Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Art - Page 18

  • Joséphine Baker : une femme qui croyait en Dieu et qui priait tous les soirs

    IMPRIMER

    De Michel Janva sur le Salon Beige :

    Joséphine Baker : “Il faut croire en Dieu. Je crois, il n’y a pas de meilleure force. On dira ce que l’on voudra. Tous les soirs, je fais ma prière”

    Au Panthéon repose désormais une femme qui croyait en Dieu et qui priait tous les soirs. Mais Emmanuel Macron a “oublié” de le dire dans son discours.

    “Il faut croire en Dieu. Je crois, il n’y a pas de meilleure force. On dira ce que l’on voudra. Tous les soirs, je fais ma prière, une prière que j’imagine et que je chante sur un air de chanson.”

    Dans Les mémoires de Joséphine Baker :

    Joséphine Baker est récupérée par les militants de l’antiracisme. Mais en 1975, Libération insultait Josephine Baker. Elle était accusée de réunir un public réac…

    Mais Libé a une excuse : “Libération de 1975 était plus un terrain d’expérimentations journalistiques.”
  • Bruxelles, 10 décembre : Concert Marial de Noël (orgue et cantiques)

    IMPRIMER

    2021_12_02_09_39_52_Greenshot.png

    Le vendredi 10 décembre, la Fête de Notre Dame de Lorette, la Paroisse des Saints Jean et Étienne « aux Minimes » organise et vous invite au Concert Marial de Noël : orgue et cantiques, par MM. Berger et Ockerman, organistes liturgiques de la Paroisse (Église des Saints Jean et Etienne « aux Minimes », rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles.

    Le concert commencera après la Messe de 18h30 (entrée gratuite, participation volontaire pour les œuvres paroissiales).

  • Polémique autour du réaménagement de Notre-Dame de Paris

    IMPRIMER

    De Catholic News Agency :

    L'archevêché de Paris présente des plans pour l'intérieur de Notre-Dame sur fond de tollé

    29 novembre 2021

    L'archidiocèse catholique de Paris présentera ses plans de restauration de l'intérieur de la cathédrale Notre-Dame la semaine prochaine après avoir rejeté les critiques selon lesquelles ses propositions transformeraient le site en "une sorte de parc à thème."

    Les responsables soumettront leurs propositions à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture de France le 9 décembre, dans un contexte de nouveau tollé concernant la restauration de la cathédrale gravement endommagée par un incendie en 2019, a rapporté l'AFP.

    L'agence de presse a indiqué que l'archevêché a démenti les informations des médias étrangers selon lesquelles la célèbre cathédrale gothique française, construite entre 1163 et 1345, risquait d'être transformée en parc à thème ou remplie d'art contemporain choquant.

    Le Daily Telegraph, un journal britannique, a rapporté le 26 novembre que les critiques craignaient que les changements ne transforment l'édifice en un "Disneyland politiquement correct".

    Selon ce journal, "les confessionnaux, les autels et les sculptures classiques seront remplacés par des peintures murales modernes et de nouveaux effets sonores et lumineux pour créer des "espaces émotionnels"".

    "Il y aura des chapelles à thème sur un 'sentier de découverte', avec un accent sur l'Afrique et l'Asie, tandis que des citations de la Bible seront projetées sur les murs des chapelles dans différentes langues, y compris le mandarin", ajoute-t-il.

    Maurice Culot, un architecte qui a vu les plans, a déclaré au journal : "C'est comme si Disney entrait dans Notre-Dame."

    "Ce qu'ils proposent de faire à Notre-Dame ne serait jamais fait à l'abbaye de Westminster ou à Saint-Pierre de Rome. C'est une sorte de parc à thème et c'est très enfantin et trivial compte tenu de la grandeur du lieu", a-t-il commenté.

    Dans une interview accordée à l'AFP, le père Gilles Drouin, le prêtre qui supervise la restauration intérieure, a semblé confirmer les propositions mais a affirmé qu'elles ne constituaient pas un changement radical.

    Il a expliqué que la restauration visait à préserver la cathédrale en tant que lieu de culte, mais aussi à accueillir et à éduquer les visiteurs "qui ne sont pas toujours de culture chrétienne."

    Il a précisé que les chapelles latérales présenteraient "des portraits du 16e et du 18e siècle qui dialogueront avec des objets d'art moderne."

