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Belgique - Page 351

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 30 août 2012

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    Sommaire

  • Aller sur les pas du Père Damien

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    Viens et vois... sur les pas du Père Damien

    Tu as entre 17 et 35 ans ? Pars avec nous à la découverte du Père Damien, du 7 au 9 septembre 2012.

    Ce missionnaire belge a choisi de rejoindre les lépreux que la société hawaïenne de son temps parquait sur l’île de Molokaï où ils n'avaient plus qu'à mourir abandonnés de tous. L'unique désir du Père Damien en partant vivre au milieu d'eux était de leur rendre dignité et espérance. Il le fera pendant seize ans, avant de mourir lui-même de la lèpre. Une vie bouleversante, qui s’est laissée saisir par le Christ.

    Au programme du week-end : marche (12km), enseignements, partages, célébrations, visites (Tremelo & Louvain). Nous serons accompagnés par l'Abbé Jean Pierre Pire.

    Si l'aventure te tente, ne tarde pas car nous ne pourrons pas accepter plus de 38 personnes !!!

    Contact : Elisa Di Pietro - 0477/13.61.64 - elisadipietro777@hotmail.com  / Tiziana Svaldo Lanero - 0492/85.01.01 - tizianasvaldolanero@libero.it

    Horaire : Début : 07/09/2012 à 18:00; Fin : 09/09/2012 à 20:00

    Lieu principal : Tremelo & Louvain, Pater Damiaanstraat, 3120 Tremelo - Belgique

  • Affaire Martin: “je suis leur chef, donc je les suis”

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    pict_441948.gifLe 28 août, la justice belge a confirmé la décision de libérer l'ex-femme et complice de Marc Dutroux. Le soir même, elle est arrivée, sous les injures du public, au couvent des clarisses à Malonne près de Namur, où elle fera sa réinsertion sociale.

    Selon l’agence Belga, relayée par « La Libre » , tous les éditorialistes des journaux flamands  « expriment leur compassion pour le combat difficile qu'ont mené les proches des victimes de Marc Dutroux..

    Ils ont par contre la dent dure contre le "populisme" qui a prévalu ces derniers jours dans la sphère politique. "Il est amer de voir à quel point le monde politique ne se comporte pas de manière adulte par rapport aux décisions de son propre appareil judiciaire", juge De Morgen, qui qualifie le populisme de "dangereux".

    "Au lieu d'aller affronter la tempête et expliquer l'affaire Martin à la population, les hommes politiques n'en ont que pour 'l'adaptation de la loi', de sorte que 'ce type de monstres' ne puisse plus être libéré."

    Le Standaard qualifie également d'"indigne" ce "surf sur les vagues de l'émotion populaire". "Le cas de Michelle Martin montre que seul l'instrument imparfait qu'est la Justice nous sépare de l'arbitraire et de la vengeance pure et simple. Pour maintenir ce mince mur de séparation, nous devons accepter des jours comme ceux-ci. Aussi dur que ce soit."

    La Gazet van Antwerpen fustige aussi la tendance à suivre l'opinion publique de nombreux hommes politiques, même si le journal appelle à l'action. "Ils (les hommes politiques) feraient mieux de prendre collectivement leurs responsabilités et d'adapter la loi Lejeune, de telle sorte qu'aucun cas Martin-bis ne soit possible."

    Het Nieuwsblad n'est pas tendre avec la Justice. "Il y a seize ans, la Justice a montré un visage inhumain et une imperméabilité au monde qui frisait l'incompétence. Il faut se demander si cela s'est amélioré en profondeur." Le journal pointe surtout le manque de préparation et d'accompagnement des victimes. Mais il insiste aussi sur l'importance de l'Etat de droit et s'en prend à l'attitude inconséquente de certains hommes politiques.

    Enfin, De Standaard et Het Laatste Nieuws prennent encore la défense des Clarisses. "Les soeurs suivent le cheminement chrétien qu'elles ont choisi. Elles offrent une porte de sortie à quelqu'un qui n'avait nulle part ailleurs où aller, à une femme avec un passé mais pas d'avenir", juge Het Laatste Nieuws. "Elles méritent pour cela compréhension et respect, pas des menaces. Si des nonnes sont menacées dans un lieu de paix, où va le monde ?"

