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  • BXL, 17 mars, rencontre littéraire avec Frank Andriat

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     Eveil des Jeunes à la Culture ASBL

    vous invite à

    une rencontre littéraire avec Frank ANDRIAT

    le mardi 17 mars 2015 à 20H00

    à Bruxelles, dans les locaux de Caritas International

    rue de la Charité, 43 – 1210 Bruxelles (métro Arts-Loi)

    CVT_Je-tenverrai-des-fleurs-de-Damas_8434.jpegFrank Andriat est professeur de français en secondaire dans un athénée réputé de Bruxelles, où la mixité sociale est bien présente. Dans l'une de ses classes où les élèves sont âgés d'une quinzaine d'années, deux garçons sont partis du jour au lendemain en Syrie sans prévenir personne. Le chaos a envahi toutes les classes, les professeurs ont dû se transformer en psychologues, les examens ont été annulés. Chaque élève avait sa petite enquête à faire parmi les proches pour tenter de connaître quelle avait été la filière... L’auteur nous parlera en particulier de son livre « Je t’enverrai des fleurs de Damas » qui aborde la question brûlante d’actualité de deux de ses élèves bruxellois partis combattre en Syrie. Cette présentation sera suivie d’une séance de dédicace et de la vente des différents ouvrages du romancier. La soirée se clôturera par un échange autour d’un verre et d’une collation au bar.

    Prix des entrées :

    • en prévente par virement : 6 €/adultes et 5 €/– 18ans
    • le jour même : 8 €/adultes et 6 €/ –18ans
    • Clôture des préventes le jeudi 12 mars 2015.

    Inscriptions souhaitées, le nombre de places étant limité : par mail ecasbl@icloud.com ou par téléphone 0478/98.78.07

    Virement sur le compte bancaire Eveil à la Culture-asbl BE04 6116 9118 9031 avec en communication : Andriat + nom de famille + nombre de places 

    Eveil à la Culture ASBL Eveil à la Culture ASBL Chaussée de Louvain, 20 1320 Hamme-Mille 0478/98.78.07 – ecasbl@icloud.com

  • Quand un entrepreneur engagé apporte un souffle de fraîcheur...

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    De Panorama (mars 2015) :

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  • Le pape François : entre François d'Assise et Ignace de Loyola

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    De Gérard Leclerc, sur le site de France catholique (18 février) :

    Le Pape entre François et Ignace

     

    Il ne fait aucun doute que l’avènement du pape François a produit un véritable bouleversement dans l’Église catholique, qui est d’abord d’ordre spirituel et dont on attend les effets institutionnels. Spirituellement, le Pape a encore précisé sa pensée dans l’homélie qu’il a prononcée, dimanche, à Saint-Pierre, devant le collège cardinalice renouvelé : « Ceci est la route de l’Église  : non seulement accueillir et intégrer, avec un courage évangélique, ceux qui frappent à notre porte, mais sortir, aller chercher, sans préjugés et sans peur, ceux qui sont loin en leur manifestant gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. » Ce radicalisme, une fois de plus exprimé, est sans commune mesure avec l’écho publicitaire qui lui est souvent donné. Ce n’est pas parce qu’est récusé le rigorisme formel des docteurs de la Loi que le relativisme est promu en règle de vie. Il ne s’agit nullement de s’aligner sur les mœurs du temps, mais de tendre la main pour secourir ceux qui vivent loin des préceptes de la vie chrétienne. Laisser penser que ce pape est prêt à abandonner l’enseignement de ses prédécesseurs et plus largement celui de la Tradition de l’Église, c’est se tromper et tromper son monde.

    Mais il est vrai aussi que la démarche proposée ne conduit pas à la facilité. On s’en rend compte notamment à propos de la famille et des discussions autour des deux synodes qui lui sont consacrés. Le dernier numéro de la revue de théologie internationale Communio consacré à ce sujet, contient de précieuses mises au point. Ainsi que l’écrit le père Jean-Robert Armogathe, « la sécularisation généralisée ne doit pas conduire l’Église à des procédures d’exclusion, pour rester entre “purs” : la tentation du catharisme n’est jamais très éloignée. Elle ne doit pas pour autant dévaluer son héritage doctrinal, ni évacuer l’enseignement des Écritures et de la Tradition. La ligne de crête est étroite : entre laxisme et rigorisme, le pied des marcheurs a souvent trébuché ».

