Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Belgique - Page 380

  • Bientôt la Saint Valentin ! Parlez-nous d'amour...

    IMPRIMER

    Bientôt la Saint Valentin! Quelle plus belle occasion de parler de l'amour? Mais comment aimer en vérité, comment bâtir un bonheur vrai, durable et solide?

     Un jeune prêtre venu de France, l'abbé Pierre-Hervé Grosjean,

     vous répond avec un langage sincère, clair, exigeant, plein d'humour

     le mardi 14 février 2012 à 20h précises

     à la Salle de conférence de l'UOPC

     Avenue Gustave Demey 14-16 -B-1160 Bruxelles

     Bus, Tram : 34 - 41 - 42 - 72 - 94
    Métro : Ligne 1A station Herrmann-Debroux
     Info: Barbara de MUYSER LANTWYCK : 0497 32 54 01 ...et Institut Sophia
  • Monseigneur Léonard à la Foire du Livre

    IMPRIMER

    Malgré la dérobade de la Vice-Première, le primat de Belgique sera à la Foire du Livre pour y débattre avec quelques politiciens. Catho.be publie cette information :
     
    Récemment, Madame , Vice-Première ministre, a déclaré que « les catholiques méritaient mieux que Monseigneur Léonard ». Les Médias Catholiques ont donc convié les principaux intéressés au dialogue. Si l’Archevêque de Malines-Bruxelles a trouvé l’idée de cette rencontre « très intéressante », l’invitation a dû être déclinée par l’actuelle ministre des Affaires sociales et de la santé qui sera à ce moment en période de contrôle budgétaire. Mais le primat de Belgique sera donc bien présent à la Foire du Livre de Bruxelles où il rencontrera Denis Ducarme (MR), Karine Lalieux (PS), Georges Dallemagne (CDH), et Philippe Lamberts (Ecolo). Les politiciens interpelleront le primat de Belgique sur des sujets d’actualité. La rencontre se déroulera le dimanche 4 mars à 18h00 et sera animée par Jean-Jacques Durré, directeur de la rédaction des Médias Catholiques, auxquels se joindront Christian Laporte, journaliste à La Libre Belgique, et Ricardo Gutiérrez, journaliste au Soir.

  • Un prêtre pour la messe ?

    IMPRIMER

    La Libre de ce jour donne la parole aux anciens combattants du concile. En l’occurrence le P. Gérard Fourez, s.j., professeur émérite aux Facultes Notre-Dame de la Paix (Namur) . Extraits :

    (…) Qu’est-ce qui, en priorité, caractérise une Eucharistie chrétienne ? Est-ce la présence ou les paroles du prêtre ? 0u bien est-ce l’existence d’une communauté qui, à la suite de Jésus, dit : "Voici ma vie que je donne". Dans cette perspective, ce ne sont pas les paroles de la consécration qui font qu’il y a Eucharistie et que Dieu est présent. C’est, fondamentalement, l’engagement de la communauté qui, suscitée par l’Esprit et par l’Evangile, se met à la suite de Jésus. C’est ainsi que, quand une communauté se réunit pour faire mémoire - en paroles et en action - de la bonne nouvelle en Jésus-Christ, elle célèbre l’Eucharistie. Qu’un prêtre ordonné soit présent ou pas, c’est secondaire, car c’est l’Eglise qui célèbre l’Eucharistie et pas le prêtre officiant.

    Une telle perspective n’implique pas que les prêtres n’aient aucun rôle. En effet, il faut des ministres (des serviteurs) de la communauté dûment mandatés pour parler au nom du Christ et de l’Eglise, pour la réunir, pour la présider, pour proclamer le pardon de Dieu, pour dénoncer officiellement en son nom les injustices, pour accueillir en son nom de nouveaux membres, pour animer des réunions et des célébrations, etc.(…) Mais l’absence de prêtres ordonnés selon les règles du droit canon ne peut empêcher la communauté de vivre et de prendre des mesures pour être vivante. Ainsi, en cas de besoin, il pourra être acceptable de transgresser les règles établies, en pleine liberté, pour que tous vivent. C’est d’ailleurs ce que Jésus nous a appris, par exemple en refusant de condamner la femme adultère ou en guérissant le jour du Shabat. L’Evangile nous montre qu’il y a des transgressions légitimes.

