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Art - Page 13

  • En Avent à Liège : concert de Noël, Renaissance et Résonance en l’église du Saint-Sacrement Bd d’Avroy, 132

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    Bienvenue dans notre concert intitulé

    Noël, Renaissance et Résonance !

    Nous vous invitons à voyager dans le temps en explorant des Carols canadiens, anglais, des oeuvres baroques et de la Renaissance. Ces joyaux musicaux nous plongeront dans l'atmosphère festive de Noël.

    Le Choeur de chambre Praeludium, l’Ensemble renaissance Estampie, et Patrick Wilwerth à l’orgue se réuniront pour vous offrir ce concert. Leurs voix, celles de leurs instruments et les oeuvres jouées créeront une atmosphère chaleureuse, propice à la contemplation, à la réflexion et à la joie.

     Installez-vous, et laissez-vous emporter par la magie de la musique.

    Dimanche 10 décembre à 16h00 en l’église du Saint-Sacrement

    Réservations : patrickwilwerth@icloud.com /0495 79 80 38

    15€ - étudiants (supérieur) -26 ans : 10€

  • "L'enlèvement" ou comment on falsifie l'histoire pour frapper l'Eglise

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    D'Ermes Dovico sur le site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    L'affaire Mortara, des vérités tues pour frapper l'Eglise

    23-05-2023

    A Cannes, c'est le jour du film de Bellocchio (Rapito) sur l'affaire Mortara, l'enfant juif baptisé in articulo mortis puis séparé de ses parents. Dès la bande-annonce, la mystification des faits est évidente. Des faits qu'Edgardo Mortara lui-même, mort en odeur de sainteté, a effectivement reconstitués dans un mémoire indigeste pour les ennemis de la vérité.

    Edgardo Mortara nel 1873 (da novizio)

    Le Festival de Cannes accueille aujourd'hui Abducted, le film de Marco Bellocchio centré sur l'affaire Mortara, l'enfant qui, en 1858, a été séparé de sa famille juive d'origine à la suite d'un baptême qui s'est déroulé dans des circonstances exceptionnelles. Le film est librement inspiré d'un livre de Daniele Scalise (Il caso Mortara, Mondadori, 1996), qui a contribué à relancer la légende noire contre l'Église catholique. Au-delà du titre du film, la bande-annonce permet déjà de deviner le type de mystifications qui seront diffusées sur les écrans.

    Dans la bande-annonce, on voit un messager ecclésiastique qui se rend en pleine nuit, accompagné de quelques gardes, à la maison des Mortara pour leur annoncer pour la première fois que leur petit Edgardo a été baptisé et qu'il y a un ordre de "l'emmener". On voit alors le père prendre brusquement l'enfant dans ses bras et se diriger vers la fenêtre en criant : "Ils veulent nous l'enlever ! On dira qu'il s'agit d'une version romancée, mais la déformation sensationnelle des faits - pour un film qui prétend pourtant se référer à une histoire vraie - demeure. Comme restera le conditionnement dans l'esprit de ceux qui verront des scènes similaires, ignorant précisément les nombreuses vérités non dites, au détriment de l'Église.

    Il suffirait pourtant de lire les mémoires exhaustives que le protagoniste de l'affaire, Edgardo Mortara, a écrites à la fleur de l'âge, en 1888, alors qu'il avait 37 ans. Un mémoire écrit en castillan pendant son apostolat en Espagne et conservé ensuite dans les archives romaines des chanoines réguliers du Très Saint Sauveur de Latran, l'ordre dans lequel Don Pio Maria Mortara, son nom en religion, avait librement et fermement souhaité entrer dès que son âge le lui avait permis. Traduit en italien, le mémorial a été publié intégralement en 2005 dans un livre présenté par Vittorio Messori ("Io, il bambino ebreo rapito da Pio IX. Les mémoires inédites du protagoniste de l'affaire Mortara", Mondadori), qui démonte pièce par pièce la légende noire et rend compte de manière exemplaire des raisons de la foi. Il est donc curieux que certaines élites culturelles continuent à privilégier les reconstructions partielles pour propager leur idéologie. Regardons donc les faits.

