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Actualité - Page 1628

  • Les sociaux-chrétiens luxembourgeois ne sont-ils chrétiens que de nom ?

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    On peut le penser au vu du récent vote libéralisant encore davantage l'avortement au Grand-Duché. C'est ce que dénonce ici Paul d'Oldenburg, président de la Fédération pro Europea Christiana. Seule, une député sociale-chrétienne s'est démarquée de ce vote comme le relate "Le Quotidien" :

    La députée CSV Marie-Josée Frank (...) s'est ralliée à la position de l'ADR  (parti de droite). «Selon mes convictions chrétiennes et éthiques, la vie humaine est intangible. Et ce projet ne respecte ni la déclaration des droits de l'Homme, ni la convention sur les droits de l'enfant», a-t-elle clamé, en reprenant de nombreux arguments de l'orateur (Fernand Kartheiser de l'ADR) qui l'a précédée. Ce dernier s'était d'ailleurs dit «personnellement choqué», non sans arrière-pensée sans doute, par la position du CSV dans le débat. «Vous n'êtes pas un parti chrétien», a-t-il martelé. Le ministre de la Justice, François Biltgen, a tenu à se défendre contre cette attaque. «J'arrive à combiner ce texte avec ma conscience chrétienne. Et heureusement, les temps sont révolus où il était question de bons et de mauvais chrétiens», a-t-il constaté.

    Chacun appréciera à sa juste valeur cette subtile - et révélatrice - affirmation du ministre de la Justice luxembourgeois...

  • Valaam, l'archipel des moines sur KTO

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    Nous lisons sur Orthodoxie.com :

    Valaam, archipel d’une cinquantaine d’îles, figées six mois par an dans les glaces de l'immense lac Ladoga, abrite le plus ancien monastère de Russie.  Fondé selon la tradition au XIe siècle, la prière du monastère de Valaam s'est interrompue pendant près de 50 ans, lorsque le régime communiste expulsa les moines de l'île dans les années 1940.  Mais en 1989, six moines accostent à Valaam, pour restaurer une vie monastique dont le fil a été brisé. 23 ans plus tard, ils sont près de 150, et la plupart des églises dévastées ont été rebâties. Le réalisateur François Lespés est parti à la rencontre des moines de Valaam, pour découvrir leur vie quotidienne, dans le grand monastère principal, et dans les ermitages perdus dans les bois des îles alentour. Travail manuel, peinture des icônes, grandes liturgies dans la nuit: une vie de combat permanent avec soi-même, ancrée dans l'obéissance et la prière perpétuelles. Portrait d'une foi en pleine renaissance, qui fait de ce lieu hors du commun, le symbole de l’impressionnant réveil spirituel de toute la Russie. Diffusé à partir du 26 novembre sur KTO, à 20h40, et www.ktotv.com.

    Voir un extrait du documentaire : site du film

  • Le patrimoine artistique de l'Eglise en Italie disponible sur internet

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    ROME, vendredi 23 novembre 2012 (ZENIT.org - Anne Kurian) – Tout le patrimoine des biens culturels ecclésiastiques des églises italiennes est désormais accessible aux internautes : au total, plus de 3 millions de peintures, objets sacrés et statues sont catalogués sur le portail BeWeb.

    Le site internet BeWeb, raccourci de « Biens ecclésiastiques sur le Web » (Beni ecclesiastici in Web) a été présenté hier, 22 novembre 2012, dans les locaux de Radio Vatican, par Mgr Mariano Crociata, Secrétaire général de la Conférence des évêques italiens (CEI) et Mgr Stefano Russo, directeur de l’Office national pour les biens culturels ecclésiastiques.

    Le travail d’inventaire informatisé de ces biens a été permis grâce à des accords spécifiques entre la CEI et le Ministère pour les biens et les activités culturelles, depuis 1996. Ce travail de titan a été réalisé par des équipes d’experts, lauréats en lettres, en histoire de l’art, en photographie.

    Outre les trois millions d’objets culturels historiques, le portail présente tous les Instituts culturels ecclésiastiques présents sur le territoire: musées, archives, bibliothèques. L’utilisateur a accès à un moteur de recherche par artiste, par diocèse, par type d’objet ou par date et ce en italien et en anglais (à venir). Pour chaque objet, en plus des photos, une note précise la datation, l’auteur, les dimensions, la matière. (...)