    Un certain nombre de personnes, des hommes et des femmes, ont le don de bien animer une communauté. Elles y exercent un leadership. C’est à elles que l’Eglise doit confier un mandat, c’est-à-dire qu’elle doit les ordonner. Pour que cela se passe bien, il importe que l’Eglise se donne des structures institutionnelles et juridiques adéquates.(…). Mais s’il n’y a pas de ministre ordonné selon les règles de droit, cela ne veut pas dire que la communauté doit cesser de vivre, et de célébrer cette vie dans l’eucharistie. Une règle d’or est de mise : les ministères et les sacrements sont pour l’église et non pas le contraire. L’Evangile et l’histoire de l’Eglise montrent d’ailleurs de nombreux cas où des communautés ont été amenées à transgresser des règles pour rester fidèles à la bonne nouvelle.

     Dans nos communautés du monde industrialisé, la conception magique de la prêtrise n’est plus guère de mise.. Il est important que les communautés évoluent, instituent de nouveaux types de ministères et reprennent conscience que là où deux ou trois sont réunis à cause du Christ, celui-ci est au milieu d’eux.(…) Quant à l’ordination, elle n’est à prendre ni comme un rite de transmission d’un pouvoir magique, ni comme un acte purement juridique, mais plutôt comme la célébration de ce don de Dieu qu’est un leadership qui anime une communauté et qui la respecte.(…). "

    Tout l’article ici :  Un prêtre pour la messe ?

     En bon protestant (qui s’ignore ?) le jésuite namurois Gérard Fourez renie  son sacerdoce ministériel, celui qui, de main en main, depuis Jésus a été conféré aux apôtres et à leurs successeurs les évêques, dont procèdent les pouvoirs des πρεσβύτεροί .  En aucune manière de la communauté. C’est ce que contestent Luther et ses disciples depuis le XVIe siècle. L’esprit stérile, et aujourd’hui chenu, de Vatican II n’a rien inventé. Mais il a beaucoup détruit et cette destruction est à l’origine du tarissement des vocations sacerdotales, dont on feint aujourd’hui de se plaindre (pour « trouver » des solutions « alternatives »).  

  • Le secret de la confession attaqué en Suisse

    IMPRIMER

    Selon Natalia Trouiller sur les matinales du site “La Vie” le secret de la confession serait aujourd'hui sur le point d'être réglementé par la justice civile en Suisse: 

    “Il s'appelle Carlo Sommaruga, il est conseiller national (député) socialiste du canton de Genève, et il veut que le secret de la confession ne soit plus absolu. Il a introduit au Conseil national une initiative parlementaire visant à obliger la levée du secret de la confession lorsque cela concerne des abus sur mineurs.
    De fait, le secret de la confession est d'ores et déjà encadré par l'Eglise, comme l'a rappelé le porte-parole de la Conférence des évêques suisses, Walter Müller, pour qui M. Sommaruga "enfonce des portes ouvertes": "Dans ses 'Directives sur les abus sexuels dans le cadre de la pastorale', la Conférence des évêques invite expressément à dénoncer auprès de la justice les cas d’abus sexuels connus. Lors de la présentation de ces directives en 2010, Mgr Norbert Brunner, président de la Conférence des évêques suisses, avait indiqué 'qu’un prêtre, qui confesse ses péchés, n’est pas non plus protégé par le secret de la confession. Parce qu’une part essentielle de la confession est la réparation.' Le confesseur doit signaler au pénitent cette obligation, et ce dernier doit s’astreindre à la réparation. 'Si la réparation implique de se dénoncer soi-même, le pénitent devra également le faire'. En ce sens, le secret de la confession peut également être une aide pour l’enquête (…)”.Voir tout l’article ici: Le secret de la confession attaqué en Suisse

     Mais que veut exactement dire cette déclaration de l’épiscopat suisse ?….

