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Ethique - Page 422

  • Le point sur l'introduction de la théorie du genre dans les écoles et la société

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    A l'heure ou les prestigieuses Sciences-Po de Paris hébergent la "Queer Week", on lira utilement la synthèse parue ICI :

    Introduction de la théorie du genre dans les écoles et la société

    Face aux différentes manifestations de méfiance de la population vis à vis de l'introduction de la théorie du genre à l'école, notre gouvernement et les médias ont répondu qu'elle n'existait pas et qu'il ne s'agissait que de rumeurs.

    Je vous propose de découvrir :

    - Qu'est-ce que la théorie du genre ? Qui sont ses fondateurs ? Qui sont ses promoteurs en France, en Europe, à l'international ?

    - Les déclarations et actions de M Peillon et de Mme Vallaud-Belkacem depuis 2008, et leur changement apparent de discours depuis début 2014.

    - L'Intrusion de la théorie du genre dans les crèches, les écoles et les universités depuis 2010 jusqu'à aujourd'hui. Décisions législatives qui vont les renforcer.

    - Ses relations avec la loi Taubira sur le mariage

    - La puissance et l'omniprésence du lobby LGBT

    - Les conséquences sociales, juridiques, libertaires, bioéthiques, civilisationnelles et sur la santé mentale

    - Webographie

    A découvrir ICI

  • France : succès des candidats « pro-famille » aux municipales

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    Lu dans « Famille Chrétienne » sous la signature d’Antoine Pasquier :

    Difficile de rendre compte de manière exhaustive sur les résultats des candidats aux municipales connus pour leurs positions en faveur de la famille ou pour leur soutien explicite à la Manif pour tous. Malgré la limite de cet exercice, force est de constater qu’une large majorité de parlementaires et de maires sortants opposés à la loi Taubira ont passé le premier tour avec succès. De Paris à Vienne en passant par Fontgombault, tour d’horizon de la France des familles.

    Les parlementaires réélus

    Qu’ils appartiennent ou non à l’Entente parlementaire pour la famille, un grand nombre de députés et de sénateurs pro-famille ont été confirmés et confortés dans leur siège d’élu local dès le premier tour des municipales. Avec des scores parfois bien supérieurs à ceux enregistrés en 2008.

    C’est le cas de Jean-Christophe Fromantin (UDI) à Neuilly-sur-Seine en Hauts-de-Seine (66,55 % contre 61,67 % en 2008, soit + 4,88 points), de Nicolas Dupont-Aignan (DLR) à Yerres dans l’Essonne (77,15 %), d’Hervé Mariton (UMP) à Crest dans la Drôme (57,08 % contre 56.02 % en 2008), de Valérie Lacroute (UMP) à Nemours en Seine-et-Marne, de Yannick Moreau (UMP) à Olonne-sur-Mer en Vendée, de Jacques Bompard (Ligue du sud) à Orange dans le Vaucluse, de Charles de Courson (UDI) à Vanault-les-Dames dans la Marne, de Laurent Wauquiez (UMP) au Puy-en-Velay en Haute-Loire, de Philippe Marini (UMP) à Compiègne et d’Éric Woerth (UMP) à Chantilly dans l’Oise, de Céleste Lett (UMP) à Sarreguemines en Moselle, de Claude Goasguen (UMP) dans le XVIe arrondissement de Paris, de Véronique Besse (UMP) aux Herbiers en Vendée, de Lionnel Luca (UMP) à Villeneuve-Loubet et de Jean Leonetti (UMP) à Antibes dans les Alpes-Maritimes, ou de Georges Fenech (UMP) à Lyon et de François-Noël Buffet (UMP) à Oullins dans le Rhône.

    Les maires sortants

     MAIRES POUR L’ENFANCE. Le collectif des maires pour l’enfance a de quoi se réjouir. Dimanche soir, trois de ses piliers ont passé le premier tour des municipales sans encombres : Philippe Brillault, porte-parole de La Manif pour tous, garde son siège au Chesnay dans les Yvelines avec 59,4 % des suffrages ; le porte-parole du collectif, Franck Meyer, est réélu dans sa petite commune de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime) ; et le fondateur du collectif, l’ancien parlementaire Jean-Marc Nesme, remporte haut la main le scrutin (78,86 %, + 14 points) dans sa ville de Paray-le-Monial en Saône-et-Loire.

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  • Royaume-Uni : des foetus utilisés comme matériau de chauffage dans des hôpitaux

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    RU: des foetus utilisés comme matériau pour chauffer les hôpitaux

    Une émission de TV sur la chaîne Channel 4 vient de révéler au Royaume-Uni que des milliers de fœtus morts, soit par IVG soit par fausse couche, ont été utilisés en tant que"carburant pour chauffer des hôpitaux britanniques". Il s’agirait d’environ 15 500 fœtus dans 27 hôpitaux. Le Département de la santé du Royaume-Uni a immédiatement ordonné l’interdiction de cette pratique.

    source : International Business Times (Reissa Su) 24/03/2014.

