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Belgique - Page 304

  • Quand Benoît Poelvoorde confesse sa foi en Dieu

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    Sur le Salon Beige :

    Benoît Poelvoorde : "J'ai la foi, et je crois que Dieu est amour"

    L'acteur Benoît Poelvoorde est interrogé dans le Figaro. Extrait :

    P"Je me sens chrétien parce que c'est mon éducation, et je ne crois pas qu'on puisse renier les choses qui vous ont fondé. J'ai été élevé par une mère très croyante et par des curés qui ne m'ont pas battu ni traumatisé,contrairement à tous les clichés à la mode, qui m'énervent assez. J'ai la foi, et je crois que Dieu est amour. «Aimez-vous les uns les autres», c'est la phrase la plus culottée du monde, parce que si on se regarde, on n'est pas programmé pour s'aimer. J'ai tourné récemment un film de Xavier Beauvois, un sauvage plein d'amour pour les gens. Cela s'appelle La Rançon de la gloire, l'histoire vraie du vol du cercueil de Charlie Chaplin par deux malfrats. Tout ça sous la protection de sainte Rita, patronne des causes perdues: c'est un film suisse de Rita productions!"

  • BXL (I.E.T.), 28 septembre : un colloque consacré à Mgr Sloskans

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    Une vie offerte pour ses frères
    Mgr Boleslas Sloskans (1893-1981)

    Colloque organisé à l’occasion des 120 ans de sa naissance

     le 28 septembre à l'IET 

    Skice3.jpgDécédé à Louvain (Leuven) en 1981, Mgr Boleslas Sloskans a été, pour de nombreux belges qui l’ont connu, le symbole des chrétiens persécutés, et même, l’image du bon Pasteur qui a souffert pour ses brebis. Aujourd’hui, en Belgique, la mémoire de Mgr Sloskans se perd un peu. Ce colloque pourrait être l’occasion de découvrir l’actualité de cette figure qui peut nous faire respirer des deux poumons de l’Europe, selon l’expression du bienheureux Jean Paul II. Arrivé en Belgique en 1948 après avoir souffert dans les prisons et les camps soviétiques et en déportation en Sibérie (1927-1933), il a été fidèle jusqu’au bout de l’amour, fidèle à sa devise épiscopale : Hostia pro fratribus, « Offrande pour ses frères ».

    L’Union soviétique a montré, plus particulièrement dans sa période la plus sombre, que la haine de Dieu ne peut être, en même temps, que la haine de l’homme. À cette haine, Mgr Sloskans a répondu par la foi et l’amour, par sa foi extraordinaire et sa fidélité absolue à l’amour du Christ et de son Église, en aimant tout homme, sans exception, même celui qui, apparemment, ne mérite aucun amour. Alors qu’en 2013, l’Union soviétique n’existe plus et que le communisme « réel » n’est présent plus que dans cinq pays du monde, tout spécialement en Corée du Nord, le christianisme est encore actuellement la religion la plus persécutée et beaucoup parlent même d’une persécution « soft » dans nos démocraties occidentales. La béatitude des « persécutés pour la justice » (cf. Mt 5, 10-12) que Mgr Sloskans a tout spécialement incarnée reste donc plus que jamais d’actualité.

    L’archidiocèse de Malines-Bruxelles a ouvert, en 1999, son procès de béatification qui a déjà abouti, en 2004, à la proclamation de l’héroïcité de ses vertus. Par sa vie, le vénérable évêque nous rappelle que la force du pardon est la réponse de Dieu à la haine, à la violence, à l’injustice, au péché. À la suite du Christ, ne répétait-il pas souvent en pensant à ses persécuteurs : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font » (Lc 23, 34). L’humble sainteté souriante de Mgr Sloskans qui, après avoir souffert dans des conditions extrêmes, s’est consumé dans la vie ordinaire peut être une lumière pour tous. Il peut nous apprendre à laisser la puissance de l’amour de Dieu transfigurer notre fragilité. Il peut nous guider ainsi sur le chemin de la résurrection, alors que « toute la création jusqu’à ce jour gémit en travail d’enfantement » (Rm 8, 22). 