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  • BD – Donner sans compter, avec le Pères Sevin et Doncœur

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    De Medias-Presse-Info ;

    BD – Donner sans compter, avec le Pères Sevin et Doncœur

     

    BD Donner sans compter, Père Sevin et Père Doncœur à l'origine du scoutisme catholique français, éditions du Triomphe

    Le dessinateur Gaëtan Evrard est l’auteur de plusieurs bandes dessinées catholiques. L’historien Louis-Bernard Koch s’est lui lancé dans le scénario de bandes dessinées depuis plus de vingt ans pour les éditions du Triomphe. Ensemble, ils ont réalisé l’album Donner sans compter qui rend hommage aux deux principales personnalités à l’origine du scoutisme catholique en France : le Père Jacques Sevin et le Père Paul Doncœur.

    Ces deux jésuites se sont engagés corps et âme au service de la France et de sa jeunesse. Leur amitié a débuté en l’an 1900 au noviciat des jésuites de la province de Champagne. L’heure est alors aux menaces politiques contre les congrégations religieuses et l’anticléricalisme se déchaîne à nouveau en France. Ces deux prêtres ont grandi durant toute leur enfance dans ce climat d’hostilité affirmée de la république à l’encontre de l’Eglise catholique. Dès 1880, le ministre de l’Instruction publique Jules Ferry prépare un projet de loi prévoyant l’expulsion des congrégations religieuses enseignantes. Le 29 mars 1880, les décrets sont publiés. Les jésuites sont les premiers expulsés. Le 5 novembre 1880, ce sont les dominicains dont on fait enfoncer les portes pour les expulser de Paris. Le même mois, trois mille laïcs tentent d’éviter l’expulsion des 68 prémontrés de l’abbaye Saint-Michel de Frigolet. La république fait donner la troupe. Des canons sont pointés sur l’abbaye. Six mille religieux sont chassés comme des criminels. Puis la situation semble quelques années plus favorables. Mais dès 1901, la Compagnie de Jésus est à nouveau chassée de France. Les Pères Sevin et Doncœur sont envoyés en Belgique, le premier à Arlon, le second à Antoing. C’est justement en Belgique, à Bruxelles, qu’en 1911 l’abbé Jules Petit transforme un patronage en première troupe scoute catholique. La création des Belgian Catholic Scouts est saluée par une lettre de félicitations du Cardinal Merry Del Val, secrétaire général de saint Pie X.

    Controverses sur le scoutisme et persévérance des Pères Jacques Sevin et Paul Doncœur

    Mais cette bande dessinée n’occulte rien des débats animés qui vont suivre au sein de l’Eglise sur le scoutisme naissant en France, vu comme une conspiration antichrétienne initiée par la franc-maçonnerie pour, par l’intermédiaire des Eclaireurs de France, soustraire les jeunes adolescents de l’influence de l’Eglise catholique.

    Survient la Première Guerre mondiale. Le Père Paul Doncœur, fils et petit-fils d’officiers, se porte immédiatement volontaire pour rejoindre le front comme brancardier. Le 16 août 1916, à Bouchavesnes, alors que tous les officiers du 2e bataillon du 35e régiment d’infanterie ont été tués, le Père Doncœur prend le commandement des soldats démoralisés pour éviter l’encerclement par l’ennemi et est gravement blessé. L’année suivante, prêtre sur le front français, le Père Doncœur crée la revue Frères d’armes.