  • Le Saint-Siège partie prenante du Centre Abdullah Bin Abdulaziz

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    (V.I.S. - Vatican Information Service) Le 26 novembre sera inauguré à Vienne (Autriche) le Centre international pour le dialogue inter-religieux et inter-culturel Roi Abdullah Bin Abdulaziz, voulu par le souverain saoudien et dont l'Autriche et le Saint-Siège sont co-fondateurs. Le Saint-Siège, qui a accepté l’invitation à adhérer au KAICHD en qualité d’Observateur Fondateur, enverra une délégation de haut niveau à la cérémonie d’inauguration. Le Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège précise ce qui suit:

    Ce Centre "est une nouvelle institution destinée à favoriser le dialogue entre les religions et les cultures. Et il convient d'y adhérer dans l’optique de la compréhension et de la convivialité pacifique entre les peuples, priorité pour l’humanité d’aujourd’hui et de demain. Le Roi d’Arabie saoudite avaient parlé de ce projet au Saint-Père au cours de la rencontre du 6 novembre 2007 au Vatican. Le KAICHD n’est pas présenté comme une institution propre à l’Arabie saoudite, mais comme une organisation internationale indépendante reconnue par les Nations -Unies, et fondée par trois états dont deux sont des pays d’ancienne tradition chrétienne. Il s’agit donc d’une opportunité et d’un espace de dialogue, où il est bon d’être présent pour faire fructifier l’expérience du Saint-Siège dans le dialogue inter-religieux. Le statut d’Observateur Fondateur est le plus approprié pour garantir une telle présence, en respectant la nature propre du Saint-Siège. Avec d’autres confessions religieuses, l'Eglise catholique appartient au Board of Directors, moteur des initiatives du centre viennois. Elle y sera représentée par le P.Miguel Ayuso Guixot, Secrétaire du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux.

    La création de ce centre international de haut niveau culturel est une occasion importante pour présenter le point de vue de l’Eglise sur le dialogue, la personne humaine et sa vocation, l’éthique et la religion, les relations sociales, la justice et la paix. Certes, cela se faisait déjà et continuera de se faire dans de nombreuses instances et circonstances, mais la diversité et le pluralisme du monde actuel exigent que l’on multiplie les expériences, en vue de promouvoir le rôle actif et les propositions de l’Eglise autant que possible. Observateur Fondateur du KAICHD, le Saint-Siège ne manquera pas d’exprimer ses préoccupations quant au respect des droits fondamentaux des chrétiens qui vivent dans des pays à majorité musulmane, afin de promouvoir la liberté religieuse sous toutes ses formes. Le nouveau Centre offrira un espace adéquat afin que de telles requêtes puissent être présentées et écoutées, et que les problèmes qui se présenteront puissent trouver des solutions opportunes".

  • Euthanasie : Anne Delvaux "troublée"...

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    De la revue de presse de "Gènéthique" : 

    Parlement européen: des députés débattent de la fin de vie 

    A l'initiative de l'eurodéputé Français Philippe Juvin, la députée belge Anne Delvaux et le député Luxembourgeois Frank Engel (eurodéputés PPE) ont tous trois tenu un débat sur la fin de vie, mercredi dernier, au Parlement de Strasbourg. En outre, lors de ce débat, Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), était présent. Pour la députée européenne Belge et le député européen Luxembourgois, ce débat a été l'occasion de dresser un bilan de la législation sur l'euthanasie dans leurs pays, autorisée respectivement depuis 2002 et 2009. 

    Tout d'abord, Anne Delvaux précise qu'en Belgique, le sujet de l'euthanasie n'est "pas du tout" clos. Détaillant l'état de la législation, elle explique que la loi belge "impose des critères très stricts". Mais à ce propos, la députée regrette qu' "il ne [puisse] pas y avoir de réel contrôle" car "la commission [fédérale de contrôle belge] ne fait qu'enregistrer les déclarations que les médecins veulent bien lui envoyer". Pour Anne Delvaux, la loi "n'empêche pas des dérives". A titre d'exemple, elle "s'inquiète [...] des '3% d'euthanasies' qui ont été justifiées par la seule souffrance psychique, d'après le dernier rapport de la commission". Ainsi, l'eurodéputée belge s'interroge: "Dans de telles conditions, la demande de mort est-elle vraiment éclairée?". En outre, elle relève "que des personnes âgées ont eu recours à l'euthanasie sans que l'on soit certain qu'elles souffraient de maladies incurables comme l'exige la loi". Enfin, elle note qu'actuellement, en Belgique, "les discussions [...] portent sur l'élargissement de la loi aux mineurs". "Sans pour autant revenir sur le principe de la dépénalisation", elle conclut en précisant que "tout cela est troublant".

