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  • Pas de miséricorde pour la Curie ?

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    Via le Salon Beige, mais en réalité mis en ligne par les soins de notre vigilante amie du site Benoit-et-moi : 

    Pas de miséricorde pour la Curie

    Dans le JDD, Nicolas Diat, l'auteur de "L'homme qui ne voulait pas être Pape"analyse le violent discours du pape François à la Curie :

    "Comment interpréter la salve du pape François contre la curie? Est-ce une déclaration de guerre?

    C'est le signe d'un malaise profond qui s'épaissit au fil des mois. Il faut se souvenir que, l'année dernière lors du même exercice. François avait déjà dénoncé les « bavardages» à l'intérieur de la curie. Quelques semaines auparavant, il avait même demandé à la gendarmerie du Vatican de faire cesser ces commérages. Le retentissement de cette « correction fraternelle » assez sèche avait cependant été moindre. Ce qui est impressionnant cette fois, c'est le catalogue des quinze maladies. Benoît XVI consacrait cette séance des voeux à faire la synthèse des voyages effectués au cours de l'année, il en tirait un certain nombre d'enseignements et de conclusions. A part la traditionnelle et brève introduction du doyen, le cardinal Sodano, le style a aujourd'hui changé...

    Quelles seront les conséquences d'un tel discours?

    Il laissera des traces profondes, même s'il n'aura aucune conséquence à court terme. Le pape aime la provocation, il est volontiers dans l'outrance, c'est sa nature. Sur la centaine de convives, personne n'a fait de commentaires pour répondre au pape. Ces quinze maladies curiales, dont certaines relèvent presque de la psychiatrie, énoncées tel un syllabus, n'ont suscité aucune réaction, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas une incompréhension, une lassitude. Le plus dommageable, c'est qu'il n'a pas eu un mot pour les personnes extraordinaires de la curie, et elles existent. Des religieuses dont personne ne parle mais qui servent leur dicastère avec une abnégation totale... Ces accusations à la limite de la diffamation ont blessé.

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  • Le pape déplore la faible natalité et plaide en faveur de la famille nombreuse

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    De zenit.org (Anne Kurian) :

    "L'Etat a tout intérêt à investir en faveur des familles nombreuses"

    La famille nombreuse « est une cellule riche, vitale » de la société, et « l’Etat a tout intérêt à investir en sa faveur », déclare le pape François.

    Le pape a rencontré des centaines de familles nombreuses venues d’Italie et de toute l’Europe, pour la fête de la Sainte Famille, ce 28 décembre 2014, au Vatican. Cette rencontre avait lieu à l’occasion de l’Assemblée de l’Association italienne des familles nombreuses – née à Brescia dans le Nord de l’Italie – qui fête ses 10 ans.

    Après l’introduction de Mgr Vincenzo Paglia, président du Conseil pontifical pour la famille, et le témoignage de membres de familles nombreuses, le pape a adressé un discours aux participants réunis dans la salle Paul VI : « On voit que vous aimez la famille et que vous aimez la vie ! », leur a-t-il déclaré.

    Il les a remerciés pour leur exemple « d’amour de la vie, que vous protégez de sa conception jusqu’à sa fin naturelle », malgré les difficultés « que les institutions publiques n’aident pas toujours à porter ». Il a rappelé « que la Constitution italienne, à l’article 31, demande une attention particulière pour les familles nombreuses ». Mais, a-t-il déploré, « cela ne se vérifie pas vraiment dans les faits : cela reste seulement des paroles ».

    Evoquant « la faible natalité enregistrée depuis quelque temps en Italie », le pape a plaidé pour « une plus grande attention de la politique et des administrations publiques » afin de soutenir les familles nombreuses : « chaque famille est cellule de la société, mais la famille nombreuse est une cellule plus riche, plus vitale, et l’Etat a tout intérêt à investir en sa faveur ! ».

