Hier, nous abordions la question de "l'islam conquérant", réagissant ainsi à des informations mises en ligne par notre amie de Benoît-et-moi. Aujourd'hui, Massimo Introvigne, revient sur le sujet dans la Bussola Quotidiana. (traduction de "Benoît et moi")
"L'islam est la première religion en France. Ou peut-être pas.
Plusieurs journaux européens, dont certains Italiens, ont relevé ces derniers jours une étude publiée le 18 août par l'Institut Hudson à New York, qui prouverait que les musulmans pratiquants dépasseraient en France les catholiques pratiquants.
Selon l'étude, la pratique dominicale catholique en France est descendue à 4,5% de ceux - 64% - qui se disent catholiques, c'est-à-dire que chaque week-end, 1,9 millions de français vont à la messe, soit 2,9% de la population totale. Par contre, 41% des six millions de musulmans "ethniques" présents en France - dont 75% se proclament «croyants» - se déclarent pratiquants, ce qui permettrait d'estimer les musulmans pratiquants à deux millions et demi, donc bien plus que les catholiques qui disent assister à la messe chaque dimanche.
Au Meeting de Rimini, Andrea Tornielli a pu visiter l'exposition "À travers les yeux des apôtres." ("Con gli occhi degli apostoli")
C’est sur fond de révolution que le Ramadhan a lieu cette année en Egypte. Mais, révolution ou pas, la plupart des égyptiens, connus pour être des gens très pieux, respectent scrupuleusement le quatrième pilier de l’Islam. Au pays d’Al Azhar, la plus haute autorité de l’Islam sunnite, résident également huit millions de Coptes. Comment ces chrétiens d’Egypte (10% de la polulation) vivent-ils cette période de jeûne ? Rencontres et témoignages dans les rues du Caire :
Sous la signature d’Isabelle Lasserre, dans « Le Figaro » : « Pour les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne, l'après-guerre en Libye est un casse-tête qui commence par la question suivante: qui aider dans les rangs des rebelles ? Tout au long de la guerre, le CNT a lutté pour présenter Libye :l'insurrection comme un mouvement laïque, uni et libéral. Mais cette image est loin de refléter la réalité. L'organe politique de la rébellion est en fait traversé par de nombreuses fractures, notamment celle qui oppose les insurgés laïques et modérés aux rebelles islamistes radicaux.
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