    Selon l’article 983 § 1 du code de droit canon “. le secret sacramentel est inviolable; c'est pourquoi il est absolument interdit au confesseur de trahir en quoi que ce soit un pénitent, par des paroles ou d'une autre manière, et pour quelque cause que ce soit. ».

    Certes, le secret ecclésiastique ne fonctionne plus de nos jours comme un « privilège du for » et, par ailleurs, le prêtre n’est pas tenu de pardonner le péché, quel qu’il soit. Il peut lier cela à une reconnaissance de la faute devant la justice, et amener la personne à se dénoncer. Mais si un confesseur refuse le pardon ou impose comme satisfaction au pénitent l’obligation de se dénoncer et que celui-ci la refuse, le confesseur en serait-il pour autant libéré du secret de la confession, au motif que manquerait l’une des étapes du sacrement ? Voilà une casuistique qui aurait fort déplu à Pascal !

    Qu’en est -il du statut du secret ecclésiastique dans la législation pénale belge, qui ne passe pas pour être particulièrement cléricale ? Au regard de celle-ci le secret ecclésiastique (dont le secret de la confession fait partie) est un secret professionnel soumis aux mêmes règles que les autres : ni plus, ni moins. Mais, il est à remarquer ici que, pas plus que l’obligation de porter assistance à une personne en danger, les exceptions à l’obligation de garder un secret professionnel ne créent un devoir automatique de dénoncer les faits à la justice : dans les deux cas, toute la question posée est celle du choix, en conscience, de la solution la plus appropriée considérant la gravité des faits, surtout lorsqu’il s’agit de la protection des mineurs.

    Le rapport final de la Commission parlementaire belge sur le « traitement des actes de pédophilie commis dans une relation d’autorité » (7 avril 2011) recommande au législateur d’étendre les « possibilités » de dénonciation par les détenteurs de secrets professionnels (prêtres, médecins, intervenants sociaux) et, d’autre part, de renforcer les possibilités de sanction, si leur absence de dénonciation des faits s’avère « coupable ».

    Pareille recommandation ne semble pas, a priori, contrevenir aux principes énoncés plus haut conférant une marge d'appréciation au détenteur d'un secret susceptible d'être dénoncé aux termes de la loi. L’exigence canonique relative au secret absolu de la confession demeurerait donc (à ses risques) actuellement compatible avec les dispositions du droit belge. Celui-ci est aussi tenu de respecter ses propres dispositions constitutionnelles relatives à la liberté de la religion et les conventions internationales auxquelles l'Etat a souscrit en cette matière. 

  • Messes traditionnelles à Malmedy à partir du 26 février 2012

    IMPRIMER

    3348_19856_0_fr.jpgSuite à la décision prise par l’évêque de Liège, une messe dominicale traditionnelle (missel de 1962) aura désormais lieu tous les mois à l’église des Capucins, Ruelle des Capucins à Malmedy.

    La première messe sera célébrée le dimanche 26 février prochain à 18 heures par M. l’abbé Claude Germeau. L’abbé Germeau dirige le Foyer d’Herstal, une maison qui a accueilli depuis de nombreuses années des centaines de jeunes de la rue, dans l’esprit des petits frères de Charles de Foucauld centré sur l’adoration eucharistique.

    Le plain-chant de la messe du 26 février sera celui du propre de la messe du premier dimanche de carême et c’est la « missa brevis »  à trois voix égales de  Claudio Casciolini (Rome, 1697-1760) qui sera interprétée pour les pièces de l’ordinaire (Kyrie, Sanctus, Agnus Dei).

    Voici le calendrier complet des célébrations pour 2012, établi en concertation avec le Curé-Doyen de Malmedy :26 février, 1er dimanche du carême ; 18 mars, 4e dimanche de carême (« Laetare ») ; 22 avril, 2e dimanche après Pâques (« bon Pasteur ») ; 20 mai, dimanche après l’Ascension ; 17 juin, 3e dimanche après la Pentecôte ; 22 juillet, 8e dimanche après la Pentecôte ; 19 août, 12e dimanche après la Pentecôte ; 23 septembre, solennité de saint Lambert, patron du diocèse ; 21 octobre, 21e dimanche après la Pentecôte ; 18 novembre, 25e dimanche après la Pentecôte ; 9 décembre, 2e dimanche de l’avent.

