C'était le 1er juin 2013 en l'église du Saint-Sacrement, à Liège :
Belgique - Page 305
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Video de la Fête-Dieu 2013 présidée par le nouvel évêque de Liège
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Empêcher à tout prix les enfants trisomiques de venir au monde
D'après la Libre de ce jour (pp. 22-23), les centres belges de généthique proposent dès cet été un test ADN détectant la trisomie du foetus. Cela nous incite à publier à nouveau cet article que nous avions mis en ligne il y a un an. En effet, on sait que ce type d'examen mène 99% des parents à recourir à l'avortement lorsque l'examen diagnostique la trisomie, ce qui est pour le moins interpellant.
(Source : Gènéthique.org)
Vers une généralisation du nouveau test de dépistage de la trisomie 21
Après l’autorisation donnée à la commercialisation du "PraenaTest" en Suisse (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 30 juillet 2012), l’Allemagne (Land du Baden-Württemberg) vient elle aussi de donner son feu vert. Les associations Suisses en faveur du droit à la vie des personnes trisomiques "craignent une hausse des IVG" et "une stigmatisation des parents ayant laissé un enfant trisomique venir au monde". La question de l’introduction et de la généralisation de ce nouveau test se pose dans d’autres pays, notamment en France.
Actuellement, en France, "toutes les femmes enceintes se voient proposer, dès le premier trimestre, un dépistage qui associe une échographie et des prélèvements biologiques dans le sang". L’objectif est de "déterminer un niveau de risque de trisomie pour chaque grossesse. […] En cas de risque élevé, c’est à dire supérieur ou égal à 1 sur 250, seule une amniocentèse, [un examen invasif], permet de poser le diagnostic de la trisomie". "En 2010, plus de 55 500 femmes ont choisi de subir [l’amniocentèse]", qui présente un risque de fausse couche de 1%. Or, l’Agence de la biomédecine souligne que "95% des femmes demandent une interruption médicale de grossesse" lorsqu’est diagnostiquée une trisomie 21.
Le nouveau test, conçu par LifeCodexx, "pourra être fait dès la dixième semaine de grossesse". Il consiste à "récolter des informations sur l’ADN du fœtus, présent sous forme de petits fragments dans le sang de la mère", afin de diagnostiquer la trisomie 21.
Pour le Pr Yves Ville, chef du Service de gynéco-obstétrique de l’hôpital Neker, "plusieurs études internationales ont montré [la] fiabilité [du test], évaluée autour de 99%". Cependant, pour la directrice de l’Agence de la biomédecine, Emmanuelle Prada-Bordenave, l’instauration en France ne serait pas tout de suite car les "premiers résultats, même s’ils sont très prometteurs, doivent être confirmés par des études cliniques menées à grande échelle".
Mais "pour de nombreux spécialistes, la généralisation du test à l’ensemble des femmes n’est pas souhaitable". Ainsi, le Pr Israël Nisand, gynécologue obstétricien, qui "s’oppose farouchement à une ouverture au plus grand nombre, même sans remboursement de la sécurité sociale" précise : "il n’y a pas de liberté absolue dans le domaine du dépistage prénatal, mais une politique nationale qui s’impose à tous. Il n’est pas question de céder à une forme de pression induite par les laboratoires". Pour le Dr Henri Bléhaut, directeur de la recherche à la Fondation Jérôme Lejeune, il est à déplorer que "le dépistage de la trisomie 21 se fasse au détriment des programmes de recherche thérapeutique".
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Cathédrale de Tournai : les concerts MUSICA (août-septembre)
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"Meltingpot" bruxellois contre ordre moral islamique
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La véritable Eglise des pauvres
Lu sur le site de Radio-Vatican :
« Les conditions de vie de la population sont de plus en plus difficiles dans la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo. La lutte entre les milices armées et l’armée gouvernementale fait rage depuis trois ans dans cette région des Grands Lacs, en particulier autour de la ville de Goma, la capitale régionale. En RDC, plus vaste pays d’Afrique, les groupes armés, les convoitises des pays voisins et les violences récurrentes laissent une population civile dans le plus grand dénuement. Le président du Secours Catholique François Soulage s’est rendu en République démocratique du Congo (RDC) au début du mois de juillet. Il dresse un constat alarmant de la situation.
