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... est à découvrir sur Fides.org :
C'est Le Vif qui l'annonce aujourd'hui :
Depuis la révélation des scandales de pédophilie au sein de l'Eglise catholique, les procédures de débaptisation continuent d'augmenter en Belgique.
En 2011, 1.800 personnes ont demandé leur radiation des registres de baptêmes de l'Eglise catholique, soit quatre fois plus qu'en 2009, l'année précédant l'affaire Roger Vangheluwe, ancien évêque de Bruges ayant reconnu des faits d'abus sexuels sur deux de ses neveux. Ces chiffres demeurent cependant bien en dessous du nombre annuel de baptisés, qui s'élève à 60.000.
Cela ne nous étonne pas vraiment même si cela nous attriste bien évidemment. On parle beaucoup de nouvelle évangélisation et d'une "chance" historique pour les laïcs d'aujourd'hui de se prendre en main. Mais qui ces discours relevant de la méthode coué satisfont-ils vraiment? Pour être vraiment crédibles en ces temps de dénigrement universel, les croyants devraient être des héros et des saints, tout sauf des tièdes. Surtout pour pouvoir faire face à une culture diffuse de plus en plus hostile au christianisme comme on le souligne ici :
L'intolérance antichrétienne se propage en Occident
Dans le cadre du cinquantième anniversaire de la Constitution Veterum Sapientia, sur l’emploi et la préservation du latin dans l’Église (constitution promulguée le 22 février 1962 par Jean XXIII, et signée par lui sur l’autel de Saint-Pierre, pour montrer toute l’importance qu’il lui accordait), le Pontificium Institutum Altioris Latinitatis de l’Université Pontificale salésienne a eu la bonne idée de regrouper dans un même volume l’ordo missæ de 1970 (forme ordinaire de la messe) et celui de 1962 (forme extraordinaire de la messe). Édité par les éditions Messaggero (Padoue), cet ouvrage, intitulé Eucharisticum Mysterium, présente le texte latin en face du texte italien. En ouverture de ce livre figure une introduction de Monseigneur Guido Marini, Maître des Célébrations liturgiques pontificales, sur laquelle le site Paix Liturgique attire l’attention de ses lecteurs :
LE TEXTE DE MONSEIGNEUR MARINI
2010 a marqué l’anniversaire de deux anniversaires importants : les 40 ans de la promulgation du Missel de Paul VI (1970) et les 440 ans de celle du Missel de saint Pie V (1570). Comme on le sait, par le Motu Proprio Summorum Pontificum du 7 juillet 2007, Benoît XVI a établi qu’existent, sous certaines conditions, deux modalités de célébration de l’Eucharistie : la forme ordinaire (celle de Paul VI) et la forme extraordinaire (celle de saint Pie V, selon le Missel promulgué en 1962 par le Bienheureux Jean XXIII).
Dans le récent numéro (juin 2012) des Pastoralia de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles, Mgr Léonard rappelle sous quelles conditions la conscience personnelle est la norme du comportement moral des personnes. Son propos est reproduit sur le site didoc.be le samedi 18 août :
La loi morale, fondée ultimement en Dieu et reconnue activement par notre raison, doit toujours être mise en œuvre par notre engagement libre. Nous ne sommes pas que raison pure. Nous sommes aussi une liberté unique. Entre la voix de la raison en moi et ma conscience individuelle il y a donc une distance que doit combler mon jugement « pratique » (orienté vers l’action), guidé par la vertu de prudence ou de discernement : « Moi, concrètement, je dois, en telle situation, faire ceci et éviter cela ». Ainsi comprise, la conscience personnelle est la norme subjective de la moralité de nos actes, c’est-à-dire la norme morale telle qu’elle retentit dans la conscience unique de chacun. En effet, aussi objective soit-elle, la valeur morale ne peut s’adresser à moi et m’obliger qu’en passant à travers les évidences et les opacités de ma conscience personnelle. C’est forcément tel que je le perçois que le bien objectif m’interpelle. En ce sens, la norme subjective de la moralité est la règle ultime de la vie morale. À tel point que si, de bonne foi et sans faute de ma part, je me trompe dans mon jugement moral, j’agis moralement bien alors même que je pose un acte objectivement répréhensible.
Dire que j’agis bien quand j’agis conformément à ma perception du bien ou, en d’autres termes, reconnaître que la raison pratique ne m’oblige qu’à travers le prisme de ma conscience personnelle pourrait sembler conduire au subjectivisme et nous conduire aux impasses d’une pure morale de la sincérité. Il n’en est rien. Ma conscience est, certes, la norme subjective ultime de ma vie morale, mais à la condition expresse que je cherche honnêtement à rejoindre les exigences objectives de la loi naturelle. Agir autrement reviendrait à considérer que le sujet est l’auteur même de la valeur morale. Or ma conscience est bien le juge qui apprécie en dernière instance la valeur, mais elle n’est pas pour autant son fondement ! Un peu comme en droit un juge apprécie, en dernière analyse, le comportement d’un prévenu, mais sans être la source du code qui inspire son jugement.
