Bruxelles, 28 juillet 2012 (Apic) "Les sociétés occidentales, qui ont été formées par la culture chrétienne, ne connaissent plus ni la présence du Christ ni les contenus fondamentaux de la foi", martèle Mgr Rino Fisichella. Pour le président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation à Rome, qui participait à la 27ème session du Renouveau charismatique qui se tient à la basilique du Sacré-Cœur de Koekelberg à Bruxelles du 25 au 29 juillet 2012, en matière de connaissance des contenus de la foi, "il y a un analphabétisme impressionnant et dramatique".
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Au congrès charismatique de Bruxelles, Mgr Fisichella déplore l’analphabétisme religieux contemporain
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Le français Rémi Brague recevra le « Prix Ratzinger » pendant le prochain synode sur la nouvelle évangélisation
C’est Sandro Magister qui l’annonce sur le site « Chiesa » :
CITÉ DU VATICAN, le 27 juillet 2012 – La désignation des destinataires de la seconde édition du “Prix Ratzinger”, créé par la Fondation Vaticane Joseph Ratzinger-Benoît XVI, est attendue avec impatience.
Le prix sera remis par Benoît XVI le 20 octobre prochain, au cours du synode des évêques consacré à la "nouvelle évangélisation".
Les noms des lauréats – que nous donnons plus bas en avant-première – ont été choisis par un comité scientifique présidé par le cardinal Camillo Ruini (vicaire général émérite de Rome et ancien président de la conférence des évêques d’Italie) et dont font partie les cardinaux italiens Tarcisio Bertone (salésien, secrétaire d’état) et Angelo Amato (salésien, préfet de la congrégation des causes des saints), ainsi que les archevêques Jean-Louis Bruguès (dominicain français, archiviste et bibliothécaire de la Sainte Église Romaine) et Francisco Ladaria Ferrer (jésuite espagnol, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi).(…)
Ce dernier a expliqué, lors d’une interview accordée à Radio Vatican, que le "Prix Ratzinger" avait été institué par la Fondation "afin de stimuler la réflexion théologique surtout dans les domaines les plus étudiés par Joseph Ratzinger en tant que théologien, cardinal et maintenant pape : le domaine de la théologie fondamentale, le domaine de l’histoire de la théologie, tout spécialement celle de la théologie patristique, le domaine de l’exégèse biblique, mais également la théologie dogmatique".
L’archevêque Ladaria a également indiqué quels étaient les critères utilisés pour sélectionner les candidats : "Le comité scientifique s’efforce de tenir compte de divers facteurs : avant tout, la rigueur théologique et la profondeur scientifique des candidats possibles". De plus, "on cherche à avoir également une variété de langues, de cultures, pour éviter que les prix n’aillent pas à des théologiens qui soient tous de langue anglaise, par exemple, ou tous de langue italienne", afin d’assurer "un équilibre entre les grandes langues du monde, entre les grands groupes catholiques du monde, de telle sorte que – dans la mesure du possible, même si ce n’est pas toujours facile – tout le monde puisse se sentir représenté".
Et en effet – a rappelé Ladaria – "l’année dernière il y a eu un Italien, un Espagnol et un Allemand", à savoir le professeur Manlio Simonetti, le père Olegario Gonzalez de Cardedal et le père cistercien Maximilian Heim.Tandis que cette année – a-t-il ajouté – "il y aura un Français et un Américain du Nord".
Le secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi n’a pas donné les noms des futurs lauréats, sur lesquels plane jusqu’à présent un silence officiel.
Mais le Français à qui sera remis ce que l’on a appelé – avec exagération – le “Prix Nobel de théologie” est le philosophe Rémi Brague. Tandis que l’Américain du Nord est Brian E. Daley, spécialiste de la patrologie.Brague est professeur de philosophie grecque, romaine et arabe à la Sorbonne, à Paris, et à la Ludwig-Maximilian Universität, à Munich. C’est un universitaire polyglotte à la très vaste production scientifique. Mais il se montre également très combatif dans les polémiques actuelles, contre les axiomes "politiquement corrects", qu’ils soient progressistes ou "théo-conservateurs". (…) Par exemple dans cette interview accordée en 2004 à "30 Jours" :Chrétiens et "christianistes".