    Prenant ensuite la parole, Jean-Luc Romero a précisé que "la question des mineurs ne doit pas être balayée du revers de la main 'en cas de très grandes souffrances', tout en admettant que 'notre pays n'en est pas là". Il ajoute qu'il "milite pour une loi 'marchant sur deux jambes': un 'accès universel aux soins palliatifs' et la possibilité de recourir à l'aide active à mourir sur le modèle belge, sans s'alarmer du bilan tiré" par la députée Anne Delvaux. 

    A son tour, l'eurodéputé Luxembourgeois Frank Engel "assure [...] que, dans son pays, la loi s'est traduite par un faible nombre d'euthanasies" et "remarque surtout que ce débat [sur l'euthanasie] a permis de mettre au jour le manque criant de soins palliatifs dans le Grand-Duché". Enfin, il souligne que "l'accès à ces soins, de très bonne qualité, s'est fortement élargi depuis 2009", limitant ainsi, selon lui, le nombre de demandes d'injection létale. 

    A la suite de ces prises de paroles, Philippe Juvin, professeur de médecine et eurodéputé, "reste très sceptique quand au bien-fondé d'une telle approche en France". Tout comme l'eurodéputée Belge, "il s'inquiète de la conception extensive d'une loi prenant pour critère la souffrance psychique", d'autant que, en France, précise-t-il, "la dépression est particulièrement mal prise en charge". Souhaitant avant tout "protéger les plus vulnérables" et rappelant "l'ambivalence des demandes de mort", Philippe Juvin termine en mentionnant qu' "une étude britannique a montré que des jeunes victimes de paralysie après un accident de la route considéraient, juste après le drame, que leur vie ne valait pas la peine d'être vécue". Cependant poursuit-il, "au fil des mois, ils changeaient d'avis et quelques temps plus tard, la plupart considéraient que oui, leur vie méritait d'être vécue. Cela doit interpeller". 

     La Croix (Marine Lamoureux) 23/11/12

  • Filles ou garçons ? La querelle du genre

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    http://podcast.rcf.fr/emission/142962/423088

    Intéressant le podcast (rediffusion sur Internet) de l'émission sur RCF : "Repères", aujourd'hui il parlent de la théorie du genre :

    Filles ou garçons ? La querelle du genre
    19 Novembre 2012 

    "Pour les théoriciens du genre, la différence des sexes est purement sociale. L’enfant choisirait lui-même son inclination sexuelle. Comment comprendre cette pédagogie éducative ? Béatrice Soltner reçoit Christian Flavigny."

    "On entend de plus en plus parler de la théorie du genre, une thèse selon laquelle la différence des sexes serait une construction purement sociale (...) et que chaque enfant pourrait désormais choisir de devenir fille ou garçon.

    La Suède a ainsi ouvert une école maternelle, "Egalia", où les enfants de 1 à 6 ans  ne sont plus appelés filles ou garçons mais amis, l'usage des pronoms "il" ou "elle" y est interdit ainsi que la lecture des contes de fées où les princesses rêvent d'épouser leur prince charmant...
    "

    Ecouter la suite sur RCF.
     A partager !

  • Aider et soutenir les chrétiens partout où ils sont persécutés

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    Depuis plus de 60 ans, l'Aide à l'Eglise en Détresse aide les chrétiens partout où ils sont persécutés, réfugiés ou menacés. Et surtout lorsqu'ils sont oubliés de tous. 
    Aidez-nous à les soutenir
    www.aed-france.org

  • Savita n'est pas décédée des suites d'un refus d'avortement

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    C'est ce qui ressort de l'autopsie qui a été pratiquée ainsi qu'en informe cet article publié ici : http://www.ncregister.com/daily-news/in-ireland-abortion-case-pro-lifers-warn-against-snap-judgments/

    Halappanavar’s autopsy has revealed that she died of blood poisoning and E. coli ESBL, an antibiotic-resistant strain of the bacterium.

    “Instead of jumping to the conclusions that Halappanavar needed an abortion and that Ireland needs to legalize the killing of the youngest of its kind, the reasonable approach would be to get to the bottom of what Halappanavar’s condition was and examine how it was, or was not, responded to,” Stephanie Gray, executive director of the Canadian Centre for Bio-Ethical Reform, wrote Nov. 20.

