
Belgique - Page 304
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Banneux, 12 octobre : chapelet international en direct avec le Vatican et 10 sanctuaires
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Bavon (1er octobre), un saint gantois d'origine liégeoise
Saint Bavon ou Alowinus, ermite à Gand (✝ 659) (source)Seigneur dans le pays de Liège en Belgique, il mena longtemps une vie dissolue. A la mort de sa femme, il rencontra saint Amand qui le convertit et dont il devint le disciple et le collaborateur.
Il passa les trois dernières années de sa vie dans une solitude, à côté du monastère Saint Pierre que l'évêque saint Amand venait de fonder dans un lieu désert appelé Ganda, qui fut le berceau de la ville de Gand.
À Gand dans la Flandre, en 659, saint Bavon, moine. Disciple de saint Amand, il dit adieu au siècle, distribua ses biens aux pauvres et se retira dans le monastère qu’il avait construit dans cette plaine.
Martyrologe romain
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A Fichermont, les "Samedis Saint Joseph" du Verbe de Vie


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Octobre: mois du Rosaire.
Sur le blog du « Petit Placide », ce texte (extraits) du Père Garrigou-Lagrange (1877-1964) ) :
« Parmi les formes habituelles de la dévotion mariale, comme le sont l'Angelus, l'office de la Sainte Vierge, le Rosaire, nous parlerons spécialement de ce dernier, en tant qu'il nous dispose et nous conduit à la contemplation des grands mystères du salut.C'est, après le sacrifice de la messe, une des plus belles prières et des plus efficaces, à condition de la bien entendre et d'en vivre véritablement (…)
On peut sans doute faire déjà une bonne prière, en pensant confusément à la bonté de Dieu et à la grâce demandée, mais pour rendre au chapelet son âme et sa vie, il faut se rappeler qu'il n'est qu'une des trois parties du Rosaire, et qu'il doit s'accompagner de la méditation, facile du reste, des mystères joyeux, douloureux et glorieux, qui nous rappellent toute la vie de Notre-Seigneur, celle de sa sainte Mère et leur élévation au ciel.
Les quinze mystères du Rosaire, ainsi divisés en trois groupes ne sont autre chose que les divers aspects des trois grands mystères du salut : celui de l'Incarnation, celui de la Rédemption et celui de la vie éternelle.
Le mystère de l'Incarnation nous est rappelé par les joies de l'Annonciation, de la Visitation, de la Nativité de Jésus, par sa présentation au temple et son recouvrement parmi les docteurs de la synagogue.
Le mystère de la Rédemption nous est rapporté par les divers moments de la Passion : l'agonie au jardin des Oliviers, la flagellation, le couronnement d'épines, le portement de la croix, le crucifiement.
Le mystère de la vie éternelle nous est redit par la résurrection, l'ascension, la pentecôte, l'assomption de Marie et son couronnement au ciel.
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BXL, 2 octobre : Missa pro Europa
MISSA PRO EUROPA
Celebrated at the start of the working year of the European Institutions
Célébrée à l’occasion de la rentrée des Institutions Européennes

Wednesday October 2nd 2013 at 7 p.m.
Mercredi 2 Octobre 2013 à 19h
Notre Dame au Sablon - Place du grand Sablon
H.E. Mgr André-Joseph Léonard - Archbishop of Malines-Brussels
H.E. Mgr Gintaras Linas Grušas - Archbishop of Vilnius
H.E. Mgr Jean Kockerols - Vice-President of COMECE
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Ulg : « Comme le temps passe » (Brasillach)
Une figure brillante et singulière du paysage académique et du monde politique belge vient de disparaître : François Perin s’est éteint à l’âge de 92 ans, ce vendredi 27 septembre 2013, avant l’aube de la fête de la Fédération (Wallonie-Bruxelles), à laquelle cet ancien professeur de droit public à l’Ulg et ministre (éphémère) des réformes institutionnelles ne croyait d’ailleurs pas plus qu’à la Belgique elle-même.Ce juriste diplômé (1946) de l’alma mater liégeoise, y devint chargé de cours (1958) puis professeur ordinaire (1968) de droit constitutionnel, après avoir exercé une magistrature au Conseil d’Etat où il fut auditeur (1948) mis en disponibilité à sa demande (1961) pour être délié de son devoir de réserve.
