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Belgique - Page 353

  • Cachez cette référence que je ne saurais voir…

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    Le recteur des Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix de Namur (FUNDP) a annoncé vendredi la décision de modifier le nom de l’institution universitaire namuroise. Elle s’appellera désormais “Université de Namur”. Le changement de nom des FUNDP en Université de Namur s’inscrit dans une volonté de renforcer la visibilité de l’institution. “Nous ressentions le besoin de proclamer que nous sommes une université. Nous accomplissons de manière complète nos différentes missions”, a expliqué le recteur, Yves Poullet. Ici : Les Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix deviennent l’Université de Namur

    La visibilité mondaine s’entend, pas la visibilité catholique. Enfouissement ou apostasie ? Cela se discute, comme disait Jean-Luc Delarue. Un beau cadeau pour le cinquantenaire de Vatican II ?

     

  • 13-14 octobre : Marche des pères de famille de Spa à Banneux

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    Marche_des_Peres_2012_v0.jpg

    Cliquer sur l'image pour avoir accès au dépliant avec les informations concernant cette activité.

  • Le riche programme d'activité de la Famille Saint-Jean pour 2012-2013

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    shapeimage_8.pngNous ne pouvons reproduire ici, tant il est foisonnant, le programme des activités proposées par la Communauté Saint-Jean.

    En cliquant sur l'image ci-contre, vous accéderez à la brochure (en pdf) où vous aurez accès au programme du prieuré de Banneux.

  • Eviter la banalisation de l'humain dans le système des soins

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    9782842761738.pngL'univers médical devient de plus en plus performant mais aussi très "technique", avec le risque de perdre de vue la dimension humaine du patient, dans son intégralité. Un livre approche ce thème et permet d'en approfondir la réflexion :

    La banalisation de l'humain dans le système de soins
    De la pratique des soins à l'éthique du quotidien

    Sous la coordination de : Michel Dupuis, Raymond Gueibe, Walter Hesbeen

    Collection : Seli Arslan
    Editeur : Seli Arslan

    En se fondant sur des apports théoriques, des partages d’expériences et d’observations, les auteurs, issus de structures de santé et de formations, réfléchissent aux moyens d’atténuer le risque de banaliser l’humain dans le système de soins.

    Présentation de l'éditeur :

    Il est indéniable que la recherche et la tech­nologie biomédicales ont permis au sys­tème de soins de s’organiser en vue de pro­poser à la population des moyens d’actions de plus en plus performants voire auda­cieux. Mais il est tout aussi indéniable que la place de l’humain, tant celui qui reçoit des soins que celui qui a choisi pour métier d’en donner, gagnerait à être repensée au sein de ce système.

    Dès lors, comment écarter ou, du moins, atténuer le risque de banaliser l’humain ? Pour tenter de répondre à cette question, les auteurs se fondent sur des apports philosophiques et théoriques tout en ayant recours à des partages d’expériences et d’observations. Ces dernières ont été mises en perspective au cours de séminaires menés dans le cadre du GEFERS. Les participants, issus de structures de soins et de formations, ont ainsi eu l’opportunité de débattre, de mettre par écrit leurs réflexions et expériences, d’exercer leur esprit critique. Celui-ci a été particulièrement aiguisé par la forme théâtrale. Chacun des êtres humains jouant dans une des pièces quotidiennes où entrent en relation personnes soignantes et personnes soignées peut en effet d’un jour à l’autre interpréter différemment son rôle, révéler d’autres facettes de sa singularité.

    La « frénésie du faire » qui caractérise souvent l’organisation des soins et des pra­tiques conduit à un travail plus systématique que subtil. Le risque augmente alors de la mise entre parenthèses de la singularité et de la sensibilité de chacun, ce qui peut déboucher sur sa banalisation. Ce livre vise à mettre en alerte sur une telle situation, et propose de réfléchir à ce que serait un système de soins davantage fondé sur l’humain.

  • La succession de saint Lambert à Liège : suspense !