    Télécharger l'invitation (pdf)

  • Euthanasie : l'hôpital universitaire de Gand devant le juge

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    Voilà un avocat bien assertif, mais aussi un fait qui met bien en lumière l'évolution progressive du "droit à l'euthanasie" vers un "droit au suicide assisté". Et l'on fait bien peu de fait ici du fait que le patient n'est pas en phase terminale, et que l'arrêt du traitement est tout simplement létal pour un patient qui peut vivre. Il s'agit d'une euthanasie qui ne veut pas dire son nom, ne satisfait pas aux conditions légales et tourne carrément au suicide assisté. Quant à l'objection de conscience, la voici déjà à se retrouver devant le juge, pour avoir respecté la loi en refusant "d'achever" un suicidé. On ne peut que trembler.

    De Standaard.be

    D’après la VRT, l’hôpital universitaire de Gand et l’un de ses médecins doivent se justifier ce lundi devant le juge, car il ne veulent pas arrêter le traitement d’un patient dans le coma.

    Il y a quelques semaines, l’homme avait essayé de se suicider, mais il survécu à sa tentative. Il est depuis plongé dans un coma artificiel.

    Il avait arrêté dans une « déclaration de volonté négative » qu’il refusait par avance tout traitement dans ce cas.

    « C’est le droit de chaque patient de l’hôpital de faire savoir qu’il ou elle ne souhaite pas subier certains traitements. Dans ce cas-ci, le patient a clairement fait savoir qu’il ne veut pas recevoir d’autres traitements que des traitements antidouleurs. Et ce souhait n’est pas respecté. Je veux que cet acharnement thérapeutique cesse », a déclaré son avocat Joris Van Cauter à la radio VRT. « Ce que j’espère atteindre, c’est que la volonté de cet homme soit respectée ».

  • Apparition de la Vierge à Petigny (1865)

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    Petigny, village près de Couvin (province de Namur). 13 janvier 1865. Alitée depuis très longtemps, madame Jalhay souffre d'un grave problème à la moelle épinière, de crises d'épilepsies, d'un gonflement de l'estomac et d'hémorragies. Depuis 1860, elle ne peut se nourrir que d'un peu de laitage et ne supporte plus aucun médicament. Que s'est-il passé par la suite ?... Laissons-lui le soin de nous le raconter. Dans une lettre datée du 29 janvier 1865, adressée à un père rédemptoriste, elle écrit : « D'après la conviction intime de mon docteur et de toutes les personnes qui me voyaient, je ne devais pas atteindre la fin de l'hiver. Moi-même, j'avais tellement cette certitude que j 'avais déjà acheté à mes enfants leurs vêtements de deuil. Vers cinq heures et demie du soir, une dame brillante et radieuse apparut à mes yeux. Une auréole lumineuse l'enveloppait des pieds à la tête et me permettait de voir parfaitement ses traits. Elle fixait sur moi des yeux d'une douceur céleste et était vêtue d'une robe parsemée d'étoile. Elle se fit connaître : c'était la très sainte Vierge. Elle me parla à trois reprises et me dit des choses que je ne ferai connaître à personne. Près de disparaître, elle me dit d'une voix claire et douce : « Maintenant, vous êtes guérie. Levez-vous. Descendez. Allez le dire à votre famille. Vous êtes guérie ».

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  • Délires pédagogiques : un salubre coup de gueule

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    Les Médias Catholiques nous offrent cette recension d'un livre où un enseignant tonne contre les pédagogues et didacticiens qui ont pourri le métier de professeur (et dont nous avons dit précédemment tout le mal que nous en pensons, voir ICI).

    Dans « Vocation Prof « , publié en 2000, Franck Andriat disait son bonheur d’enseigner. Mais s’il reste ce professeur heureux il est aussi un professeur en colère. Et quand cet amoureux des belles lettres, écrivain prolixe, prend la plume pour exprimer son ras-le-bol, ça déménage!

    Dans son nouveau livre paru ce 23 août, « Les profs au feu et l’école au milieu », il décrit en dix com­mandements cin­glants et pleins d’humour, la situation d’un métier dont notre société a de plus en plus besoin et qui, paradoxalement, at­tire de moins en moins de jeunes.