    La guerre terminée, le Père Sevin reçoit l’autorisation de créer le scoutisme catholique en France. Il fonde la Fédération catholique des Scouts de France le 25 juillet 1920 et en est commissaire général avec l’accord des autorités religieuses. “Le but des Scouts de France est de faire revivre l’idéal si chrétien et si français de la chevalerie. J’applaudis d’avance et je bénis.”, écrit en 1921 le nouvel archevêque de Paris, Mgr Dubois. De son côté, le Père Doncœur est actif au sein de la Ligue des droits du religieux ancien combattant pour faire face aux nouvelles manigances anti-catholiques du gouvernement franc-maçon dirigé par Edouard Herriot. Il se met ensuite lui-aussi au service du scoutisme catholique en France. Mais le débat sur le scoutisme fait à nouveau rage. Un mémoire hostile au scoutisme est largement diffusé auprès des prélats français et des membres de la curie. Pie XI entend néanmoins les arguments du Père Sevin et lui recommande des réformes nécessaires pour que le scoutisme soit pleinement catholique. En septembre 1928, dix mille scouts catholiques défilent devant le Pape Pie XI. En France, de 300 membres en 1920, le scoutisme en compte 100 000 en 1929.

    C’est un véritable tour de force des auteurs de cet album d’avoir réussi à fournir en 48 pages autant d’éléments sur la biographie des Pères Jacques Sevin et Paul Doncœur, sur le contexte historique de cette époque agitée et sur l’histoire du scoutisme catholique français.

    Donner sans compter, Gaëtan Evrard (dessinateur) et Louis-Bernard Koch (scénariste), éditions du Triomphe, collection Le Vent de l’Histoire, 48 pages, 16,90 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

  • Le vêtement liturgique (Denis Crouan - Liturgie 40)

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    Liturgie 40 ‒ Le vêtement liturgique (55 mn)

    https://youtu.be/YDzJuYiDGT0

    Après la première partie du cours qui abordait l'histoire de la liturgie, nous abordons certains points de la théologie de la liturgie.  

    Après Vatican II une mode a fait florès chez de nombreux prêtres : plus de chasuble. Au-delà de ces étranges abus, la première question à laquelle il faut répondre est celle-ci : quel est la fonction du vêtement liturgique ? Il est : 

    - 1° Un « moyen » en vue d’une fin : Elever l’âme des fidèles dans la dignité de la liturgie ; 

    - 2° Être « signe » du ministre de l’Église ; 

    - 3° Participer à l’embellissement de la liturgie  

    Les cinq différentes pièces composant le vêtement du célébrant : 

    1. L’amict ; 

    2. L’aube ; 

    3. La ceinture ; 

    4. Le manipule ; 

    5. L’étole ; 

    6. La chasuble.  

    COURS DE LITURGIE, PAR DENIS CROUAN, DOCTEUR EN THEOLOGIE, 2022-2023 

    Pour accéder à la totalité de la playlist :  

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI 

    Institut Docteur Angélique 

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch. 

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin. 

    Denis Crouan, denis.crouan@wanadoo.fr; 2022-2023 

  • L’Académie de Chant Grégorien rouvre ses portes à Liège

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    L’Académie de Chant Grégorien rouvre ses portes à Liège

    Après un test de relance, au gré d’un printemps épargné par les virus, l’Académie de Chant Grégorien a maintenant mis en place à Liège un cycle annuel complet de leçons : avec les professeurs Isabelle Valloton, présidente de cette Académie et membre du Chœur grégorien de Paris, ainsi que Joachim Kelecom, médaillé de l’académie des arts de Halle et enseignant au Centre grégorien de Drongen (Gand).

    Du 25 novembre 2023 au 8 juin 2024, ce cycle ouvre ses portes à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132) 15 samedis après-midi de 13h30 à 17h30.

    Le coût d’inscription pour l’ensemble des cours est de 150€ : ce montant est à virer sur le compte
    IBAN BE97 0017 6310 6049 de l’Académie de Chant grégorien de Liège.

    Pour obtenir le formulaire d’inscription et tous renseignements s’adresser au secrétariat de l’Académie de Chant Grégorien à Liège :

    • tel. 04/344 10 89
    • academiedechantgregorienliege@proximus.be

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    Brown Modern Interior Brochure 2.jpgcliquer sur les images pour les agrandir

  • L'affaire Rupnik révèlerait-elle une schizophrénie vaticane ?