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    Nous lisons aujourd'hui sur la Gazette de Liège, sous la plume de Paul Vaute (13/07/2012) :

    Qui sera le 92è évêque ?

    Mgr Jousten atteindra la limite d’âge le 2 novembre prochain. Sa succession prendra peut-être du temps, mais les hypothèses vont bon train.

    A l’instar de la Reine ce mardi, Mgr Aloys Jousten soufflera sur ses 75 bougies dans quelques semaines, le 2 novembre exactement. Le même jour ou le lendemain, comme le veut le code 401 du droit canonique, il écrira au Pape pour lui présenter sa démission. La succession sera alors ouverte mais - faut-il le dire ? - elle occupe déjà amplement les esprits dans le milieu ecclésial liégeois.

    Officiellement, ni "candidat" ni "campagne", bien entendu. La désignation d’un évêque intervient au terme d’un processus qui repose en partie sur le decision-making de la hiérarchie en place et des clercs et laïcs les plus engagés, et en dernière étape sur le decision-taking du Pape. Des noms n’en circulent pas moins, certains avec plus de récurrence que d’autres. Mais ce n’est pas nécessairement prédictif. Le plus cité n’est nullement assuré d’être choisi et on ne peut jamais exclure une "surprise du chef"

    Cette réserve faite, le chanoine Eric de Beukelaer a assurément la cote. Membre du chapitre de la cathédrale de Liège, doyen du centre-ville et président du Séminaire de Louvain-la-Neuve, ce quarantenaire natif de Wilrijk a été précédemment porte-parole de l’épiscopat belge. C’est dans cette dernière fonction que sont devenus familiers, pour le grand public, son visage et sa manière chaleureuse de défendre un catholicisme décomplexé. Comme doyen, il a rapidement imprimé sa marque. "Il repère tout ce qui bourgeonne et il le valorise, explique une de nos sources. Le nouveau site de l’Unité pastorale Saint-Lambert, qui sera inauguré lundi prochain, donne vraiment sa place à tout le monde". Quant à l’intéressé, il n’aime pas trop qu’on évoque son épiscopabilité. "Plus on en parle, moins il y a de chances que ce soit moi !"

    Autre hypothèse, qui tient bien la route elle aussi : Mgr André Warin, évêque auxiliaire de Namur mais venu de Liège dont il a présidé le séminaire. Il a secondé Mgr Léonard, sans être pour autant dans sa ligne, jusqu’au départ de ce dernier pour Malines-Bruxelles, mais il n’a pas été choisi pour lui succéder. Son nom était déjà sur les lèvres en 2001, avant la nomination de Mgr Jousten. Principal handicap : le courant n’est jamais très bien passé entre lui et le staff de l’évêché. "On le dit un peu mou, tardant souvent à prendre une décision", relève un familier du sérail.

    Un petit peu plus loin dans le peloton des pronostics, on trouve l’actuel vicaire général Alphonse Borras, par ailleurs professeur à l’UCL et à l’Institut canonique de Paris. "Il ne cache pas que si on lui demande, il acceptera", dit-on dans les couloirs. Il a l’avantage de bien connaître la maison, mais on risque de se souvenir, en haut lieu, de positions publiques nullement en phase avec le magistère papal, notamment dans une lettre collective de théologiens diffusée en avril 2009. "Il a une vision très sociologique du monde moderne où les gens ne veulent plus s’engager pour la vie", résume un observateur.

    Recteur du sanctuaire de Banneux, Léo Palm ne manquerait pas d’atouts. D’abord parce que le site marial, avec ses quelque 500.000 visiteurs par an, donne une image de l’Eglise plus dynamique et réjouissante que celle des lieux de culte qu’on désaffecte ! Mais on nous parle aussi, entre autres, de Jean-Pierre Delville, professeur à l’UCL, spécialiste de l’histoire du christianisme, "un homme relativement pondéré, ouvert, consensuel ", ou encore du doyen de Liège Rive droite Jean-Pierre Pire . Bref : beaucoup d’appelés pour un élu. (...)

