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Belgique - Page 307

  • Le 4 août à Malmédy : messe traditionnelle du premier dimanche du mois

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    premier dimanche du mois

    MALMEDY

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Jean SCHOONBROODT, chapelain au sanctuaire de Banneux et à l’église du Saint-Sacrement à Liège

     DIMANCHE 4 AOÛT 2013 A 18 HEURES

    EGLISE DES CAPUCINS

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    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy

    CELEBRATION DU ONZIÈME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE 

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    Evangile selon saint Marc, chapitre 7 : Jésus guérit le sourd-muet, image de l’humanité pécheresse  

    Propre grégorien de la messe « Deus in loco sancto suo » (Dieu fait habiter les siens en sa demeure)

    Messe à deux voix « Te Deum Laudamus » (Lorenzo Perosi,1872-1956), Credo I, Hymne « Iesu dulcis memoria » alterné en plain-chant et polyphonie (Edouard Senny,1923-1980)

    Motets : « Louez tous le Seigneur » (Dom Anselme Deprez) et « Nun dankt alle » (Johann Cruger, 1598-1660)

    A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems

    Renseignements : L. Aussems  tél. 080.33.74.85

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  • Le choix de Clara

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    Clara est soeur à la Fraternité de Tibériade; elle témoigne (en néerlandais) de sa vie et de sa vocation dans cette communauté où elle est entrée récemment : 

    d'autres videos, ICI

  • Douze moines de l’abbaye de Fontgombault vont relancer celle de Wisques cet automne

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    car2.jpgNous l’avions déjà annoncé ici Confirmé : l’abbaye de Wisques (Pas-de-Calais) passe à la forme extraordinaire des rites liturgiques, mais le numéro d’été de la revue « Una Voce »  (une nouvelle présentation très réussie, tant sur le plan rédactionnel que pour la mise en page) nous apporte toutes les précisions (signées J. Dh.) : l’abbaye bénédictine de Wisques, près de Saint-Omer dans le Pas-de-Calais (diocèse d’Arras) va recevoir, dès cet automne, une douzaine de moines de Fontgombault : une excellente nouvelle qui réjouit aussi les Belges attachés à la grande tradition de l’Eglise :

    « Les fils de Solesmes s’entraident. L’Abbaye Notre-Dame de Fontgombault a déjà fait plusieurs fondations : trois en France (Randol, Triors et Donezan (Ariège) et une aux Etats-Unis. Douze moines âgés s’efforçent de maintenir Saint-Paul de Wisques en vie, mais ils ont besoin d’aide. Aussi Fontgombault, forte de 70 moines, va-t-elle partager.

    « Nous nous posions la question : Wisques a adopté le nouvel « ordo ». Comment la communauté va-t-elle s’organiser ? La réponse nous a été donnée par le Père Abbé de Fontgombault, Dom Jean Pateau lui-même dans une interview qu’il a accordée au Baptistère (avril-mai  2013) :

    Au sein de la Congrégation de Solesmes, Fontgombault et ses filles célèbrent la messe dans la forme extraordinaire du rite romain et utilisent également le bréviaire monastique traditionnel. Ces spécificités seront conservées : c’est une condition de la reprise de l’abbaye Saint-Paul. L’observance, tant monastique que liturgique, sera celle de Fontgombault. Néanmoins chez nos sœurs moniales de l’Abbaye Notre-Dame, qui usent  de la forme ordinaire, les moines de Saint-Paul célébreront selon cette forme.

    Compte tenu de la différence d’observance entre les deux communautés, le Père Abbé de Solesmes, Président de notre Congrégation, a laissé aux moines de Wisques la possibilité de demeurer dans le monastère de leur profession ou de gagner un autre monastère de la Congrégation. Six moines ont choisi de rester. Notre devoir est de leur faciliter ce choix. Si aujourd’hui nous pouvons venir à Saint-Paul de Wisques, c’est parce que les moines de cette abbaye ont tenu dans les épreuves que la communauté a traversées ‘

    Quand les moniales de l’Abbaye Notre-Dame, fondation de Sainte-Cécile de Solesmes, se sont installées à Wisques, elles ont eu besoin d’aumoniers et elles furent ainsi à l’origine du monastère Saint-Paul. Saint Benoît répondait à l’appel de sa sœur Scholastique. Les moines s’installèrent d’abord dans un petit château, mais les lois anti-catholiques de 1901 les chassèrent en Belgique où ils fondèrent l’abbaye Saint-Paul d’Oosterhout. Ils purent rentrer en France en 1920. C’est alors que fut construite l’abbaye en briques avec des effets de couleurs et de style original que l’on peut toujours admirer. Des agrandissements ont été réalisés en 1957 et 1968. Avec l’arrivée de moines de Fontgombault, les menaces de disparition sont dissipées ».  