Parallèlement à sa carrière administrative puis académique, ce Wallon francophile ardent eut un parcours politique agité : socialiste (1941-1963), protagoniste du mouvement populaire wallon (MPW) qu’il métamorphosera en Parti puis Rassemblement wallon (RW) pluraliste, avec Jean Duvieusart, Marcel Thiry et Jean Gol qui était alors son assistant à l’Ulg (1968).
Ministre fédéral de la Réforme des Institutions (1974-1976), François Perin participe la même année (1976) avec Jean Gol, Etienne Knoops,et quelques autres élus du RW, à la création du Parti des Réformes et de la Liberté de Wallonie (PRLW), nouvelle formation politique principalement constituée sur les bases du parti libéral wallon. Des contacts sont ensuite pris entre ceux-ci et les libéraux bruxellois en vue d'accroître une synergie entre les libéraux francophones : le Parti réformateur libéral (PRL) est créé en 1979 et Jean Gol en deviendra le premier président. Sénateur coopté alors et ensuite élu, François Perin quittera définitivement en 1980 l'hémicycle du sénat d'une manière fracassante, déclarant « ne pouvoir rester représentant d'un État auquel il ne croit plus et d'une nation qui n'existe plus ».
En 1985, il se désengagera du PRL ne pouvant plus cautionner la politique conservatrice du parti et ne partageant pas la vision du fédéralisme européen.
Il accède à l'éméritat de l'Université de Liège en 1986. Lors des élections provinciales du 8 octobre 2006, François Perin se présenta sur les listes du Rassemblement Wallonie France (RWF) : la boucle de ce qu’on n’oserait qualifier de « carrière » politique fut ainsi bouclée.
Du publiciste volontiers provocateur, j’ai retenu surtout à l’époque où j’étais moi-même étudiant en droit à l’Ulg, l’essai aux allures pamphlétaires qu’il publia en 1960 : « La démocratie enrayée », une réflexion incisive sur le régime parlementaire belge de 1918 à 1958. La critique du petit professeur « gauchiste libertaire », mais en réalité plus libertaire que gauchiste,fit grand bruit, in illo tempore : elle portait sur la crise de capacité législative des assemblées et stigmatisait l’absence d’indépendance et de liberté des parlements. Mais pouvait-on alors réinventer l’histoire dans le rétroviseur des sociétés libérales du XIXe siècle ? Depuis le pamphlet du Voltaire « d’amon nos aûtes », la particratie belge n’a fait que croître et embellir. Lui-même, après y avoir joué sans trop avoir l'air d'y toucher, est d’ailleurs passé à autre chose. Dans son dernier essai (2011) intitulé « Finissons-en ! », François Perin avait d’ailleurs fait trois vœux : que la Flandre proclame son indépendance, que Bruxelles s’organise en ville internationale et que la Wallonie rejoigne la France. Ajoutons que cet athée franc-maçon, dont le transit en ce monde sublunaire vient de s’achever, était aussi à l’origine de l'Association laïque pour l'étude et la pratique du bouddhisme. Sacré professeur !
JPSC
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Waterzooi publicitaire: visitez Gand, sa cathédrale, son évêque et son agneau mystique
Le triomphe du bon goût...
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Où en est le droit canonique aujourd’hui ?
Après avoir failli passer à la trappe après Vatican II, sous les coups de boutoir des idéologues de l’esprit du concile qui, au nom de la « pastorale », voulaient abolir celui des lois, la législation canonique fut réhabilitée sous le pontificat de Jean-Paul II (un nouveau code fut enfin publié en 1983, pour remplacer celui de 1917). Qu’en est-il aujourd’hui de l’enseignement de cette discipline universitaire et de son rôle dans l’Eglise et dans la société ?