    "La cathédrale a toujours été ouverte à l'art de la période contemporaine, jusqu'à la grande croix dorée du sculpteur Marc Couturier installée par [l'archevêque de Paris de l'époque] le cardinal Lustiger en 1994", a-t-il précisé.

    Le gouvernement français supervise la restauration structurelle et la conservation de la cathédrale, mais les autorités de la cathédrale sont responsables de sa rénovation intérieure.

    Les plans doivent être approuvés par le ministère français de la culture. La ministre de la culture, Roselyne Bachelot, a déjà suggéré que la cathédrale restaurée soit "identique" à celle d'avant l'incendie.

    Ce n'est pas la première fois que les plans de restauration suscitent la controverse. Les critiques ont dénoncé une proposition divulguée en décembre 2020 visant à remplacer les vitraux historiques de l'architecte Viollet-le-Duc par des motifs contemporains colorés dans les chapelles autour de la nef.

    Une porte-parole de l'archevêché avait alors déclaré au National Catholic Register qu'"il va sans dire que l'archevêque n'a jamais eu l'intention de transformer la cathédrale en aéroport ou en parking."

    La cathédrale rouvrira ses portes au culte avec un Te Deum le 16 avril 2024, cinq ans après l'incendie. Cette année-là, Paris accueillera les Jeux olympiques d'été.

  • Liège, le dimanche 12 décembre 2021 à 16h00: concert de Noël à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy , 132)

    IMPRIMER

    Eglise du Saint-Sacrement à Liège

    Boulevard d’Avroy, 132

    Dimanche 12 décembre 2021 à 16 heures 

    CONCERT DE NOËL

    Animé par le Choeur polyphonique “Praeludium” (dir.Patrick Wilwerth) 

    et les étudiants de l’Ensemble “Experientia” (Choeur ULiège) 

    Armand Rahier (hautbois) et l’Ensemble instrumental Darius (violons) se joindront aux choeurs et à l’orgue pour faire de ce concert un moment de pur plaisir musical 

     Au programme: 

    Des oeuvres de Dietrich Buxtehude, Georg Friedrich Haendel, des chants traditionnels ukrainiens, hébreux et anglais ainsi que des oeuvres de Patrick Wilwerth lui-même

    Affiche Noel 2021 jpeg.jpeg

    Entrée : 10€ 

    Réservations à partir du 20/11  : 0495/79 80 38  - email: patrickwilwerth@icloud.com

    Suivant les règles en vigueur, le Pass sanitaire et le masque seront obligatoires. 

  • Première édition des Prix du Patrimoine de la Ville de Liège Information/Invitation au vote

    IMPRIMER

    Votez pour le Projet de Restauration de l’église du Saint-Sacrement !

    journées du patrimoine 2021 affiche_patrimoine2021 verso.jpg

    Le vote est ouvert à tous, résidents ou non sur le territoire de la Ville de Liège

    Chaque personne peut voter une seule et unique fois pour un seul des projets présentés  

    Cette année, se déroulera la première édition des Prix du Patrimoine de la Ville de Liège. L’initiative a pour but de mettre à l‘honneur «des projets exemplaires par leur action visant à la conservation  ou à la restauration du patrimoine bâti, classé ou non ».

    58 projets, retenus par un jury réuni le 20 octobre dernier, ont été répartis dans trois catégories différentes. Le projet du Saint-Sacrement a été retenu dans celle des biens classés.

    Ce jury va bientôt désigner le lauréat de chaque catégorie ainsi que le Grand Prix du Patrimoine et du Matrimoine de la Ville de Liège.

    A côté de cela, le public peut lui aussi élire son projet lauréat et remettre un « Prix du Public ». C’est l’étape qui s’ouvre à vous maintenant. Vous êtes invités à voter pour votre projet préféré.

    Si vous voulez contribuer à l’élection du projet de la restauration de l’église du Saint-Sacrement, votez en cliquant sur la photo du projet C1 accessible via le lien ci-dessous :

    https://www.ppm-liege.be/projets/bc

    Vous devrez laisser votre adresse électronique lors du vote et confirmer votre vote en réponse à l’email que vous trouverez dans votre messagerie. 