Pour être dans la vérité (et pas seulement dans la sincérité) et faire effectivement le bien, je dois donc éclairer ma conscience et l’éduquer afin que mon jugement personnel se rapproche autant que possible du jugement idéal de la raison droite, se soumette ainsi à la loi morale et, de la sorte, se conforme à la volonté de Dieu. Comme chrétiens, nous aurons donc à nous laisser éclairer non seulement par notre réflexion, mais encore par l’enseignement de Jésus, du Nouveau Testament et de l’Église. À cette condition seulement, je puis dire que j’agis bien si je me décide à l’action selon ma conscience.
Pour le dire autrement, le sujet ne mesure la valeur morale à mettre en œuvre par sa liberté qu’en se laissant d’abord mesurer par elle. Il est son ultime juge, mais non son auteur. De ce point de vue, j’ai toujours trouvé légère l’attitude des Conférences épiscopales qui, après la parution de l’encyclique Humanae Vitae, ont laissé entendre que chacun pouvait agir selon sa conscience (y compris contre l’appel lancé par Paul VI) à la condition d’être bien informé sur la question et, sur base de cette compétence, de s’être forgé une opinion contraire. Mais, en morale, il ne s’agit jamais seulement d’être bien « informé », mais de se laisser « former » par la Parole de Dieu et par le Magistère de l’Église.
Voir ici : La conscience personnelle: dernier juge en matière morale?
C'est ce qu'il semble, d'après cet article paru sur Libnanews :
"Le Père Paolo Dall’Oglio, jésuite responsable du monastère Mar Moussa Al-Habachi au Nabak en Syrie, s’est déclaré inquiet quant à la prochaine visite du Pape Benoit XVI au Liban qui se tiendra du 14 au 16 septembre, qu’il a qualifiée de « très dangereuse », selon une dépêche de l’AFP.
Le Père Dall’Oglio, récemment expulsé de la Syrie où il avait contribué à la restauration de l’antique monastère antique de Mar Moussa au Nabak et à la fondation d’une communauté religieuse privilégiant le dialogue islamo-chrétiens, a appelé le Pape à demander l’aide de services secrets internationaux pour la garantie de sa sécurité. Il a estimé que les services de sécurité libanais ne sont pas suffisants parce que le gouvernement actuel au Liban est lié d’une certaine manière au régime syrien, ce qui engendre un problème sécuritaire immense.
Interrogé par le site canadien La Presse, le Père Dall’Oglio a déclaré l’éventualité qu’une bombe pourrait être mise dans un stade où se trouverait le Saint Père, par des extrémistes sunnites envoyés par les services secrets syriens afin que les révolutionnaires soient accusés de l’attaque criminelle.
Le père jésuite a formulé son souhait de voir le Pape exprimer sa solidarité avec les peuples souffrants, et adresser un message aux populations proche-orientales dans lequel il prouve que les Chrétiens ont opté pour le respect des droits de l’homme et contre toute forme de corruption politique et de régime totalitaire.
Par ailleurs, le cheikh salafiste fondamentaliste Omar Bakri avait appelé le Pape à présenter ses excuses aux Musulmans du monde pour les propos qu’il avait tenu contre l’Islam lors d’une conférence en Allemagne en 2006. Des religieux chrétiens ont répondu à ces provocations que le Saint-Père n’a besoin d’aucune permission pour aller à la rencontre de ses fils."
Lu ICI :
Le Vatican signe avec Apple
Signer avec la Pomme ? Adam doit l'avoir mauvaise
C'est une grande nouvelle pour le monde italien, et presque une épiphanie pour l'édition : la maison d'édition du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, vient de signer un accord avec la firme Apple. En jeu, la commercialisation des livres publiés, en version numérique, directement dans l'iBookstore.
C'est que Benoît XVI reste le théologien le plus lu de la planète. Et après quelques premiers pas dans le livre numérique, il fallait poursuivre dans la veine technologique pour toucher de nouveaux publics, et, si possible recruter des ouailles.
« C'était une décision réfléchie et stratégique que, tôt ou tard, le format numérique deviendrait nécessaire. Nous y sommes parvenus en nous associant avec Apple, ce qui nous a permis de produire la catéchèse du Saint-Père », explique Giuseppe Costa, directeur de la maison d'édition, à Vatican Insider.
Lettre à sa Sainteté le Pape
De la part de religieux membres des Eglises orientales, de politiciens et de partis politiques chrétiens libanais et d’associations culturelles chrétiennes.