    Pour le pape, la mission des parents est d’accueillir la maternité et la paternité comme don de Dieu et de les faire « resplendir dans la société ». Il s’agit aussi de savoir « s’étonner » devant ce don : « Chacun de vos enfants est une créature unique qui ne se répétera jamais plus dans l’histoire de l’humanité. Quand on comprend que chacun a été voulu par Dieu, on s’étonne de ce grand miracle qu’est un enfant… un miracle qui change une vie ».

    Le pape s’est ensuite adressé aux enfants : « chacun de vous est un fruit unique de l’amour... Vous êtes uniques, mais pas seuls ! Il est bon d’avoir des frères et sœurs : les fils et les filles d’une famille nombreuse sont plus capables de communion fraternelle dès la petite enfance. »

    « Dans un monde souvent marqué par l’égoïsme, la famille nombreuse est une école de solidarité et de partage ; et ces attitudes bénéficient ensuite à toute la société », a ajouté le pape, pour qui « la présence des familles nombreuses est une espérance pour la société ». Il a encouragé également les grands-parents, « racines » de la famille, « présence précieuse tant pour l’aide pratique que pour l’apport éducatif » : « les grands-parents sont gardiens des valeurs d’un peuple, d’une famille, et aident à transmettre la foi ». Afin de « promouvoir dans la société et dans les lois de l’Etat les valeurs et les nécessités de la famille », le pape a invité à former des réseaux « capables d’être présents et visibles dans la société et la politique ».

    Enfin, il a prié en particulier « pour les familles les plus éprouvées par la crise économique, celles où le papa ou la maman ont perdu leur travail, où les jeunes ne réussissent pas à en trouver ; pour les familles tentées par la solitude et la division ».

  • Le Nunc Dimittis de Mgr Léonard

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    Mgr A-J Léonard a ordonné ce dimanche un nouveau diacre pour la Fraternité des Saints Apôtres, dans l'église Sainte-Catherine. Le nouveau diacre, l'abbé Kurt Suenens, est originaire du Brabant flamand. Il était passé par le séminaire de Leuven, avant de rejoindre la Fraternité du Père Zanotti-Sorkine. 

    Au cours de son homélie, Mgr Léonard a développé le thème du "Nunc Dimittis" de Syméon (évangile du jour), expliquant qu'il espérait que le Seigneur lui dise à lui - son serviteur - qu'il pouvait désormais se reposer en paix. Mgr Léonard a cité comme exemple du travail accompli, le boom des séminaristes dans l'archidiocèse : 3 quand il est devenu archevêque, 53 aujourd'hui ! 

    Comme un pied-de-nez à ceux qui prévoient déjà son remplacement, Mgr Léonard a expliqué qu'il pouvait peut-être rester encore 1, 2 ou 3 ans à la tête de l'Eglise en Belgique. Avec humour, il s'est lancé dans une imitation du général De Gaulle lorsqu'on l'interrogeait sur la fin du gaullisme : "Encore 10 ans, encore 20 ans, encore 30 ans".

    Extrait de son homélie :

    "Maintenant, ô Maître souverain, Tu peux laisser Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que Tu préparais à la face des peuples.  En ce qui me concerne, je suis très heureux que nous ayons cette année, se préparant à devenir prêtre, pour le diocèse, qu'il soit belge ou brésilien ou polonais, ou que sais-je.  (...) nous en avons actuellement 53 qui se préparent à devenir prêtre.  Quand j'ai commencé mes visites du diocèse il y en avait 3. (le 8/10/2010).  Et grâce à la générosité de jeunes qui s'engagent pour le diocèse, ils sont maintenant 53.  La fraternité (des Saints Apôtres) a commencé il y a deux ans.  Ils sont maintenant 21 en tout, 4 prêtres, bientôt dans quelques instants deux diacres, et puis d'autres qui se préparent, et si cela continue comme cela, moi je dis, comme Syméon, maintenant Seigneur tu peux laisser ton serviteur s'en aller en paix (rires).  Je ne sais pas quand je partirai, cela peut être dans un an, çà peut être dans deux ans, çà peut être dans trois ans, ou comme disait De Gaulle- quand on l'interrogeait sur l'après Gaulisme - il ajoutait avec humour, cela peut être dans 5 ans, cela peut être dans 10 ans.  Je n'en sais rien, mais quand le moment arrivera, si cette oeuvre a continué de prospérer, je pourrai aussi chanter mon Nunc Dimitis, en laissant au diocèse en tous cas ce cadeau-là : avoir un bon nombre de jeunes qui se préparent à devenir prêtre.  Et c'est le principal : les évêques, cela passe, mais le peuple de Dieu et les hommes et les femmes qui s'engagent, l'avenir d'un diocèse, lui ne passe pas."