Le Nord-Est de la RDC est devenu au fil des mois un pays de déplacés. Ainsi, Goma a accueilli près d’un million de déplacés, des populations venues des montagnes de l’intérieur du Congo qui ont fui les groupes armés. « Les réfugiés vivent dans une trentaine de camps de tentes, envahissant tous les espaces possibles et coupant les arbres autour pour se chauffer » explique François Soulage, ils n’ont aucune ressource et dépendent du Programme alimentaire mondial (PAM), avec qui la Caritas Goma travaille pour la distribution de nourriture.Des villes qui se transforment en camps de réfugiés
Le Président du Secours Catholique revient sur le pillage en règle des groupes armés qui terrorisent la région : les paysans n’ont plus d’outil, ni tracteurs et attelages de bœufs. Tout a été pris par les groupes armés. La situation est également critique à Bukavu, dans le Sud-Kivu. Il y a dix ans, explique François Soulage, cette ville de 200 000 habitants avait l’eau et l’électricité courantes. Aujourd’hui, avec un million de personnes en plus, il y a des coupures d’électricité constantes et quasiment pas d’eau potable.
Dans ce pays où l’État a disparu, les ONG sont le seul recours pour ces populations, et l’Église ne ménage pas ses efforts, notamment à travers le réseau des Caritas locales, qui sont soutenues par le Secours Catholique. La priorité actuelle est de travailler sur l’accès et la qualité de l’eau. Pour gérer cet outil hydraulique, les villageois doivent constituer un comité de gestion. Les personnes le composant sont rémunérées par les petites cotisations que versent les usagers. On sort ainsi du système de la gratuité, cela implique les habitants.
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L’Homme qui transcenda le Roi
A l’occasion du 20e anniversaire de la mort du Roi Baudouin, des amis ont lancé une pétition destinée à être remise à l’archevêque de Malines- Bruxelles pour lui demander de prescrire une enquête diocésaine, en vue de rechercher les éléments de nature à permettre l’ouverture d’un procès canonique susceptible d’élever le Roi à la gloire des autels. C’est ici : Constitution d'un groupe de fidèles en vue de demander la béatification du Roi Baudouin
Dans un article qu’il vient de donner à « La Libre », le Doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer y va, à son tour, d’un éloge des vertus du Roi : témoignage non concerté et sans rapport avec l’objet de la démarche précitée. Extrait :
« (…) La monarchie se fonde sur une fiction librement consentie. Les Windsor ou Saxe-Cobourg sont des personnes ordinaires. Mais - de par son aura symbolique - la fonction royale transcende l’homme ou la femme qui en est investi.
Ce qui me fascine chez Baudouin, c’est qu’avec lui le phénomène s’inversa. L’homme transcenda progressivement le roi. Je m’explique : Baudouin fut un bon roi, mais sans doute pas notre plus grand roi.
Par contre, ce timide s’est - petit à petit - mis à rayonner d’une lumière intérieure. S’il y a vingt ans, tant de Belges ont ressenti le deuil d’un proche, ce ne fut pas sous le coup d’une hystérie collective. Ils pleuraient un souverain discret et peu démonstratif, avec lequel ils avaient pourtant vécu une proximité intense. Ce que le cardinal Danneels illustra par ces mots : "Il y a des rois qui sont plus que des rois. Ils sont les bergers de leur peuple." Et Maurice Béjart : "Dans le milieu des dirigeants et des personnes haut placées, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui a gardé tant de fraîcheur, d’humanité et de profondeur. C’est un être très rare." Quant au "Canard enchaîné" - journal peu suspect d’idolâtrie monarchique - il salua la mort d’un Roi de cœur.
Bref, comme me le confia un des conseillers du palais : "Baudouin faisait exister ses interlocuteurs." Je me souviens : comme séminariste, j’accompagnais un petit groupe à l’occasion d’un pèlerinage de jeunes vers Beauraing. Mon frère cadet marchait avec moi et - en bon Samaritain - avait accueilli Walter dans notre équipe.
Walter souffrait d’un handicap, tant mental que physique. Il était tout heureux d’avoir des compagnons, mais nous retardait. Vers la fin de la journée, notre équipe était bonne dernière. C’est alors que je vis que les groupes qui nous précédaient s’étaient arrêtés. Je courus en avant pour voir ce qui se passait. Juché sur un talus, j’observai la scène à distance.
Le couple royal était sorti de sa voiture et se trouvait au centre de quelque deux cents marcheurs assemblés. Au loin, je vis mon équipe s’approcher - avec Walter tout en sueur à la traîne.
Ce dernier ne comprit qu’une chose : on faisait halte et il pourrait se reposer. Il s’assit donc - bien à l’écart. Baudouin souriait, échangeait des paroles et serrait des mains. Soudain, il fendit la foule en direction de Walter. Comme le Roi se baissa pour lui parler, je ne vis plus rien.
Quelques instants plus tard, les Souverains étaient repartis et les jeunes avaient repris leur marche. Je retrouvai Walter - le regard transformé. Il souriait et racontait, comme dans un rêve : "J’étais assis. Et quelqu’un m’a pris la main. J’ai regardé et j’ai crié : Mais… vous êtes le Roi ! Vous êtes le Roi !"