    A noter que si le chanoine de Beukelaer devait être désigné, c’est un épiscopat beaucoup plus long que les deux précédents qui s’ouvrirait, sauf accident ou problème de santé. Né en 1963, il n’aura, en effet, 75 ans qu’en 2038. Son "règne" potentiel s’étendrait donc sur un bon quart de siècle, durée comparable à celle de Mgr van Zuylen (1961-1986).

    L’ancien communicateur de l’Eglise en Belgique peut compter sur le soutien de Mgr Léonard. Et celui de Mgr Jousten ? D’aucuns voient celui-ci pencher pour Mgr Warin, plus proche de sa sensibilité. D’autres lui attribuent des ambitions pour un outsider qui est aussi un ami de longue date, à savoir Emil Piront, ex-curé de l’Unité pastorale Notre-Dame des Sources (Chaudfontaine-Trooz), devenu récemment aumônier national CSC/ACV. Mais le choix de l’évêque est le secret sinon d’Etat, en tout cas d’Eglise, le mieux gardé P.V.

  • BXL, 15 septembre : visite d'églises historiques de la Capitale

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    Ce samedi 15 septembre de 14h à 18h

     

    Dans le cadre des Journée du Patrimoine à Bruxelles

     

    Visite guidée d’églises historiques de Bruxelles :

    Béguinage, Riches Claires, Bon-Secours, St Nicolas, La Chapelle, Sablon

     

    Animée par Yves Delmotte (Enseignant et Conférencier)

     

    Rendez-vous à 14h à l’église Saint Jean-Baptiste du Béguinage

    (Place du Béguinage à 1000 Bruxelles)

    Ou à 16h à l’église du Bon Secours pour une collation dans une petite taverne.

    Fin : 18h à l’église du Sablon.

     

    Info/inscriptions souhaitées:

    Yves Delmotte :  GSM : 0477 70 31 20

    Ou (de préférence) par retour de courriel


    SYMPOSIUM eglibxl120929.pdf

  • Mons, 15 septembre : Le chant de l'âme; chants séfarades et grégoriens

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     LE CHANT DE L’ÂME

     CHANTS SÉFARADES ET GRÉGORIENS

    Mons - Sainte Waudru - 15 septembre à 20H00

    Chanter Sainte Waudru au temps des chanoinesses
    En prélude au concert « Luz de oro », le manège.mons a souhaité, suite à la découverte dans le fond de la collégiale Sainte-Waudru d’antiphonaires copiés par les chanoines de Saint-Germain au XVIe siècle, faire revivre les chants de Waudru dans leur état primitif, tels que chanoines et chanoinesses de Mons les ont longtemps chantés en ces lieux mêmes.
    Stella Matutina (dir. Eric Trekels et Alicia Scarcez) et la Schola grégorienne du Sablon (dir. Arnaud Van de Cauter)

    Luz de oro
    La Roza Enflorese

    Implantés depuis des siècles en Espagne, les juifs séfarades furent expulsés à la fin du XVe siècle. Ils emportèrent avec eux leur culture médiévale qu’ils conservèrent dans l’exil et la diaspora comme un joyau précieux, symbole de leur identité espagnole. La Roza Enflorese, ensemble belge à géométrie variable, interprète le répertoire monodique séfarade. Il est constitué de musiciens d’univers musicaux variés (classique, jazz, world,…), faisant appel tant aux techniques instrumentales inspirées des musiques populaires qu’à l’improvisation.
    Edith Saint-Mard chant | Bernard Mouton flûte à bec | Thomas Baeté violes de gambe, vièle | Vihuela, oud Philippe Malfeyt | Saz, chant Emre Gültekin | Anne Niepold accordéon diatonique | Vincent Libert percussions

    Collégiale Sainte Waudru - Adresse: Place du Chapitre, 7000 Mons
    Téléphone: 065/39.59.39