     (Una Voce, Juillet-Août 2013, 42, rue de la Procession,  F 75015 Paris Tél : (00.33) (0)1 42 93 40 18. Courriel : unavoce@orange.fr

    Voilà un arrangement qui change du récent « dictatus papae »  (Liturgie de la messe : François en contradiction avec Benoît XVI ?)  à la Congrégation des Franciscains de l’Immaculée.

    A propos d’Una Voce, rappelons qu’il s’agit d’une  fédération internationale de sociétés laïques catholiques attachées à la forme extraordinaire du rite romain. Elle a été fondée en 1964 et inclut des organismes dans vingt-huit pays à travers le monde. Son nom provient de la préface du canon romain. En plus de promouvoir la messe codifiée par le pape saint Pie V, elle soutient activement le chant grégorien et la polyphonie sacrée dans la liturgie catholique traditionnelle. En savoir plus, sur son site web français : www.unavoce.fr

    JPSC

  • Charismatiques : Bruxelles n’est pas Rio

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    Dans l’hebdomadaire « Le Vif », Olivier Rogeau s’interroge : « Esprit-Saint, es-tu là ? » :

    « La basilique de Koekelberg a accueilli, fin juillet, la session annuelle du Renouveau charismatique de Belgique. Pendant cinq jours, adeptes et sympathisants de ce courant spirituel catholique apparu il y a quarante ans dans notre pays ont participé aux eucharisties, aux veillées, aux ateliers de formation à l’évangélisation. Entre les temps de louanges, de témoignages et d’adoration du Saint-Sacrement, ils ont reçu les enseignements du père Leroy, « berger » (leader) de la session. 

    Pendant un quart de siècle, le rendez-vous annuel des charismatiques s’est tenu à Beauraing, plus rarement à Banneux, hauts lieux de dévotion mariale. Toutefois, depuis l’an dernier, Bruxelles prend le relais, au grand dam de certains adeptes, qui ont lancé une pétition pour protester contre cette « délocalisation ». Arguments des anti-Koekelberg : Beauraing dispose de structures d’accueil et d’hébergement mieux adaptés et est situé dans un cadre rural plus « propice au recueillement ». Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles et fervent supporter du Renouveau, a lui-même qualifié la décision d’« étonnante » et de « peu réaliste ». « Les organisateurs de la session ont choisi la capitale pour répondre à l’appel de l’Eglise à porter le message d’amour du Christ au cœur des villes, là on en a le plus besoin », justifie un responsable. 

    « Le pape François l’affirme : si l’Eglise n’évangélise pas, elle n’est qu’une baby-sitter, martèle le père Leroy. Le Renouveau est la redécouverte de l’action de l’Esprit qui donne la force d’évangéliser. Hélas, nos groupes de prière ne sont souvent que des cocons chauds, des baby-sitters qui ne s’occupent que de leurs membres ! » L’accent mis sur l’évangélisation en milieu urbain traduit aussi une sombre réalité pour le mouvement charismatique : l’âge d’or des sessions de Beauraing n’est plus qu’un lointain souvenir. « Nous étions plus de 5 000 participants en 1989, pour 1 200 à peine ces dernières années », déplore un habitué du sanctuaire.

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  • Pour la monarchie

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    Notre ami Pascal de Roubaix propose une note argumentée consacrée à la monarchie intitulée "La monarchie, what else ?" qu'il introduit ainsi :

    Je voudrais dire, ici, pourquoi le régime de monarchie constitutionnelle que nous avons la chance de connaître en Belgique est à la fois le plus démocratique, le plus efficace et, surtout, le plus humain de tous les régimes.