Walter était caché par une haie de jeunes. Pourtant, Baudouin l’a vu. Ainsi, le regard spirituel. Le regard de Celui qui - au cœur d’une foule - se pose et dit : "Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison." (Luc 19,5)
Souvent, la fonction royale transcende l’homme. Avec Baudouin, l’homme transcenda le roi.
Eric de Beukelaer »
Voir ici : L’homme qui transcenda le roi
A propos du regard spirituel dont parle l’abbé de Beukelaer, j’ai aussi mon petit souvenir. Il fut un temps où, du fait de mes fonctions dans le domaine culturel, j’ai eu quelques fois l’occasion d’être accueilli, avec d’autres, par le Roi Baudouin, au Palais Royal et même au Château de Laeken. Une formalité peut-être. Mais pas pour Baudouin : lorsque venait votre tour de le saluer, presqu’à mi-voix, un peu réservé, il répétait votre nom en vous regardant avec attention, comme si vous étiez à cet instant son seul interlocuteur, une personne qui compte pour lui. Et cela changeait, tout à coup, des salutations indistinctement «cordiales » et démonstratives dont le monde politique et même religieux n’est pas avare dans ce genre de circonstances. C’était voici plus d’un quart de siècle déjà…
JPSC
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Du rififi à la loge
Lu sur levif.be :
Rudy Demotte a-t-il oublié qu'il était franc-maçon ?
Invité à s’exprimer, dans le Vif/L’Express, sur ses éventuelles croyances, Rudy Demotte, ministre-président wallon, s’était dit adogmatique mais spiritualiste. Dans la même confession, il avait aussi sèchement crucifié la franc-maçonnerie. Or il en fait partie, depuis plus de vingt ans…
Contacté pour participer, aux côtés d’autres mandataires politiques, au dossier « Foi et politique : nos élus se confessent » (Le Vif/L’Express du 26 juillet dernier), Rudy Demotte avait évoqué la franc-maçonnerie en termes plutôt durs : « Quant à la franc-maçonnerie, je ne connais rien à ces sociétés secrètes, que je laisse à qui ça excite. » Le propos du ministre-président socialiste a glacé ses frères maçons. Car Rudy Demotte fait bien partie d’une de ces « sociétés secrètes », l’atelier « Les Trois Roses », à Lille, attaché à la Grande Loge de France. Son initiation remonte au milieu des années 1990. « Il a choisi une loge française pour ne pas mélanger cette voie de cheminement personnel avec ses responsabilités politiques », explique un témoin de ce choix de l’époque. « La loge tournaisienne Les Frères réunis était fort politisée et l’éventuelle arrivée du socialiste Rudy Demotte dans ses rangs aurait pu poser problème, rapporte un autre. Il n’a d’ailleurs jamais posé sa candidature pour y entrer ». (...)
L’affirmation selon laquelle Rudy Demotte ne connaît rien à la franc-maçonnerie a (...) fait sortir de leurs gonds et de leur traditionnelle réserve certains maçons, indignés tant par la forme que par le fond du propos. Cette sortie a suscité de nombreuses réactions dans le milieu maçonnique, en particulier dans le Tournaisis. « Il y aura des suites, avance un frère. Il sera certainement convoqué et on lui demandera des comptes ». Risque-t-il une sanction ? Un blâme sans doute, avec l’interdiction de récidiver. (...)
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Constitution d'un groupe de fidèles en vue de demander la béatification du Roi Baudouin
On évoque souvent la possible béatification du roi Baudouin, et même sa canonisation. Pourtant, lorsqu'on tente de savoir si quelque chose de concret a été mis en oeuvre en vue de l'obtenir, on ne reçoit pas de réponses claires. C'est pourquoi nous avons ouvert un groupe sur facebook en vue de réunir des personnes prêtes à s'engager pour demander à l'archevêque de Malines-Bruxelles, ordinaire du lieu, qu'il soit procédé à une enquête préalable. Rejoignez-nous! Par ailleurs, tout témoignage attestant l'obtention d'une grâce reçue par l'intercession du Roi sera évidemment le bienvenu.