    Ici : Michelle Martin: les journaux flamands critiquent le "populisme" des politiques  

  • Marriage Encounter Belgium a 40 ans

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    Le mouvement « Vivre et Aimer » au service des couples et familles depuis 40 ans. 

    A une époque où l’Europe politique et économique suscite des réactions mitigées au sein de la société, elle-même bousculée dans ses valeurs,  le mouvement Vivre et Aimer Belgique (membre de Marriage-Encounter International) répond,  depuis 40 ans, à ces crises par des WE de réflexion, de partage et des rencontres régulières pour couples, prêtres et jeunes.

    Depuis sa création aux Etats-Unis en 1968, des centaines de milliers d’hommes et de femmes à travers le monde entier ont participé à un WE en choisissant de vivre leur relation sous le signe de la communication et du dialogue.

    Quelques chiffres :

    ·         Le premier WE pour couples, prêtres et religieux/religieuses, en Europe a eu lieu en 1972 en Belgique. Depuis,  19000 personnes ont vécu ce WE en Belgique.  

              C’est notre pays qui est à l’origine de son expansion dans les autres pays européens et même au-delà.

    ·         Aujourd’hui, 19 pays d’Europe vivent ce même WE et 90 pays sur l’ensemble des continents.

    ·        De nouveaux WEs ont vu le jour, par exemple en 1978, le WE pour les  fiancés (depuis lors,16500 participants ont vécu ce WE).  Et par la suite, des WEs pour jeunes,  séniors, et, cette année, le 1er WE pour les 

               célibataires,veuves,  veufs, divorcé(e)s.

    ·         En Belgique, plus de 50 WEs par an sont organisés avec près de 2000 participants et 150 animateurs. 

     

    Le samedi 8 septembre de 14 à 22h, à l'Institut Don Bosco, rue des Wallons, à Liège, plus de 300 membres, jeunes, fiancés, couples jeunes et moins jeunes se déplaceront des 4 coins de la Belgique francophone pour fêter ce 40ème anniversaire.
    Enjeux ?

    • Offrir un beau moment de rencontres, de fête et de dialogues à tous ceux qui ont, un jour, participé à un WE.
    • Rappeler ou faire prendre conscience de notre force : Vivre et Aimer propose une réponse, utilisons-là !
    • Montrer notre action auprès des jeunes, des couples, des célibataires, des divorcés, … Par le partage et le dialogue, nous pouvons allez encore plus en avant!

    Opemstraat, 52  3080 Tervuren

    info@vivre-et-aimer.be

    www.vivre-et-aimer.be

  • La rentrée académique au Séminaire de Tournai

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    La rentrée académique aura lieu le mercredi 3 octobre 2012 au Séminaire de Tournai.
    - à 17h, dans l’église du Séminaire, Eucharistie présidée par Mgr Guy Harpigny, au cours de laquelle trois candidats-diacres recevront le lectorat.
    - à 18h30, au grand auditoire, conférence par le Père Philippe Henne, o.p., professeur à la Faculté de Théologie de Lille : « L’utilité des études sur les Pères avec la présentation de deux figures, Clément de Rome et la communauté paroissiale, Grégoire le Grand et l’Eglise dans le monde ».
    - à 19h30, réception
    Chacun est cordialement invité.

    Le frère Philippe Henne est né le 11 septembre 1954 à Ville-sur-Haine, près de Mons. Il a fait ses études secondaires au collège Saint-Vincent de Soignies. Après ses études de philologie romane, il enseigna à l’Institut Sainte-Marie de Quiévrain. Après une année de postulat résidentiel à Froidmont, il commença son noviciat à Fribourg (Suisse) en 1978. Il y étudia la théologie et obtint son diplôme en 1983. Il défendit une thèse de doctorat sur la christologie chez Clément de Rome et dans le Pasteur d‘Hermas en juin 1989. Depuis Depuis 1993, il est professeur à la faculté de théologie de l’Université catholique de Lille.

