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Actualité - Page 997

  • Vatican : un colloque sur "l'extinction biologique" s'est tenu du 27 février au 1er mars

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    De Radio Vatican :

    L'Académie pontificale des Sciences a accueilli un colloque sur "l'extinction biologique"

    (RV) «L’extinction biologique : comment sauver l’environnement naturel dont nous dépendons» : c’est le thème d’un colloque, organisé conjointement par l’Académie pontificale des Sciences et celle des Sciences sociales, qui s’est tenu au Vatican, du 27 février au 1er mars.

    Pendant ces trois jours de discussions, plusieurs scientifiques et économistes de renom, issus du monde anglophone pour la plupart, se sont penchés  sur les causes de l’extinction biologique, et les moyens à mettre en œuvre pour en limiter la portée. Les conclusions de ces débats scientifiques ont été présentées ce jeudi 2 mars, en salle de presse du Saint-Siège, par le professeur Werner Arber, président de l’Académie pontificale des Sciences, le professeur Peter Hamilton Raven, membre de la même académie, et le professeur Partha Sarathi Dasgupta, membre de l’Académie pontificale des Sciences Sociales. Egalement présent, Mgr Marcel Sanchez Sorondo, chancelier des deux académies.

    L’extinction est un processus lent, irréversible, et le constat global dressé par les scientifiques est alarmant : un quart des espèces connues seraient actuellement en danger d’extinction, et la moitié de celles-ci auront sans doute disparu d’ici la fin du siècle. Cette biodiversité fragilisée se voit mise en péril par l’activité humaine : utilisation des énergies fossiles, surexploitation des ressources, déforestations massives. Dans le passé, cette activité humaine, décuplée en raison de l’augmentation de la population mondiale (7,4 milliards d’habitants en 2016), influait sur le changement climatique ; désormais, elle le détermine.

    Cette intense activité humaine génère également de grandes disparités et inégalités entre les populations. Les pays riches consomment plus de la moitié des ressources mondiales, laissant les plus pauvres en payer les conséquences. «Le problème n’est pas la population, mais bel et bien l’activité humaine», a tenu à répéter Mgr Sorondo. La solution ne réside donc pas dans un quelconque «contrôle des naissances», insiste-t-il, mais bien dans la promotion d’une justice sociale pérenne, dans une redistribution des richesses, dans une régulation de la consommation, dont il faut repenser les modes. La préservation de la biodiversité passe par une action humaine positive, au service du développement durable. C’est l’avenir même des futures générations, leur qualité de vie, qui sont en jeu.

    Que faire concrètement pour ralentir cette extinction, et protéger ce qui peut encore l’être ? Les scientifiques préconisent par exemple la création de réserves marines, la promotion de nouvelles formes d’agriculture, qui soient profitables aux économies régionales, le développement du concept des villes dites «intelligentes» et autosuffisantes en énergie, etc.

    Comme fil directeur des discussions de ces derniers jours  : l’encyclique papale "Laudato Si’", sur l’écologie et la sauvegarde de la maison commune. Sur cette base, les participants à ce colloque se disent «décidés à travailler ensemble pour construire un monde durable et stable».

  • L’exemple des chrétiens persécutés ne peut que pousser les chrétiens à être toujours plus fidèles au Christ

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    Lu sur le site de l'hebdomadaire "Famille Chrétienne" (Bénédicte Droin-Jollès) :

    Marc Fromager : « La foi des chrétiens persécutés est impressionnante »

    EXCLUSIF MAG - Pour le directeur de l’Aide à l’Église en détresse, l’exemple des chrétiens persécutés ne peut que pousser les chrétiens à être toujours plus fidèles au Christ. (Extrait de notre numéro spécial n° 3 : Chrétiens persécutés. D’où tirent-ils leur force ?)

    Comment les chrétiens persécutés que vous rencontrez trouvent-ils la force de résister ?

    Les chrétiens que nous rencontrons vivent soit dans une situation éprouvante de manière ponctuelle, lors d’une crise politique par exemple, soit dans un contexte difficile depuis longtemps, parfois plusieurs générations. C’est le cas notamment en Égypte.

