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Témoignages - Page 310

  • Le saint patron de la Pologne et de la Lituanie

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    200px-Kazimieras.jpgSource : missel.free

    Saint Casimir, prince de la dynastie des Jagellons, troisième enfant et second fils des treize enfants du roi Casimir IV de Pologne (1427 + 1492)[1] et d'Elisabeth d'Autriche, naquit le 3 octobre 1458, à Cracovie. Pieusement élevé par sa mère, il fut formé par les leçons du chanoine Jean Dugloss, futur archevêque de Lemberg, et de l'humaniste Philippe Bonacorsi (Callimaque). Dévot à la sainte Vierge, méditant les mystères de la Passion, le prince Casimir se tenait constamment dans l'exercice de la présence de Dieu et, inviolablement attaché à la chasteté, domptait ses passions par une vie d'austères mortifications.

    En 1471, il accepta, pour complaire à son père, son élection au trône de Hongrie[2]. Or, à peine touchait-il les frontières de Hongrie, qu'il se retira parce qu'il avait appris, outre que le pape Sixte IV désapprouvait l'entreprise, que le plus grande partie du peuple hongrois était favorable au roi Matthias. Ses troupes furent battues en Slovaquie (1472) et il retourna en Pologne. Il se retira trois mois dans le château de Cobzki pour expier l'injustice de l'expédition. Puisque son frère Wladislas était roi de Bohême, il semblait que Casimir serait roi de Pologne où il prit part au gouvernement qu'il administra sagement pendant que son père s'assurait la Lituanie destinée au cadet Jean-Albert (1479-1483). Le prince Casimir refusa d'épouser la fille de l'empereur Frédéric III (1481). De mœurs très pures, habitué à la mortification, il était vivement attaché à la chasteté et puisait sa force et sa joie dans l'adoration du Saint-Sacrement et la dévotion à la Vierge Marie.

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  • Syrie : la révolution impossible

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    safe_image.jpgNotre compatriote Pierre Piccinin rentre de Syrie. Par l’état des lieux et l’analyse qu’il présente sur son site, cet historien et politologue de terrain apporte un éclairage nouveau sur les évènements qui secouent la Syrie, ainsi que sur les enjeux régionaux. Sans parti pris. Loin de la propagande de Damas et de ses opposants ou des avis sans nuance des capitales occidentales et des médias internationaux. Loin des effets de manche et des postures caricaturales. Quelques extraits :

     Alors que les gouvernements tunisien et égyptien ont dû céder face à la contestation (ou ont su en donner l’impression, à tout le moins), alors que l’Alliance atlantique a profité des troubles pour renverser le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, tandis que d’autres, comme au Bahreïn, se sont maintenus par la force ou, comme en Algérie, en Jordanie et plus encore au Maroc, par la ruse de quelques vagues promesses de réformes, exception faite du Yémen qui, en dépit du retrait apparent du président Saleh, s’enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos, la Syrie reste le dernier État empêtré dans ce phénomène que d’aucuns ont souhaité habiller d’une expression poétique, le « Printemps arabe ».

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  • Et si le Liban ne résistait pas à la poussée de l'Islam ?

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    Monseigneur Aillet, l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, a effectué une visite au Liban. Il en rend compte dans le mensuel "Notre Eglise" de mars 2012. Le Salon Beige a mis cet article en ligne; c'est ICI

    Sa conclusion est on ne peut plus claire :

    "...je souhaiterais redire avec force combien notre soutien au Liban, pour reprendre les mots du patriarche maronite, Mgr Raï, n’est pas le soutien d’une minorité chrétienne mais l’exercice de la charité qui unit entre elles les églises ; c’est en effet l’unique Eglise du Christ que nous devons soutenir sur cette terre sainte. Enfin, il faut bien comprendre que si le Liban ne résiste pas à la poussée de l’Islam, c’est tout l’Occident qui risque de basculer. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende."

  • La trajectoire la plus incroyable dans l'Allemagne du XXe siècle

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    « Mon frère, le pape », par Georg Ratzinger et Michael Hesemann (source : ZENIT.ORG)

    En parlant avec Mgr Georg Ratzinger, Michael Hesemann s’est forgé deux convictions essentielles : d’un côté, il y a un « secret de famille » qui explique  la trajectoire impressionnante des deux frères Ratzinger ; de l’autre, la providence de Dieu, dès avant la naissance de Joseph, a posé les fondations qui l’ont mené jusqu’au Siège de Pierre.

    Il raconte à Zenit  « la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXe siècle, à l’occasion de la publication du livre en anglais.

    Zenit – Quelle a été votre votre expérience personnelle avec Mgr Ratzinger : comment avez-vous transcrit ses souvenirs ?