    Sigle sursum corda.jpg

    Sursum Corda asbl pour la sauvegarde

    de l’église du Saint-Sacrement à Liège  

    UN NOUVEAU DÉFI POUR L’ASSOCIATION DE FIDÈLES « SURSUM CORDA » :

    Fete-Dieu-516-1024x768.jpg

    LA RESTAURATION DE L’ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT À LIÈGE CONTINUE..!

    L’église du Saint-Sacrement que les Sœurs de l’Eucharistie ont quittée en 1993 fut menacée de désacralisation en 2003. Cette superbe église du XVIIIe siècle fut alors rachetée par l'asbl « Sursum Corda » : pour préserver sa destination originaire.

    « Sursum Corda » a entrepris de réaliser, par phases successives, un plan complet de réhabilitation de l’église confié à l’architecte Louis Schockert (Atelier-Nord). Une première phase portait sur la façade monumentale et le parvis de l’édifice ainsi que la stabilisation de la maçonnerie de la nef et des charpentes de sa toiture. Ce chantier ouvert en mars 2020 s’est achevé au mois de juillet 2021.

    Les prochaines phases porteront sur la restauration externe du chœur et de la tour de l’église (maçonnerie, pierre de taille, toiture), des vitraux et, à l’intérieur, des plafonnages de la coupole de la nef.

    Plus que jamais "Sursum Corda" compte sur la solidarité de ses amis pour parachever ensemble toutes les phases de l’entreprise ! 

    Pour l'aider, vous pouvez faire un don fiscalement déductible pour la restauration de l’église du Saint-Sacrement en versant votre obole :

    • au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, Rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles
    • avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.

    Tout don de minimum 40 € est fiscalement déductible des revenus imposables à concurrence de 45% du montant effectivement versé (art. 145/33 du code de l’impôt sur les revenus).

      Asbl « Sursum Corda »

    Nouvelle adresse du siège social : rue Albert et Louis Curvers, 32, 4053 Chaudfontaine (Embourg)

  • Abbaye de Lagrasse : 14 écrivains y passent trois jours et publient un livre commun

    IMPRIMER

    Lu sur le site web "riposte catholique" ce 21/11/2021:

    Au printemps dernier, 14 écrivains sont allés en pèlerinages à l’abbaye de Lagrasse, où ils ont passé trois jours et trois nuits. Leur livre commun édité chez Fayard sur cette expérience inédite sort le 25 novembre prochain.

    Il a donné lieu à un très bel article du Figaro, sous la plume de Pascal Bruckner, qui publie les bonnes feuilles et commence ainsi : « Que l’on soit croyant ou non, arriver à Lagrasse pour quelques jours, partager la vie des frères, c’est subir une immersion instantanée dans une société aux antipodes de la nôtre : le silence en lieu et place du bruit, la frugalité plutôt que l’abondance, la coupure plutôt que la connexion. Logé dans une cellule sobre mais vaste, la chambre de l’évêque, qui donne sur un jardin splendide, on s’endort le soir, ­fenêtres grandes ouvertes, au chant des crapauds et du ­rossignol, on se réveille avant 6 heures sur le pas menu des chanoines qui se rendent à matines » .

    Il s’agit de Pascal Bruckner lui-même, Sylvain Tesson, Camille Pascal, Jean-René Van der Plaetsen, Frédéric Beigbeder, Jean-Paul Enthoven, Jean-Marie Rouart, Franz-Olivier Giesbert, Sébastien Lapaque, Thibault de Montaigu, Louis-Henri de La Rochefoucauld, Boualem Sansal, Simon Liberati, Xavier Darcos. Ils reversent leurs droits d’auteurs à l’abbaye, pour les travaux de restauration.

    Préface de Nicolas Diat. Postface du père Emmanuel-Marie Le Fébure du Bus, Fayard/Julliard, 360 p., 23 €. Précommande en ligne

    .abbaye_lagrasse.jpg

    Ref. Abbaye de Lagrasse : 14 écrivains y passent trois jours et publient un livre commun

  • Quand la génération 2.0 s’empare du grégorien et le porte aux nues

    IMPRIMER

    De KTO Télévision :

    Le Chant Grégorien 2.0

    15/11/2021

    La richesse du grégorien est infinie. La génération 2.0 s’en empare et la porte aux nues. La rencontre peut sembler paradoxale ; entre une langue morte, une musique de profundis, et des chanteurs rock, des musiciens venus du jazz, des adolescents connectés aux réseaux sociaux, nourris d’images et de rythmes 2.0. Dans les chapelles, les conservatoires de musique, les théâtres, les salles de concert, comment résonnent ces chants de la nuit des temps ? LE CHANT GRÉGORIEN 2.0 - UNE PRODUCTION 13 PRODUCTIONS 2021 - Réalisée par Ninon Brétécher

  • Que ma prière aille jusqu'à Toi (Introit du 32e dimanche du T.O.)