    Chaque histoire est différente, mais à chaque fois leur attachement au Christ, à la prière et à l’Église leur permet de résister, de traverser épreuves et menaces. Humainement parlant, ils n’ont aucun intérêt à rester fidèles, mais ils tiennent bon. Quand la plaine de Ninive est tombée en août 2014, la plupart des chrétiens irakiens y vivaient. L’État islamique leur a donné le choix : se convertir à l’islam et cesser d’être inquiétés, fuir en abandonnant tout, ou rester et être tués. Tout le monde est parti, préférant tout perdre pour ne pas renoncer au Christ, malgré le risque encouru connaissant la barbarie de l’État islamique.

    À un moment donné, ces chrétiens de différents pays sont confrontés au même choix radical : « Qu’est-ce qui est le plus important pour moi ? Qu’est-ce que je fais passer en premier dans ma vie ? »... Nous devrions tous être attentifs chaque jour à cette question. Mais comme les circonstances ne nous provoquent pas à y répondre de façon urgente, il est probable que parfois nous oublions de refaire le choix du Christ. Il découle pourtant de notre vocation de baptisés. « Pour vous, qui suis-je ? », nous demande Jésus à travers l’Évangile (Mt 16, 15).

    Qu’est-ce qui vous frappe le plus chez ces chrétiens qui résistent ?

    Leur foi est impressionnante. Régulièrement, je me demande ce que j’aurais fait à leur place. Ils pourraient dire au Seigneur : « Ta croix est trop lourde, je Te reste fidèle dans mon cœur en secret, mais, extérieurement, j’accepte de devenir musulman pour mettre ma famille en sécurité, garder mes biens, un travail »... Mais non ! Et pourtant, ils savent que s’ils acceptaient de changer de religion, beaucoup de problèmes seraient réglés Parfois même, ils toucheraient une récompense financière : en Égypte, par exemple, il y a quelques années, les musulmans proposaient une prime de 1500 € pour une conversion ; quand on sait que le salaire moyen d’un professeur est de 50 € par mois...

    J’ai aussi rencontré un prêtre chinois qui a passé trente-deux ans en prison simplement parce qu’il a refusé de dépendre de l’Église patriotique contrôlée par le Parti communiste chinois. Sa foi et son sacerdoce n’étaient même pas directement menacés par la proposition de rejoindre l’Église officielle ; mais en conscience, il voulait rester fidèle au pape. Chaque jour, il pouvait être libéré s’il signait un papier ; il est resté en prison.

    Les chrétiens disparaissent du Moyen-Orient. Est-il encore possible d’inverser le mouvement dans ces régions, berceau de la chrétienté ?

    La disparition des communautés chrétiennes n’a pas commencé avec la guerre en Syrie. Voilà des siècles que les Églises chrétiennes diminuent. En même temps, apparaissent de plus en plus de conversions de musulmans au christianisme sous l’effet des violences djihadistes qui les écœurent, des médias chrétiens captés par Internet.

    Pourquoi le Seigneur permet-Il la quasi-disparition de l’Église au Moyen-Orient ? Je fais le parallèle entre ce qu’elle endure et la fin de la vie du Christ, marquée par la Passion et la Résurrection. Ces communautés sont associées à son sacrifice et le vivent en leur chair en attendant une résurrection. 

  • Quand le Vatican se prive stupidement de moyens de communication

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    Le site diakonos.be publie la traduction d'une note de Sandro Magister (parue sur son blog "Settimo Cielo") :

    RADIO VATICAN: FIN DES ONDES COURTES, UNE MAUVAISE AFFAIRE

    Le 20 février dernier, Sandro Magister révélait le destin incertain de Radio Vatican depuis qu'elle est tombée dans l'escarcelle de Monseigneur Dario Viganò, préfet de la toute nouvelle secrétairerie pour la communication et cette nouvelle a fait beaucoup de bruit.

    La fin des émissions en ondes courtes et la fermeture annoncée de leur station émettrice à Santa Maria di Galeria ont créé un malaise chez les partisans – le P. Federico Lombardi en premier – de ce canal radio qui a fait la gloire de Radio Vatican grâce à sa capacité à pouvoir faire entendre une voix libre et claire jusque dans les recoins les plus reculés et les plus politiquement inhospitaliers du globe.

    Plusieurs voix compétentes se sont élevées pour objecter à Mgr Viganò que la fermeture du centre de Santa Maria di Galeria était un contresens stratégique mais c'était peine perdue.