    Au centre des critiques, les pédagogues et les didacticiens à l’origine des maux actuels de l’école qui ne parvient plus à remplir sa mission essentielle, celle d’amener le plus grand nombre à savoir lire, écrire et calculer.  Mais qui continuent à imposer leur vision « idéaliste » des choses. « Depuis les années 90, c’est réformette sur réformette. Les professeurs essaient se suivre au mieux mais c’est de plus en plus difficile. J’entends souvent des enseignants autour de moi dire ne plus savoir ce qu’ils doivent enseigner à leurs élèves ».

    Lire la suite sur Info.catho.be où l'on trouvera également le podcast d'une interview de l'auteur.

  • Mechelen (Hanswijk) 25/8 et 1/9 : cavalcade et ommegang

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    2556b4e503ae2e91312f7611e78a713e.jpgDepuis plus de 700 ans, plus précisément depuis 1272, la procession d'Hanswijk sillonne chaque année les rues de Malines. Cette procession est probablement l'une des plus anciennes de notre pays. Hanswijk est un très ancien quartier de Malines où depuis des temps immémoriaux on vénère Marie, de là la très belle et imposante basilique d'Hanswijk. Le thème de la procession de cette année : "Oui à la vie, oui à Dieu".

    La Cavalcade de Hanswijk n'a lieu que tous les 25 ans :

    un grand cortège historico-religieux avec beaucoup de cavaliers et des chars tirés par des chevaux. Notre passé glorieux revit grâce aux groupes qui défilent, avec cependant un regard plein d'espérance sur l'avenir. Un spectacle haut en couleurs et dynamique comportant environ deux mille participants sillonnant le centre-ville de Malines.

    DATES : Dimanche 25 août 2013 et Dimanche 1 septembre 2013, chaque fois à 15h

    CAVALCADE de HANSWIJK suivie de l'Ommegang de Malines.

    Site officiel

  • Ce 22 août, à Beauraing : clôture du 80e anniversaire

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    source

    Le diocèse se prépare à vivre un beau et grand moment auquel chacun est convié. Le 22 août marque la clôture de l'année du 80 eme anniversaire des apparitions de la Vierge à des enfants de Beauraing. A cette occasion, l'église supérieure des sanctuaires sera élevée au rang de basilique.
    Rendez-vous à 11h, le jeudi 22 août, pour la messe solennelle présidée par l'évêque, Mgr Rémy Vancottem. Le cardinal Danneels sera présent ainsi que de nombreux évêques belges et étrangers.
    Un espace est prévu pour permettre aux enfants de suivre une liturgie de la Parole adaptée.
    A 14h, chapelet médité.
    A 15h, procession eucharistique au départ du Castel Sainte Marie suivie, au Jardin des apparitions, de la bénédiction des malades.
    A 19h, messe de clôture.
    La fête du Coeur Immaculé de Marie se déroule sur deux jours.
    La veille, le mercredi 21 août, à 20h30, veillée mariale animée par l'abbé Pierre Renard, doyen de Ciney. Veillée suivie d'une procession aux flambeaux dans les rues de Beauraing. Au retour, messe solennelle internationale présidée par Mgr Vancottem. (...)

    En direct sur RCF
    Logo émission basilique2 copie.jpgA noter que l'eucharistie du jeudi 22 août sera retransmise, en direct, de la nouvelle 
    basilique, par RCF. Si vous ne pouvez donc rejoindre la cité mariale n'hésitez pas à vous brancher sur RCF. La fréquence au départ de Namur est le 106.8. Pour ceux qui habitent dans la région de Bastogne, bloquez la fréquence de votre radio sur le 105.4. Une écoute de qualité est encore assurée en écoutant vos programmes préférés au départ du site internet: www.rcfsudbelgique.be Il suffit de cliquer ensuite sur l'icône ''nous écouter en direct''. (Diocèse de Namur)
     
  • Quand Martine Cornil interviewe Eric de Beukelaer

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    ... cela donne ceci :

    http://www.rtbf.be/radio/podcast/player?id=1847059&channel=lapremiere

    ... avec cette question centrale : faut-il que le message spirituel du Christ soit porté par une institution ?

  • Quand Jean-Pierre Snyers interpelle Gabriel Ringlet

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    Notre ami Jean-Pierre Snyers adresse une lettre à cette personnalité phare du "progressisme" belge. Elle est accessible ici : lettre à l'abbé Ringlet (pdf)

    Un extrait siginificatif :

    "... vos idées sont nuisibles, totalement incompréhensibles dans la bouche d'un prêtre « catholique ».  Vous n'êtes pas d'accord ? Dès lors, permettez-moi de vous citer...