  • Belgique : le frère Cochinaux élu prieur provincial

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    Le frère Philippe Cochinaux a été élu prieur provincial de la nouvelle vice-province de Belgique de l'Ordre des prêcheurs (dominicains). Il avait déjà été prieur il y a quelques années, avant d'être remplacé par le fr. Michel Van Aerde, qui venait de la province dominicaine de Toulouse (plus "classique"). Il est certain que le RP Cochinaux sera réélu; il préside donc aux destinée des dominicains de Belgique pour huit ans.

    Il est assez connu des francophones pour l'émission "Il était une Foi" qu'il anime sur la RTBF, rituellement revêtu de la veste autrichienne qu'il semble préférer à l'habit blanc des dominicains.

    http://www.dominicains.be/index.php/fr/item/provincial

  • La quatrième demande du Pater : quel pain demandons-nous?

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    Extrait du magazine trimestriel « Vérité et Espérance/Pâque Nouvelle », n° 93, Noël 2014 publié par l’association « Sursum Corda » (responsable de l’église du Saint-Sacrement à Liège)

    LA QUATRIÈME DEMANDE DU PATER

    Cf. Mt 6, 11 ; Lc 11, 3

    COMPLÉMENTS 

    Les quelques considérations qui suivent prolongent celles qui étaient proposées sous le titre « Pain et Trinité » (V & E- Pâque Nouvelle n° 91), concernant le pain que nous demandons chaque jour dans l’oraison dominicale.

    1

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    « Ne vous souciez pas, pour votre vie,

    de ce que vous mangerez... » Mt 6,25

    Le pain naturel, et plus généralement, représentés aussi par lui, les biens matériels dont nous avons besoin, il semble, à première vue, que sainte Thérèse d’Avila ne veuille pas qu’on les demande : « Notre Maître est et sera toujours riche et puissant. Il ne conviendrait donc pas que nous, ses serviteurs, nous lui demandions de quoi manger ; nous savons bien que notre Maître y veille et y veillera encore. » (Le chemin de la perfection, ch. 36) Mais à lire la suite, on peut comprendre que la recommandation s’adresse plus spécifiquement surtout à ses religieuses, puisqu’elle ajoute : « Ainsi donc, mes sœurs, demande qui voudra de ce pain matériel ! » (Ibidem)

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  • Jésus et les pharisiens : une réflexion pour le dimanche de la Sainte Famille

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    En ce dimanche dédié à la Sainte Famille, Denis Crouan publie  cette réflexion sur son site « Pro Liturgia » :

    jesus_10 (1).jpg« Au cours du Synode sur la famille, on a vu se dégager deux tendances. La première était celle des évêques désireux d’assouplir certaines règles concernant la communion aux divorcés-remariés ; la seconde, celle des évêques désireux d’en rester à la pratique actuelle. On a entendu des tenants de la première tendance traiter les tenant de la seconde de “pharisiens”, au motif qu’ils étaient fermés à l’amour et à la compassion qu’on trouve dans les enseignements de Jésus. Accusation assez facilement reprise par des journalistes peu au fait de la doctrine et de la théologie.

