de quarante ans et qui a commencé au moment de sa disparition, en 1974.

    En effet, le souvenir de Daniélou se réduit aujourd’hui, pour un très grand nombre de gens, au mystère de sa mort, provoquée par un infarctus, un après-midi de mai, au domicile d’une prostituée, au quatrième étage du 56 rue Dulong, à Paris.

    Alors que, en réalité, le véritable mystère sur lequel Daniélou a ouvert des fenêtres à beaucoup de gens, dans son activité de théologien et d’homme spirituel, est celui du Dieu trinitaire. L’une de ses œuvres majeures a pour titre : "Essai sur le mystère de l’histoire". Une histoire qui n’est gouvernée ni par le hasard, ni par la nécessité, mais qui est pleine des "magnalia Dei", les grandioses merveilles de Dieu, plus étonnantes les unes que les autres.

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  • Un journaliste catholique engagé en faveur de la "culture de la vie" assassiné aux Philippines

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    L'information est diffusée par l'Agence Fides : Journaliste catholique engagé en faveur de la « culture de la vie » assassiné à Mindanao

    Davao (Agence Fides) - Ses dernières transmissions avaient été dédiées à la défense de la « culture de la vie », un thème qui, aujourd'hui, passionne le monde politique et la société aux Philippines. Nestor Libaton, 40 ans, journaliste catholique travaillant à DXHM Radio, radio catholique de la petite ville de Mati, dans les environs de Davao, sur l'île de Mindanao, a été assassiné le 8 mai par trois tueurs. Libaton est le troisième journaliste tué aux Philippines ces 15 derniers jours sachant que 55 opérateurs de l'information ont été tués au cours des dix dernières années et 151 depuis 1986. Ce énième meurtre témoigne du climat d'intimidation et de violence qui règne sur l'île de Mindanao, climat qui fait des victimes chez les militants des droits humains, les journalistes et les missionnaires. Hier, l'Agence Fides annonçait la mort d'un responsable et militant indigène tué dans la province de Bukidnon, toujours à Mindanao où, l'an dernier, a été assassiné le Père Fausto Tentorio, PIME (voir Fides 09/05/2012).

    L'Eglise catholique est bouleversée et S.Exc. Mgr Jose Palma, Président de la Conférence épiscopale des Philippines, s'exprimant sur les ondes de Radio Veritas, a condamné l'épisode et invité les autorités à élucider le cas le plus vite possible. Le Père Francis Lucas, Secrétaire exécutif de la Commission pour les Communications sociales de la Conférence épiscopale explique à l'Agence Fides : « Nous sommes secoués et attristés suite au meurtre de Libaton. Ils ont frappé une personne honnête, un innocent, marié et père de quatre enfants. Nous condamnons la violence et demandons que la justice soit rendue. La DXHM Radio de Mati, connue aussi sous le nom de Radio de la Vérité, fait partie du réseau des radio promu par l'Eglise. Il s'agit d'une station au service du peuple, très attentive à la culture de la vie et aux questions liées au développement de Mindanao. Au cours de ces dernières semaines, Libaton avait, lui aussi, abondamment parlé de ces valeurs. Récemment une autre radio catholique se trouvant au nord de Manille a été dévastée par des vandales. De tels gestes entendent intimider et faire taire les voix qui défendent les valeurs telles que la vérité, la justice, les droits humains. Mais l'Eglise aux Philippines continuera à annoncer l'Evangile et ne sera pas réduite au silence ». (PA) (Agence Fides 10/05/2012)

  • Les "vertus héroïques" du Père Sevin reconnues

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    La Congrégation pour les causes des saints vient de reconnaître par décret les vertus héroïques du serviteur de Dieu Jacques Sevin (1882 - 1951), prêtre jésuite français, fondateur des Scouts de France et des Soeurs de la Sainte Croix de Jérusalem. (VIS, 10 mai 2012).

    Parmi les autres décrets dont Benoît XVI a autorisé la publication, ceux qui proclament :

    L'extension à l'Eglise universelle du culte de Ste Hildegarde de Bingen (1089 - 1179), abbesse bénédictine, et inscription de son nom au catalogue des saints.

    Le titre de MARTYR reconnu :

    au serviteur de Dieu Frederick Bachstein, tchèque, et de ses 13 compagnons capucins assassinés en haine de la foi en 1611.

    aux serviteurs de Dieu Raimundo Castaño González et José María González Solís, prêtres espagnols dominicains, et de leurs compagnons, assassinés en haine de la foi en 1936.

    aux serviteurs de Dieu Jaime Puig Mirosa et de ses 18 compagnons, religieux espagnols des Fils de la Sainte Famille; et Sebastián Llorens Telarroja, laïc espagnol, assassinés en haine de la foi entre 1936 et 1937.

    au serviteur de Dieu Odoardo Focherini, laïc italien assassiné en haine de la foi en 1944 (Allemagne).