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Génocide arménien : un nouveau monument inauguré à Banneux
de la Libre :
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Le 4 août à Malmédy : messe traditionnelle du premier dimanche du mois
MALMEDY
PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Jean SCHOONBROODT, chapelain au sanctuaire de Banneux et à l’église du Saint-Sacrement à Liège
DIMANCHE 4 AOÛT 2013 A 18 HEURES
EGLISE DES CAPUCINS
Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy
CELEBRATION DU ONZIÈME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE
Evangile selon saint Marc, chapitre 7 : Jésus guérit le sourd-muet, image de l’humanité pécheresse
Propre grégorien de la messe « Deus in loco sancto suo » (Dieu fait habiter les siens en sa demeure)
Messe à deux voix « Te Deum Laudamus » (Lorenzo Perosi,1872-1956), Credo I, Hymne « Iesu dulcis memoria » alterné en plain-chant et polyphonie (Edouard Senny,1923-1980)
Motets : « Louez tous le Seigneur » (Dom Anselme Deprez) et « Nun dankt alle » (Johann Cruger, 1598-1660)
A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems
Renseignements : L. Aussems tél. 080.33.74.85
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Le choix de Clara
Clara est soeur à la Fraternité de Tibériade; elle témoigne (en néerlandais) de sa vie et de sa vocation dans cette communauté où elle est entrée récemment :
d'autres videos, ICI
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Douze moines de l’abbaye de Fontgombault vont relancer celle de Wisques cet automne
Nous l’avions déjà annoncé ici Confirmé : l’abbaye de Wisques (Pas-de-Calais) passe à la forme extraordinaire des rites liturgiques, mais le numéro d’été de la revue « Una Voce » (une nouvelle présentation très réussie, tant sur le plan rédactionnel que pour la mise en page) nous apporte toutes les précisions (signées J. Dh.) : l’abbaye bénédictine de Wisques, près de Saint-Omer dans le Pas-de-Calais (diocèse d’Arras) va recevoir, dès cet automne, une douzaine de moines de Fontgombault : une excellente nouvelle qui réjouit aussi les Belges attachés à la grande tradition de l’Eglise :
« Les fils de Solesmes s’entraident. L’Abbaye Notre-Dame de Fontgombault a déjà fait plusieurs fondations : trois en France (Randol, Triors et Donezan (Ariège) et une aux Etats-Unis. Douze moines âgés s’efforçent de maintenir Saint-Paul de Wisques en vie, mais ils ont besoin d’aide. Aussi Fontgombault, forte de 70 moines, va-t-elle partager.
« Nous nous posions la question : Wisques a adopté le nouvel « ordo ». Comment la communauté va-t-elle s’organiser ? La réponse nous a été donnée par le Père Abbé de Fontgombault, Dom Jean Pateau lui-même dans une interview qu’il a accordée au Baptistère (avril-mai 2013) :
‘Au sein de la Congrégation de Solesmes, Fontgombault et ses filles célèbrent la messe dans la forme extraordinaire du rite romain et utilisent également le bréviaire monastique traditionnel. Ces spécificités seront conservées : c’est une condition de la reprise de l’abbaye Saint-Paul. L’observance, tant monastique que liturgique, sera celle de Fontgombault. Néanmoins chez nos sœurs moniales de l’Abbaye Notre-Dame, qui usent de la forme ordinaire, les moines de Saint-Paul célébreront selon cette forme.
Compte tenu de la différence d’observance entre les deux communautés, le Père Abbé de Solesmes, Président de notre Congrégation, a laissé aux moines de Wisques la possibilité de demeurer dans le monastère de leur profession ou de gagner un autre monastère de la Congrégation. Six moines ont choisi de rester. Notre devoir est de leur faciliter ce choix. Si aujourd’hui nous pouvons venir à Saint-Paul de Wisques, c’est parce que les moines de cette abbaye ont tenu dans les épreuves que la communauté a traversées ‘
Quand les moniales de l’Abbaye Notre-Dame, fondation de Sainte-Cécile de Solesmes, se sont installées à Wisques, elles ont eu besoin d’aumoniers et elles furent ainsi à l’origine du monastère Saint-Paul. Saint Benoît répondait à l’appel de sa sœur Scholastique. Les moines s’installèrent d’abord dans un petit château, mais les lois anti-catholiques de 1901 les chassèrent en Belgique où ils fondèrent l’abbaye Saint-Paul d’Oosterhout. Ils purent rentrer en France en 1920. C’est alors que fut construite l’abbaye en briques avec des effets de couleurs et de style original que l’on peut toujours admirer. Des agrandissements ont été réalisés en 1957 et 1968. Avec l’arrivée de moines de Fontgombault, les menaces de disparition sont dissipées ».
(Una Voce, Juillet-Août 2013, 42, rue de la Procession, F 75015 Paris Tél : (00.33) (0)1 42 93 40 18. Courriel : unavoce@orange.fr
Voilà un arrangement qui change du récent « dictatus papae » (Liturgie de la messe : François en contradiction avec Benoît XVI ?) à la Congrégation des Franciscains de l’Immaculée.
A propos d’Una Voce, rappelons qu’il s’agit d’une fédération internationale de sociétés laïques catholiques attachées à la forme extraordinaire du rite romain. Elle a été fondée en 1964 et inclut des organismes dans vingt-huit pays à travers le monde. Son nom provient de la préface du canon romain. En plus de promouvoir la messe codifiée par le pape saint Pie V, elle soutient activement le chant grégorien et la polyphonie sacrée dans la liturgie catholique traditionnelle. En savoir plus, sur son site web français : www.unavoce.fr
JPSC
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