    Dans un autre ordre, institutionnel celui-là, on retrouve d’autres exigences paradoxales. On s’en aperçoit avec la réforme de la Curie, qui demandera encore de longues années, avant d’aboutir à une forme constitutionnelle achevée. Il n’était plus possible d’en rester à la situation délétère à laquelle avait été confronté Benoît XVI, au point de lui faire abandonner sa charge. Mais les solutions à trouver sont problématiques. Il ne suffit pas de mettre en avant quelques mots prestigieux (subsidiarité, décentralisation, collégialité) pour définir les coordonnées d’un nécessaire équilibre entre le Siège romain et les Églises particulières. C’est d’abord à ces dernières de démontrer en acte leur créativité apostolique. Et il ne faut pas s’y méprendre, il n’y a pas que la Curie romaine à souffrir des maux que François a dénoncés. De façon générale, il convient de faire entrer en cohérence l’institutionnel et le charismatique, ainsi que le disciple du Poverello et du fondateur de la Compagnie de Jésus est conduit à l’envisager.

  • Le sort des chrétiens d'Orient et l'indifférence monstrueuse de l'Occident

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    Lu sur Atlantico.fr :

    Des centaines de chrétiens enlevés par l’Etat islamique : les ressorts d’une curieuse indifférence

    Face au silence médiatique et politique, Jean d'Ormesson a pris la parole pour avertir des atrocités commises par l'Etat islamique contre les populations chrétiennes. Pourtant rien n'y fait, c'est comme crier dans le désert.

    Atlantico : 222 chrétiens ont été enlevés le lundi 23 Février au nord-est de la Syrie. Quelques jours plus tôt, 21 coptes ont été égorgé en Libye. Face à cette attitude "génocidaire" selon les mots de Jean d’Ormesson, l’une des rares personnalités à s’être exprimée à ce sujet , c’est le silence qui prévaut. Pourquoi, alors que le sort des Yézidis émeut tant, n’en va-t-il pas de même pour les chrétiens ? 

    Sébastien de Courtois : Le sort des chrétiens d’Irak et de Syrie est lié intrinsèquement avec celui des autres minorités non musulmanes, dont les Yézidis.

    Il n’y a pas à hésiter ni à faire la différence entre elles. Leurs destins sont liés et elles se battent ensemble. Si la démocratie et la liberté ont un avenir dans cette partie du monde, c’est grâce aux combats qui se jouent actuellement dans l’Est de la Syrie. La résistance des Kurdes et de leurs alliés chrétiens est héroïque face aux forces de l’obscurantisme.

    Nous sommes confrontés à un fond d’ignorance qui est le résultat de décennies de déni, en France, tant par rapport à l’Orient, « compliqué » soit disant, que par rapport à l’histoire des religions dont nous nous méfions, et surtout vis-à-vis du christianisme, religion dont nous avons honte parce qu’elle fut la nôtre. La vérité est que la pensée contemporaine ne comprend plus ce vieux fond christiano-mésopotamien qui a été pourtant la matrice de nos propres cultures, au même titre que l’héritage grec ou romain. Rien ne sert de clamer le besoin de vivre ensemble sans chercher avant tout les endroits où les chrétiens, les juifs et les musulmans ont pu et peuvent cohabiter en paix ? Eh bien intéressez-vous aux grandes villes d’Orient et regardez ce qui a existé ! Ne cherchons pas des solutions miracles à coups d’idéologies. J’ai peur que le laïcisme actuel en soit une : sois laïc et tais-toi. Non, il y a d’autres voies, plus souples, où chaque croyance doit trouver sa place dans notre société.

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  • La famille en débat à l’Université de Liège (ULg). Une initiative de l'union des étudiants catholiques liégeois à soutenir.

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    Invitation 

    (s'inscrire le 1er mars au plus tard)

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    La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch débat à l’Université de Liège, le mercredi 4 mars 2015 à 18h00  

    Famille, solution ou problème ? Après le succès de la rencontre organisée le 28 janvier dernier avec Mgr André-Joseph Léonard, l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe Ethique sociale accueillent à l’Ulg, le mercredi 4 mars 2015 à 18h, Paolo Sorbi, professeur à l’Università Europea de Rome. Réponse, cette fois, d’un sociologue catholique italien qui avait adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60  et redécouvrit les valeurs sociales chrétiennes et de la famille naturelle, à la lumière de ses affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI. Une initiative à soutenir concrètement: inscriptions à la conférence débat ouvertes jusqu'au 1er mars.

    PROGRAMME 

    « La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste », 

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    par le sociologue Paolo Sorbi

    professeur ordinaire à l’Università Europea de Rome

               
    Apéritif à 18h00
    Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30 

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat (photo) de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché). 

