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  • Les enfants russes ne peuvent pas être adoptés par des couples gays à l'étranger

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    Lu ici :

    Le parlement russe a approuvé hier le projet de loi interdisant aux couples homosexuels étrangers d'adopter des enfants russes. Cette initiative pourrait concerner  la France, les Pays-Bas, la Norvège et le Canada, écrit le quotidien Novye Izvestia du 19 juin 2013. (...)

    Hormis l'interdiction d'adoption d'enfants russes par des couples homosexuels, les amendements n'autorisent pas l'adoption d'orphelins par des personnes célibataires dans les pays où les mariages gays sont autorisés. Rappelons que le problème des orphelins russes est redevenu d’actualité pour les députés en décembre dernier, quand pour réagir à la "liste Magnitski" interdisant à des hauts fonctionnaires russes de se rendre aux USA la Douma a interdit aux Américains d'adopter des orphelins russes. Quant aux amendements actuels au Code de la famille, ils ont été initiés après la légalisation en mai dernier des mariages gays en France, autorisant de facto les couples homosexuels à adopter des enfants. Le 30 mai déjà l'ombudsman pour les droits de l'enfant Pavel Astakhov avait proposé d'interdire l'adoption des enfants en France. Il a été soutenu par les députées Elena Mizoulina et Ekaterina Lakhova. Au final le comité pour la famille, les femmes et les enfants à la Douma a proposé d'apporter des amendements au Code de la famille pour interdire aux couples homosexuels étrangers d'adopter des enfants russes. Par ailleurs, selon la présidente de ce comité Elena Mizoulina, les enfants qui ont déjà été adoptés par des couples gays ne seront pas retirés de ces familles. (...)

    Rappelons qu'à l'heure actuelle les mariages gays sont officiellement autorisés en France, aux Pays-Bas, en Belgique, en Norvège, en Suède, au Portugal, au Danemark, au Canada, en Argentine, au Brésil, ainsi que dans 13 Etats américains. (...)

  • 80000 euros d'urgence pour la Syrie

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    AMALGAME-3_ombre-300x225.jpgAide à l'Eglise en Détresse - Père Halemba, responsable projets Moyen-Orient pour l’AED

    La situation est très difficile actuellement en Syrie : la violence et la haine ravagent le pays. Plus que jamais, les déplacés et les réfugiés ont besoin de notre aide. 

    Il n’y a plus aucun lieu qui soit sûr, même dans les campagnes. Les Syriens sont dans un dilemme permanent, entre partir et rester, entre confiance et désespérance.

    Mais l’Église en Syrie sème sans relâche l’espérance dans les cœurs des Syriens. Elle est très active par ses associations et ses mouvements. « Elle est présente partout dans la vie des Syriens, ce qui est important, surtout en ce moment. Les chrétiens syriens travaillent main dans la main avec leurs confrères musulmans pour ce qui est de l’aide humanitaire, dans l’amitié. Aider les chrétiens syriens en ce temps là, c’est aider tout syrien à découvrir la bonté en soi afin de montrer aux autres que le langage de l’amour est plus fort que celui des armes. »

    C’est ainsi que le P. Ziad Hilal, Jésuite à Homs, nous expose la situation en Syrie (juin 2013). Il ajoute que le nombre croissant d’enlèvements, les combats et les explosions constantes répandent l’anxiété et la crainte, surtout chez ceux qui ont fui Homs pour leur sécurité. “Cette année, l’hiver a été particulièrement rude, mais les gens ont stoïquement enduré le froid et attendent maintenant le printemps“. Il a distribué en un mois plus de 10 000 couvertures et oreillers, ainsi que plus de 3 000 paniers de nourriture. Il essaie de vivre aussi normalement que possible.

    Grâce aux généreux dons des bienfaiteurs de l’AED, nous avons aidé 500 familles de Homs à passer l’hiver. Mais elles ne représentent que quelques-unes des nombreuses personnes dans le besoin. Il y a en effet près de 4 millions de déplacés dans le pays. Nous aidons l’Église depuis des mois, qui a la confiance des chrétiens qui vivent dans l’angoisse, et qui leur apporte un soutien spirituel capital.

    Dans ce contexte, l’AED a promis de réunir 80 000 € dans l’immédiat pour une aide d’urgence à Homs, car l’été risque d’y être très difficile (épidémies et pénurie d’eau). Nous avons besoin de vous, merci de tout coeur !