Sous le titre « le droit canon : sa passion », le dernier numéro de la Lettre trimestrielle DPN (des prêtres pour toutes les nations) a interrogé à ce sujet l’abbé Jean-Pierre Schouppe, membre de la société sacerdotale de la Sainte Croix (Opus Dei ) :
« L’abbé Schouppe est né à Etterbeek en 1955. Docteur en droit canonique de l’Université de Navarre et licencié en droit UCL. Professeur de droit canonique à l’université pontificale de la Sainte-Croix à Rome, il enseigne les rapports entre l’Eglise et la communauté politique ainsi que les droits de l’homme. Consulteur au Conseil pontifical pour les textes législatifs. Il a été « Défenseur du Lien » (1) au tribunal ecclésiastique de Malines-Bruxelles. Secrétaire du Groupe des Canonistes francophones ayant son siège à Louvain-la-Neuve,il s’investit également dans cette ville universitaire comme aumônier d’étudiants .-On n’entend que très rarement parler du droit canon en Belgique. Pourquoi dès lors enseigner et étudier cette matière ?
Ce n’est pas parce que l’on n’en parle guère qu’il n’existe pas. Il y a notamment quatre tribunaux ecclésiastiques interdiocésains en Belgique – deux francophones et deux néerlandophones. Ils siègent régulièrement et traitent principalement les causes relevant du droit matrimonial (p.ex.nullité du mariage). Il est vrai que les médias n’invoquent le droit canonique qu’en cas de catastrophe comme la vente d’une église ou des cas de pédophilie. Par ailleurs, le droit canonique reste l’expression officielle de l’Eglise catholique des valeurs qu’elle a toujours enseignées et sera de plus en plus un pôle juridique de référence pour le droit étatique en quête de repères et en panne de fondements (p. ex. en droit de la famille). D’autant que le système des droits de l’Homme, appelé à assumer un statut fondateur dans la société contemporaine, se cantonne dans une certaine ambiguïté qui fomente le relativisme et l’individualisme (2)
-Où enseigne-t-on le droit canon ?
En Belgique, après la fermeture de la faculté de Louvain-la-Neuve, où le flambeau de la transmission de ce savoir a été repris par le dynamique Groupe de travail de canonistes (outre les quelques cours dispensés à l’UCL dans le cadre de la théologie), il reste la faculté de la K.U.Leuven qui enseigne essentiellement en anglais. En France, en plus des enseignements dispensés à Lyon et à Toulouse, il y a une faculté classique à Paris et une faculté strasbourgeoise d’enseignement à distance. A Rome, il y en a sept. La faculté de la Sainte-Croix, ou j’enseigne, est fréquentée par plus de 200 étudiants provenant de tous horizons. Les cours se donnent en italien mais le latin reste la langue officielle du Code. Comme pour les trois autres facultés de notre Université pontifi cale, la fidélité au Magistère de l’Eglise constitue une caractéristique essentielle de l’enseignement.
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BXL, 29/9 - 6/10 : "Ville à vivre"
29 septembre 2013 - 6 octobre 2013
Tous les mois depuis trois ans, le site Ville à vivre propose aux internautes de découvrir un nouveau visage de Bruxelles. Pas de grands discours ni de leçons de morale : l’internaute découvre des personnes issues du quotidien : des jeunes, des adultes, des aînés de toutes origines. Derrière ces regards, des histoires simples, ancrées dans la ville. Des témoignages d’engagement, des partages de foi aussi.
Ces différents portraits nous invitent à considérer Bruxelles comme une ville à construire ensemble, une ville solidaire où il fait bon vivre, une ville qui a le souci de mettre les uns en relation avec les autres. Une ville qui prend sur elle d’épauler, d’accompagner, de soutenir les personnes en marge, une ville enfin, qui cultive la chaleur humaine.