    « Le purgatoire est une invention du Moyen Age ». « Saint Paul est le patron de tous les agités chroniques, de tous les m'as-tu vu, m'as-tu entendu ».  Les catholiques qui croient aux dogmes sont des "encorsetés dogmatiques". « La vie après la mort, une question tout à fait secondaire ». « L'Eglise est une belle-mère en total décalage avec le monde et le pape quelqu'un qui n'empêche pas de dormir » Ça, c'est dans votre livre : « L'Evangile d'un libre penseur ». Maintenant, voici ce que vous dites dans « Le Soir » du 20 avril 2010 : « Je regrette le refus d'un véritable débat de fond sur les questions les plus difficiles à savoir : l'ordination des femmes, l'interprétation des dogmes tels que l'infaillibilité, la virginité de Marie, voire le regard qu'on porte sur la divinité du Christ ». Eh oui, même la divinité du Christ (et donc la Trinité) n'y échappe pas.

    Fini ? Non, pas encore. Au sujet de la mort et de l'au-delà (sur le site « Psychologies.be »), vous affirmez : « Ce qui sépare un croyant d'un non-croyant est infime. Il y a parmi nous, vivant aujourd'hui, des gens qui ont déjà franchi le seuil, dont la générosité est telle que cela n'a plus aucun sens de parler de résurrection ». Donc, selon vous, croire que nous retrouverons un jour nos êtres chers ou croire qu'on ne les retrouvera jamais, c'est du pareil au même. Vous dites cela à des parents qui viennent de perdre leur enfant ?  Avouez une bonne fois pour toutes que votre langage n'est pas chrétien ! Ou bien vous avez raison et le Christ et les apôtres nous ont raconté des bobards, ou c'est vous qui dérapez complètement et dans ce cas-là, il est urgent de vous convertir..."

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (16/8/2013) : reconnaissance des bébés nés sans vie/ mères porteuses

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    header_fr.jpgSommaire

  • 28.000 pèlerins à Banneux pour le 15 août

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    Lu ICI :

    Environ 28.000 pèlerins lors du 15 août à Banneux

    Quelque 28.000 pèlerins ont rejoint le site marial de Banneux à l'occasion du 15 août, a annoncé vendredi Jean-Marie Denis, le porte-parole de Banneux Notre Dame. Il s'agit de la fréquentation la plus importante pour un 15 août depuis la célébration, en 2008, du 75e anniversaire des Apparitions. Le pèlerinage s'est déroulé sans incident.

    Plus de 20.000 pèlerins étaient déjà présents sur le site marial de Banneux sur le coup de midi. Une matinée qui avait été marquée par une importante participation, estimée à 5.000 personnes, à la messe internationale présidée par Mg Jean-Pierre Delville, le nouvel évêque de Liège.

    Mg Delville a prononcé une homélie sur le thème de la "mise en pèlerinage". Un thème accessible à tous les pèlerins qui ont apprécié et applaudi chaleureusement le nouvel évêque de Liège qui s'est dit "positivement étonné de l'importante assemblée et heureux de l'accueil".

    La célébration internationale a laissé place à d'autres offices très fréquentés comme la bénédiction des malades pour laquelle près de 3.000 personnes étaient rassemblées.

    Le site marial, qui se veut aussi un lieu d'ouverture, a réuni des musulmans issus des Balkans mais aussi 4.000 catholiques irakiens pour qui une messe a été tout spécialement célébrée.

    La fréquentation du site n'a cessé de croître au cours de la journée avec 23.000 à 25.000 personnes en milieu d'après-midi pour atteindre les 28.000 en fin de journée. Une journée qui s'est d'ailleurs déroulée sans le moindre incident selon la zone Secova.

    Depuis le 75e anniversaire des Apparitions qui avait vu la présence de 35.000 pèlerins, le 15 août sur le site marial n'avait plus connu pareille affluence.

    Annuellement, le site marial de Banneux Notre-Dame accueille un demi-million de pèlerins.

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1687792/2013/08/16/Environ-28-000-pelerins-lors-du-15-aout-a-Banneux.dhtml