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    De René Poujol sur son blog :

    Affaire Rupnik : schizophrénie vaticane

    Lutter contre les abus dans l’Eglise n’est définitivement plus la priorité du pape François. 

    Dans une France catholique toute mobilisée par le proche voyage du pape François à Marseille, l’événement est passé inaperçu. Le 18 septembre, un communiqué du Vicaire du diocèse de Rome dont le pape est l’évêque, tendait à “blanchir“ le père Marko Rupnik pourtant “estimé coupable » d’une quarantaine d’agressions sexuelles, abus psychologiques et spirituels sur des religieuses et déjà sanctionné, notamment par l’Ordre jésuite auquel il appartient. Nouveau rebondissement dans une affaire où le célèbre mosaïste (on lui doit les aménagements récents de la façade du Rosaire à Lourdes) semble bénéficier de la protection personnelle du pape François. Ce qui consolide le doute sur sa détermination à faire de la lutte contre les abus et agressions dans l’Eglise une réelle priorité de son pontificat. 

    Un mosaïste jésuite de renommée internationale

    Marko Rupnik, jésuite slovène et mosaïste, jouit depuis plusieurs décennies d’une renommée internationale. Jean-Paul II, déjà, lui avait confié la rénovation de la chapelle Redemptoris Mater au sein même des appartements privés du palais pontifical au Vatican. En 2008, à l’occasion du cent-cinquantième anniversaire des Apparitions, étaient inaugurées à Lourdes les mosaïques illustrant, sur la façade de la basilique du Rosaire, les « nouveaux » mystères lumineux proclamés quelques années plus tôt par le pape Wojtyla. (1) On trouve d’autres de ses œuvres à Fatima, Washington… En 2017 le diocèse de Versailles annonçait que le directeur du Centre d’art Aletti, à Rome, avait été retenu pour la conception et la décoration d’une nouvelle église Saint-Joseph-le-Bienveillant à Montigny-le-Bretonneux. Commande annulée par le diocèse dès la sortie de l’affaire. Sauf que le ver était déjà dans le fruit…

    Après des décennies de silence, l’mage d’un prédateur

    En 2015, on le sait aujourd’hui, le prêtre agresse sexuellement une femme en confession avant que de lui donner l’absolution. La victime se confie, trois ans plus tard, aux pères jésuites. Les premières sanctions tombent cette même année 2018 : interdiction de confesser et d’accompagner spirituellement des femmes. En 2020, Marko Rupnik est même démis des fonctions qu’il occupait depuis vingt-cinq ans à la tête du Centre Aletti. De son côté le Dicastère pour la doctrine de la foi ( DDF) que préside le cardinal Ladaria, en charge de ces dossiers sensibles, reconnaît qu’il y a bien eu « absolution du complice » (2) Au terme du droit canonique, cela entraine une excommunication automatique qui est signifiée à l’intéressé… avant que d’être levée un mois plus tard dans des circonstances restées obscures et qui, depuis lors, nourrissent bien des soupçons. 

    Mais à ce stade, rien n’a filtré ! Le secret des procédures ecclésiastiques a bien fonctionné. Il faudra attendre les révélations de la presse italienne en décembre 2022 qui révèlent la « deuxième affaire Rupnik ». Elle porte sur des agressions sexuelles et des abus psychologiques et spirituels commis sur neuf religieuses dans les années 1980-1990 dans un couvent de Ljubjana (Slovénie) dont le prêtre mosaïste était conseiller spirituel. Les témoignages, dont la presse fait état, ont été recueillis sur place en 2021 par un évêque auxiliaire de Rome, lui-même jésuite, après que l’Ordre ait été alerté par une victime. On apprend alors que les jésuites ont aggravé les sanctions  (interdiction de prêcher des retraites et de diriger des exercices ignatiens…) sans parvenir toutefois à obtenir du DDF la levée de la prescription. Il n’y aura donc pas de procès canonique.

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  • Da pacem Domine (introit du 24ème dimanche du T.O.)

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    Introitus

    Da pacem, Domine, sustinentibus te,
    ut prophetae tui fideles inveniantur:
    exaudi preces servi tui,
    et plebis tuae Israel.