    J’ai déjà eu l’occasion à de multiples reprises d’exprimer dans le Courrier du Beffroi, mes craintes et mes joies à propos de divers éléments d’actualité qui touchaient de près ou de loin notre régime monarchique. A l’occasion de l’avènement de notre nouveau Roi, je veux reprendre l’ensemble des éléments qui font de la monarchie constitutionnelle un régime génialement conçu, profondément ancré dans notre histoire, porteur des valeurs qui fondent la véritable liberté, et mieux armé que les autres pour affronter les périls nouveaux qui la menacent à ce jour.

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  • La reconnaissance de l'enfant à naître et les incohérences d'une société déboussolée

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    Un avant-projet de loi permettant aux parents qui le demandent de faire inscrire dans les registres d'état civil la naissance d'un foetus né sans vie entre le 140e et le 179e jour de gestation a été approuvé en conseil des ministres. C'est un progrès dont nous nous réjouissons puisqu'il va dans le sens d'une prise en considération de l'enfant à naître mais cela met aussi en évidence les incohérences de notre société à l'égard de l'enfant en gestation. Tout se passe dans l'arbitraire, sans justifications d'aucun ordre : pourquoi le 140e jour et pas le 139e? Pourquoi ce seuil des six mois? Et si, d'une part, on reconnaît aux parents le droit de faire consigner l'existence d'un foetus né sans vie, la loi permet également de mettre fin aux jours de foetus bien en vie sans autre forme de procès... 

    Voici l'information telle qu'elle est parue dans La Libre :

    Perdre un enfant, désiré et attendu, en cours de grossesse est toujours un drame. Auquel s’ajoutait jusqu’ici la douleur immense de la non-reconnaissance : avant six mois de grossesse, le fœtus né sans vie n’a aucune existence officielle.

    Les fœtus nés sans vie avant 6 mois de grossesse (le seuil légal de viabilité) n’ont aucune existence officielle. Il n’y a ni acte de naissance ni acte de décès. Ces bébés ne sont pas portés dans les registres de l’état civil et ne reçoivent, officiellement, pas de prénom.

    Un avant-projet de loi, approuvé discrètement en première lecture par le dernier Conseil des ministres avant la pause d’été – le 19 juillet –, vise à corriger ce cruel vide législatif. Porté par la ministre de la Justice, Annemie Turtelboom (Open VLD), et cosigné par la ministre de la Santé publique, Laurette Onkelinx (PS), ce texte “a un seul objectif”  : faciliter le deuil des parents confrontés à une mort périnatale.

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    et l'éditorial d'Annick Hovine

  • Wallonie, année 2060

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    Une anticipation de notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Wallonie, année 2060 

    Tout va très bien à bord du navire ! La Belgique n'existe plus depuis belle lurette et la monarchie non plus. Grâce à une coalition « rouge-verte », le taux de chômage avoisine les 40 % et la criminalité juvénile est en net recul. Celle-ci n'est plus que de 35 %, alors que du temps de Caïn et Abel elle était de 50 %. Dans les familles, tout va très bien aussi. Le divorce a pratiquement disparu, vu qu'on ne se marie plus. Seuls les homosexuels passent encore devant le Bourgmestre et adoptent beaucoup d'enfants. Quant à la  drogue, elle est depuis longtemps légalisée. Par contre, le tabac est interdit. L'Islam est devenue la première religion du pays et les églises ont été transformées en mosquées ou en discothèques. Dans nos prisons, les opposants au régime sont légion. L'âge de la majorité sexuelle ayant été rabaissée au berceau, les pédophiles n'y sont plus et il y a de la place pour les ringards. Dans les écoles, les profs ont des gilets pare-balles. C'est un peu chaud l'été, mais à la longue, on s'y fait. A l'étranger, même topo. Comme que le Vatican a été racheté par l'Arabie Saoudite, le pape Jean-Paul IV habite le sous-sol d'un HLM où il célèbre la Messe en complet veston. Vous voyez, pas de quoi se tracasser pour l'avenir. Que du bonheur en prévision ! Et dire qu'il y a des cinglés pour regretter le « bon vieux temps ! »...

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.com

  • Les vingt ans de la mort du Roi Baudouin et l'hommage du bienheureux Jean-Paul II

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    1612642655.jpgLe Roi Baudouin s’est éteint le 31 juillet 1993 en Espagne. Le 20e anniversaire du décès du roi Baudouin Ier, roi des Belges, offre l’occasion de revenir sur l’hommage que lui a rendu le pape Jean Paul II qui a reconnu en lui « un dévouement vraiment évangélique ».