    En effet, cette fermeture survient alors que quelques–unes des stations de radio les plus puissantes du monde sont non seulement en train de se restructurer et d'augmenter la puissance de leurs transmissions en ondes courtes.

    C'est notamment le cas de l'anglais BBC et du japonais NHK.

    Il y a un an, le gouvernement britannique a subsidié la BBC à hauteur de 85 millions de livres sterling pour qu'elle puisse atteindre des millions d'auditeurs sur ondes courtes, on parle de plus de 56 millions, tout particulièrement en Russie, en Corée du nord, au Moyen-Orient et en Afrique.

    Quant à NHK, il a justement demandé à Radio Vatican de pouvoir utiliser son site de Santa Maria di Galeria pour augmenter la puissance de ses propres transmissions sur ondes courtes vers l'Afrique étant donné que la station d'émission de Madagascar qu'elle utilise jusqu'à présent est déjà saturée.

    Le centre de Santa Maria di Galeria dispose d'un niveau d'excellence reconnu dans le monde entier et offrirait des perspectives commerciales intéressantes si, en plus de poursuivre ses propres transmissions, Radio Vatican louait sa station à d'autres émetteurs.

    *

    Monseigneur Viganò s'est également fendu d'un autre contresens en justifiant sa décision de fermer les ondes courtes par l'encyclique écologique du pape François "Laudato si'".

    Voici ce qu'il a déclaré dans un entretien au mensuel "Prima Comunicazione":

    "Je pense aux émissions de dioxyde de carbone produites par les ondes courtes. Nous ne pouvons pas nous positionner en-dehors du magistère du Saint-Père".

    En réalité cet argument n'a pas le moindre fondement scientifique, ce que non pas un mais bien plusieurs experts n'ont pas manqué de lui expliquer en détail.

    Sur le portail spécialisé Italradio, par exemple, le Préfet de la secrétairerie pour la communication aurait pu lire que les transmissions radio analogiques émettent nettement moins de CO2 dans l'atmosphère que les technologies digitales avec lesquelles il voudrait remplacer les ondes courtes.

    Quelqu'un a même calculé qu'un émetteur à ondes courtes avec son antenne plus une radio réceptrice consommeraient au maximum 6 kW de puissance totale, c'est-à-dire l'équivalent de la consommation de deux ménages. Soit vingt fois moins qu'un système de diffusion en streaming avec toutes les installations technologiques qu'il nécessite.

    Source: Sandro Magister, journaliste et vaticaniste à l'Espresso

  • Philippe Lamberts, un catholique en politique...

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    De François Brabant sur LeVif.be :

    Philippe Lamberts: "Confiner la religion à la sphère privée, je ne l'accepte pas"

    Le vieux couple politique-religion est-il en train de se reconstituer ? Philippe Lamberts, député européen Ecolo, catholique pratiquant, confirme le retour du religieux en politique. Ce qui ne lui apparaît pas anormal. Sauf si la religion est utilisée comme argument identitaire. Et comme premier vecteur du néolibéralisme. Interview.

    Son expression favorite a un parfum de messianisme. "Le XXIExposante/Exposant siècle, c'est un siècle pour les ardents, pas pour les tièdes", aime répéter le député européen Philippe Lamberts, l'une des principales figures d'Ecolo. Moins consensuel qu'un Jean-Michel Javaux, il ne craint pas d'apparaître cinglant ou péremptoire. C'est sa conception à lui de l'ardeur au XXIème siècle.

    Au Parlement européen, il s'est illustré à travers son combat contre les bonus financiers des banquiers. L'opération, menée avec méthode et obstination, sans fantaisie aucune, lui a valu cette remarque du député vert allemand Sven Giegold : "Toi, en fait, t'es un protestant." L'intéressé s'en amuse : "On me reconnaît une rigueur que les catholiques, en général, n'ont pas."

    Ingénieur, Philippe Lamberts a exercé différentes fonctions managériales au sein du géant informatique IBM. Il ne s'est immergé à plein temps dans la politique qu'après son élection au Parlement européen, en 2009. Cinq ans plus tard, les militants Ecolo l'ont remis en selle pour un second mandat, sacrifiant au passage la star Isabelle Durant.