    M. Heseman – Lorsque Benoît XVI a été élu et a annoncé qu’il viendrait en Allemagne pour la Journée mondiale de la jeunesse à Cologne, un de mes éditeurs m’a demandé d’écrire une biographie du nouveau pape. N’ayant que deux semaines pour mener à bien ce projet, je n’étais pas en mesure de faire une recherche en profondeur, mais cela m’a donné l’idée de faire un jour l’interview de Georg Ratzinger, premier témoin de la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXème siècle – celle du fils d’un gendarme de campagne devenu le chef spirituel de plus d’un milliard de catholiques. Ce n’était encore qu’une idée et j’étais certain que, tôt ou tard, quelqu’un de bien plus proche de lui ferait ce travail et écrirait un livre avec lui. J’ai attendu longtemps, mais rien ne s’est passé.

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  • Un acte d'héroïsme au Pays de Liège

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    C'est Lily Portugaels qui, dans la Gazette de Liège, retrace "La belle histoire des Goffin"

    "Il y a 200 ans, un mineur ansois et son fils sauvaient 70 de leurs compagnons prisonniers de la mine. Hubert Goffin fut décoré pour cet acte héroïque.

    Chronique

    A Liège, dans le passé, on était souvent, par tradition, mineur de père en fils. Des familles entières travaillaient parfois dans la même bure (puits). A 41 ans, Hubert Goffin est déjà père de sept enfants. Il est lui-même le troisième enfant d’un père mineur et d’une mère botrèsse (botteresse, hotteuse de charbon). Il ne sait ni lire, ni écrire, s’exprime plus souvent en wallon qu’en français mais sa réputation d’excellent ouvrier l’a fait nommer contremaître.

    Le 28 février 1812, Hubert et son fils Mathieu (12 ans), coiffés d’un chapeau en cuir bouilli sur lequel est fixée, à l’aide de terre glaise, une chandelle pour les éclairer, extraient du charbon à 170 mètres de profondeur. Hubert voit tout à coup de l’eau qui dévale d’une hauteur de 70 mètres, et s’engouffre dans les galeries. Immédiatement, il appelle son fils et alerte tous ses compagnons. Le panier ou "cuffat" qui remonte la houille et les mineurs, est justement au fond. Hubert grimpe dedans y entraînant son fils. A ce moment dans la pagaille qui s’installe, Hubert se rend compte qu’il est le seul à pouvoir prendre les mesures qui s’imposent et à organiser les secours. Il décide de rester cède sa place à un compagnon. Mathieu sort aussi du panier. Il veut rester près de son père.

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  • Echos de l'Eglise persécutée

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    de l'Agence Fides :

  • Westminster : 734 adultes rejoignent l'Eglise catholique

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    Diocèse de Westminster: 734 adultes rejoignent l'Eglise catholique (ZENIT.ORG)

    Un « puissant rappel » pour la foi des catholiques

    Dans le diocèse de Westminster, en Grande Bretagne, 734 adultes ont franchi l’une des dernières étapes pour devenir membres de l’Eglise catholique. Leur désir est un « puissant rappel » pour réveiller la foi des catholiques, estime le directeur de la catéchèse du diocèse.

    La cérémonie, dite du ‘Rite de l’élection’, a été présidée par  Mgr Vincent Nichols, archevêque de Westminster, avec les évêques auxiliaires du diocèse, Mgr John Arnold, Mgr Alan Hopes, et Mgr John Sherrington, les 25 et 26 février 2012 dans la cathédrale de Westminster.

    Parmi les 734 adultes de 131 paroisses du diocèse, 384 sont « candidats », c’est-à-dire déjà baptisés dans une autre Eglise chrétienne et 350 sont « catéchumènes ». A Pâques, les candidats recevront les sacrements de la Confirmation et de l’Eucharistie, tandis que les catéchumènes seront baptisés.

    Durant la cérémonie, les 734 adultes ont fait un engagement public pour « entrer en communion avec l’Eglise catholique », précise un communiqué du diocèse. Ils ont également été « envoyés » par leurs évêques pour être reçus dans les paroisses du diocèse à Pâques.

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  • Sainte Anne Line

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    D'origine noble et élevée dans la Communion anglicane, elle se convertit au catholicisme, hébergeant souvent des prêtres. En raison de sa fidélité à l'Eglise romaine, elle fut condamnée à être pendue à Tyburn.

    Elle fait partie des Quarante martyrs d'Angleterre et du Pays de Galles qui ont été canonisés en 1970.