    Accusation assez curieuse, aussi, quand ont sait que dans les Evangiles, ceux qui sont présentés comme étant ouverts au divorce et au remariage sont précisément les... Pharisiens !

    Reprenons quelques passages de l’Ecriture : Mat. 19, 1-9 : « Or, quand Jésus eut achevé ces discours, il quitta la Galilée et vint dans le territoire de la Judée, au delà du Jourdain. Des foules nombreuses le suivirent, et là il guérit leurs malades. Des Pharisiens l’abordèrent pour le mettre à l’épreuve, et dirent : “Est-il permis à l’homme de répudier sa femme pour quelque motif que ce soit ?” Il répondit : “N’avez-vous pas lu que celui qui (les créa), au commencement, les fit mâle et femelle, et qu’il dit : A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni !” Ils lui dirent : “Pourquoi donc Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de divorce et de la répudier ?” Il leur dit : “C’est à cause de votre dureté de cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes : mais, au commencement, il n’en fut pas ainsi. Or je vous dis que celui qui répudie sa femme, si ce n’est pour adultère, et en épouse une autre, commet un adultère.” »

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  • La prière du pape François à la Sainte Famille

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    24207137-1.jpgRéveiller en tous la conscience du caractère sacré et inviolable de la famille, sa beauté dans le projet de Dieu. Voici la prière du Pape François à la Sainte Famille, célébrée le dimanche 29 décembre. (source)

    Jésus, Marie et Joseph,
    en vous nous contemplons
    la splendeur de l’amour véritable,
    à vous nous nous adressons avec confiance.
     
    Sainte Famille de Nazareth,
    fais aussi de nos familles
    des lieux de communion et des cénacles de prière,
    des écoles authentiques de l’Évangile
    et des petites Églises domestiques.
     
    Sainte Famille de Nazareth,
    que jamais plus dans les familles on fasse l’expérience
    de la violence, de la fermeture et de la division :
    que quiconque a été blessé ou scandalisé
    connaisse rapidement consolation et guérison.
     
    Sainte Famille de Nazareth,
    que le prochain Synode des Évêques
    puisse réveiller en tous la conscience
    du caractère sacré et inviolable de la famille,
    sa beauté dans le projet de Dieu.
     
    Jésus, Marie et Joseph
    écoutez-nous, exaucez notre prière.

  • Juger…ne pas juger : le piège de la miséricorde

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    PN 93 255.jpgExtrait de "Vérité et Espérance/Pâque Nouvelle", n° 93, Noël 2014, édité par l'association "Sursum Corda" (responsable de l'église du Saint-Sacrement, au Boulevard d'Avroy à Liège):

    « Dans les esprits les mieux disposés, une grave confusion règne depuis longtemps à propos de la faculté de juger. Combien de fois n’avons-nous pas entendu un plus ou moins sentencieux : “Tu ne peux pas juger !”, trancher d’autorité toute discussion autour d’un constat évident voire d’une simple appréciation. On pourrait rétorquer : “En m’accusant de juger, tu portes à ton tour un jugement sur moi ; pourquoi fais-tu toi-même ce que tu m’interdis ?” On voit ainsi que notre vie quotidienne est faite d’un nombre incalculable de ces actions de l’intelligence qu’on appelle jugements : choisir ses mots avant de parler, critiquer un livre, acheter cet objet ou pas, prendre ce chemin ou un autre... On comprend que l’interdit de juger mentionné plus haut se confond dans le sens commun avec un interdit de condamner, mais cette acception est déjà un abus de sens, car juger c’est d’abord peser, estimer, jauger et pas forcément condamner, sachant que tout jugement peut déboucher aussi sur un acquittement et une libération.

    Cette confusion – qui crée un grave obscurcissement de la pensée - est due pour une grande part aux diverses définitions du mot jugement. En effet, ce même mot recouvre en français (et dans la plupart des langues européennes) plusieurs sens différents et complémentaires qu’il convient de départir pour mieux les comprendre et circonscrire leur champ d’application.

