Valenciennes, c'est déjà un peu la Belgique ! Et s'il n'y avait pas eu Louis XIV...
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Valenciennes, c'est déjà un peu la Belgique ! Et s'il n'y avait pas eu Louis XIV...
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C'est l'évêque de Soissons; il a près de 300 personnes abonnées à ses "tweets" et il leur adresse ses messages qualifiés de "twittthomélies". C'est sur "Europe 1".
http://www.soissons.catholique.fr/pages-de-l-eveque/page-de-l-eveque.html
"Ça fait presque qu’un an que la Belgique n’a pas de gouvernement fédéral. Qu’est-ce que cela a changé sur le terrain? À peu près rien du tout. Donc, est-ce que c’est une preuve d’un miracle libertarien ou d’un simple gouvernement technocratique? Je dois dire que c’est un peu des deux pour certaines raisons."
lire la suite ici, mais l'analyse nous paraît indigente car on ne peut comparer la Belgique et la Suisse. A notre sens, c'est précisément parce que les questions communautaires sont "au frigo" et n'accaparent plus ceux qui nous gouvernent que le pays semble naviguer sereinement, et nous appréhendons le retour des politiciens qui s'évertuent depuis un an à nous concocter de nouveaux compromis boîteux.
L'AKP est sortie victorieuse des élection qui ont eu lieu en Turquie hier. Certains s'interrogent sur le renforcement du pouvoir du premier ministre Erdogan, qualifié de "nouveau sultan" par Libération qui précise : "chef charismatique de l’AKP, le Parti de la justice et du développement, parti islamiste qui se présente désormais comme «démocrate conservateur», il ne cache pas sa volonté de devenir ensuite le premier Président élu au suffrage universel de Turquie."
La rupture avec le kémalisme est évidente et l'armée, traditionnel chien de garde de l'héritage d'Ataturk a été mise hors d'état d'intervenir. Comment évoluera ce pays qui s'obstine à frapper à la porte de la Communauté Européenne, une Communauté Européenne qui s'éloigne de plus en plus de ses racines chrétiennes et qui accueillerait un "poids lourd" renouant avec ses racines islamiques?
Zenit a mis en ligne l'interview que le Vicaire Apostolique à Pnom-Penh a accordée à l'émission "Où Dieu pleure" réalisée par l'Aide à l'Eglise en Détresse.
"Les régimes communistes au Cambodge n’ont pas seulement fait 2 millions de morts, ils ont également volé à la nation sa culture et son histoire, de sorte que les jeunes d’aujourd’hui fondent des familles sans aucun lien avec leur patrimoine.
C’est une des raisons pour lesquelles l’éducation constitue une priorité pour la toute petite Eglise catholique du Cambodge, affirme Mgr Olivier Schmitthaeusler, vicaire apostolique de Phnom Penh depuis octobre dernier.
L’émission de télévision « Là où Dieu pleure » a interviewé l’évêque français, âgé de 40 ans, sur sa vie dans cette terre de mission qu’est le Cambodge."
à découvrir ici : http://www.zenit.org/article-28200?l=french
Alois Andritzki est le fils d'un couple d'enseignants, Madeleine et Jean Andritzki. Il avait deux sœurs et trois frères. Ses trois frères ont également étudié la théologie. Le plus jeune frère Alphonse, qui était jésuite, a été tué lors de combats durant la Seconde Guerre mondiale.
Alois Andritzki a fréquenté l'école primaire à Radibor, puis l'école secondaire catholique de Bautzen. De 1934 à 1938, il étudie la philosophie et la théologie à Paderborn. Après avoir obtenu son diplôme, il a vécu au séminaire du diocèse de Meissen.
« Toutes les cinq minutes dans le monde, un chrétien est tué à cause de sa foi », a déclaré le sociologue italien, Massimo Introvigne lors de son intervention à la conférence sur le dialogue interreligieux entre chrétiens, juifs et musulmans, à Gödollö (Budapest), organisée les 2 et 3 juin derniers par le ministère de l’administration publique et de la justice de Hongrie etle Conseil de l’Union européenne.
D’après Massimo Introvigne, représentant de l’organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) pour la lutte contre l’intolérance et la discrimination contre les chrétiens,105.000 chrétiens sont tués chaque année dans le monde au seul motif de la foi qu’ils professent.