Daley, jésuite, est, quant à lui, un spécialiste des Pères de della Chiesa. Il enseigne à la Notre-Dame University, dans l'Indiana, et est consulting editor de l'édition en anglais de la revue "Communio", dont Ratzinger est l’un des cofondateurs.En 2003 il a publié dans la revue progressiste "America", appartenant aux jésuites de New-York, un article à contre-courant, dans lequel il valorisait la pratique de l'adoration eucharistique
(…) Comme déjà lors de la précédente édition du "Prix Ratzinger", l’un des lauréats donnera, cette fois encore, une "lectio" en présence du pape, dans la Salle Clémentine du Palais Apostolique. Mais il est prévu que Benoît XVI lui-même prenne la parole. Comme il l’avait fait le 30 juin 2011, avec la mémorable allocution, indiscutablement rédigée en totalité par lui (…)".Tout l’article ici : Ceux qui vont recevoir le Nobel de théologie
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Une session au coeur de la Belgique, dans le Coeur de Jésus
Le Renouveau vous invite, nous relayons :
La session va bientôt commencer à Koekelberg!
Vous êtes tous bienvenus, même si vous n'êtes pas inscrits...
Vous pouvez passer une matinée, une après-midi, une soirée avec nous.
GRAND PARKING GRATUIT (1000 places) autour de la Basilique.
Session au coeur de la Belgique
Dans le coeur de Jésus
Depuis si longtemps, le Seigneur nous presse à aller sur les places, dans les carrefours, dans les villes pour annoncer sa Parole !
Cette année, nous voulons répondre à cet appel.
En même temps, il nous invite au repos et à la paix.
Il désire faire jaillir au sein de la basilique dédiée à son coeur sacré une fontaine de pardon et de guérison.
Que tous ceux qui désirent rencontrer l'Amour, viennent s'y plonger.
Viens...
Voici ce coeur qui a tant aimé le monde !
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Liège : belle musique pour un soir d’été
De Paul Vaute, dans l’édition liégeoise de « La Libre Belgique » (Gazette de Liège), ce 19 juillet 2012 :
« Les jeunes talents britanniques du Cheshire en l’église du St-Sacrement.
Un grand concert symphonique, de vrais jeunes talents britanniques, un programme fait de grands " tubes" du classique et le tout entrée libre : bon plan, non ? C’est pour ce dimanche 22 juillet à 17 h., en l’église du Saint-Sacrement à Liège (boulevard d’Avroy 132).
Commençons par le menu qui ne séduira pas que les mélomanes avertis. Qui ne connaît l’ouverture de l’opéra Guillaume Tell de Rossini ? Qui n’a jamais fredonné la Carmen de Bizet (on s’en tiendra ici à des extraits, bien sûr) ? Il y aura même une valse de Strauss et aussi quelques œuvres de musique légère (Ernest Bucalossi notamment).
C’est à l’ASBL Sursum Corda, qui sauva de la sécularisation le bel édifice du XVIIIè siècle et œuvre sans relâche à sa sauvegarde, qu’on doit ce cadeau pour une avant-soirée d’été. Les cinquante musiciens venus de conservatoires et d’académies d’outre-Manche, plus précisément du Cheshire, comté du nord-ouest, sont réunis au sein du Cheshire Youth Orchestra et du Cheshire Youth Training Orchestra, sous la direction artistique de Mairearad Bushnell-Wye et Laura Jellicoe. Cette dernière, qui enseigne la flûte au Royal Northern College of Music de Manchester, a également dirigé la Manchester Camerata et l’English Symphony Orchestra.
Soutenus par les municipalités locales, ces orchestres "apportent aux jeunes gens issus de l’université ou des conservatoires un environnement chaleureux, propice à une saine émulation et à l’épanouissement de leur savoir musical", précisent les organisateurs.
Rappelons qu’en dehors de la période estivale, l’église du Saint-Sacrement abrite aussi, depuis bientôt dix ans, les cours de l’Académie de chant grégorien. Ouverts à tous, quels que soient les niveaux de connaissance, ils permettent de s’initier à un rythme raisonnable (un ou deux samedis par mois) à ce patrimoine musical précieux entre tous ainsi qu’à son contexte historique et liturgique. Cette année, un cycle pour les juniors a également été mis sur pied. »
Rens. : tél. 04.344.10.89
Site web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
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Drogue, sexe et alcool
Tel serait le menu des festivaliers de Dour.
"...question alcool et drogue, ça boit et ça fume partout, les effluves de cannabis ou de shit vous titilleront tôt ou tard les narines si vous évoluez sur le site", peut-on lire sur le site de la RTBF.
A tel point, disait-on ce matin à la radio, que dans leurs abris submergés par les pluies, les services de secours et de sécurité ne parviennent même plus à réveiller ceux qui participent à tous ces débordements. Mais c'est, paraît-il, le prix à payer pour que nos jeunes puissent s'épanouir dans des "espaces de liberté" où "Dieu (?) serait descendu".
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LES JEUNES TALENTS DU CHESHIRE
issus des universités, conservatoires et académies
du nord-ouest de l’Angleterre (comté de Chester)
EN CONCERT SYMPHONIQUE A LIÈGE
LE DIMANCHE 22 JUILLET 2012 À 17 HEURES
À L’ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 – Entrée libre
Au programme : l’ouverture de l’opéra Guillaume Tell de Rossini, la Carmen Suite de Bizet, une valse de Strauss et quelques œuvres de musique légère pour un soir d’été...