  • Qu’est-ce qu’une famille ?

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     Communication du philosophe Fabrice Hadjadj au Grenelle de la Famille, Paris, palais de la Mutualité, 8 mars 2014 : "Qu'est-ce qu'une famille ?" Lieu du premier amour, de la première éducation, du respect des libertés, le principe de la famille est dans le sexe. Sans quoi, elle ne serait que "l'excellence de l'orphelinat".Réf.

    Sur le site Liberté politique: Fabrice Hadjadj : "Qu'est-ce qu'une famille ?"

  • Pourquoi il faudrait emboiter le pas au New Hampshire qui a rejeté l'euthanasie et le suicide assisté

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    Lu ICI :

    Un ancien membre de la Chambre des représentants explique pourquoi le Québec devrait emboîter le pas au New Hampshire en rejetant le suicide assisté et l'euthanasie

    MONTREAL, March 17, 2014/PRNewswire/ --

    Par 219 voix contre 66, l'État du New Hampshire a massivement rejeté le suicide assisté le 6 mars 2014. Élue à trois reprises à la Chambre des représentants, Nancy Elliott a expliqué pourquoi le New Hampshire a rejeté le suicide assisté et exposé les raisons qui devraient conduire des sociétés progressistes comme le Québec à dire non à l'euthanasie.

    Il existe de nombreuses similitudes entre la législation du New Hampshire et celle du Québec Les deux projets ouvrent grand la porte à des dérapages dans les hôpitaux. Les conditions à remplir, telles que définies dans les deux projets de loi, sont à la fois vagues et très ouvertes. Les prévisions médicales ne sont pas toujours justes. De nombreuses personnes jugées condamnées ont survécu aux prévisions des médecins. Dans certaines pathologies, les malades ne sont pas nécessairement mourants et peuvent vivre encore de nombreuses années si elles sont soignées. Mme Elliott a ainsi donné l'exemple de Richard Bloom du New Hampshire. Atteint d'un cancer du pancréas, on lui donnait 18 mois à vivre. Après s'être vu refuser tout traitement, dans un premier temps, il a obtenu d'être traité après avoir longuement bataillé contre les prestataires de soins médicaux et, 9 ans plus tard, se porte bien.

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  • ONU : Grégor Puppinck dénonce les infanticides, les avortements tardifs et les atteintes à la liberté de conscience

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (18 mars)

    Infanticide, avortement tardif et atteinte à la liberté de conscience dénoncés devant l'ONU

    A l'occasion d'un premier débat sur la violence contre les enfants et d'un autre sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, qui se sont déroulés le 14 mars dernier devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Grégor Puppinck, directeur du European Center for Law and Justice (ECLJ) a souhaité dénoncer les infanticides, avortements tardifs et atteintes à la liberté de conscience.

    Lors du premier débat, le directeur de l'ECLJ a invité le Conseil à "condamner [l]es violations graves des droits des enfants causées par les infanticides et les avortements tardifs, et à s'engager pour l'interdiction universelle de l'avortement au-delà du seuil de viabilité". En effet, il a été constaté, d'une part que de nombreux "enfants naissent vivants après des avortements et sont abandonnés à la mort sans soins ou tués" et d'autre part que "certaines méthodes d'avortements tardifs, extrêmement violentes, constituent de véritables actes de tortures".  
    Actuellement, un enfant prématuré à 21 semaines peut être sauvé. Or, dans des pays comme en Suède ou au Royaume-Uni, "l'avortement sur demande est légal jusqu'au delà du seuil de viabilité", ou encore comme en France, jusqu'à la fin de la grossesse en cas de malformations. Ainsi, en Angleterre, en 2005, 66 enfants sont nés vivants après un avortement, 622 au Canada entre 2000 et 2011: "tous ont été abandonnés à la mort ou tués par injection ou asphyxie". En Angleterre d'ailleurs, l'asphyxie ou l'injection létale est même une pratique recommandée aux médecins par le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists, pour les bébés nés vivants après un avortement. Pourtant, souligne Grégor Puppinck, ce sont ces mêmes médecins qui "mettent tout en oeuvre pour sauver des enfants prématurés nés au même terme. Tuer un enfant né vivant est un infanticide". 