    Là n'est pas sa seule particularité. Catholique pratiquant, cet Anderlechtois puise dans sa foi de quoi alimenter son engagement. L'été, il passe six semaines sur huit dans la communauté chrétienne oecuménique de Taizé, au sud de la Bourgogne, où il se rend aussi plusieurs week-ends par an. C'est son "lieu d'enracinement", dit-il, une source d'énergie et d'inspiration qui l'aide à garder la tête froide, "parce que la politique rend fou". Pour la première fois, il évoque longuement son rapport à la religion, lui qui se considère comme "un chrétien en recherche qui essaye de trouver une cohérence entre ce qu'il vit et le message de l'évangile".

    On peut lire la suite sur le site du Vif où l'on trouvera des propos qui ne manqueront pas de faire débat...

  • "She Decides" : manifestation de protestation

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    Aujourd'hui une manifestation à l'initiative de CitizenGO a réuni une trentaine de personnes au Palais d'Egmont et Place Poelaert. 

    Un des manifestants s'est adressé au vice-premier ministre Alexander De Croo pour lui indiquer leur opposition à la tenue du colloque « She Decides » et au financement par l'État belge, en dehors de tout débat démocratique, des organisations internationales faisant la promotion et pratiquant des avortements dans des pays où les lois le permettent comme ceux où elles l'interdisent.

  • 2017 c’est aussi le centenaire des apparitions de Fatima

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    A qui mieux, mieux,  pour célébrer le cinquième centenaire de l’affichage de ses célèbres thèses sur la porte de l’église de Wittemberg (1517) des cohortes de clercs recyclés s'appliquent à réécrire l’histoire de Luther : une tentative de réhabilitation de sa personnalité mais également de ses positions considérées comme bénéfiques pour l’Eglise catholique d’aujourd’hui.

    Etrangement, en sens inverse, un véritable silence entoure la mémoire du centenaire des apparitions de Fatima alors même que 2017 devrait être entièrement consacré à en méditer le message pour répondre aux demandes de la Vierge, notamment la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois.

    L’initiative prise par Les Missionnaires de la Miséricorde Divine de publier une vidéo par jour sur les apparitions de Fatima durant tout le Carême qui s’est ouvert hier, n’en a que plus de mérite. Inscrivez-vous à l'infolettre pour recevoir chaque matin la vidéo du jour.

    Voici la vidéo du mercredi des cendres :

    Signalons aussi aux Liégeois la démarche entreprise par un groupe de prière marial de se réunir aux mêmes intentions à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132) tous les premiers samedis du mois, de 14h00 à 16h00. La prière méditée du rosaire est suivie de la célébration de la messe (abbé Germeau). Contact: Georges Japsenne, gsm/portable 0474 95 12 07.

    JPSC

  • « Ce que nous demandons, c’est votre aide pour les accouchements sans risque des bébés africains ! »

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    "SHE DECIDES" : OBIANUJU EKEOCHA DEMANDE À L'OCCIDENT DES ACCOUCHEMENTS SANS RISQUE PLUTÔT QUE DES AVORTEMENTS SANS RISQUE

    synthèse de presse bioéthique de genethique.org

    Après le rétablissement de la Politique de Mexico par les États-Unis, le financement des organisations fournissant des services d'avortement à l'étranger, comme la Fédération internationale pour la planification familiale, Marie Stopes International et le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP) sera drastiquement diminué. En réponse, quatre gouvernements européens (Belgique, Danemark, Pays-Bas, Suède) organisent une conférence « She Decides » à Bruxelles pour recueillir des fonds pourl’avortements dans les pays en développement, jeudi 2 mars. L'Union européenne sera représentée lors de la conférence, bien qu’elle n’ait aucune compétence en la matière.

    Dans une vidéo « la dictature du donneur riche », Obianuju Ekeocha, présidente de Culture de la vie Africaine, interroge les délégués européens de la conférence « She Decides » : « De nombreux pays occidentaux, dont le Canada et les Pays-Bas, ont décidé de se rassembler pour soulever des fonds. Ces fonds ne sont pas destinés à une aide alimentaire en Afrique. Ces fonds ne sont pas destinés à l’eau en Afrique. Ces fonds ne sont pas destinés aux Africains pour qu’ils en fassent ce qu’ils veulent. Non. Ils se rassemblent pour lever des millions de dollars pour ce qu’ils appellent l’avortement sans risque. Ce qui est en fait le plus décourageant, c'est que ces pays occidentaux n'ont même pas songé à demander aux Africains ce qu'ils veulent ! ». Elle cite par ailleurs des études qui montrent que l’avortement est inacceptable pour une vaste majorité des pays africains, quelques soient les circonstances. Pour elle, il s’agit là d’ « un nouveau colonialisme, d’une culture impérialiste ». Elle ajoute : « Ce que nous demandons, c’est votre aide pour les accouchements sans risque des bébés africains ! ».