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  • Liège, 23 juin : messe pour la route

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    Liège, 23 juin – Journée pour la route, Messe à S. Christophe et bénédiction

    Ce dimanche 23 juin, soit à quelques jours des nombreux départs en vacances, la traditionnelle « Messe pour la route » sera célébrée à 10h en l’église Saint-Christophe de Liège. Saint-Christophe est le patron des voyageurs et des conducteurs. La célébration, qui se tiendra en présence d’un représentant des forces de police liégeoise, invitera à une conduite responsable. L’assemblée priera tout particulièrement pour les victimes de la route, ainsi que pour celles et ceux qui veillent à la sécurité routière : force de police, SMUR, Croix-Rouge, protection civile, pompiers, etc. La cérémonie sera suivie de la bénédiction des conducteurs de voitures, motos, vélos… et autres moyens de locomotion dans la cour du collège Saint-Servais. A partir de 9h du matin, le parking de la cour du collège sera accessible pour les véhicules des participants (rue S. Gilles 104). Chacun est bienvenu.

    Contact pour la Pastorale urbaine: Eric de Beukelaer, curé-doyen, 0474/35.90.27 et e.debeukelaer@catho.be

  • BXL, 24-27 juin : Semaine de l'Espérance

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    979922_636295949731209_1871206304_o.jpgLa Semaine de lEspérance débute le 24 juin à Bruxelles

    La Semaine de lEspérance (Week for Hope) est organisée par la COMECE du 24 au 27 juin prochain par la COMECE pour célébrer le 10e anniversaire de Ecclesia in Europa. Il y a exactement dix ans, le 28 juin 2003, feu le pape Jean-Paul II publiait Ecclesia in Europa, une exhortation apostolique adressée aux peuples dEurope. Jean Paul II insistait sur le fait que lEglise en Europe (Ecclesia in Europa) devaitêtre une Eglise pour lEurope. La Semaine de lEspérance vise à redonner de lespoir à un moment très difficile où la vision des pères fondateurs est éclipsée par les conséquences dramatiques de la crise économique et par les spectres grandissants du nationalisme, du populisme et de la xénophobie.

    La Semaine de lEspérance s’ouvre le lundi 24 juin pour s’achever quatre jours plus tard, dans la soirée du jeudi 27 juin. Ce festival mettra sous les feux des projecteurs un certain nombre de saints, de bienheureux et d’hommes et de femmes aux vertus héroïques qui, par leur enseignement ou par l’exemple de leur vie, ont témoigné des vertus ou incarné des valeurs qui sont au cœur du rêve européen.

    Le programme de la Semaine de lEspérance comporte pendant quatre matins successifs un petit-déjeuner de prière à la Chapelle de l’Europe. A la une, le bienheureux Jerzy Popieluszko, la bienheureuse Hildegarde Burjan, Christian de Chergé (prieur de la communauté trappiste assassiné en Algérie) et St. Pedro Poveda, un pionnier espagnol de l’apostolat des laïcs.

    A la mi-journée, cette fois dans les bureaux du secrétariat de la COMECE, une série de quatre déjeuners-débat est conjointement organisée  par la COMECE et par un certain nombre d’ONG amies (CIDSE, El Kalima, UNIAPAC, Don Bosco International, etc). Là encore, ces conférences sont axées sur des saints ou des chrétiens renommés pour leurs grandes vertus, mais l’étude de leur vie servira de clé pour comprendre les grands sujets d’actualité à l’agenda politique de l’Union européenne : l’éducation des jeunes, l’éthique des affaires, la durabilité et la liberté de circulation pour les citoyens comme pour les migrants. C’est ainsi qu’à l’heure du déjeuner nous retrouverons deux cardinaux (John Henry Newman et Joseph Cardijn), une moniale (Hildegarde de Bingen) et deux prédicateurs (Bernardin de Sienne et Willibrord).

    A l’église des Dominicains, à dix minutes de marche des bâtiments du Berlaymont et du Charlemagne, deux débats sont programmés dans la soirée. Le prêtre sicilien récemment béatifié, don Pino Puglisi, qui a tenu tête à la Mafia et l’a payé de sa vie, nous invite à réfléchir au phénomène de la criminalité organisée et aux mesures que prend l’Union européenne pour la combattre. Le bienheureux Karl Leisner, un séminariste allemand qui a été élevé à la prêtrise par l’archevêque français Gabriel Piguet lors d’une ordination clandestine conférée à Dachau, nous fait mettre l’accent sur un ingrédient spirituel sans lequel la construction de la nouvelle Europe aurait été impossible : la réconciliation.