    Un dévouement évangélique

    Le bienheureux Jean-Paul II lui avait rendu hommage à son arrivée en Belgique, le 3 juin 1995, sur le tarmac de l’aéroport de Melsbrouck de Bruxelles, en disant au roi Albert II: « Sire, voici dix ans, c’est votre frère, le Roi Baudouin, qui m’accueillait en Belgique. A mon arrivée, je tiens à rendre hommage à sa mémoire, me souvenant des rencontres personnelles que j’ai eues avec lui, comme de l’estime et de l’affection que lui portaient les Belges et d’innombrables personnes bien au-delà de vos frontières. Je salue en lui le chrétien qui, très uni à la Reine Fabiola, sut servir ses compatriotes avec un dévouement vraiment évangélique ».

    Lors de la prière mariale du Regina Coeli du 4 juin 1995 à Bruxelles, Jean-Paul II lui rendait à nouveau un hommage appuyé, soulignant combien il a mené une vie « exemplaire » notamment par son engagement en faveur de toute vie humaine : « Nous te remercions aussi, Mère de la Grâce divine, pour le Roi Baudouin, pour sa foi inébranlable, pour l'exemple de vie qu'il a laіssé ses compatriotes et à toute l'Europe. Nous te remercions pour sa force dans la défense des droits de Dieu et des droits de l'homme, et spécialement du droit à la vie de l'enfant à naître. J'ai eu la joie de connaître la profondeur de l'esprit du Roi Baudouin, son exceptionnelle et ardente piété christocentrique et en même temps mariale. Comment ne pas remercier l'Esprit Saint pour ce qu'il a fait dans l'âme du Roi défunt? Quel grand exemple il nous laisse! Quel grand exemple il laisse à ses concitoyens! »

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  • L'attraction phare de Tomorrowland

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    Découvert sur la Libre :

    La Love Church est l’attraction phare de Tomorrowland depuis plusieurs années.

    “Tout est permis, y compris le sexe, mais vous ne disposez que de 10 minutes.”  Aux yeux de certains encore plus légendaire que le Festival de Boom en lui-même, la Church of Love ou Love Chapel est, comme son nom l’indique, l’Église de l’Amourde Tomorrowland. Les festivaliers y sont accueillis par deux bonnes sœurs aux sourires plutôt coquins – la tunique traditionnelle côté face mais… transparente côté pile ! Ces religieuses fournissent un précieux sésame avant de vous laisser entrer dans la chapelle sacrée : un préservatif. Car ces croyantes tiennent au principe sacré du safe sex .

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  • Jürgen Mettepenningen reprend du service à Malines-Bruxelles

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    Selon De Standaard, Jürgen Mettepenningen va retravailler pour l’archi-diocèse de Malines-Bruxelles. Jürgen Mettepenningen avait démissioné en 2010 de manière fracassante de son poste de porte-parole de Mgr Léonard après 3 mois de fonction. Il a annoncé sur Radio 1 qu’il travaillerait désormais de nouveau pour l’archidiocèse. Mettepenningen s’était retrouvé plusieurs fois au cœur de la tempête suite aux propos mal reçus de Mgr Léonard sur l’homosexualité et la pédophilie. A tel point que Mettepenningen démissionnait au cours d’une conférence de presse retentissante qui fit grand bruit dans les médias, lors de laquelle il avait eu des mots très durs envers l’archevêque, le comparant notamment à « un conducteur-fantôme ». Il travailla ensuite pour le CD&V, mais il rejoint à present le vicariat “enseignement” de l’archevêché, pour conduire le nouveau service « Identité ». Il va, entre autres, rechercher de nouvelles manières de mettre en avant les valeurs chrétiennes dans l’enseignement catholique. […]« Je me suis réconcilié avec Léonard », a déclaré Mettepenningen à Radio 1. « Le pardon est une belle vertu chrétienne, et nous avons réaffirmé notre confiance mutuelle. Une page s’est tournée ».