     Toutes ces messes seront célébrées à 18 heures, à la Chapelle des Capucins. Pour plus de renseignements, tél. 080.33.74.85 (L. Aussems) ou 080/39.81.28 (P. Lambert).

  • L'avenir du patrimoine religieux wallon

    IMPRIMER

    Un débat autour de l’avenir du patrimoine religieux wallon

    avec le ministre Paul Furlan,

    le chanoine Raphaël Collinet,

    Thomas Coomans (Prof. KUL),

    Frédéric Moens (UCL-Mons)

    et Pierre-Yves Kairis (IRPA)

    le mercredi 8 février 2012

    à Louvain-La-Neuve à 20 H (Montesquieu 02) 

    en partenariat avec le KAP Amandier.

  • Castellucci à Anvers

    IMPRIMER

    A l'occasion de sa programmation à Anvers, Catho.be met en ligne un commentaire très favorable à la pièce de Roberto Castellucci "Sur le concept du visage du Fils de Dieu". Ce commentaire est dû à l'aumônier des artistes, le frère Alain Arnould, dominicain; on le trouvera ici : info.catho.be.

    On trouvera un tout autre point de vue sous la plume de Monseigneur Brincard, évêque du Puy-en-Velay :

    "Il n’est point nécessaire d’avoir vu la pièce de Roméo Castellucci pour dire que sa seule lecture amène à s’interroger sur la notion de culture et, partant, sur ce qu’il faut entendre par « liberté artistique ».
    Pour ma part j’estime que la pièce de Castellucci est – et je pèse mes mots - violente, pénible et inutilement provocante.

    Pour un croyant – et c’est une évidence – Jésus n’est certes pas un « concept » mais le « Témoin fidèle, le Premier né d’entres les morts, le Chef des rois de la terre » (Apocalypse 1). C’est dire que la relation personnelle avec Jésus est notamment celle de la foi, de l’adoration aimante, du service des plus petits et des plus pauvres en lesquels « le Témoin fidèle » veut être servi avec prédilection. Comment ne pas être profondément atteint par une pièce de théâtre dont certaines scènes dépassent l’entendement et, par voie de conséquence, le supportable ? Pour atténuer le scandale il ne suffit pas de dire que les intentions de l’auteur sont bonnes ni même que certaines clés de compréhension permettent de faire des découvertes apaisantes. L’art véritable est un langage dont la clarté rend le beau accessible à tous. L’art qui aide l’homme à être plus conscient de sa dignité est un art au service de la splendeur du vrai et de la beauté du bien. Lorsqu’il est chrétien, un tel art sait montrer comment en Jésus, Dieu tire d’un drame « un effet sublime d’amour ».

    Lire la suite

  • Thérapie de groupe chez l’Oracle de Malèves-Sainte-Marie

    IMPRIMER

    personne-ne-te-croira.jpgDans « La Libre » de ce jour, Christian Laporte rend compte d’une séance organisée hier devant la presse conviée au Prieuré de Malèves-Sainte-Marie. En scène : un exorciste (Gabriel Ringlet) et deux promoteurs de l’officialité humaniste (Karine Lalieux, Christian Brotecorne), au chevet d’une rescapée de la pédophilie cléricale des années 1960 (Danielle Scherer)  et  d’un évêque traumatisé (Mgr Harpigny). Sans oublier l’ombre (archiépiscopale) du bouc émissaire indispensable à toute bonne thérapie. Celle-ci avait commencé par l’écriture de mémoires intimes, dont l’édition fut cornaquée par l’ange Gabriel. dans la foulée des scandales révélés suite à l’affaire Van Gheluwe. Compte rendu (extraits) :

     « La présentation officielle de ce récit très dur et terriblement réaliste d’une rescapée de la pédophilie ecclésiale qui avait déjà marqué les esprits des membres de la commission Lalieux à travers l’audition de Gabriel Ringlet, ne pouvait pas faire l’objet d’une banale conférence de presse.(…)

    Lire la suite

  • Quand Vivacité se complaît dans la goujaterie

    IMPRIMER

    L'histrion de service s'est complu sur Vivacité (le 8-9 sur RTBF), ce matin du 2 février, à plaisanter au sujet de la fête de la Chandeleur, tournant en dérision la virginité de Marie en des termes d'une platitude que je ne veux pas reproduire ici.