    Donnez la paix, Seigneur, à ceux qui s’en tiennent à vous,

    que vos prophètes soient trouvés fidèles;
    exaucez les prières de votre serviteur,
    et de votre peuple, Israël.
    Ps.  1

    Laetatus sum in his quae dicta sunt mihi:
    in domum Domini ibimus.

    Je me suis réjoui de ces paroles qui m’ont été dites:
    Nous irons dans la maison du Seigneur.

  • Le revirement pro-life d'une actrice américaine

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    Lu sur kath.net/news :

    L'actrice Leigh-Allyn Baker sur l'avortement : 'J'ai cru la propagande'.

    30 juillet 2023

    Lorsqu'elle a appris ce qui se passait réellement lors d'un avortement, elle a changé d'avis et s'engage désormais pour la protection de la vie, explique l'actrice.

    Washington D.C. (kath.net/LifeNews/jg)

    L'actrice Leigh-Allyn Baker s'est engagée en faveur de la protection de la vie dans une interview accordée au podcast "Speak Out". Lorsqu'elle a appris ce qui se passait réellement lors d'un avortement, elle a changé d'avis, a déclaré Baker.

    Baker est connue pour avoir joué dans des séries télévisées telles que "Will & Grace", "Ma sœur Charlie" et "Die wilden Seventies". Dans le podcast, elle a parlé avec Christine Yeargin de l'organisation de protection de la vie "Students for Life" de l'avortement, de la famille et des tentatives à Hollywood d'influencer ses opinions conservatrices.

    Pendant de nombreuses années, elle a défendu l'idée que l'avortement était une intervention qu'une femme devait décider avec son médecin. Un groupe d'hommes dans la capitale Washington n'aurait pas le droit de prendre cette décision sur le corps de la femme. Elle a cru "la propagande que les médias diffusent depuis longtemps". Mais elle en a ensuite appris davantage sur la manière dont se déroule réellement un avortement. Elle a pris conscience qu'à partir d'un certain stade, l'enfant à naître ressentait de la douleur et évitait l'aiguille du médecin avorteur. Elle a vu ce que l'on faisait au bébé dans l'utérus et qu'il s'agissait d'un enfant.

    Baker a regretté qu'elle se sente souvent seule à Hollywood avec ses opinions. Elle n'a pas participé à la marche des femmes parce que cela lui semblait ridicule. "J'ai des droits. Pourquoi devrais-je marcher pour des droits que j'ai déjà ?", a-t-elle demandé.

    Elle estime qu'il faut faire davantage pour réfuter les mensonges du mouvement pro-avortement. Les défenseurs de la vie ne veulent pas contrôler le corps de la femme, mais protéger les enfants à naître, car chacun d'entre eux est un être humain précieux, a-t-elle souligné.

    Les défenseurs de la vie ne condamnent pas les femmes qui ont subi un avortement. Elle a elle-même de nombreuses amies qui ont subi un avortement. Elle ne se sent pas en position de juger ces femmes, a déclaré Baker.

    Les femmes ont le don particulier de faire grandir une nouvelle vie en elles et de la mettre au monde. C'est un don que les hommes n'ont pas. Elle souhaiterait que ce "don particulier" des femmes soit davantage apprécié, a déclaré Baker.

  • Qui est Rupnik et pourquoi les bergogliens l'ont-ils protégé ?

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    De Vistemboir sur le Forum Catholique :

    Article de Hilary White, correspondante d’Italie de The Remnant, paru le 26 juillet 2023 sur The Remnantet intitulé Who is Marko Ivan Rupnik, & why did the Bergoglians shelter him?
    (Traduit à l’aide de deepl.com)


    Marko Rupnik : affaire classée

    Je ne vais pas vous parler beaucoup de l'affaire du Père Marko Rupnik, artiste mosaïste et ancien jésuite, du point de vue de son histoire et de ses particularités. J'aimerais plutôt parler de la signification de son art. Les grandes lignes du scandale peuvent être trouvées partout. Le Pillar Catholic a couvert de manière assez régulière tous les hauts et les bas - ce qui n'est pas surprenant si l'on connaît un peu la situation au Vatican et dans l'ordre des jésuites.