    Tarif: 15-20€
    Public: à partir de 16 ans
    Internet: http://www.lemanege.com

  • Couture (Lasne) - 14 septembre - Concert Bach avec l'ensemble Bradamante

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    vendredi 14 septembre 2012, 20h00

    Concert J.S. Bach

    par l'Ensemble Bradamante
    Paule Van den Driessche, clavecin
    Rachel Heymans, flûte à bec
    Anne-Catherine Gosselé, flûte à bec
    Leonor Palazzo, violoncelle

    — au profit de l'asbl Cerf Volant —
    Rue de la Chapelle Saint-Germain 1380 Lasne Belgique
    http://www.cerfvolantasbl.be/
  • Guy (Guidon) : un saint d'Anderlecht

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    Source : "réflexion chrétienne"

    Ce fils de pauvres paysans brabançons fut très tôt réputé pour sa Charité, si bien que dès l'âge de 15 ans, on le surnommait « l'ange du village » d'Anderlecht. Ce village était situé à l'époque dans le duché de Brabant, et faisait partie du comté ou vicomté de Bruxelles et fait aujourd'hui partie de cette ville.

    Un jour, un riche négociant lui proposa de le prendre à son service en disant qu'avec un travail rétribué il lui serait plus facile d'aider les pauvres. Quelques jours plus tard, la cargaison dont Guy avait la responsabilité fit naufrage dans la Senne et son employeur le chassa.

    Il deviendra alors pèlerin, se rendra à Rome et à Jérusalem. À Rome, il rencontre le doyen d'Anderlecht, Wonedulphe ou Onulphe, qui le supplie de revenir dans son village pour le faire profiter de ses conseils de piété. Au cours du voyage, tous ses compagnons de pèlerinage meurent et Guy rentre seul en Flandre. Le 12 septembre 1012, il meurt de dysenterie à Anderlecht après de longues années d'enseignement.

    Dans les années qui suivirent sa mort de nombreux miracles se produisirent sur sa tombe et la vénération des fidèles ne fit que croître. Aujourd'hui il est vénéré dans l'église du couvent d'Anderlecht.

    À Anderlecht, la collégiale Saints-Pierre-et-Guidon lui est dédiée; la collégiale a donné son nom au quartier populaire du centre d'Anderlecht et à la station de métro qui le dessert. Il est le saint patron des commerçants, des marchands de bestiaux, des paysans, des domestiques, des sacristains, des carillonneurs et sonneurs de cloches, des pèlerins et des transporteurs de marchandises. On l'invoque également contre la dysenterie. Les reliques de ce saint homme sont conservées dans la basilique Saint-Servais, à Grimbergen, sous l'autel de saint Servais. On le fête le 12 septembre. Guidon a été Canonisé le 24 juin 1112, sous Odart évêque de Cambrai, ceci explique pourquoi on a fêté longtemps la Saint Guidon le 24 juin.

  • Une déclaration d'amour à l'Eglise sur catho.be

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    Sur catho.be, un compte-rendu d'une conférence du professeur Van Meerbeek relative à "l'adolescent et la question de Dieu", sous la plume de Gilbert Muytjens, donne l'occasion à son auteur, en quelques lignes, de livrer de l'Eglise ce tableau caricatural qui manifeste clairement l'état d'esprit d'une certaine intelligentzia "progressiste" :

    Et l'Eglise ? Mal vue par nos contemporains pour son enseignement figé, son enfermement dans ses discours sur la sexualité, ses dogmes empoussiérés et ses accoutrements d’un autre temps qui empêchent de la prendre au sérieux, ses peurs de la femme et son acharnement à toujours vouloir, avant tout, défendre l’institution. L’Eglise a un trésor inouï à offrir au monde. Introduire dans une alliance avec le Dieu créateur, qui fait confiance, se retire pour faire place à l’homme capable de grandeur et de responsabilité. L’Eglise doit sortir de ses peurs et de ses obsessions maniaques. Le pape Jean XXIII avait permis une merveilleuse espérance. Le fameux aggiornamento annoncé avait soulevé un incroyable enthousiasme… mais quelle déception quelques années après ! Pourquoi avoir fermé portes et fenêtres et se donner à nouveau de ne plus respirer qu’un air moisi de sacristie ?