    Un choix étonnant de l’archidiocèse dans lequel on préférera voir une réconciliation sincère entre deux hommes brillants que quelque anguille sous roche. Déplorons néanmoins le peu de cas fait par les médias néerlandophones de cette réconciliation, après le ramdam énorme qui avait suivi la séparation… Une nouvelle fois se vérifie l’adage « le bien ne fait pas de bruit, le bruit ne fait pas de bien ». "

  • Liège : le triste sort des restes des chanoines de la cathédrale Saint-Lambert

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    Lu ICI :

    Le ministre Di Antonio ordonne le transfert des ossements des chanoines de Wandre à Namur

    Samedi, nous vous révélions le stockage honteux des ossements des chanoines de la cathédrale Saint-Lambert dans un local technique du pont de Wandre. Un endroit totalement inadapté et, qui plus est, vandalisé par des squatteurs. Le ministre en charge du patrimoine wallon, Carlo Di Antonio, a réagi vivement à cette information.

    « Je déplore que des vestiges de ce type aient été ainsi conservés dans d’aussi mauvaises conditions. Et le peu de respect dû aux défunts et au travail des archéologues ! »

    Pour rappel, des jeunes étaient entrés dans le local technique du pont haubané de Wandre et y avaient découvert des caisses en carton contenant de nombreux ossements humains. Le tout était sens dessus dessous parce que le lieu était visiblement squatté de longue date.

    Renseignements pris, il s’agissait d’une centaine de squelettes de chanoines de l’ancienne cathédrale Saint-Lambert, découverts lors des fouilles de la place du même nom, réalisées par la Région wallonne dans les années 90. Au lieu d’être stockés dans un endroit sûr, on n’avait visiblement rien trouvé d’autre.

    « À l’époque, le MET n’avait pas de locaux disponibles à Liège, explique-t-on au cabinet du ministre. Ils ont donc décidé de les stocker temporairement dans ce local technique du pont. Mais le temporaire est devenu du long terme… » Autrement dit, on les avait… oubliés !

    Le ministre a donc ordonné le déménagement des ossements dès la semaine prochaine afin de les entreposer dans un endroit sûr et adapté, à la direction de l’archéologie centrale à Saint-Servais (Namur). Et là, on verra ce qu’on peut faire pour les répertorier et limiter les dégâts.

    « Et dans la foulée, le ministre a également réclamé un état des lieux général des endroits de stockages archéologiques de la Région wallonne pour éviter qu’une telle mésaventure ne se reproduise. »

  • Banneux-Notre-Dame, 4 août : inauguration d'un monument rappelant le génocide arménien

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    Communiqué de presse de l'Institut Syriaque de Belgique

    Un nouveau monument pour le génocide assyrien(syriaque)

    au cœur de l'Europe

     

    Après l'Australie, l'Amérique, l'Arménie et la France, cette fois, c’est à Liège en Belgique qu’un nouveau mémorial pour le génocide assyrien(syriaque)[1] Seyfo est érigé. Ce monument est à l’initiative de l’Institut Syriaque de Belgique et de Seyfo Center.

     

    Littéralement Seyfo veut dire « épée » en langue syriaque et fait référence au génocide perpétré par l’Empire ottoman en 1915 contre tous les Chrétiens se trouvant sur le territoire correspondant à l’actuelle Turquie. Deux tiers à trois quarts des trois peuples concernés - Assyriens(Syriaques), Arméniens et Grecs Pontiques - furent décimés.

     

    Mouché Malké, artiste assyrien(syriaque) connu mondialement, a sculpté sur une pierre de 12 tonnes une colombe tuée ! Y figure aussi une écriture en langue française et en langue syriaque à la mémoire des victimes du Seyfo. Le monument assyrien(syriaque) du génocide sera érigé sur le site du Sanctuaire de Banneux, situé près de Liège, en Belgique. Bénéficiant d’un statut spécifique et d’une renommée internationale, ce lieu est visité par plus d'un million de personnes par an.

     

    L’inauguration officielle de ce monument aura lieu le 4 Août 2013 à 13h00 à Banneux. Les derniers préparatifs pour la cérémonie d’ouverture sont toujours en cours pour accueillir des centaines de participants des quatre coins du monde.

     

    Nous invitons tous les démocrates et les progressistes à cette cérémonie d’ouverture du monument dédié au Seyfo.

     

    Au nom de l'Institut Syriaque de Belgique et de Seyfo Center,

     

    Fatrus GABRIEL



    [1] Plusieurs noms sont utilisés pour désigner le même peuple assyrien(syriaque). Le terme « assyrien(syriaque) » est utilisé comme synonyme des autres noms comme Assyrien, Araméen, Chaldéen, Syriaque ou Assyro-chaldéen-syriaque.