    Marie Hildingsson, secrétaire générale de la Fédération européenne des familles catholiques, s’étonne de la présence de l’Union Européenne à la conférence « She decides » qui vient soutenir la campagne alors que « près de 2 millions de citoyens de l'Union Européenne ont signé l'initiative citoyenne européenne One of Us, qui demandait à la Commission européenne d'arrêter tout financement de l'aide au développement qui implique l'avortement ».

    Sources: FAFCE (28/02/2017)
  • Aider l'agence d'information internationale "ZENIT"

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    Les visiteurs de belgicatho le savent, nous bénéficions du travail effectué par zenit.org dont nous reproduisons fréquemment les articles.

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    ZENIT est une agence d’information internationale sans but lucratif, formée d’une équipe de professionnels et de bénévoles convaincus que la sagesse extraordinaire du Souverain Pontife et de l’Eglise catholique peuvent nourrir l’espérance et aider l’humanité à trouver la vérité, la justice et la beauté.

    Notre objectif est de recueillir et de diffuser les informations avec professionnalisme, avec fidélité et au service de la vérité.

    En utilisant les nouvelles technologies numériques, nous avons pour objectif de faire connaître “le monde vu de Rome”. C’est pour cela que nous publions et traduisons les paroles, les messages, les documents, les interventions du Saint-Père, l’angélus du dimanche et l’audience générale du mercredi.

    Nous rapportons et nous expliquons ce qui se passe dans les dicastères de la curie romaine, dans les universités pontificales, les Conférences épiscopales, les sanctuaires, les diocèses, les paroisses. Nous signalons et couvrons les grands événements qui concernent les chrétiens, les croyants et les non-croyants, dans les 5 continents.

    ZENIT réalise ce service de façon indépendante.

    Couverture journalistique.

    La couverture gratuite de nos services d’information s’oriente surtout vers:

    • Les activités du Pape : voyages apostoliques, documents, rencontres avec des chefs d’Etat et des personnalités importantes dans les domaines social, culturel et religieux. L’information concerne en particulier les activités du Pape et ses interventions. Ses paroles constituent un stimulant aussi pour la réflexion de personnes qui ne sont pas catholiques.
    • Des entretiens avec des femmes et des hommes actifs dans l’Eglise, dans le monde de la politique et de la culture, sur des thèmes qui concernent toute l’humanité.
    • L’actualité internationale, avec une attention particulière aux questions concernant le respect des droits humains, la paix et le développement dans le monde.

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    Comme vous le savez surement, chaque année, nous faisons appel à nos lecteurs pour qu’ils participent directement au soutien économique de ZENIT.

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    C’est la générosité de chacun d’entre vous qui est la voie concrète par laquelle se réalise ce grand don !

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    Bien cordialement, de la part de toute l’équipe de ZENIT


    Alberto Ramirez
    CEO, ZENIT

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  • Shahbaz Bhatti, un homme politique au vrai sens du terme

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    «Un homme politique au vrai sens du terme», portrait de Shahbaz Bhatti par le card. Parolin

    «Shahbaz – La voix de la justice», un héritage pour les chrétiens engagés en politique

    Un témoignage et un héritage pour l’engagement politique du chrétien qui dépasse de loin les seules frontières du Pakistan.  La vie de Paul Bhatti lui-même a changé : après avoir travaillé comme chirurgien dans différents pays, il a été élu, après l’assassinat de son frère comme président de la « Pakistan Minorities Alliance » et il a été ministre pour l’Harmonie nationale, dans le gouvernement de Asif Ali Zardari. Il a donné naissance à la Fondation Shahbaz pour promouvoir, au nom de son frère, la liberté religieuse, l’égalité et la justice sociale. Mais surtout, dans ce livre il révèle la vie intérieure de son frère.

    « La lecture de ce livre qui veut être avant tout une contribution à la recherche de la paix et de la justice, ne manquera pas d’enrichir le lecteur », affirme le Secrétaire d’Etat.