Plus d’informations ici :
http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
ou tél. 04.344.10.89
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Un dominicain de Liège donne une conférence sur le péché au Festival Simenon
La journaliste Lily Portugaels était au Festival Simenon qui se tient chaque année aux Sables d’Olonne. On sait que Georges Simenon n’a pas toujours été le petit enfant de chœur qu’il fut lorsque, gamin, il servait la messe à la chapelle de Bavière en Outremeuse. Et, naturellement, ses personnages de roman policier moins encore. Est-ce pour cela que, lors de ce festival, on célèbre aussi une messe et qu’un dominicain de Liège, le Fr. Dominique Collin est venu y débattre du péché selon la foi catholique ?
Voici ce qu’elle note dans la Libre Belgique-Gazette de Liège du 9 juillet :
« Le frère dominicain liégeois Dominique Collin a évoqué le péché .
Chronique
Chaque année depuis 14 ans le Festival Simenon des Sables d’Olonne, en Vendée, auquel participent de nombreux Liégeois, se termine par une messe à l’église Notre-Dame de Bon Port. C’est l’occasion d’une étroite collaboration entre Vendéens et Liégeois. Le drapeau liégeois est présent et Vierge de Delcour et Perron liégeois fraternisent avec les symboles des pêcheurs des Sables d’Olonne.
Cette année c’est au frère dominicain liégeois Dominique Collin que l’organisateur, Jean-Pierre Quinet, avait fait appel pour cette messe et pour l’homélie. S’inspirant de l’évangile qui, ce jour-là, évoquait la volonté d’Élisabeth et de Zacharie de prénommer Jean l’enfant qu’ils n’espéraient plus, Dominique Collin souligne le mutisme qui frappe notre société. Un mutisme noyé dans une logorrhée de mots. Partout, en ce compris dans le christianisme, on parle pour ne rien dire ou pour mal dire. S’il fallait retenir un mot, ce serait eulogie, c’est-à-dire un échange entre nous, de paroles d’encouragement.
Le vendredi, au Casino des Sables d’Olonne, le frère dominicain avait présenté une conférence-débat sur le thème "Péché selon la foi catholique au regard du crime organisé" (le thème du festival était le crime organisé). Dominique Collin brosse le portrait de la Galilée au moment où apparaît la "bande à Jésus". Une bande d’hommes et de femmes dont le "meneur" est Jésus de Nazareth. Contrairement à l’attente des foules et même de ses disciples, Jésus n’est pas là pour renverser le pouvoir en place par un coup de force. Il vient révéler que tout pouvoir est inhumain, destructeur s’il veut dominer ceux qui sont sous sa coupe. Celui qui veut être grand, qu’il soit le dernier, au service de tous. Le péché, dit Dominique Collin, n’est pas une faute que l’on expie, c’est une maladie dont on peut guérir. L’antidote, c’est la parole de l’Évangile qui nous apporte une nouvelle manière de vivre nos rapports aux autres.
Le crime organisé, c’est la collusion terrifiante du religieux et du pouvoir. Jésus en est mort. Cette collusion qui veut garder l’emprise sur les gens est plus terrifiante encore quand elle se couvre des oripeaux de la piété, du bien-pensant et même du col romain ! Dominique Collin, rappelle que les épreuves ne viennent jamais de Dieu. Chacun est éprouvé par sa propre convoitise. Le christianisme n’est pas un humanisme comme un autre, il ne dit pas que l’homme est tel qu’il est, il veut l’homme tel qu’il n’est pas encore. » Référence ici : Liège aux Sables d’Olonne
« Le péché n’est pas une faute que l’on expie mais une maladie dont on peut guérir », déclare Dominique Collin, ce frère prêcheur en charge de la pastorale des jeunes à Liège. Mais encore ? Telle qu’elle est rapportée, son affirmation paraît un peu courte.
Certes, le Christ a souvent fait le lien entre le péché et la maladie, même physique, la guérison de l’âme comme celle du corps. Non, le pécheur ne s’identifie pas à son mal. Mais qu’en est-il de notions aussi essentielles à notre libre arbitre que la responsabilité de la faute et la pénitence en lien avec le rachat ?
Miséricorde et Justice : le même soleil de la perfection divine, sans cesser de dispenser ses rayons bienfaisants, fait fondre la cire et durcir la boue. Si notre cœur est de bonne cire, l’amour de Dieu le fera fondre en lui : voilà la miséricorde ; s’il est de boue, il s’endurcira au contraire, et d’autant plus que le même amour divin le pénétrera d’avantage : voilà la justice.