Très Saint-Père,
C’est avec une joie immense que les Chrétiens d’Orient apprennent votre visite prochaine au Liban. Il s’agit sans aucun doute d’une visite apostolique pleine de promesses et d’espoir pour tous.
Les échos des préparatifs annoncent déjà beaucoup d’engagement de la part du Vatican, un véritable intérêt pour le Liban, et une série de bonnes intentions qui nous vont droit au cœur.
Parmi ces bonnes intentions, nous n’avons pu que noter le projet de Votre Sainteté de suivre des cours de langue afin de pouvoir Vous adresser à nous en quelques mots d’arabe.
L’effort est louable certes. Cependant, quelques mots en notre langue sacrée et surtout identitaire nous auraient touché avec bien plus de profondeur et de sentiments.
Pour éradiquer la trisomie, le plus simple, c'est d'identifier les trisomiques et de les supprimer. C'est ce à quoi on s'attelle dans nos pays "avancés". Tout au moins, en commençant par ceux qui sont à naître et dont des tests "fiables à cent pour cent" permettent de déceler l'"anomalie" qui leur vaudra d'être éliminés.
Lire à ce propos, l'Intervention de Jean-Marie Le Méné à Rimini (ZENIT.org) :
La Fondation Jérôme Lejeune dénonce les problèmes éthiques induits par le nouveau test de dépistage de la trisomie 21 accessible sur le marché européen, plaidant pour donner la priorité à la thérapie sur le progrès scientifique.
Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune et membre du Conseil pontifical pour la santé ainsi que de l’Académie pontificale pour la vie, est intervenu le 22 août 2012 à la rencontre internationale de Rimini (Italie) organisée par le mouvement Communion et Libération, du 19 au 25 août.
Il y évoque notamment l’arrivée d’un nouveau test de diagnostic prénatal de la trisomie 21 sur le marché européen, déjà disponible en Allemagne, Suisse, Autriche et Liechtenstein.
Nous lisons, sur France Catholique :
OBAMA EN LUTTE CONTRE LA LIBERTE RELIGIEUSE
Le sénateur Barack Obama, lors de la campagne présidentielle de 2008, avait donné l’impression qu’il rejetait la position des Anciens du Parti Démocrate selon laquelle les principes moraux devaient demeurer à l’extérieur de la chose publique. En 2004, il avait même déclaré que « les laïques qui demandent aux croyants de laisser à la porte leur religion en entrant dans la sphère publique ont tort…Il est absurde de penser que les hommes et les femmes puissent faire fi de leur « morale personnelle » dans les débats de société. Notre droit est une codification de la morale, en grande partie fondée sur la tradition judéo-chrétienne. »
Quatre ans plus tard, nous réalisons qu’Obama non seulement nous a trompés mais était bien déterminé à laïciser tous les secteurs de la vie américaine et à lutter contre la liberté religieuse.
Quelle issue possible pour les croyants dans l'effondrement actuel? Beaucoup de gens acquiescent aux enseignements de l'Eglise puis s'en retournent à leurs occupations, professionnelles notamment, sans trop se poser de questions sur les implications éthiques de ce qu'ils font. Cette attitude aboutit à des compromis ou à des compromissions avec le mal auxquels aucun croyant ne devrait se livrer. Ainsi en va-t-il dans de nombreux secteurs d'activités, mais tout particulièrement dans celui, sensible, de l'activité médicale. Jeanne Smits relate le parcours d'un chercheur bardé de diplômes qui a choisi de refuser de participer à des recherches impliquant l'utilisation de cellules prélevées sur des foetus avortés. Son cas est exemplaire et devrait être suivi par toutes celles et tous ceux qui, de près ou de loin, ont une profession où ils sont confrontés à de tels choix éthiques.
Sur Fides.org :
ASIE/PAKISTAN - Eglise, gouvernement et imams mobilisés pour sauver Rimsha, fillette chrétienne accusée de blasphème
Islamabad (Agence Fides) - Un effort commun mené par l'Eglise, le gouvernement, des responsables religieux et des ONG est en cours afin de sauver Rimsha Masih, fillette protestante de 11 ans affectée par le syndrome de Down, inculpée de blasphème à Rawalpindi. Au cours de ces derniers jours, la fillette, accusée d'avoir brûlé des pages du coran, a vu une plainte être déposée contre elle sur la base de l'article 295b du Code pénal - l'article qui, avec le 295c, constitue ce qu'il est convenu d'appeler la loi sur le blasphème - et incarcérée. A propos de cette affaire, qui a secoué l'opinion publique mondiale, on enregistre « la mobilisation des institutions et des responsables religieux afin d'obtenir sa remise en liberté » déclare à l'Agence Fides le catholique Paul Bhatti, Conseiller spécial du Premier Ministre pour l'Harmonie nationale