C’est de cette Eglise à taille humaine que Ville à vivre veut être le reflet : une Eglise aux portes toujours ouvertes, pour qui s’adresse à elle.
Cette nouvelle campagne vous propose une série de vidéos sur le deuil, ainsi que deux vidéos consacrées au monde de l’enseignement.25 interviews sont disponibles sur www.villeavivre.be, et sont axées sur :
- les ‘sacrements’
- la ‘foi et la vie quotidienne’,
- les ‘jeunes’
- les actes ‘solidaires’
- ‘traverser le deuil’, en lien avec le blog http://deuiletesperance.blogspot.be
- l’‘enseignement’
Des outils sont également à votre disposition pour l’animation : des pistes pédagogiques à télécharger, un DVD qui permet d’utiliser ces vidéos offline, des cartes promotionnelles, etc.
Chaque mois, un nouveau portrait, un nouveau témoignage sur www.villeavivre.be
Retrouvez Thérèse, Sébastien, Monica, Bernadette, France, Monique, Marie, Philippe et Francine, Dédée,Marie-Thérèse, André, René et Renée, Lucien, Ines…, et bien d’autres !
Ville à vivreResponsable de projet : Marie-Françoise Boveroulle
Rue de la Linière, 14 - 1060 Bruxellesmf.boveroulle@skynet.be
Disponible pour interviews - prendre contact au 02/533.29.60 ou 0475/547.881
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Des prêtres pour toutes les nations
Dans les pays de tradition chrétienne, la baisse préoccupante du nombre de prêtres, la hausse de leur moyenne d’âge et la demande d’une nouvelle évangélisation tracent les contours de la nouvelle situation ecclésiale. Toutefois, à côté de situations difficiles, on enregistre des signes de reprise, surtout là où existent des propositions claires et fortes de vie chrétienne.« Des prêtres pour toutes les nations « (DPTN) est une association qui a pour objet de financer des bourses d'études en faveur de prêtres et de séminaristes qui étudient à l'Université de la Sainte-Croix à Rome. Tous les six mois, ses abonnés francophones reçoivent le bulletin de l’association. des infos sur les séminaristes qui poursuivent leurs études à Rome, à l’Université pontificale de la Sainte-Croix.
Certains d’entre eux résident au Collège ecclésiastique international « Sedes Sapientiae » : ils sont en ce moment 86 et procèdent de 30 pays. À l’Université, ils côtoient des centaines d’étudiants venus de 75 pays. La Ville éternelle leur fournit une expérience hors pair de l’universalité de l’Église.
Chaque année DPTN permet notamment à des prêtres et des séminaristes de toutes les nations d’étudier à l’Université de la Sainte Croix. Le coût moyen d’une année d’étude à Rome est de 12.500 € .Pour les prêtres et les séminaristes de beaucoup de diocèses, cette somme est inabordable. Chaque fois qu’un donateur verse 30 € à DPTN, il offre une journée de formation et avec 150 €, il offre une semaine.
Coordonnées : association DPTN Belgium, avenue du Castel 90/11, B-1200 Bruxelles. Tél. +32 (0) 477 24 63 43 courriel bureau@biolley.be site web : www.dptn.be cpte banque BE81 7320 2294 7524

L'Université pontificale de la Sainte Croix est un institut universitaire d'études ecclésiastiques, constitué des facultés de Théologie, Droit canonique, Philosophie et Communication Sociale, aux trois niveaux du curriculum universitaire (baccalauréat, licence / master et doctorat).
Situé près de la Piazza Navona, l'Institut supérieur de Sciences religieuses de l'Apollinaire, partie intégrante de l'Université, est lié à la Faculté de Théologie. Il est caractérisé par le développement de l'enseignement à distance.