Par un repentir sincère et les œuvres qui en témoignent, le pécheur s’en remet au Christ qui, chargé de tous nos maux, s’est lui-même exposé pour nous au feu de l’amour du Père, pour qu’en Lui soit détruit tout péché. Et comme c’est bien réellement qu Il a porté nos péchés c’est bien réellement aussi qu’en sa chair, son cœur et son âme, il en a souffert la destruction, au feu de cet amour, à cause de nous. Sans la contrition, notre mal resterait « nous », et ce serait nous alors qui brûlerions dans l’Amour, mais non pas d’amour, ce qui nous serait insupportable, pour notre malheur éternel.
Puisque le Christ a déjà fait tout le chemin pour nous conduire au bonheur éternel, ne le suivrons nous pas « par sa Passion et par sa Croix, jusqu’en la gloire de sa Résurrection » ?
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Université d'été de la Communauté Saint-Jean: "Le libéralisme peut-il encore nous libérer?"
Du 18 au 22 juillet, à Saint Jodard, 5 jours de formation philosophique, enseignements, ateliers et tables rondes destinées au étudiants et aux jeunes pros...
Renseignements et inscriptions sur www.univete.stjean.com
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Liège, 23 juin : inauguration de l'Année Grétry
Informations ICI
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Soirée musicale à l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy à Liège
L’Ensemble « Praeludium (dir. et orgue, Patrick Wilwerth) le pianiste François Cerny et les élèves de l’académie de chant grégorien à Liège (dir. Stéphan Junker) animeront une soirée musicale à l’église du Saint-Sacrement le samedi 16 juin à 20h. Au programme : Fauré, Bizet, polyphonies, plain chant et œuvres pour orgue.
Lieu : Église du Saint-Sacrement
Boulevard d’Avroy 132 4000 Liège (Centre-ville)Tarifs : 7 € (-12 ans gratuit)
Réservations : Oui
Contact :
Micheline Viellevoye - tél : 0495200871 -
Cathédrale de Gand : une exposition adéquate ?
La cathédrale de Gand accueille actuellement une exposition d'art contemporain intitulée "Sint Jan" mise sur pied par Jan Hoet; présentation sur "visitgent" :
"Qui ne connaît pas Jan Hoet? Le charismatique pape de l’art est devenu une icône mondiale de l’art contemporain. À Gand, il est depuis plusieurs années le directeur artistique du S.M.A.K. et a inspiré les deux retentissantes expositions ‘Chambres d’Amis’ (1986) et ‘Over The Edges’ (2000). Il est aujourd’hui la force motrice derrière ‘Sint-Jan’, une exposition d’art contemporain qui se veut être un complément de TRACK. Contrairement à TRACK, ‘Sint-Jan’ fait le choix
d’un site unique, mais très spécifique, dans la ville au lieu des différents pôles. ‘Sint-Jan’ s’inspire de l’environnement et de la portée de la Cathédrale Saint-Bavon et observe les traces de religiosité et de spiritualité dans l’art contemporain. Pour de nombreux artistes, le défi est de taille quand il s’agit d’exposer son travail dans un environnement aussi chargé de sens. Ils tissent une relation avec l’architecture physique et mentale de la cathédrale et le patrimoine présent. Autre élément remarquable: l’absence de concept, les artistes sont libres et travaillent gratuitement. Mais oui, ils exposent de petites œuvres modestes sous le thème de la spiritualité et de la religion. Les œuvres sont exposées sur les différents autels de la cathédrale. Jan Hoet est parvenu à rallier une liste véritablement impressionnante d’artistes influents sous l’étendard ‘Sint-Jan’. ..."
Pour avoir un avant-goût de cette exposition, on peut se rendre sur ce site où l'on découvrira de nombreuses photos d'oeuvres parfois assez surprenantes : http://thesquidstories.blogspot.be On peut aussi lire la présentation (élogieuse, évidemment) qui en est faite par Claude Lorent dans la Libre.
illustration : "It's more sexy" ou "Vierge à l'Enfant" de Mehdi-Georges Lahlou
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BXL, 25-29 juillet : 27ème session du Renouveau
Viens... Voici ce Coeur qui a tant aimé le monde !25-29/07/2012 - 27ème session du Renouveau charismatique à Bruxelles
source : catho-bruxelles.be
Après Beauraing et Banneux, c’est à Bruxelles qu’aura lieu cette année la session du Renouveau. Elle se déroulera à la basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg du mercredi 25 juillet au dimanche 29 juillet 2012. Comme l’indique le thème annoncé « Viens…Voici ce cœur qui a tant aimé le monde », la session est une invitation à se laisser toucher par l’Amour de Dieu, à venir reprendre des forces dans une ambiance priante et fraternelle.