  • Leuven : Abdij van Park : exposition des oeuvres des soeurs de Bethléem

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    Exposition des oeuvres des moniales de Bethléem d'Opgrimbie, organisée par l'Aide à l'Eglise en Détresse

    17 novembre, à 14:00 – 29 novembre

    Abdij van Park 5, 3001 Leuven
    Kerk in Nood geeft u de kans om kennis te maken met de Monastieke Familie van Bethlehem. Het monasterium in Opgrimbie is een oord van stilte en eenzaamheid waar God aanbeden en verheerlijkt wordt tot heil voor de wereld en waar eenieder welkom is om in stilte en eenzaamheid tot zichzelf te komen en God te ontmoeten in het stille suizen van Zijn Aanwezigheid. De zusters vervaardigen kunstvoorwerpen, waardoor zij getuigen van Gods schoonheid en Zijn onuitsprekelijk Mysterie. Die religieuze beelden, iconen en aardewerk worden u aangeboden in het Wagenhuis van de Abdij van Park van 17 tot 29 november 2012, elke dag van 14.00u-17.00u. De toegang is gratis.

  • Un évêque face à la meute

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    Monseigneur Jousten, évêque de Liège, a expliqué que les clarisses transmettaient un “vrai témoignage chrétien” par leur bonne volonté à accueillir Michelle Martin dans leur couvent. "Un être humain reste un être humain", a ajouté Mgr. Jousten." C'était sur les ondes de la BRF. (source)

    Si la justice belge, qui ne fait qu'appliquer la loi mise en place par les élus de la nation, permet à Michelle Martin de retrouver la liberté, ni vous, ni nous, ni l'Eglise, ni qui que ce soit, n'y pouvons rien. On peut discuter de l'existence et du bien-fondé de telles lois mais le fait est qu'elles existent et que les juges doivent bien s'y conformer. A partir du moment où cette personne, coupable de faits extrêmement graves - que personne ne cherche à nier -, se retrouve en liberté, peut-on reprocher aux soeurs clarisses de lui offrir un gîte? Que voudrait-on? Qu'elle aille loger sous un pont? Il faut rester sérieux. Que ce soient des femmes consacrées à Dieu, dans la prière et le silence, qui s'en chargent ne nous paraît nullement scandaleux. N'est-ce pas aux chrétiens qu'il incombe de témoigner de la miséricorde et de la foi en la Rédemption? N'est-il pas conforme au message de la Bible de croire que le pécheur ne doit pas être identifié à sa faute? Mais il ne s'agit pas d'une logique accessible à des gens qui préféreraient se livrer à un lynchage pour assouvir leur appétit de vengeance et leur désir de faire justice eux-mêmes.

    Il faut donc être courageux pour oser s'exprimer publiquement à ce sujet comme l'a fait Mgr Jousten. Cela nous paraît plus judicieux que de se retrancher dans un discours frileux tenu récemment par un autre prélat belge qui semblait plutôt ouvrir son parapluie en se démarquant de la décision prise par les soeurs de Malonne.

    Si l'on se rend sur le site de Sud Info.be qui publie l'information, et si on a le courage d'y lire les commentaires déposés par les lecteurs en dessous de l'article, on pourra se faire une idée des sentiments qui animent une part importante de la population. L'appétit de vengeance, la haine, la calomnie, l'incitation à la violence, s'y étalent sans aucune pudeur. Les soeurs, l'Eglise, y sont désignées à la vindicte populaire et accusées de collusion avec les crimes commis par la complice de Dutroux. Les faiseurs d'opinion qui ont  si généreusement semé le vent en exploitant à l'envi les abus sexuels commis par des ecclésiatiques peuvent se féliciter à présent de récolter la tempête qui se déchaîne contre les religieuses, contre l'évêque qui leur apporte son soutien, et contre l'Eglise toute entière. Ces pauvres soeurs clarisses deviennent le bouc émissaire idéal permettant à une foule déchainée de se décerner à bon marché des brevets d'innocence en poussant des cris de haine que l'on confond hypocritement avec de l'indignation altruiste.

    C'est ainsi que, il y a deux mille ans, fut conduit au Golgotha un homme qui avait déçu les espoirs d'un peuple rêvant d'un messie conforme à ses attentes. Et quel scandale de voir ce condamné mettre à profit son dernier souffle de vie pour accueillir un criminel crucifié à ses côtés!