    L'affaire semble s'être tassée, ni le Vatican ni l'ordre des Jésuites n'étant apparemment intéressés par le fond du problème, à savoir que le Slovène Marko Rupnik, l'affiche la plus aimée du régime pour la révolution culturelle de Vatican II, s'est créé un harem personnel de femmes qu'il a manipulées pour des activités sexuelles grotesquement pseudo-religieuses, trop horribles et blasphématoires pour être évoquées devant tout le monde. Il reste prêtre - rapidement excommunié pour l'un des délits canoniques (crimes canoniques) les plus graves qu'un prêtre puisse commettre, mais pardonné parce que, nous assure-t-on, "il s'est repenti". D'accord, je suppose que nous devrons vous croire sur parole.

    Depuis lors, il a été expulsé de la Compagnie de Jésus pour "désobéissance" (aucun détail n'a été fourni), mais son organisation, Centro Aletti, y compris l'"ordre religieux" féminin qu'il a fondé pour l'encadrer, reste en place, et ses membres ainsi que ses amis et défenseurs personnels occupent toujours des positions puissantes au sein de la curie romaine.

    Même si vous ne connaissez pas le nom, vous connaissez son travail

    Ce qu'il est important de saisir d'emblée, c'est son immense importance en tant que personnage public, en tant que représentant artistique du régime post-conciliaire du Novus Ordo. Ses images sont l'étalon-or de l'"iconique", officiellement promue, de l'esthétique Vatican II. En tant que tel, il est une célébrité dans le monde du Novus Ordo.

    Ses mosaïques se trouvent sur les façades et à l'intérieur de certaines des églises les plus importantes du monde catholique, y compris Lourdes, Fatima et le lieu de repos de Padre Pio ; elles sont imprimées sur les couvertures des publications catholiques officielles, allant des missels d'autel aux vêtements et draperies liturgiques, en passant par les magazines et les bulletins d'information. Si vous avez assisté à une cérémonie liturgique du Novus Ordo au cours des dix dernières années, vous la connaissez. C'est l'art "officiel" du nouveau paradigme. Les projets diocésains aux titres bureaucratiques turgescents tels que "La mission de l'Église dans le monde moderne à la lumière de Vatican II" du "Centre pour l'enrichissement de la foi" du diocèse de Perth, adorent utiliser ses œuvres pour illustrer par exemple leurs sites internet.

    En Italie, il est également célèbre pour ses prédications, ses exposés catéchétiques et ses conférences qui passent, ou sont passées, régulièrement à la télévision et sont largement diffusées sur YouTube. En bref, il est un éminent porte-parole de l'idéologie du Nouveau Paradigme, un acteur majeur de la diffusion de ses idées auprès des catholiques ordinaires, surtout en Italie.

    En 1966, l'artiste suisse Annie Vallotton a été chargée de créer ces illustrations et des centaines d'autres similaires pour "La Bible de la Bonne Nouvelle". Compte tenu de la qualité de la traduction en "langage clair", ces images étaient en effet idéales.

    L'art par et pour les petits enfants

    Nous connaissons tous ce type d'art, du moins d'une manière générale : c'est l'art qui nous dit que nous sommes coincés pour toujours dans la couleur ambre de 1969. L'art de Rupnik est l'art du conciliarisme Vatican II, l'équivalent visuel de la musique de Dan Schutte et des Jésuites de Saint-Louis. (Et ce n'est certainement pas un hasard s'ils sont tous deux jésuites).

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  • Barbie : un film à charge contre les hommes qui manque cruellement de subtilité

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    D'Anne Guerry sur le site du Figaro via le blog "Pour une école libre au Québec" :

    Barbie, un film de propagande néoféministe et misandre ?