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants 

    Inscription nécessaire au plus tard le 1er mars 2015:

    soit par téléphone : 04 344 10 89 (de l’étranger +32.4.344.10.89)
    soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit via le site internet : http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/

     JPSC 

  • « Invincible », l’histoire inspirante d’un héros de guerre chrétien en film

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    On sait qu'Invincible a été projeté au Vatican et que le pape françois a reçu en audience la réalisatrice de ce film, Angelina Jolie. Le site de Nouvelles de France présente le film:

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    Jack O’Connell joue le rôle de Louis Zamperini (en noir et blanc) dans le film d’Angelina Jolie

     

     

     

    « Invincible », l’histoire inspirante d’un héros de guerre chrétien en film

    Pour comprendre la valeur du dépassement de soi, du patriotisme et de la foi chrétienne, il faut voir l’exemple d’hommes qui en ont vécu. Pour notre siècle, la vie de Louis Zamperini constitue l’un des témoignages les plus puissants.

    L’histoire vraie de cet athlète américain a fait l’objet d’un film réalisé par Angelina Jolie : « Unbroken », traduit très approximativement par « Invincible » en français. La réalisatrice a même été au Vatican le 8 janvier pour présenter son œuvre au Pape. Durant la projection dans la Casina Pio IV, le fils de Louis Zamperini, Luke Zamperini, était présent. Louis Zamperini est décédé il y a quelques mois à l’âge de 97 ans. Le film se base sur sa biographie écrite par Laura Hillenbrand, traduite en français sous le titre « Invincible, une histoire de survie et de rédemption ».

    De délinquant à champion d’athlétisme

    Louis Zamperini est né le 26 janvier 1917 aux Etats-Unis dans une famille d’immigrés italiens. Il a une enfance de délinquant, au désespoir de ses parents. Néanmoins, son grand-frère Pete lui découvre à 15 ans un talent pour courir, et décide de l’entraîner. Louis, bien que réticent au début, se soumet aux entraînements et participe à des courses officielles, quittant du même coup la délinquance. Grâce à ses efforts et son talent, il gagne des courses et bat de nombreux records. En 1934, il bat en 4 minutes et 21 secondes le record national lycéen du mile, un record qui tiendra 18 ans. Cette performance exceptionnelle lui permet de participer, à seulement 19 ans, aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Il court le 5000 mètres, finit 8e mais en terminant le dernier tour en seulement 56 secondes, il explose la marque précédente de 69 secondes. Il rencontre Adolf Hitler : « Ah, vous êtes le garçon qui finit vite », lui dit-il. De retour aux Etats-Unis, il continue sa progression. Dans une course durant laquelle des concurrents lui donnent des coups avec leurs coudes et leurs chaussures cloutées, il finit premier en battant le record national étudiant du mile en 4 minutes et 8 secondes (qui tiendra 15 ans), les tibias et les orteils ensanglantés et une côte fêlée. C’est le 5e mile le plus rapide de l’histoire. Il se prépare pour les Jeux Olympiques de Tokyo de 1940, il est grand favori pour la victoire olympique.

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  • Demain, nous subirons les normes du "bien mourir"

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    Opinion de Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale à l’université Paris Sud, parue sur le site du journal La Croix le 19 février :

    Mourir par sédation ou l’idéologie du « bien mourir »

    Notre société fait le choix de légaliser une autre approche du mourir. À défaut d’être en capacité – comme certains y prétendaient hier – de « changer la mort », voir de la « maîtriser ». Il convient désormais d’intégrer le modèle d’une « bonne mort », d’un « bien mourir » opposé à cette conception du « mal mourir », figure emblématique de l’inacceptable, de l’insupportable que l’on se contente de fustiger. Car il est plus avantageux d’ériger des symboles que de s’investir au quotidien pour qu’évoluent les mentalités et les pratiques contestées depuis plus de trente ans par ceux qui assument la responsabilité politique de l’humanité du soin jusqu’au terme de la vie.

    Les postures compassionnelles et les résolutions incantatoires imposent leurs règles. La discussion est close. Un dernier espace est concédé pour peu de temps aux disputations sémantiques attachées à ne pas encore assimiler la sédation profonde et continue à l’euthanasie. Le souci de la forme ne dissimule pas pour autant les intentions de fond. Il n’est pas convenable aujourd’hui d’entacher du moindre soupçon un consensus acquis après des années de concertations dont notre pays, affirme-t-on, sort « apaisé » et bénéficiaire de « nouveaux droits » (directives anticipées opposables, sédation profonde et continue).

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