  • Reprise des cours à l'Institut Sophia

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    Cours d’initiation : Questions de bioéthique

    Premier quadrimestre année académique 2012-2013

     

    A partir du 1er octobre, cours hebdomadaire, les lundis de 13h30 à 15h40

    (congés scolaires exclus)

     

    « Soins palliatifs, acharnement thérapeutique. Cellules souches. Clonage thérapeutique. Loi belge autorisant la recherche sur les embryons surnuméraires. Thérapie génique… »

     

    Tels sont les titres dans la presse actuellement. Mais qu’en est-il exactement ?

    La bioéthique est-elle réservée aux scientifiques et aux politiciens ?

    Le public comprend-t-il toujours les termes techniques utilisés dans la presse ?

    Comment le citoyen peut-il s’informer pour participer au débat et exercer judicieusement certains choix difficiles ?

    Quid de l’engagement et de la communication en tant que catholiques ?

     

    Ce cours de 20 heures est destiné à un public n’ayant pas forcément une formation scientifique ou philosophique, mais toutefois curieux de comprendre et de communiquer sur toutes ces questions essentielles.

     

    Les cours ont lieu dans les locaux de l’Institut d’Etudes Théologiques (IET), 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles – (deuxième étage)

     

    PAF: 120 euros (60 pour les moins de 30 ans)

    Coordonnées bancaires de l’asbl Sophia : Banque ING : 363-0055152-96

    Infos : 0477 042 367 (Carine Brochier)

    Inscriptions: Institut Sophia - institutsophia@yahoo.fr


    Bulletin de Institut Sophia Bruxelles - 27 août 2012

    Sommaire

    ·   L'année Sophia reprend: les étudiants et koteurs se préparent...

    ·  Cycle de conférence jeunes

  • Vous avez dit "Patrimoine" ?

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    Le patrimoine sera à l'honneur les 8 et 9 septembre prochains. On ne peut que se réjouir de l'intérêt qui se manifeste à l'égard de ce que les générations précédentes nous ont transmis. Mais l'on peut s'interroger, dans le même temps, sur la dégradation d'une part importante de ce patrimoine, en particulier le patrimoine religieux.

    Dans la foulée du mouvement réformateur des années soixante, on a relégué et parfois même détruit tout ce qui ne "servait" plus : bancs de communion, chaires de vérité, statues de saints tombés en désaffection, livres et ornements liturgiques de l'avant-concile, etc. L'histoire et l'inventaire de cette vague iconoclaste restent à écrire. Actuellement, avec la chute de la fréquentation religieuse et la propagation d'une culture indifférente sinon hostile à l'égard du christianisme, de nombreux édifices sont menacés. Des vitraux démontés sommeillent dans des caisses dans l'espoir souvent illusoire d'une restauration. Il faut bien reconnaître que l'absence de formation, de sens esthétique, ou simplement de souci à l'égard du patrimoine dont font preuve de nombreux ecclésiastiques ne fait qu'aggraver la situation.

    Et comme y insiste Florence Descamps, Maître de conférences en histoire à l'École Pratique des Hautes Études, c'est la mémoire même de notre civilisation religieuse, et de son patrimoine immatériel, qui sont en jeu :

    Les vieux pays de chrétienté se défont dans le silence et s’effacent définitivement ; au même moment, sous nos yeux, un autre monde religieux, protéiforme, est sans doute en train de naître, mais il est encore temps de recueillir les dernières braises d’une culture catholique sédimentée depuis quatre siècles, de mesurer les changements intervenus et d’éclairer les traces et les vestiges que cette dernière nous a laissés !

    Lire son excellent article paru dans "In Situ" (Revue des Patrimoines) : Mémoire religieuse, patrimoine immatériel du religieux. Pour la constitution d’archives orales de la foi catholique au XXe siècle

  • Célibat des prêtres et abus sexuels sur mineurs

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    Les médias ne ménagent guère l'Eglise catholique; on peut même évoquer une entreprise qui vise à discréditer systématiquement le pape, les évêques, les prêtres. On ne peut que constater que ces campagnes médiatiques ont un impact assez évident sur l'opinion publique, en particulier sur les gens plus simples qui se laissent impressionner et finissent par perdre confiance. Il suffit de voir comment de très nombreuses personnes réagissent à l'égard des soeurs clarisses de Malonne qui ne font qu'obéir à leur vocation en pratiquant l'accueil, en particulier celui de la "brebis égarée". Parmi les thèmes les plus exploités et que l'ont remet régulièrement sur le feu, il y a bien sûr le drame de la pédophilie ecclésiastique qui a connu des sommets dans notre pays, en particulier avec le cas de l'ancien évêque de Bruges. Les dégâts sont immenses et on n'a pas fini de voir exploiter ce filon pour fragiliser la position de l'Eglise de Belgique.