    26 juillet 2023

    Texte d’Anne Guerry est élève à l’École normale supérieure de Lyon, paru dans Le Figaro.

    En mêlant combat féministe et hypersexualisation de la femme, la réalisatrice Greta Gerwig signe un film à charge contre les hommes qui manque cruellement de subtilité.

    Ces derniers jours, certains passants ont pu voir des files parfois interminables devant les cinémas, mais ce n’était pas pour le nouveau film de Christopher Nolan, Oppenheimer, sur l’invention de la bombe atomique aux États-Unis.

    Ces files d’attente géantes étaient plutôt parsemées de perfectos rose bonbon, de minijupes tape-à-l’œil et de dessus pailletés, à l’image du style vestimentaire de la célèbre poupée Barbie commercialisée en 1959 par la société américaine Mattel. 64 ans plus tard, la société américaine commande un film pour faire la promotion de sa poupée, et confie le projet à la réalisatrice féministe Greta Gerwig. Après une promotion forcenée (on a pu voir une maison Barbie sur Airbnb, des collaborations avec de nombreuses marques de vêtements, des menus roses chez Burger King, une page Google qui s’affiche en rose lors des recherches en rapport avec le film), l’objectif semble donc atteint : la poupée bimbo fait à nouveau parler d’elle.

    Pourtant, outre l’ampleur hors du commun de la promotion du film, l’histoire, elle, est on ne peut plus commune : Barbie mène une vie parfaite à Barbieland, monde dans lequel les femmes ont accès à tous les métiers et à toutes les responsabilités, et où les Ken (les poupées masculines), cherchent désespérément à attirer l’attention d’une d’entre elles en se pavanant sur la plage. Le ton est donné. Mais, après un voyage dans le « vrai monde », Ken s’inspire du patriarcat qu’il y a observé et l’applique à Barbieland. Les Barbies sont alors réduites à servir les hommes, jusqu’à ce qu’elles se révoltent et obtiennent pour de bon le pouvoir.

    Dans le « vrai monde », les hommes sont tous machos et grossiers, ils méprisent les femmes et aucune d’elles n’a de responsabilités. À Barbieland, les Ken sont profondément stupides et superficiels, totalement dépendants des Barbies, alors que ces dernières n’ont que faire de leurs partenaires masculins. Le message est clair : la femme n’a pas besoin de l’homme, et c’est en se passant de lui qu’elle pourra s’émanciper et être pleinement femme. L’homme est une charge, si ce n’est une menace, pour la femme. Bien loin d’une histoire d’amour, la relation entre Barbie et Ken s’achève par un Ken en pleurs, qui regrette le patriarcat et qui accepte finalement le pouvoir des Barbies. Ce final grotesque et caricatural est à l’image de l’ensemble du film, ponctué de références peu subtiles et de tirades victimaires dans lesquelles les femmes expliquent la difficulté qu’elles éprouvent dans un monde phallocentré.

    Mais alors que le pouvoir est donné aux femmes et que les hommes sont tournés en dérision permanente, il faut encore déconstruire l’image stéréotypée de la poupée hypersexualisée. Pour dissimuler le paradoxe de la féministe privilégiée blonde, blanche, grande et mince qu’incarne Margot Robbie, la réalisatrice l’accompagne d’autre Barbies de toutes ethnies et de toutes morphologies confondues. C’est également la ligne adoptée par Mattel pour commercialiser ses poupées aujourd’hui : en faire des emblèmes d’inclusion ! Mais on peut s’interroger à raison sur l’opportunisme de cette démarche, où le libéralisme culturel est mis au service du capitalisme consumériste.

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  • C'est officiel : Marko Ivan Rupnik est expulsé de la Compagnie de Jésus

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    D'Elise Ann Allen sur Crux :

    Les Jésuites officialisent : Le prêtre-artiste accusé d'abus est expulsé de l'ordre

    24 juillet 2023

    ROME - Un mois après avoir annoncé l'expulsion du père Marko Ivan Rupnik, prêtre-artiste accusé d'avoir abusé sexuellement de plusieurs femmes adultes, pour cause de désobéissance, l'ordre des jésuites du pape François a confirmé la décision lundi.