    On comprend pourquoi le professeur Van Meerbeek sera le bienvenu à Namur, lors de la grand messe organisée par le Père Delhez...

  • Quand on ferme nos églises...

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    Une unité pastorale, urbaine, de cinq clochers, soit cinq messes à assurer le week-end.

    Un  prêtre à  temps plein (le curé) et un autre à temps partiel (le vicaire). Deux diacres.

    Deux ou trois prêtres retraités, sans attributions, disponibles pour assurer des remplacements occasionnels.

    Mission impossible ?

    Oui, faut-il croire, puisque le curé a annoncé qu’on ne célèbrerait plus la messe qu’un dimanche sur deux dans quatre des cinq paroisses.

    "Il est fini, dit-il, le temps où la paroisse ne tournait qu’autour du prêtre et/ou de la seule Eucharistie. Est-ce un appauvrissement ou n’est-ce pas plutôt une chance d’être chrétien autrement."

    Et effecctivement, cela a commencé puisque dans une des églises concernées, le desservant ne s’est pas présenté ; les paroissiens en ont été quitte pour une « adap ».  

    Cela a soulevé des protestations, bien sûr. On n’assiste pas à l’extinction de sa paroisse comme ça, sans tenter quelque chose…

    Mais les responsables diocésains donnent raison au curé. C’est conforme au « chantier paroisses », disent-ils.

    Drôle de chantier, en vérité. Mais il est vrai qu’il y a aussi des chantiers de démolition.

    Cela se passe à Verviers, dans le diocèse de Liège où sévit une bien curieuse pastorale.

    Mais on y attend un nouvel évêque, très prochainement. Et cela pourrait changer bien des choses, espère-t-on...

  • Mgr Léonard débat avec Etienne Vermeersch

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    Mgr André-Joseph Léonard est revenu satisfait d'un débat avec Etienne Vermeersch sur Klara.

    (Traduction de Kerknet)
    Samedi dernier, Monseigneur André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, a rejoint le professeur Etienne Vermeersch pour un débat sur Klara. C'était la première fois que l'archevêque et « l'athée le plus connu de Flandre » se sont trouvés face à face pour un échange. Le débat a eu lieu à la Monnaie, à Bruxelles, s'inscrivant dans le cadre du Klara Festival. Le modérateur était Werner Trio.
    Au cours de la conversation, qui a duré plus de cinquante minutes, des sujets très variés ont été abordés : le regard philosophique et/ou théologique sur l'univers et sur l'évolution, sur les évolutions dans l'interprétation de la Bible, et sur la place exceptionnelle du Christ dans les fondements de la morale.

    L'archevêque s'est ensuite félicité de la manière dont ce débat a été mené « le modérateur, Werner Trio, avait visiblement très bien préparé le débat et l'a mené de très bonne façon, dans le respect des deux parties. Je trouve remarquable ce qu'une antenne de radiodiffusion de service public et gratuit réalise pour de tels débats approfondis et sereins. Cela prouve qu'il y a aussi une approche journalistique possible sur la foi et l'Église qui ne soit pas concentrée sur la polémique et le sensationnalisme à bon marché. »

    Il est également positif à l'égard de son interlocuteur: « J'ai trouvé Etienne Vermeersch très sympathique. C'est un homme chaleureux, en tout cas dans le contact personnel. Ce qui pour moi contraste avec certains moments du débat, où portant un regard purement scientifique sur l'homme et sur le monde il se laisse emporter par son rationalisme. Mais de toute façon, sur la relation entre la raison et le cœur, nous serons toujours en désaccord... »

    Le débat intégral est à écouter sur le site Web de Klara via le lien suivant : Naar het Klara-debat tussen mgr. Léonard en prof Vermeersch