    IMPRIMER

    Introitus Introït
    Ps. 87, 3  
    INTRET orátio mea in conspéctu tuo: inclína aurem tuam ad precem meam, Dómine.    Ps. ibid., 2 Dómine, Deus salútis meæ: in die clamávi, et nocte coram te. ℣. Glória Patri. Que ma prière pénètre jusqu’à Toi, Seigneur, prête l’oreille à ma supplication.
    Ps. ibid., 2. Seigneur, Dieu de mon salut, devant Toi j’ai crié le jour et la nuit. ℣. Gloire au Père.
  • L’esprit de la liturgie en Afrique : de Keur Moussa au Bas-Congo

    IMPRIMER

    Keur Moussa : une abbaye bénédictine africaine au cœur du Sénégal:

    RDC : Litanie des saints (en kikongo) | Chorale Ngunga de Saint Jean Marie Vianney:

  • La présence chrétienne attestée en Chine il y a 1900 ans ?

    IMPRIMER

    Vue d'ensemble du bas-relief de Kong Wang Shan

    Vue d'ensemble du bas-relief de Kong Wang Shan

    De Vatican News (Claire Riobé) :

    Les bas-reliefs de Kong Wang Shan, témoins de la présence chrétienne en Chine?

    Des roches sculptées il y a 1900 ans, considérées des siècles durant d’origine bouddhiste, pourraient en réalité être un témoignage de la présence des premiers chrétiens dans le pays.

    L’hypothèse est ambitieuse, mais suscite à Rome un vif intérêt. À l’occasion d’un colloque interdisciplinaire sur l’histoire des premiers siècles de l’Église, organisé du 27 au 29 octobre 2021 à proximité du Vatican, le scientifique Shueh-Ying Liao a fait part de ses recherches sur l’origine de la célèbre fresque de Kong Wang Shan. Les bas-reliefs chinois, considérés pendant des siècles comme d’origine bouddhiste, font de nouveau l’objet d’une étude plus approfondie depuis les années 1980. Ils pourraient en réalité témoigner de la présence des tout premiers chrétiens en Chine, explique le chercheur de l’université Bordeaux-Montaigne.

    Un trésor archéologique inestimable  

    Le colloque «Enquête sur l’histoire des premiers siècles de l’Église» a été initié par le Comité pontifical des Sciences historiques, en collaboration avec l’Université Catholique de Lyon. Il avait pour objectif d’élargir le périmètre de la recherche historique bien au-delà du bassin méditerranéen, en permettant notamment à des chercheurs aux origines variées de présenter l’objet de leurs travaux.

    On apprend que des traces du christianisme antique ont été identifiées jusqu’en Inde et en Chine, terres qui, selon la tradition, ont été évangélisées par l’apôtre Thomas. Il en est ainsi des bas-reliefs de Kong Wang Shan, situés dans l’enceinte de l’ancienne ville portuaire de Lianyun (Est du pays), sur la mer de Chine. S’étalant sur 20 mètres de roche, la frise se compose d’un ensemble de plus d’une centaine de sculptures, gravées entre l’an 58 et 75 de notre ère.

    Véritable trésor archéologique, admirablement conservée, elle aurait été commandée par le prince Liu Ying, demi-frère de l'empereur Han Mingdi. Selon Shueh-Ying Liao, «c’est la plus ancienne frise conservée en Chine actuellement», qui «n’a pas son équivalent archéologique ou littéraire» aujourd’hui.

    Une origine bouddhiste «peu probable»

    Les bas-reliefs de Kong Wang Shan ont fait l’objet d’études successives de la part d’archéologues et chercheurs depuis les années 1980. Si la majorité des chercheurs chinois pense toujours que cette frise signe l'arrivée du bouddhisme en Chine, une autre hypothèse est aujourd’hui avancée. C’est d’ailleurs «le vide laissé par la recherche dans ce domaine», qui a poussé Shueh-Ying Liao à approfondir l’hypothèse d’une origine chrétienne de la célèbre frise.