    La Semaine de lEspérance s’achève par une Messe pour l’Europe, avec le nonce apostolique auprès de l’Union européenne, Mgr Alain Lebeaupin, comme célébrant principal à l’Eglise de Notre-Dame du Sablon le soir du 27 juin.

  • Une nouvelle consécration de la Belgique au Sacré-Coeur ?

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    Source : Zenit.org

    L'archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard exprime son intention de renouveler la consécration de la Belgique à l'amour du Coeur du Christ.

    Mgr Léonard a en effet participé aux fêtes du Sacré Coeur, au sanctuaire des Apparitions à sainte Marguerite-Marie (1775), en France, à Paray-le-Monial (7-9 juin 2013), et il a répondu aux questions du Journal de Saône-et-Loire à cette occasion (http://www.lejsl.com/pays-charolais/2013/06/13/unir-le-coeur-de-dieu-au-coeur-humain-reste-l-essentiel-de-la-foi). L'archevêque a présidé la messe samedi 8 et dimanche 9 juin, et il participé a la procession du Saint-Sacrement dans les jardins du monastère de la Visitation, nomnastère où sainte Marguerite-Marie est entrée à 24 ans, et où elle a reçu les révélations du Christ sur l'amour de son Coeur (http://www.sanctuaires-paray.com/spip.php?article88).

    L'archevêque explique son attachement à la spiritualité du Coeur du Christ, transmise par la Compagnie de Jésus: "C’est au cours de mes années de collège chez les Jésuites de Namur, alors que l’on chantait Cœur de Jésus apprenez-nous à être généreux , que j’ai découvert cette dévotion. Puis ce fut plus tard la lecture du théologien Hans Urs Baltasar, qui par sa belle théologie du Sacré-cœur le plaçant au cœur du monde, que j’ai réellement approfondi cette démarche. Unir le cœur de Dieu au cœur humain reste l’essentiel de la foi, au-delà des grandes idées et des grands engagements."

    L'archevêque a consacré son diocèse au Sacré-Cœur, en 2011, à la basilique de Koekelberg, justement consacrée au Coeur du Christ, et le diocèse a effectué un grand pèlerinage à la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre, à Paris.

    Surtout, il annonce le renouvellement de la consécration de toute la Belgique: "Je souhaite à présent renouveler la consécration de la Belgique au Cœur de Jésus, certainement à Beauraing, lieu d’apparition de la Vierge Marie qui s’est montrée avec un cœur d’or. Le lien avec Paray-le-Monial est évident."

    A propos du pape François il ajoute: "Je ne le connaissais que très peu, j’apprends donc à le connaître au travers de ses paroles, de ses gestes et de ses attitudes qui sont le reflet de sa simplicité et de sa modestie. Je forme l’espoir que les réformes structurelles de la Curie puissent voir le jour, en particulier dans les différents liens ente dicastères. Il y a une lourdeur et un manque de communication qui freine le travail évangélisateur de l’Église."

    Enfin, toujours selon la même source, pour ce qui est de la mobilisation française en faveur de la famille, il y voit un exemple pour d'autres pays: "J’admire le combat mené, tant dans son obstination que dans son intelligence à défendre la grande idée qu’est celle de la famille humaine. Je suis impressionné par l’ardeur avec laquelle les chrétiens français se sont soulevés, dans la dignité et sans agressivité. Chapeau ! Cela sera sans doute un fait marquant de l’histoire chrétienne française et un support pour tous les autres pays".

  • BXL, 21 juin : "Tout est possible"; soirée de prière pour la guérison avec Mgr Léonard

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  • La seule révolution qui tienne selon François

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    De l'abbé Guillaume de Tanoüarn, sur Metablog :

    "Aujourd'hui, un chrétien, s'il n'est pas révolutionnaire, n'est pas chrétien !" a lancé le pape argentin aux milliers de participants du Congrès ecclésial du diocèse de Rome, par manière d'appel du 18 juin.