Cette université répond au désir de saint Josemaría Escrivá, fondateur de l'Opus Dei, de promouvoir à Rome un centre d'études universitaires au service de la mission de l'Église dans le monde entier. Ce n'est que sous son successeur Alvaro del Portillo, que les autorisations du Saint-Siège, permirent la mise en œuvre de cette idée dès l'année académique 1984 - 1985.
Érigée formellement par décret du 9 janvier 1990, l'Université a été confiée à la Prélature de la Sainte Croix et l'Opus Dei : son Grand Chancelier est le prélat de l'Opus Dei. L'actuel Grand chancelier est Javier Echevarría
JPSC
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BXL, lundi 7 octobre : présentation du livre "Jésuites hongrois sous le pouvoir communiste"

lundi 7 octobre à 19h à l'Institut Balassi de Bruxelles
Jésuites hongrois sous le pouvoir communiste
Témoignages recueillis par Ferenc Szabó s.j.
Editions Lessius - Coll. Au singulier , n° 23 - 26,50 €
Traduit du hongrois par Thierry Monfils s.j.
Postface Rudolf Rezsohazy
À peine voilée par une législation qui, en principe, autorisait l'exercice de la liberté religieuse, la pratique du pouvoir socialiste hongrois installé par les Soviétiques après la Seconde Guerre mondiale allait faire preuve d'une intolérance rigoureuse à l'égard de la religion : confiscation des biens, arrestations, procès, assignations à résidence, emprisonnements ou travaux forcés. Il s'agissait pour les communistes d'entraver les activités de l'Église et de hâter la disparition du phénomène religieux. Ces événements marquèrent l'Europe centrale dans sa chair.
Dès 1950, un décret interdit les instituts religieux. Bon nombre de jeunes jésuites hongrois allaient progressivement trouver refuge à l'étranger pour y recevoir leur formation religieuse, avant de travailler dans les différentes régions du monde. Mais qu'advint-il de ceux qui étaient restés en Hongrie ? Leur persécution fut sévère, féroce même.
Dans leur vérité toute simple, les souvenirs et témoingages recueillis ici par Ferenc Szabó offrent des récits de vies poignants. Comment les jésuites ont-ils, au milieu de cette tourmente, vécu leur vocation ? Dans la foi en Jésus-Christ, l'amour de l'Église, le service de leurs contemporains, sans rancune à l'égard de leurs persécuteurs et, même parfois, avec humour.
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Leuven (Park) : exposition d'icônes à l'Aide à l'Eglise en Détresse
Où?: Aide à l'Église en Détresse Abdij van Park 5 3001 LouvainQuand?: 08/09/2013 - 29/09/2013 10:00-17:00 - Weekend:14:00-18:00Icônes - œuvres de Lucia Lipkens-Janssen
Dimanche 8 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen
Dimanche 15 septembre 2013 à 15h00 : D. Victor Yudin : Sur la liturgie orthodoxe
Dimanche 22 septembre 2013 à 15h00 : Sur le soutien apporté par Aide à l'Église en Détresse à l'Église orthodoxe russe
Samedi 28 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen
Dimanche 29 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia JanssenSaint Luc l'Évangéliste en tant qu'iconographe de la Sainte Mère de Dieu Hodegetria
Sur l'icône, nous voyons Saint Luc tandis qu'il écrit la Sainte Mère de Dieu Hodegetria. Hodegetria signifie ‘Celle qui montre le Chemin’. L'icône est en outre Acheiropoiètos, ce qui veut dire qu'elle n'a pas été réalisée par la main de l'homme. D'après la tradition, un ange a interrompu Saint Luc et a achevé l'icône.
Le produit de l'exposition est destiné au couvent Notre-Dame-de-la-Protection à Lviv (Ukraine). La communauté des sœurs contemplatives n'a que des revenus limités provenant, entre autres, de la création d'icônes. À peine de quoi couvrir la nourriture, l'électricité et le chauffage. L'abbesse, Mère Metodija, a demandé le soutien d'Aide à l'Église en Détresse pour les soins à prodiguer à 17 sœurs âgées et malades.Entrée gratuite