    Le jugement est à la fois une faculté (le pouvoir de l’entendement et du goût), un acte (un processus de décision) et le résultat d’un acte de décision (une proposition, une sentence). Or, ces activités ne sont désignées que par un seul mot : juger. Quand le philosophe Emmanuel Kant (1724-1804) disserte sur la faculté de juger, il n’entend pas donner des leçons aux juges d’instruction, mais décrire comment la réalité se présente à l’intelligence au moyen de l’observation et des mots. René Descartes (1596-1650) distinguait, quant à lui, la puissance de connaître (l’intelligence) et la puissance d’élire (la volonté), c’est-à-dire la capacité à porter librement des jugements sur ce que l’entendement permet de connaître. Ces questions philosophiques sont passionnantes et ont été largement traitées dans de savants ouvrages. Nous nous contenterons de présenter ici quelques exemples concrets qui vont éclairer la toute-puissance despotique du “Tu ne peux pas juger”.

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  • La majorité des évêques allemands favorables à l’accès aux sacrements des divorcés remariés

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    La Conférence des évêques allemands vient de publier, dans un fascicule regroupant des textes du synode sur la famille, le rapport final de leur groupe de travail sur l’accompagnement des divorcés remariés. Adopté « à une large majorité », il prévoit leur accès « sous conditions » aux sacrements de l’Eucharistie et de la réconciliation. D’Anne-Bénédicte Hoffner dans le journal « La Croix » :

    Après l’achèvement de la troisième assemblée générale extraordinaire du Synode des évêques sur « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », la Conférence des évêques allemands publie un fascicule intitulé « Textes et documents sur le synode des évêques 2014 », annonce un communiqué publié lundi 22 décembre sur son site Internet.

    Celui-ci regroupe un certain nombre de textes romains sur le synode (dont la traduction en allemand de la « relatio synodale qui est une partie du document préparatoire du Synode des évêques en 2015 »), mais aussi plusieurs contributions des évêques allemands eux-mêmes.

    Parmi ces dernières figure la réponse de la conférence épiscopale allemande au questionnaire adressé par le secrétariat du Synode en octobre 2013 à tous les diocèses, la campagne de communication de l’Église catholique allemandes sur le thème « Faites-vous confiance! Dix bonnes raisons de se marier ». Mais surtout le fascicule – à commander en version papier ou téléchargeable en version électronique – publie le rapport, inédit jusqu’ici, d’un groupe de travail interne à la conférence épiscopale intitulé « Voies théologiquement responsables et pastoralement adaptées pour un accompagnement des divorcés remariés ». Un rapport final qui a été présenté et adopté en conseil permanent le 23 juin 2014 (1).

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  • Prier pour tous ceux qui sont persécutés à cause de leur foi chrétienne

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    Lu sur Zenit.org (Anita Bourdin) :

    Priez pour ceux qui sont persécutés à cause de la foi chrétienne
    Appel du pape François dans un tweet et à l'angélus

    "Aujourd’hui, prions pour tous ceux qui sont persécutés à cause de la foi chrétienne", demande le pape François dans le tweet de ce 26 décembre posté sur son compte @Pontifex_fr .

    Le pape a renouvelé cette iinvitation à la prière pour les chrétiens persécutés et tués pour leur fidélité au Christ avant l'angélus de ce 26 décembre, en la fête de Saint-Etienne, en disant: ""Aujourd'hui, frères et soeurs, prions de façon particulière pour ceux qui sont discriminés, persécutés et tués en raison du témoignage rendu au Christ. Je voudrais dire à chacun d'eux: si vous portez cette croix avec amour, vous êtes entrés dans le mystère de Noël, vous êtes dans le coeur du Christ et de l'Eglise."