    E. coli ESBL has recently spread throughout the U.K., causing urinary tract infections that can develop into blood poisoning.

    “The presence of E. coli ESBL is particularly problematic if Halappanavar was given antibiotics to fight an infection that was resistant to those very antibiotics,” Gray said.

    Both the Irish health department and University Hospital Galway are making independent inquiries into the circumstances of Halappanavar’s death.

    Read more: http://www.ncregister.com/daily-news/in-ireland-abortion-case-pro-lifers-warn-against-snap-judgments/#ixzz2D4igm0Ff

  • Un calvaire volé à Bousval

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    calvaire.JPGVOl du CHRIST au CALVAIRE de BOUSVAL

     

    Ce mercredi, il a été constaté le vol du Christ en fonte de la chapelle du Calvaire, située rue Point du Jour à Bousval.

    Ce Christ fixé sur une croix en chêne est peint et rouillé par endroits, il mesure environ 1,50 m de haut. Il a été acheté suite a une collecte effectuée dans le village en 1843. La date du vol est méconnue, probablement il y a plusieurs jours.

     

    Le Calvaire de Bousval, fait partie de notre petit patrimoine et constitue le 5ème arrêt du Tour Saint Barthélemy.

     

    La Fabrique d'église de Bousval, regrette et condamne ce fait. Elle a par ailleurs déposé une plainte auprès de la police locale de Genappe.

     

    Si vous avez des informations, ou si vous reconnaissez ce Christ chez un ferrailleur ou brocanteur, merci de nous le signaler.

     

    Merci de diffuser.

               Benoît HUTS

     Président de la Fabrique d'église

                de Bousval

    42, avenue des Habitations Modernes

           1470 Bousval - Genappe

           benoit.huts@hotmail.com             0474/ 79 76 96

  • Nous n’avons encore rien vu : le meilleur des mondes est à venir

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    Lu sur le blog du "Monde" précisément...

    Quelles limites pour les droits des homosexuels français ? Le débat est vif. En quelques décennies, ils ont acquis reconnaissance et protection ; ils revendiquent aujourd'hui plusieurs aménagements législatifs au nom de l'égalité : mariage, droit à l'adoption, accès aux techniques de procréation médicalement assistée et recours aux mères porteuses. Le président, François Hollande, a promis le droit au mariage et à l'adoption pour ces couples. Accordera-t-on demain aux homosexuels le droit de se reproduire ?

    Pour l'instant, les gays français vont aux Etats-Unis ou en Asie, où un véritable marché de la fécondation in vitro et de la mère porteuse est organisé. Ils achètent sur Internet un ovule sur mesure et louent un utérus pour neuf mois. Les caractéristiques physiques des donneuses ainsi que leur quotient intellectuel sont particulièrement bien documentés sur ces sites. Les heureux parents reviennent avec un bébé et les autorités ferment les yeux. Tout juste ont-ils quelques tracasseries administratives pour la transcription de l'état civil de l'enfant en droit français. Toutefois, l'enfant n'est le fruit biologique que de l'un des deux parents, ce qui est source de frustration pour l'autre : les lesbiennes utilisent le sperme d'un tiers et l'ovule et l'utérus d'une des deux conjointes ; les gays se servent du sperme d'un des deux garçons et de l'ovule d'une femme qui peut être la mère porteuse, même si ce n'est pas obligatoire.

    Cellules souches iPS

    Ces évolutions sociétales sont contestées par certains psychologues au motif, notamment, que l'adoption par les homosexuels risque de provoquer des troubles psychologiques chez les enfants à qui on impose une filiation impossible. "Un couple homosexuel, ce ne sera jamais un engendrement crédible", a récemment affirmé le docteur Pierre Lévy-Soussan dans Le Point. Pourtant, ce qui semble aujourd'hui un propos de bon sens va devenir biologiquement faux. La technologie va permettre aux homosexuels d'avoir des enfants biologiques porteurs de gènes des deux parents, comme les couples hétérosexuels.

    La technique des cellules souche iPS - dont l'inventeur japonais Shinya Yamanaka est lauréat du prix Nobel de médecine 2012 - permet de fabriquer des spermatozoïdes et des ovules à partir de fibroblastes, des cellules que l'on trouve sous la peau. Il est déjà possible de fabriquer un souriceau à partir de deux pères. Le passage de ces techniques à l'espèce humaine est juste une question de temps, et les associations homosexuelles militeront pour que ce délai soit bref. En outre, grâce aux cellules souches IPS, un même individu pourra produire à la fois des ovules et des spermatozoïdes. La seule limite, pour l'instant, étant que l'enfant d'un couple d'homosexuelles ne pourrait être qu'une fille.