    Nous avons découvert un site sur lequel les thèmes - associés par les journalistes et autres commentateurs - du célibat ecclésiastique et des abus sexuels sur mineurs sont développés de façon très approfondie. Nous vous suggérons de les consulter :

  • Débaptisation : une démarche qui n'efface pas le sacrement du baptême

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    C'est ce qui ressort de cette note figurant sur le site de l'Eglise catholique du Luxembourg :

    Appartenance à l‘Église

    On devient chrétien catholique par le baptême dans l’Église catholique ou - si on est membre d’une autre confession chrétienne – par la conversion à la foi catholique.
    Lors du baptême des petits enfants la paroisse du domicile propose une préparation des parents. La célébration du baptême est cependant possible à tout âge. A partir de l’âge scolaire le candidat est préparé lui-même à la célébration du sacrement et à la vie chrétienne : l’enfant ou le jeune au niveau de la communauté paroissiale, l’adulte au niveau du diocèse (Catéchuménat).
    La réception dans la pleine communion de l’Eglise catholique de chrétiens baptisés validement dans des confessions non catholiques (Conversion) se fait après un temps d’instruction dans la foi catholique par la célébration du sacrement de la confirmation et/ou de l’eucharistie.
    Pour différentes raisons, des baptisés peuvent désirer sortir de l’Église catholique. Cela peut se faire à travers la conversion à une autre confession chrétienne, à travers la profession d’une religion non-chrétienne ou pour d’autres raisons personnelles. La défection de l’Église se fait par la notification extérieure à l’autorité ecclésiastique compétente de la décision intérieure de quitter la communauté de l’Église. Cela se fait ordinairement par lettre à l’archevêché, à laquelle il faut joindre une copie de la carte d’identité. Il est très important de communiquer le lieu et la date du baptême afin que les registres paroissiaux puissent être mis à jour.
    Le sacrement de baptême ne peut être annulé, mais l’Église respecte la volonté de celui qui quitte l’Église : dorénavant il n’est plus considéré comme catholique. Celui qui déclare sa défection de l’Église, se sépare de la communauté catholique et perd les droits qu’il avait comme membre. Ainsi la réception des sacrements, la célébration des funérailles catholiques ou la prise en charge de la fonction de parrain ou marraine ne sont plus possibles.
    Après défection advenue, la réintégration dans l’Église catholique est possible à tout moment. Dans un premier moment, on peut contacter pour cela un prêtre ou agent pastoral catholique de son choix. Vu que la défection s’est faite par un acte formel devant l’autorité ecclésiale, il faut aussi un acte formel pour la réintégration. Après la profession de foi, le candidat est réintégré à la communauté de l’Église par l’archevêque ou son délégué. Cela peut se faire pendant une célébration liturgique publique ou en privé. Un nouveau baptême n’est pas nécessaire car le sacrement n’a pas perdu sa validité par l’acte de défection.
  • RDC : fillettes, adolescentes et femmes paient le prix fort

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    L'information paraît sur La Libre d'aujourd'hui :

    A Bukavu, une section de l’hôpital Panzi accueille les femmes victimes des viols collectifs de la guerre. Le Dr Mukwege se bat pour leur redonner un espoir. Prix Roi Baudouin en 2011, le médecin congolais a reçu jeudi Didier Reynders dans son hopital de Bukavu, où près de 40 000 femmes et jeunes filles ont déjà été soignées.

    Fatigué de voir les délégations ministérielles défiler dans son établissement sans que rien ne change, désespéré de voir que la situation empire à l’est du Congo, il a parlé, devant le ministre belge, d’injustice et de lâcheté, de courage qui faisait défaut.

    "La Libre" l’a interviewé peu après.

    Lire la suite