  • Damien, lépreux avec les lépreux

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    Fêté aujourd'hui : Le Père Damien, apôtre des lépreux dont Eric Madre retrace la biographie (source : mavocation.org) :

    Missionnaire sur une île perdue du Pacifique, le père Damien a vécu avec les lépreux. Dans cet enfer de désespoir et de misère morale, il a réussi à façonner une communauté fraternelle. Il a été canonisé le 11 octobre 2009.

    Joseph De Veuster naît le 3 janvier 1840 dans le village flamand de Tremolo, près de Louvain. Ses parents possèdent une petite ferme de briques rouges et une exploitation de quatre hectares. Il mène une enfance heureuse et simple au milieu de ses six frères et soeurs. Ils reçoivent une éducation pieuse avec, le soir avant la prière, une lecture commentée par leur mère de la vie des saints. Les enfants apprennent très tôt la générosité et le partage : chaque semaine des mendiants sont accueillis à la porte de la ferme. Encore enfant, sur le chemin de l’école, Joseph n’hésite pas à partager son goûter avec un mendiant : "Donnons-lui tout, ce pauvre garçon est toujours dans le besoin !"

    Dès l’âge de treize ans, Joseph arrête ses études pour aider ses parents à la ferme, où il travaille pendant quatre ans. Toute sa vie, il aimera la vie au grand air et les travaux manuels. A dix-huit ans, il est envoyé à Braine-le-Comte en Wallonie pour s’initier au français et parfaire ses connaissances. Pendant ce temps, son frère Auguste est entré au noviciat des Pères des Sacrés-Coeurs de Jésus et de Marie à Louvain, sous le nom de frère Pamphile.

    Silence et prière

    La vocation religieuse de Joseph s’affirme au cours d’un séjour auprès de son frère au couvent de Louvain. Ses parents, dont deux filles ont déjà choisi la vie religieuse, finissent par accepter que leur plus jeune fils emprunte une autre voie que celle du commerce. Joseph rejoint le noviciat de la congrégation le 2 février 1859, sous le nom de frère Damien. Malgré son bagage intellectuel d’abord jugé trop faible, ses grandes capacités d’apprentissage et son esprit vif lui permettent de s’orienter vers la prêtrise. Silence, recueillement, prière sont pour lui les maîtres mots de sa préparation à la profession religieuse.

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  • Le bienheureux Thomas Pickering

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    Voici un bienheureux, fêté aujourd'hui, au sujet duquel les sites spécialisés (nominis, eaq, etc) ne nous disent pas grand chose.

    Ce frère bénédictin anglais, accusé injustement de comploter contre le roi Charles II, fut condamné à mort en même temps que d'autres religieux catholiques, dans un contexte de persécution par le pouvoir anglican dans l'Angleterre du 17e siècle.

    Dans un ouvrage intitulé "la persécution des catholiques en Angleterre", nous trouvons rapportées les circonstances de son exécution :

    Quoi qu'il en soit, Pickering demeura en prison jusqu'au 9 mai (1665), jour où il fut traîné à Tyburn pour y mourir. La paix rayonnante de son visage impressionna vivement les spectateurs, non moins que ses protestations de fidélité envers le souverain pour lequel son père était tombé au champ d'honneur. Comme on lui reprochait d'être prêtre : « Oh non, dit il humblement », je ne suis qu'un pauvre frère convers » , il pria pour ses ennemis, puis monta avec tranquillité sur la fatale charrette. Là, on lui mit au cou la corde qui était attachée au gibet et on lui couvrit la figure d'un bonnet. Au moment même où la charrette se dérobait sous ses pieds, un des spectateurs lui cria qu'à cette heure solennelle il devait bien avouer son crime. Avec une présence d'esprit admirable dans un pareil moment, le martyr retira vivement le bonnet qui cachait ses traits et avec un bon sourire : « Regardez-moi », dit-il, «ai-je, la figure d'unhomme capable de commettre un si grand crime »? Il mourut ainsi « en souriant », ajoute Challoner, terminant une vie obscure et laborieuse (Challoner, vol. II, p. 193. PERSÉCUTION DES CATHOLIQUES EN ANGLETERRE) par un trépas glorieux; beaucoup le regrettèrent, dit-il encore ; ils savaient que cet homme doux et bon, incapable de faire de la peine à qui que ce soit, était innocent du forfait pour lequel on l'avait condamné.