    Le pape a lancé cet appel au respect de la liberté religieuse partout dans le monde: "Prions en outre pour que, grâce au sacrifice des martyrs d'aujourd'hui (ils sont tellement, tellement nombreux), se renforce dans toutes les régions du monde l'engagement à reconnaître et assurer concrètement la liberté religieuse, qui est un droit inaliénable de toute personne."

    Des dimensions autrefois inimaginables

    Le pape évoque ces persécutions dans sa lettre, publiée mardi dernier, 23 décembre, aux chrétiens du Moyen-Orient.

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  • Mgr Bonny, probable (?) successeur de Mgr Léonard, en contradiction avec l'enseignement de l'Eglise

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    C'est ce que l'on peut déduire à la lecture de cette information publiée sur le site de lalibre.be ce matin :

    L'évêque d'Anvers veut une reconnaissance ecclésiastique des relations homosexuelles

    L'évêque d'Anvers Johan Bonny plaide samedi, dans De Morgen, pour une reconnaissance ecclésiastique des relations bi- et homosexuelles. Il remet ainsi en question le dogme selon lequel l'Eglise catholique ne reconnaît que les relations homme-femme. 

    Avec ce plaidoyer, Johan Bonny est l'un des premiers dirigeants de l'Eglise belge à briser le monopole absolu du mariage homme-femme. "Nous devons chercher au sein de l'Eglise une reconnaissance formelle de la relationnalité qui est également présente chez de nombreux couples bi- et homosexuels. Tout comme il existe dans la société une diversité de cadres juridiques pour les couples, il devrait également y avoir une diversité de formes de reconnaissance au sein de l'Eglise." 

    L'évêque d'Anvers, très probable successeur de Mgr Léonard, qui partira à la pension en 2015, estime que les couples bi- et homosexuels doivent pouvoir obtenir une bénédiction ecclésiastique.

    Voir également :

    Lettre ouverte à Monseigneur Bonny : BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../lettre-ouverte-a-monseigneur-bonny-54450...
     
    11 sept. 2014 - Nous avons relaté (ici : « le manifeste de l'évêque d'Anvers ») la publication de la lettre publique adressée par Mgr Bonny aux autorités de ...

     

    Ethique familiale et sexuelle : le manifeste de l'évêque d ...

    belgicatho.hautetfort.com/.../ethique-familiale-et-sexuelle-le-manifeste-d...
     
    4 sept. 2014 - L'évêque d'Anvers, Mgr Johan Bonny - dont on a déjà pu apprécier certaines prises de position par le passé (ici et là) - est souvent cité comme ...

     

    L'évêque d'Anvers en remet une couche : BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../l-eveque-d-anvers-en-remet-une-couche.ht...
     
    8 avr. 2012 - Décidément, l'évêque d'Anvers Johan Bonny aime s'épancher dans les médias. Voici quelques semaines, il avait communiqué dans la presse ...

     

    Mgr Bonny et la pièce de Romeo Castellucci : BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../mgr-bonny-et-la-piece-de-romeo-castellucci...
     
    20 févr. 2012 - Un ami - que nous remercions - a bien voulu traduire pour nous l'article de Mgr Bonny paru dans la presse flamande il y a une quinzaine de ...

     

    L'évêque de Passau répond à l'évêque d'Anvers - Belgicatho

    belgicatho.hautetfort.com/.../l-eveque-de-passau-repond-a-l-eveque-d-an...

    21 sept. 2014 - Je tiens d'abord à remercier Mgr Bonny qui énumère les sujets discutés,
  • François : entre adhésion et perplexité

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    Tel est le sentiment que le pape suscite chez le journaliste bien connu Vittorio Messori qui le confie aux lecteurs du Corriere della Sera. Plus d'un visiteur de belgicatho aura deviné que nous n'échappons pas à cette perplexité et que nous nous retrouvons assez bien dans les propos du très prudent chroniqueur italien, propos que l'on pourra lire, traduits par les soins de notre amie du site "Benoît et moi", ici : http://benoit-et-moi.fr/2014-II/actualites/franois-ce-que-dit-messori.html.