    Le père Johan Verschueren, délégué permanent de la Compagnie de Jésus pour les maisons, les œuvres et les jésuites interprovinciaux à Rome, qui a supervisé l'enquête de l'ordre sur les allégations contre Rupnik, a fait cette annonce dans une lettre datée du 24 juillet.

    Le Père Verschueren a déclaré qu'étant donné que le délai de 30 jours prévu par le droit ecclésiastique pour permettre à M. Rupnik de faire appel du décret d'expulsion du 14 juin s'était écoulé, "nous pouvons déclarer aujourd'hui qu'il n'est plus un religieux jésuite".

    Cette confirmation signifie que Rupnik n'est plus un jésuite, même s'il reste pour l'instant un prêtre catholique. En ce qui concerne l'avenir, Verschueren a déclaré à Crux que l'ordre s'interrogeait également.

    "Nous vivons en fait avec les mêmes questions", a-t-il déclaré. "Le père Rupnik ne nous dira certainement pas où il se trouve et comment il conçoit son avenir.

    Le décret jésuite publié en juin indiquait que Rupnik avait été expulsé pour cause de désobéissance après avoir refusé l'ordre de quitter une maison jésuite rattachée au Centre Aletti qu'il avait fondé à Rome et de déménager dans un autre lieu, d'assumer la responsabilité de ses crimes passés et d'offrir une forme de réparation à ceux qui avaient lancé les allégations.

    Selon la lettre de Verschueren, il n'y a plus de maison jésuite rattachée à l'Aletti Center.

    Après l'annonce de l'expulsion de Rupnik, le Centre Aletti a publié sa propre déclaration disant que Rupnik avait demandé à quitter les Jésuites en janvier, bien avant qu'il ne reçoive l'ordre en mars de partir et de s'installer dans une autre communauté.

    Il a également déclaré que chacun des jésuites résidant dans la maison communautaire rattachée au centre avait également demandé à quitter la Compagnie de Jésus, et il a accusé les médias d'avoir lancé une campagne de diffamation contre Rupnik, affirmant qu'il avait nié toutes les allégations.

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  • "Sound of Freedom" : un film qui rivalise avec le dernier Indiana Jones et dont les médias ne parlent pas

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    Du site "pour une école libre au Québec" :

    Sound of Freedom le film qui rivalise avec le dernier Indiana Jones et dont les médias ne parlent pas

    Un film avec Jim Caviezel sur le trafic d’enfants, Sound of freedom, s’est hissé en haut du palmarès des sorties cinématographique, dépassant, le 4 juillet 2023, le dernier opus d’Indiana Jones.

    Disney a possédé les droits de ce film pendant quatre ans et n’en a rien fait. C’est finalement les studios Angel Studio, qui produit également The Chosen (L’Élu ou Les Élus) qui a décidé de le produire. Le film a engrangé 14 millions de dollars de recette en une journée, il est devenu numéro un du box-office américain, dépassant ainsi la nouvelle aventure d’Harrison Ford qui n’a remporté que 11 millions de dollars le même jour.

     
    Sound of freedom dépeint l’histoire vraie de Tim Ballard, joué par Jim Caviezel. Père de six enfants et agent fédéral, il a arrêté plus de 280 pédophiles. Persuadé que « les enfants de Dieu ne sont pas à vendre » et il va tout faire pour sauver une petite fille victime d’un trafic d’enfants.

    Le film sortira au Québec dans les cinémas Guzzo le 14 juillet, uniquement en version anglaise, pendant une semaine.

    La date de sortie du film en France n’est malheureusement pas encore connue. 

    « Grâce aux fans de tout le pays, Sound Of Freedom a remporté la première place en tant que film numéro un américain le jour de l’indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer ou affichent complet. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus que cela, un mouvement populaire », a partagé Neal Harmon, PDG d’Angel Studios. Un succès étonnant quand on sait que le film est distribué de manière indépendante !