  • Quand un essayiste athée découvre la religion comme voie du bonheur

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    Tel est le parcours de Alain de Botton, auteur d'un "Petit Guide des Religions à l'usage des mécréants".

    Il s'en explique ici : alain-de-botton-religion-cest-miraculeux

    Introduction :

    Après avoir réfléchi aux mystères de l’amour, aux consolations de la philosophie, à l’art du voyage... voilà que l’inclassable essayiste explore une autre voie pour faire notre bonheur : la religion, même si on est athée, comme coach de vie. Son nouveau remède spirituel et profane est un vrai cadeau pour l’esprit !

    En Angleterre, le nouveau livre d’Alain de Botton est en passe de devenir son plus grand succès, alors que l’auteur de L’Art du voyage en connaît déjà beaucoup. Mais cette fois, à 42 ans, l’élégant et mordant philosophe s’engage dans une croisade pour le moins ambitieuse. Et si, propose-t-il dans son Petit Guide des religions à l’usage des mécréants (éditions Flammarion, 340 p., 20 euros) nos sociétés s’inspiraient des religions pour repartir dans le bon sens ? Explications.

  • Vatican II analysé par un des derniers protagonistes du Concile

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    Franzoni_1.jpgLe Vatican Insider mettait en ligne hier cette interview du Père Giovanni Franzoni, ex-abbé de Saint-Paul-hors-les-murs (photo ci-contre, dans les années 70') et "enfant terrible" de l'Eglise postconciliaire, connu notamment pour ses prises de position en faveur de la libéralisation de l'euthanasie et ses choix politiques d'extrême-gauche. Cela ne manque pas d'intérêt car cela met en évidence des ambiguïtés de ces assises conciliaires sur lesquelles nous ne finissons pas de nous interroger (Merci à B.T. pour sa traduction et son initiative) :

    « Les lacunes de Vatican II 50 ans après » - Entrevue avec le père conciliaire Franzone, un des derniers protagonistes du Concile, par Giacomo Galeazzi

    Le Saint Siège se concerte au sujet d’une aventure importante : une réflexion sur le Concile Vatican II qui puisse animer l’année de la foi et ouvrir une nouvelle saison pour le christianisme et l’Eglise catholique dans le monde. Qui sait si, par la révision de l’héritage du Concile dans la perspective de l’année de la foi, l’ex-expert conciliaire Joseph Ratzinger ne nous réserve pas quelques surprises.

    L’ex-abbé de la basilique Saint Paul hors les murs, Giovanni Franzoni (actuel leader des communautés de base qui se réuniront à Naples du 28 au 30 avril pour leur congrès annuel national) à été le plus jeune père conciliaire et, dans cette interview accordée à « Vatican Insider », trace le bilan un demi-siècle après ce Concile.

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  • Les visages des victimes de la grande terreur stalinienne

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    L'Osservatore Romano présente un livre qui vient d'être publié en Italie et qui présente les images des condamnés à mort pendant la période des purges staliniennes contenues dans les archives de la terreur:

    "Photographiés quelques instants avant d’être fusillés

    Le 26 avril dernier est sorti dans les librairies italiennes l’ouvrage La vita in uno sguardo. Le vittime del Grande Terrore staliniano [La vie dans un regard. Les victimes de la Grande Terreur stalinienne] (Turin, Lindau, 2012, 240 p., 24 euros, sous la direction de Marta Dell’Asta et Lucetta Scaraffia) qui reproduit les photos signalétiques des condamnés à mort pendant les années de la dictature stalinienne, prises quelques instants avant qu’ils soient fusillés. Ce sont les visages de simples citoyens — enseignants, femmes au foyer, ouvriers, prêtres — arrêtés et inculpés des délits les plus invraisemblables (espionnage, terrorisme, complots contre-révolutionnaires) et fusillés en quelques jours sans forme de procès. Les photographies réunies témoignent d’un échange de regards entre deux êtres que le totalitarisme veut dépersonnaliser. Mais si ce processus de dépersonnalisation a réussi avec les collaborateurs de la police politique, il échoue avec les victimes. Chacune des personnes photographiées, en effet, a gardé sa dignité et dans cet ultime regard, elle nous raconte son histoire.

    Nombre des victimes ont été enterrées dans des fosses communes à Butovo, dans la banlieue sud de Moscou, sans laisser de traces. C’est uniquement après la chute du régime, que des recherches obstinées ont permis de retrouver des dossiers, des photos et des noms. Aujourd’hui nous savons qu’entre août 1937 et octobre 1938 à Butovo ont été fusillés et enterrés 20.765 innocents. L’ouvrage — dont nous publions de courts extraits des articles de Lucetta Scaraffia, Marta dell'Asta et Oddone Camerana — nous offre l’occasion de les regarder, de les écouter, de les connaître."