Le pape accueillait aujourd'hui plus de quinze cents Roms au Vatican auxquels il a rappelé qu'ils avaient toute leur place dans l'Eglise. On trouvera sur le site de notre amie et consoeur la traduction du discours qu'il leur a adressé : http://benoit-et-moi.fr/2011-II/0455009ed20de8213/0455009f010c7d315.html
Le pape a aussi évoqué la figure du bienheureux Ceferino Jiménez Malla, que les "rouges espagnols" fusillèrent en 1936; il était coupable d'avoir voulu venir au secours d'un prêtre molesté lors d'un massacre à Barbastro, au mois de juillet. Lors de son exécution, il avait 75 ans, son dernier cri fut : "Vive le Christ Roi".
Le pape a également rappelé un génocide oublié : celui des Tziganes qui ne fut même pas évoqué au procès de Nuremberg et qui pourtant fit entre 500.000 et 700.000 victimes :
C'est dans "Eglises d'Asie" (MEP) - 10 juin 2011
Selon des sources locales, la répression anti-chrétienne s’est intensifiée dans le nord-est du pays, suite aux manifestations le mois dernier, de milliers de membres de l’ethnie hmong.
« Nous sommes très inquiets pour l’avenir du vicariat apostolique de Luang Prabang où toute activité religieuse est entravée et les catholiques sous étroite surveillance », a confié le 9 juin dernier à l’agence Ucanews, le P. Tran Xuan Nhan, un prêtre vietnamien du diocèse de Vinh, exerçant son ministère au Laos depuis de nombreuses années.
Communiqué publié par la Fondation Jérôme Lejeune après l’adoption par le Sénat du projet de loi bioéthique en 2ème lecture.
La Fondation Jérôme Lejeune salue l’effort politique du gouvernement depuis le vote en 2ème lecture de l’Assemblée nationale qui s’est traduite par une réelle mobilisation des parlementaires. Mais sur le fond, la Fondation renouvelle son opposition ferme aux dispositions non respectueuses de la vie humaine :
S'il est un thème récurrent dans les médias, c'est bien celui-là : la planète serait menacée par la démographie galopante. Le prétexte en est fourni aujourd'hui par les nouvelles projections onusiennes qui ont considérablement élevé le niveau de leurs prévisions basées sur des extrapolations que l'on peut contester.
Les écologistes extrémistes qui font de la nature une valeur absolue voient dans l'humanité une menace pour celle-ci; il faudrait donc recourir à une politique de limitation des naissances pour conjurer ce destin fatal. C'est oublier que, pour une large part, l'allongement de la durée moyenne de la vie entraîne cette hausse de la population mondiale, et que les pressions exercées sur les populations pour les convaincre de diminuer la natalité nous condamnent à vivre avec une humanité vieillissante et nous prive du nécessaire remplacement des générations déclinantes par des générations jeunes et pleines de promesses. C'est aussi un réflexe de vieux riches nantis qui n'ont pas envie de partager leur prospérité avec des "pauvres". Au XIXe siècle déjà, l'approche malthusienne voulait dissuader les pauvres des classes laborieuses et exploitées de faire des enfants parce que la Nature n'avait pas mis le couvert pour eux! Le même discours est tenu à l'ONU par les représentants des pays riches à l'égard des pays pauvres. C'est tellement plus facile que de remettre en cause le système injuste de la répartition des richesses au niveau mondial! Si l'on aidait véritablement les pays défavorisés à se développer, la démographie s'y équilibrerait de façon assez logique comme on a pu le constater chez nous lorsque le niveau de vie s'est progressivement élevé. On sait que pour des gens véritablement misérables, la vie sexuelle est un dérivatif gratuit qui, effectivement, génère trop de naissances. On pourrait donc imaginer que les fonds que l'on débloque pour organiser des campagnes de planning familial (qui incluent le recours à l'avortement) soient investis dans l'aide au développement et dans une réelle éducation à la parenté responsable, basée sur la maîtrise de soi et le respect de l'autre.
A ce sujet, on consultera utilement la note que Jeanne Smits avait mise en ligne le 14 mai dernier
C'est la Communauté de Sant'Egidio qui nous en informe :
"Samedi 11 juin, le Pape recevra en audience plus de 1500 Roms Sinti, Manouches, Kale, Yenish et gens du voyage de vingt pays d'Europe, d'Italie et de plusieurs « campements » de Rome, à l'occasion du 75e anniversaire du martyre et des 150 ans de la naissance du bienheureux Zeffirino Giménez Malla (1861-1936), gitan martyr de la foi d'origine espagnole.
L’événement a été réalisé par le Conseil pontifical pour la Pastorale des migrants et des personnes en déplacement, la Communauté de Sant’Egidio, la Fondation «Migrantes» de la Conférence épiscopale italienne et le diocèse de Rome.