    De quelle révolution s'agit-il ? (...) c'est celle de la grâce, du Royaume qui vient, du salut qui nous est donné par le Christ. DONNE. Le salut n'est pas le fruit de nos misérables efforts, mais le don qui vient de la Passion du Christ. Voilà la première révolution chrétienne : donner ce que quiconque aurait cherché à vendre très cher : le Royaume pour tous les hommes de bonne volonté. Les curés ont toujours cherché à compliquer les choses, mais c'est donné. Si nous l'oublions, nous sommes ce que le pape appelle des pélagiens (voir François se dévoile un petit peu).

    Ce don gratuit est bouleversant (adjectif synonyme de révolutionnaire). C'est ce qui, au cours de l'histoire du monde, a le plus contribué à changer les hommes. Je caractériserais ce changement de deux manières : l'individu humain est devenu une personne, c'est-à-dire un être responsable (de son salut justement) et libre (d'imiter le Christ). Deuxième changement : les coeurs. Au lieu de se laisser manipuler par toutes les convoitises, ils doivent s'ouvrir à la divine charité. Différence ? La convoitise prend, la charité donne, puisqu'elle est elle-même le premier fruit du don gratuit de Dieu.

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  • Pourquoi ne pas prendre un an de réflexion pour fonder sa vie sur des repères solides?

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    logo.pngLes jeunes qui terminent l'année de formation à l’Institut Sophia de Bruxelles, nous disent combien un nouvel horizon s'ouvre pour leur vie !


    Nous pensons déjà à la préparation de la promo 2013-2014 pour que d’autres jeunes puissent faire la même expérience.


    Afin d’aider les futurs candidats à discerner la réponse à la question " Pourquoi ne pas prendre un an de réflexion pour ma vie ? ", nous accueillons par mail et téléphone toutes les questions relatives à l'année Sophia.


    Si vous avez entre 18 et 28 ans et que cette question vous interpelle  (ou même, vous avez un ami, frère, enfant que cela pourrait interpeller ), voici nos coordonnées directes:

    institutsophia@yahoo.fr  -Tél: +32 ( 0 ) 477 042 367

  • Le brasier syrien mettra-t-il le feu à tout le Moyen-Orient ?

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    La Nuova Bussola Quotidiana (Giorgio Bernardelli) souligne la dangerosité du conflit syrien qui risque d'embraser tout le Moyen-Orient. Le pape qui plaide pour un cessez-le feu et une paix négociée en est conscient, mais les Etats-Unis, la France et d'autres pays occidentaux voudraient à tout prix jeter de l'huile sur le feu en soutenant et en armant les forces syriennes insurgées...

    Du drame qui se déroule en Syrie, il est un aspect que nous avons encore du mal à comprendre en profondeur. Et c'est combien cette guerre - par-delà même le prix déjà inacceptable de ses 93.000 morts (selon les chiffres officiels) - est en train de créer des conséquences extrêmement graves également dans tous les pays voisins. Avec des implications qui pourraient fonctionner comme déclencheurs de nouveaux conflits dans des pays qui reposent toujours sur des équilibres très fragiles. 

    Le cas le plus frappant est celui du Liban: dimanche, le patriarche maronite Béchara dimanche Rai a présidé, au sanctuaire de Harissa, un acte de consécration du Liban et de tout le Moyen-Orient au Coeur Immaculé de Marie. Un geste qu'il est vraiment difficile de classifier comme relevant d'une dévotion facile: la situation dans le pays du Cèdre se fait chaque jour plus tendue. Et la participation massive des milices du Hezbollah aux côtés des forces du président syrien Assad dans la bataille pour la reprise de Qusair, a encore exacerbé l'affrontement avec les forces de l'islam sunnite qui soutiennent les rebelles. La rumeur veut que dans la bataille de Qusair - remportée par les forces loyalistes - un frère du dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, ait perdu la vie. Et il y a même un journaliste arabe qui prétend avoir vu Nasrallah en personne, complètement camouflé, sur le champ de bataille.