  • BXL, 10 mai : conférence sur le Saint Suaire

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    9782873565022FS.gifJeudi 10 mai à 18h30

    conférence de Pierre de Riedmatten
    pour présenter son livre Le Saint-Suaire (coll. « Que penser de… ? »)

    à la librairie UOPC

    14-16, avenue Gustave Demey, 1160 Bruxelles
    02 648 96 89

    Bienvenue à tous !

    Pierre de Riedmatten est ancien ingénieur au Commissariat à l'énergie atomique, s'intéresse depuis plus de vingt-cinq ans au linceul de Turin. Il est président de l'association « Montre-Nous Ton Visage ».

      Saint-Suaire (Le)
      Auteur(s) : Pierre Riedmatten (de)
    Parution : 10-11-2011 
    Collection « Que penser de... ? » - n° 78 
    Format : 12 x 19 cm • 144 p.
    ISBN : 978-2-87356-502-2 Prix : 10,00 €     
  • La lettre d'adieu d'un nouveau bienheureux

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    Le P. Pierre-Adrien Toulorge (1757-1793), de l’Ordre des Prémontrés, guillotiné pendant la Révolution Française, en 1793, a été béatifié en la cathédrale de Coutances, le 29 avril. Voici la lettre qu'il adressa à son frère, la veille de son exécution :

    Mon cher frère [Jean-Baptiste]
    Réjouis-toi, tu auras demain un protecteur dans le ciel, si Dieu, comme j’espère, me soutient comme il a fait jusqu’ici. Réjouis-toi de ce que Dieu m’ait trouvé digne de souffrir, non seulement la prison, mais la mort même pour notre Seigneur Jésus-Christ; c’est la plus grande grâce qu’il pouvait m’accorder; je le prierai pour toi de t’accorder une pareille couronne. Ce n’est pas aux biens périssables à qui il faut s’attacher. Tourne donc tes vües vers le ciel, vis en honnête homme et surtout en bon chrétien, élève tes enfants dans la sainte Religion Catholique, apostolique et romaine, hors laquelle il n’y a point de salut. Regardes toujours comme le plus grand honneur d’avoir eu dans ta famille, un frère qui ait mérité de souffrir pour Dieu. Loin donc de t’affliger de mon sort, réjouis-t-en et dis avec moi : Que Dieu soit béni ! Je te souhaite une sainte vie et le paradis à la fin de tes jours, ainsi qu’à ma sœur, à mon neveu et ma nièce, à toute ma famille. Je suis toujours avec une parfaite amitié ton frère Toulorge.

    Le 12 octobre 1793.
    Je vous embrasse tous. (source)

  • Horion-Hozémont, 13 mai : procession paroissiale

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    dimanche 13 mai 2012 · 09:30 - 12:00

    Lieu : Horion-Hozémont (4460), place du Doyenné, 24


    Procession en l'honneur du Saint-Sacrement et de Notre-Dame du Mont-Carmel

    9h30 : Messe
    10h30 : Procession
    11h45 : Bénédiction finale et apéritif sur le parvis de l'église.
     
    Accompagnée par la Royale Harmonie de Hozémont
     
    Parcours : rue du Huit Mai - rue de Hozémont - rue de l’Harmonie
    rue de la source - rue du Sart-Thiri.
  • Eglise et guerre civile espagnole : des archives très éclairantes

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    Les archives du cardinal Gomá et la Guerre civile espagnole et le refus du nazisme par le futur pape Pie XII (Nieves San Martín -Traduction d’Océane Le Gall) sur ZENIT.org

    Une collection de 13 volumes contenant des documents de la guerre civile en Espagne, tiré des archives du cardinal Isidro Gomá (1869-1940), personnage clef de l’histoire de l’Eglise en Espagne, au XXème siècle, vient d’être présenté  au bureau des archives nationales de Madrid.

    Une des nouveautés apparues à la lecture de ces volumes : la présence fournie de témoignages sur le refus du nazisme par le futur pape Pie XII.

     « Nous ne nous attendions pas à en trouver autant », a déclaré l’historien José Andrés Gallego, un des auteurs de l’œuvre intitutlée « Archivo Gomá. Documentos de la Guerra Civil » (Archives Gomà. Documents de la Guerre Civile »).

    Né  à Calatayud, en 1944, le Prof José Andrés Gallego, enseigne actuellement au Conseil supérieur pour la recherche scientifique (CSIC en acronyme espagnol).

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