    Le chercheur Pierre Perrier, dans son ouvrage L'apôtre Thomas et le prince Ying, a été un des premiers à remettre en question l'attribution bouddhiste ou taoïste des bas-reliefs de Kong Wang Shan. La logique des figures gravées dans la pierre, avance-t-il, ne devient compréhensible que lorsque l'on prend en considération le judéo-christianisme et la culture parthe.

    Le témoignage d’une première persécution religieuse

    Pierre Perrier défend depuis la thèse suivante : le thème de la frise est la prédication évangélique initiale de l'apôtre Thomas. Arrivé dans l’Empire impérial par la mer de Chine, depuis le sud de l'Inde, il aurait été accueilli par le Prince Ying. Des propos que corrobore, de son côté, Shueh-Ying Liao. La mort du prince Ying, assassiné sur ordre de l’empereur Ming après gravure de la frise, pourrait être considérée comme «la première persécution religieuse d’un culte divin barbare» en Chine.

    Si toute la lumière n’a pas encore été faite sur les origines des bas-reliefs de Kong Wang Shan, leur intérêt pour l’histoire des premiers siècles de l’Église s’en trouve renforcé. Et permet de nous éclairer sur la formation de la chrétienté en Asie mineure. 

  • Un film colorisé montre le pape Léon XIII, le plus ancien personnage à avoir été filmé

    IMPRIMER

    Une archive exceptionnelle où l’on voit le pape Léon XIII en 1896 dans les jardins du Vatican, filmé par Vittorio Calcina, le représentant des Frères Lumière en Italie.

    La première scène montre le pape Léon XIII âgé de 86 ans bénissant les spectateurs, la seconde arrivant dans une calèche et la troisième s’asseyant dans les jardins du Vatican.

    Né en Italie en 1810, le pape Léon XIII a succédé à Pie IX et assuré un pontificat de 25 ans, entre 1878 et 1903. C’est le 3ème pontificat le plus long de l’Histoire de l’Eglise après son prédécesseur Pie IX (32 ans) et après saint Pierre (34 ans). Décédé à l’âge de 93 ans, Léon XIII reste le Pape qui a vécu le plus longtemps. (source)

  • « Je n’ai que mon âme » : un nouvel album inspiré de Natasha St Pier

    IMPRIMER

    D'Athénaïs Clicquot sur Aleteia.org :

    « Je n’ai que mon âme », le nouvel album inspiré de Natasha St Pier

    WEB2-NATASHA-ST-PIER-THOMAS-BRAUT.jpg

    Thomas Braut; Natasha St Pier.

    4/11/21

    Après le succès de ses trois derniers albums sur les poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, Natasha St Pier revient le 19 novembre avec un tout nouvel album intitulé "Je n'ai que mon âme". À l'intérieur, des nouveautés mais aussi ses plus grands succès, que le public pourra retrouver lors de sa tournée actuelle dans les églises de France.

    De retour dans les églises de France depuis septembre pour sa tournée, Natasha St Pier fait à nouveau le bonheur de ses fans qui avaient hâte de réentendre ses plus belles chansons ! Car depuis ses derniers albums consacrés aux poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, le succès de la chanteuse ne tarit pas.

    Et cette nouvelle tournée, qui s’annonce bien chargée avec 65 dates prévues au total, verra se mélanger quelques nouveautés mais aussi les chansons préférées de son public en version plus « authentique ». Les fans auront ainsi la joie de réentendre ses plus beaux succès comme « Je n’ai que mon âme », « Vivre d’amour » (en duo avec Anne Sila), ou encore « Aimer c’est tout donner ». Parmi les nouveautés, quatre titres enregistrés avec Vincent Niclo et les petits chanteurs à la Croix de bois. Ensemble, ils revisiteront des titres phares de Noël comme « l’Ave Maria » ou « Il est né le divin enfant ». « Plus qu’un simple album live, je voulais partager l’émotion, l’histoire de mes titres […] cet album promet de belles découvertes », a confié la chanteuse.

    En attendant la sortie officielle de l’album prévue le 19 novembre, les fans peuvent déjà retrouver la chanteuse en tournée jusqu’au 23 décembre prochain.