    L’engagement politique

    Le cardinal Parolin souligne l’engagement de Shahbaz Bhatti au service des minorités dont il était le ministre et des plus pauvres, toujours à la recherche de « ce qui unit »: « Un homme politique dans le vrai sens du terme, qui avait choisi l’Évangile comme style de vie et dont l’œuvre en était marquée. Dans son testament, qui nous est en partie remis dans cette biographie, il a laissé des phrases inoubliables, qui expriment la profondeur de sa relation intime avec le Christ. Dès son enfance, selon le récit de Paul, Shahbaz a cherché ce qui unit et non ce qui divise. Il a toujours eu à cœur le sort des plus pauvres, des plus faibles, des derniers. Parmi ceux-ci, il réservait une place particulière à la minorité chrétienne du Pakistan. »

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  • Stop Discriminating Down : signons la pétition internationale

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    DE NOMBREUX PAYS SONT À LA VEILLE D’INSÉRER DANS LEUR DISPOSITIF DE DÉPISTAGE PRÉNATAL UNE NOUVELLE GÉNÉRATION DE TESTS GÉNÉTIQUES VISANT À DÉTECTER LA TRISOMIE 21.

    Alors qu’aujourd’hui dans ces pays plus de 90% des enfants trisomiques sont déjà avortés, cette perspective est révoltante.

    Le consensus est général pour dénoncer le Gendercide et personne n’argumenterait pour promouvoir un « libre choix » des parents d’avorter d’une fille parce qu’elle ne serait pas un garçon.

    Etrangement, quand on applique ce raisonnement à la trisomie 21, la logique change. Discriminer un enfant sur la base d’une variation génétique devient un « choix libre » individuel et c’est même valorisé.

    Comment ce basculement est-il possible ?

    Aujourd’hui, les bébés nés avec une trisomie 21 peuvent espérer une vie longue et de bonne qualité. La recherche montre que les personnes atteintes de trisomie 21 et leurs familles ont une meilleure appréciation de la vie que les autres.

    La sélection organisée et encouragée par les gouvernements, sans avantages pour la santé ou allègement des souffrances, est un crime social et moral envers les personnes handicapées, qui ont de nombreuses possibilités, et leurs familles.

    Ces programmes sabotent les progrès réalisés au cours des 40 dernières années pour promouvoir une société égalitaire et inclusive.

    Alors que dans le monde entier, chacun signe des pétitions, marche et organise des conférences pour lutter contre les discriminations et protéger la planète et sa biodiversité, personne ne devrait avoir à défendre sa vie menacée en raison de son patrimoine génétique.

    Dans un monde humain, les personnes atteintes du syndrome de trisomie 21 seraient les bienvenues.

    C’est pourquoi nous demandons au Secrétaire général des Nations Unies, M. António Guterres, à son Haut-commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme, Prince Zeid Ra’ad Al Hussein, au Commissaire aux Droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, M. Nils Muižnieks et au Commissaire européen à la Charte des Droits fondamentaux, M. Frans Timmermans, qu’ils formulent 3 exigences aux gouvernements des Etats :

    • Arrêter de proposer dans le cadre des programmes de santé publique le dépistage prénatal systématique de la trisomie 21 visant délibérément à la sélection
    • Réglementer l’introduction du dépistage génétique prénatal, sur la base des principes définis dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans la Convention d’Oviedo (articles 11 et 12) et dans la Charte européenne des droits fondamentaux de l’Union européenne (articles 2, 3, 21 et 26)
    • Permettre l’utilisation des tests génétiques uniquement pour améliorer les soins et le bien-être, et non pour discriminer les personnes en fonction de leurs prédispositions génétiques

    SIGNER LA PÉTITION INTERNATIONALE

  • Mars : le pape invite à prier pour nos frères et soeur persécutés

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    « Prions, pour nos frères et sœurs persécutés afin qu’ils éprouvent le soutien de toute l’Église à travers la prière et l’aide matérielle ».

    «Tant de personnes sont persécutées à cause de leur foi, forcées de fuir leurs maisons, leurs lieux de culte, leur terre, leurs proches !

    Elles sont persécutées et assassinées parce que chrétiennes, sans que leurs persécuteurs fassent la moindre distinction entre les confessions auxquelles ils appartiennent.

    Je vous demande ceci : combien d’entre vous prient pour les chrétiens persécutés ? 