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  • Le cardinal Rai a consacré le Liban et l'ensemble du Moyen-Orient au Coeur Immaculé de Marie

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    Consécration de la Nation libanaise au Cœur immaculé de Marie par le Patriarche d’Antioche des Maronites (news.va)

    Harissa – Le Patriarche d’Antioche des Maronites, S.B. le Cardinal Boutros Bechara Rai, a consacré le Liban et l’ensemble du Moyen-Orient au Cœur immaculé de Marie, priant afin que tous les peuples de la région soient libérés « des péchés qui portent à des divisions, à des agressions et à la violence ». L’acte solennel de consécration a eu lieu hier, Dimanche 16 juin, au travers de la récitation d’une supplication lue en marge de la Messe présidée par le Patriarche au sanctuaire national de Notre-Dame du Liban d’Harissa, en présence du Président libanais, le Général Michel Suleiman, et du Premier Ministre désigné, Tammam Salam. Tout autour de la Basilique était présente une multitude de fidèles, rassemblés pour demander, au travers de cet acte de consécration, que le Pays des cèdres ne soit pas ruiné par la contamination des conflits sectaires qui déchirent la Syrie.Au cours de l’homélie, S.B. le Cardinal Boutros Bechara Rai a associé les musulmans à l’acte de consécration, rappelant que le Liban est le seul pays dans lequel la Solennité de l’Annonciation, le 25 mars, est célébrée à la fois par les chrétiens et par les musulmans en tant que fête nationale. Le Patriarche a également sollicité l’urgence d’une réconciliation entre les forces politiques et en particulier entre les deux coalitions opposées –celle du 8 mars et celle du 14 mars – qu’il a stigmatisé pour avoir compromis « l’image du Liban et sa coexistence », en paralysant les institutions et en poussant le peuple libanais à s’impliquer dans le conflit syrien. Le Chef de l’Eglise maronite a également réaffirmé son plein soutien au Président Suleiman et a qualifié l’Armée libanaise d’unique légitime « protecteur » du Liban.

  • Une fracture de plus en plus sensible entre la population et ses représentants

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    Europe : la fracture entre élus et population (zenit.org)

    Pour un certain nombre de sujets d’actualité en Europe – tels la « manif pour tous » – une « fracture » se dessine « entre la démocratie représentative (les élus) et la démocratie participative (la population qui ne se sent pas représentée) » et cela montre que « le débat social est extrêmement nécessaire » tout en posant « de nouveaux défis pour l'Église ».

    C’est la conviction des porte-parole et des attachés de presse du Conseil des conférences épiscopales d'Europe (CCEE), qui se sont réunis du 12 au 15 juin 2013, à Bucarest, en Roumanie, sous le signe des dix ans de l'exhortation apostolique « Ecclesia in Europa ».

    Selon un communiqué, le Prof. Andrea Pin, chercheur et professeur associé de droit constitutionnel, Mgr Piotr Mazurkiewicz, official du Conseil pontifical pour la famille et le Prof. Manfred Spieker, professeur de sciences sociales, sont intervenus.

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  • L'homme, fin ultime de l'économie et de la politique

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    G8 : le pape plaide pour "un changement d'attitude courageux" (zenit.org)

    La fin est la personne humaine

    « Les différents défis économiques et politiques graves auxquels est confronté le monde d'aujourd'hui exigent un changement d'attitude courageux qui redonne leur juste place à la fin (la personne humaine) et aux moyens (économiques et politiques) », écrit le pape François à David Cameron, dans le cadre du G8.

    Le pape répond en effet à une lettre que lui a adressée le premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron, pour l’informer de l’agenda de la présidence britannique du G8 2013 et du Sommet qui se déroule à Lough Erne (Irlande du nord) les 17 et 18 juin 2013.

    Il rappelle que « l'objectif de l'économie et de la politique est de servir l'humanité, à commencer par les plus pauvres et les plus vulnérables, où qu'ils soient, même dans le ventre de leurs mères. Toute théorie ou action économique et politique doit commencer par fournir à chaque habitant de la planète les ressources minimum pour vivre dans la dignité et la liberté, ainsi que la possibilité de subvenir aux besoins d’une famille et à l'éducation des enfants, de louer Dieu et de développer son potentiel humain ».

    Le pape fait aussi observer que le « contexte indispensable » au développement de projets politiques et sociaux comme la protection des femmes, des enfants et d'autres victimes innocentes, le problème de la faim, est « la paix internationale ».

    Il exprime son souhait « que le Sommet permette d'obtenir un cessez-le-feu immédiat et durable et d'amener toutes les parties en conflit à la table des négociations » au Moyen-Orient.

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