    Dans quelques décennies, les couples d'hommes pourront en outre bénéficier de l'utérus artificiel. Le biologiste et philosophe Henri Atlan - grand spécialiste du sujet - défend l'idée qu'il n'y a guère de différence fondamentale entre une couveuse pour prématurés et l'utérus artificiel.

    Bien lointain paraît le temps où Jeannette Vermeersch-Thorez, grande dirigeante du Parti communiste français, déclarait à propos de la pilule contraceptive : "Depuis quand les femmes travailleuses réclameraient-elles le droit d'accéder aux vices de la bourgeoisie ? Jamais !" L'expérience montre que la vitesse de glissement du "défendu" au "toléré" puis au "permis", voire à l'"obligatoire", dépend essentiellement du rythme des découvertes scientifiques, quelles que soient les questions éthiques soulevées.

    Chirurgien urologue, Président de DNAVision

    l.alexandre@dnavision.be

    Voir ici: Biologie et homoparentalité

  • Dernier dimanche après la Pentecôte

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    Dans les célébrations dominicales selon la forme extraordinaire du rite romain, la prédication de Jésus sur la fin du monde ferme l’année liturgique, comme il est normal. "Nous la lirons dimanche prochain. Soyons attentifs ! " ajoute l’abbé de Tanoüarn sur son metablog :

    Il ne faut jamais oublier que notre foi dans le Christ est une foi qui s’alimente de tout ce que le Christ réalise dans l’histoire et de tous les signes des temps correctement observés, ceux qui nous font voir la présence du Christ dans ses saints de tous les âges, y compris de notre époque ; et ceux qui nous montre combien redoutable est son absence et comment le cœur de l’homme, « creux et plein d’ordure », n’attend que cette absence pour se surpasser en horreurs. Georges Bernanos, qui n’y allait pas par quatre chemins, n’hésitait pas à dire : « Sans le dogme du péché originel, je ne croirais pas. Il est beaucoup plus grave – ou du moins plus dangereux – pour l’homme de nier le péché originel que de nier Dieu ». La présence de Dieu, nous la constatons jusque dans son absence. L’homme, malgré toute sa bonne volonté native, est marqué jusqu’au fond de lui-même par le péché originel. Il est « cassé » comme disait Gabriel Marcel. Et on peut le vérifier à chaque moment de l’histoire. Les gâchis ne se comptent plus !  Voyez, en ce moment même, ce qui se passe à l’UMP… ou à l’IBP… Des histoires d’hommes.

    Ces considérations nous permettent de comprendre l’étrange parole du Christ, annonçant la fin du monde : « Cette génération ne passera pas que tout ne soit accompli ». Qu’est-ce que cela signifie ? Que des apocalypses, nous en verrons, oh ! non pas à chaque génération peut-être, mais toutes les deux ou trois. Il y en a une dans chaque vie d’homme.  Il ne faut pas avoir peur de cela.

    La suite ici : La fin du monde et le cardinal George 

  • Inauguration d'un musée pour les victimes du communisme à Bratislava

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    A Bratislava, un musée pour les "héros silencieux", victimes du Communisme

    Le Musée des crimes et des victimes du communisme a été inauguré à Bratislava, ce qui ajoute un élément important au «puzzle de la mémoire» comprenant plusieurs villes de l'ancien bloc soviétique. Le projet, fortement soutenu par les bénévoles des «héros silencieux» et la Confédération des ex-prisonniers politiques, a été initialement lancé en 2010 par le Forum des Associations chrétiennes et soutenu à l'époque par le Premier ministre Radicova. Le 16 novembre, date symbolique qui commémore la Révolution de 89, l'ouverture «temporaire» (en attente de la prochaine officielle prévue Mars) a eu lieu dans des locaux fournis par l'Université de la Santé et du Travail social dont le recteur est Vladimír Krcméry, neveu de Silvester Krcméry qui était l'une des figures les plus célèbres, bien que silencieuse, appartenant à l'Eglise souterraine sous le régime communiste.

    L'information est développée (en italien) ici : http://www.corrispondenzaromana.it/bratislava-un-museo-per-gli-eroi-silenziosi-vittime-del-comunismo/