    Je vous encourage à prier avec moi pour qu’ils éprouvent le soutien de toutes les Églises et communautés à travers la prière et l’aide matérielle.»

    Du site "Prier au Coeur du Monde" (Xavier Jahan sj) :

    CHRÉTIENS PERSÉCUTÉS, DES FRÈRES À SOUTENIR.

    Une nouvelle fois, le Pape mobilise la prière des chrétiens, notre prière, pour nos frères et sœurs persécutés ‟afin qu’ils éprouvent le soutien de toute l’Église à travers la prière et l’aide matérielle.”

    Notre prière ne doit pas se lasser face à cette énigme qui traverse toute l’histoire de l’Église. Elle ne doit pas se limiter non plus aux seules informations que les médias grand public nous rapportent régulièrement. Les frères et sœurs concernés  sont bien plus nombreux que sur les quelques lieux extrêmes qui retiennent l’attention médiatique.

    Pour cela, il est particulièrement profitable de découvrir l’Index  mondial de persécution des chrétiens : des chiffres et des cartes saisissantes… Cela élargit notre regard, et au final notre prière vers tous ceux qui sont persécutés et dont on ne parle pas. Que notre prière soit vraiment universelle !

    Cette énigme de la persécution met en permanence à l’épreuve notre foi : comment Dieu peut-il laisser faire des choses pareilles ? Aussi il est bon de nous nourrir et de nous appuyer encore et encore sur sa Parole à travers les Écritures. C’est seulement dans cet enracinement  que nous pouvons recevoir la force de persévérance pour cette intercession qui nous plonge dans le mystère de la nuit de la foi… Cela nous oblige encore davantage à laisser l’Esprit prier en nous par ses gémissements inexprimables (Romains 8, 22-27).

    Ne pas fléchir, persévérer envers et contre tout dans notre offrande. Cela nous donne l’occasion de creuser pendant notre temps de carême la vertu théologale de l’espérance. Elle est justement l’objet des catéchèses que le Pape donne actuellement lors des audiences générales du mercredi. Une autre manière de rester unis à lui pour vivre la mission de prière apostolique qu’il nous confie.

    Bon temps de Carême à tous !

    Xavier Jahan sj
    directeur – RMPP France

  • D'après l'évêque de Mostar, la Vierge de Medjugorje n’est pas la Vierge de l’Evangile

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    D'Andrea Tornielli sur le "Vatican Insider", article traduit et adapté par Isabelle Cousturié sur le site aleteia.org :

    « La Vierge de Medjugorje n’est pas la Vierge de l’évangile »

    L'Évêque local démonte un à un tous les phénomènes rapportés dès les premiers jours par les "voyants".

    Un article, « Les apparitions des sept premiers jours à Medjugorje », publié il y a quelques jours par l’évêque de Mostar – qui, pour le moment, tient les lieux sous sa juridiction – sonne comme un acte d’accusation. Pour Mgr Ratko Peric, il n’y a pas eu d’apparitions de Notre Dame à Medjugorje. Il n’y croit pas et tente encore une fois de démonter « ces présumées apparitions », en remontant à leur première phase, c’est-à-dire à l’époque de leurs premières manifestations qui, selon la commission instituée par Benoît XVI et conduite par le cardinal Camillo Ruini, présenteraient quelques éléments surnaturels. Le rapport final de la commission, remis au pape François en 2014 après quatre années d’étude, suggère d’ailleurs au Saint-Père de n’envisager que la reconnaissance « des apparitions » des premières semaines.

    L’article est long, riche de détails sur les premiers échanges et « les révélations » des « voyants ». Troublante coïncidence : il tombe à la veille de l’arrivée annoncée par le Saint-Siège d’un envoyé spécial du Pape, Mgr Henryk Hoser, archevêque de Varsovie-Praga en Pologne, chargé d’y voir plus clair sur « la situation et les besoins pastoraux » des pèlerins qui affluent sur les lieux depuis plus de 36 ans. Il a été bien précisé que Mgr Hoser ne s’occupera pas de l’authenticité des présumées apparitions mariales, mais pour « suggérer de nouvelles initiatives pastorales ». Pour cela, l’émissaire du Pape prendra contact avec l’évêque diocésain et les franciscains qui ont en charge la paroisse de Medjugorje. Mais les préoccupations de Rome sont claires : les conflits qui divisent le clergé local depuis le début des présumées apparitions.

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