    À Londres, en 1061, sainte Anne Line, veuve et martyre. Née de parents calvinistes, qui la déshéritèrent et la chassèrent de chez eux quand elle devint catholique, elle épousa Roger Line, qui mourut en exil à cause de la foi catholique. Après sa mort, elle fournit un hébergement à des prêtres à Londres, et pour cela, fut pendue à Tyburn, sous la reine Élisabeth Ière. Avec elle subirent le même supplice les bienheureux prêtres et martryrs Marc Barkworth, bénédictin, et Roger Felcock, de la Compagnie de Jésus, qui furent mis en pièces alors qu’ils respiraient encore. (Martyrologe romain)

    source : nominis.cef.fr

  • Un martyr mexicain

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    Aujourd'hui, l'Eglise fête saint Toribio Romo Gonzalez martyrisé lors de la rage anticléricale qui s'est emparée du Mexique au début du 20e siècle. Wikipedia publie une brève notice consacrée à ce saint canonisé par Jean-Paul II :

    Toribio (en français Thuribe, en latin Thuribius) Romo Gonzalez est un ecclésiastique mexicain né le 16 avril 1900 dans le village de Santa Ana de Guadalupe (archidiocèse de Guadalajara) au Mexique, assassiné le 25 février 1928 et canonisé en 2000.

    Il entra à 13 ans au petit séminaire de San Juan de los Lagos puis au séminaire de Guadalajara où il fut ordonné prêtre avec une dispense à cause de son jeune âge.

    Il devint vicaire de diverses paroisses dont celle de Cuquio pendant la présidence de Calles (1877 - 1945) à partir de 1924. Plutarco Calles avait fait voter des lois particulièrement anti-cléricales (loi du 9 novembre 1926 ) rendant passible de mort la distribution des sacrements.

    En 1927, le Père Thuribe Romo fut envoyé à Tequila où il célébrait la messe dans une ancienne distillerie pour quelques fidèles en cachette.

    Il fut tué le 25 février 1928 au matin par des soldats des forces fédérales gouvernementales menées par un délateur. Son corps dépouillé de ses vêtements fut transporté dans une parodie de procession par ses meurtriers chantant des obscénités et jeté dans le village voisin.

    Il avait écrit dans son journal qu'il offrait son sang pour la paix de l'Église.

    Il fut béatifié en 1992 et canonisé en 2000 par Jean-Paul II avec d'autres martyrs mexicains, Saints Cristóbal Magallanes et ses 24 compagnons.

  • Itinéraire de carême à l'église des carmes de Bruxelles

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    Itinéraire du Carême 2012

    PORTRAITS DE SAINTS

    Tous les jeudis de Carême à 19h30
    CELEBRATION EUCHARISTIQUE
     
    Le 1 mars                                                          Le 15 mars
    THOMAS MORE                                         EDITH STEIN

    Le 8 mars                                                           Le 22 mars
      JEAN BOSCO                            GIANNA BERETTA-MOLLA

    Le 29 mars
                          CHIARA « LUCE » BADANO
     
    Orgue : Guy Van Waas
    Violon : Sr. Klari Toth
    Hautbois : Enzo Pezzini
    Chorale « Mater Amabilis »
     
    MOUVEMENT ECCLESIAL CARMELITAIN
     EGLISE DES CARMES
    Avenue de la Toison d’Or 45
    1050 – Bruxelles
    METRO Ligne 2 / 6 – Station LOUISE
    www.carmesbruxelles.be

     

  • Un premier pas important vers la béatification du Professeur Jérôme Lejeune

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    Source : ZENIT.org

    Le diocèse de Paris célèbre la clôture de l’enquête diocésaine de la Cause de béatification et de canonisation du professeur Jérôme Lejeune (13 juin 1926 - 3 avril 1994) : un « premier pas important », auquel ont contribué des scientifiques, estimant « qu’il n’y a pas de contradiction entre la foi et la science ».

    La fin de l’enquête sera solennisée au cours d’une session publique, mercredi 11 avril 2012, à 17h, en la cathédrale Notre-Dame de Paris. Dans ce cadre, seront également célébrées des vêpres solennelles à 17h45, présidées par le P. Jean-Charles Nault, abbé de l’abbaye bénédictine de Saint-Wandrille et postulateur de la cause, ainsi qu’une « messe pour la Vie », à 18h30, présidée par Mgr Eric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris.

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  • Une maman inoubliable

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    "Invitée par L’Arche et Foi et Lumière, Anne-Dauphine Julliand, jeune maman désenfantée, qui a découvert le handicap avec ses deux filles, est venue à Bruxelles, en compagnie de son mari, pour un témoignage à deux voix, le 10 février dernier. Portrait d’une maman inoubliable..."

    Lire la suite ici : dimanche.be