    Je suggère à nos visiteurs de protester auprès de la RTBF pour ce nouvel outrage à notre foi qui n'aura fait rire ou sourire que les imbéciles. Y.W.

    http://www.rtbf.be/entreprise/rtbf-et-vous/contacter

  • Marche pour la Vie à Bruxelles : appel à toutes les bonnes volontés

    IMPRIMER

    La 3ème édition de la Marche pour la Vie approche (25 mars à 14h; départ du Mont des Arts à Bruxelles).

    Nous avons besoin de personnes pour distribuer des tracts, faire des annonces dans leurs paroisses, organiser des autocars, etc.

    Tous les volontaires peuvent contacter Antony Burckhardt : GSM : 0491/22 19 30; antony@marchforlife.be

  • Il fait froid : permanence téléphonique du Samu social de Bruxelles

    IMPRIMER

    http://www.samusocial.be/fr/numero-vert.html

    0800/99.340 (à noter dans votre GSM !)

    Pour la France appeler le 115


    Une personne semble en détresse près de chez vous ? Signalez là en appelant ce numéro gratuit!

    Notre permanence téléphonique a pour mission:
    - de recueillir les appels signalant des personnes en détresse sociale et les transmettre au service ambulatoire du Samu social de Bruxelles;
    - d'effectuer une première écoute des personnes appelant et d'approfondir avec elles la demande;
    - d'assurer un filtre pour mieux aborder les personnes en situation de crise aiguë et être à même de donner à l'équipe mobile tous les éléments nécessaires pour aborder le contexte d'intervention;
    - d'effectuer le lien avec les services vers lequel l'équipe mobile va orienter les personnes prises en charge (structure hospitalière, asile de nuit, CPAS, service de médiation de dettes...).
     
    * Toute personne nécessitant une mise à l'abri peut faire appel à nos services.
    * Les particuliers sont encouragés à nous signaler la présence de personnes manifestement en détresse. Vous êtes les yeux de notre dispositif.
    * Un sans-abri semble isolé alors que le thermomètre est au plus bas ? Une personne a perdu son logement et ne sait pas à qui demander de l'aide ? 0800/99.340.  Il suffit de faire le pas...
    * Nos équipes mobiles d'aide vont à leur rencontre pour leur offrir une aide d'urgence et chercher avec nos partenaires des solutions à plus long terme.
     
    Nos services interviennent 24h/24, hiver comme été, 365 jours/an.
     
    Depuis le début de nos activités , le nombre d'appels par jour a triplé et atteint aujourd'hui un moyenne de près de 500 appels par jour.

    Cette évolution est le résultat de l'ancrage de notre dispositif au sein de la population sans-abri d'abord, mais aussi auprès des différents partenaires qui collaborent à notre action.

  • Un symposium en février à Rome sur les abus sexuels

    IMPRIMER

    Source : Radio Vatican. Un symposium auquel participera Mgr Harpigny, évêque de Tournai, en charge du dossier sur les abus sexuels.

    "Un symposium sur les abus sexuels commis sur des mineurs réunira à Rome, du 6 au 9 février 2012, des évêques et des supérieurs religieux venus du monde entier. Cette rencontre internationale sur le thème « Vers la Guérison et le Renouvellement » est organisée par l’Université Pontificale Grégorienne. L’objectif, peut-on lire dans un communiqué, est de relancer l’engagement des membres de l’Église concernant la protection et le soutien des mineurs et des personnes blessées à travers une nouvelle initiative mondiale. La tenue de ce symposium sera suivie du lancement d’un « Centre pour la protection des enfants », un centre pluri-institutionnel de formation sur internet, basé à Munich, en Allemagne, opérationnel immédiatement pour les 3 années à venir.

    Lire la suite