    Lors du second débat sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, Grégor Puppinck a notamment dénoncé "les atteintes au droit à l'objection de conscience des médecins, infirmières et pharmaciens face à l'avortement". 
    En premier lieu, le directeur de l'ECLJ a tenu à faire part de sa crainte que "les pays occidentaux soient confrontés à une nouvelle idéologie qui s'oppose à la liberté de conscience et en particulier au droit à l'objection de conscience". Pour justifier son propos, G. Puppinck cite la Suède qui "refuse de reconnaître le droit des médecins à ne pas pratiquer l'avortement" ou encore la France qui "refuse de reconnaître le droit des pharmaciens à ne pas collaborer à l'avortement, quand un pharmacien, un médecin ou une infirmière sont licenciées à cause de leur objection de conscience". 
    Ainsi, G. Puppinck demande au Conseil des droits de l'homme "de veiller davantage au respect du droit à l'objection de conscience en matière morale qui est gravement remis en cause dans plusieurs pays occidentaux". 

    (Zenit.org 17/03/2014)

  • Eglise: Vers un droit humain reconnu à la communion pour les divorcés-remariés ?

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    La problématique de la famille, sujet du prochain synode de l’Eglise catholique, va-t-elle se résumer à ouvrir la communion sacramentelle aux divorcés qui vivent dans les liens d’une nouvelle union ? Le cardinal Marx (photo)marx (1).jpg, l’un des bras droits du pape François, fait le forcing , comme le rapporte le site web de « Radio Notre-Dame » (Paris):

    Le cardinal Marx, proche du pape François, a ainsi déclaré, dans un entretien au quotidien allemand Die Welt, qu'il était favorable pour accorder le sacrement de l'eucharistie aux divorcés-remariés, qui en étaient exclus jusqu'à présent, après cependant une période de "pénitence". Le nouveau président de la Conférence des évêques allemande s'appuie ici sur une proposition du cardinal allemand Walter Kasper, qui déclarait en février dernier au Vatican que les "divorcés qui ont reconnu leur échec pourraient demander à être réintégrés aux sacrements, après une période de pénitence".

    Un discernement à faire "au cas par cas"

    Tout en reconnaissant que les réactions des différents cardinaux à ce sujet avaient été variées, le cardinal Marx a estimé que "c'est un chemin envisageable, mais qui doit toujours se faire au cas par cas". Avec cette proposition, le cardinal allemand rebondit directement sur la volonté du pape François de vouloir lancer une grande réflexion sur le sujet, en vue éventuellement d'une évolution.

    Le pape François appelle à ne pas condamner les divorcés-remariés

    Aujourd'hui tout le monde au sein de l'Eglise s'entend sur l'indissolubilité du mariage, mais beaucoup sont également conscients que ceux pour qui le mariage a échoué ne peuvent pas être exclus de l'Eglise aussi radicalement. "Quand l'amour échoue, car souvent il échoue, nous devons entendre la douleur de cet échec, accompagner les personnes qui ont connu l'échec de leur propre amour. Ne condamnez pas." avait déclaré le pape à ce sujet.

    Réf. Le cardinal Marx s'engage pour la communion des divorcés-remariés

    Encore un petit effort pour préciser la nature (si j’ose ce vilain mot obsolète) de l’ union « pénitente », eu égard aux implications de  la théorie du genre qui préoccupe aussi les théologiens subjectivistes. Archevêque de Munich et Président de la Conférence épiscopale d’Allemagne, Marx est aussi  Membre du C8  institué par François JPSC.  

  • La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

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    La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

    via Euthanasie STOP

    Willem LEMMENS
    Prof. Universiteit Antwerpen, Centrum voor Ethiek

    Maintenant que l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs est acquise, le lobby pro-euthanasie passe à la vitesse supérieure, emmené par le professeur gantois Etienne Vermeersch. Selon lui, la moindre critique s'inscrit dans une campagne de dénigrement contre une loi qui a fait atteindre à notre pays des « sommets éthiques inégalés ». Il considère que les voix discordantes sont soit mal informées, soit de mauvaise foi. Vermeersch va jusqu'à qualifier le dépôt d'une plainte auprès du parquet ou de l'Ordre des Médecins de « stratégie funeste ». Enfin, il a créé un site Web, « Eerbied » (respect), qui recueille des signatures pour défendre ce qu'il appelle « la dignité de la fin de vie en danger ».

    Or, force est de constater qu'un nombre croissant de personnes sont sincèrement inquiètes face à la pratique toujours plus répandue de l'euthanasie dans notre pays, en raison de la multiplication des interventions contraires à la dignité humaine dans le domaine des soins cliniques.Un grand nombre de pédiatres ont manifesté leur totale désapprobation à l'égard de l'extension de la loi aux mineurs. Certains proches parents de patients euthanasiés ont fait part du traumatisme provoqué chez eux par l'absence de toute oreille attentive à leur point de vue. Une fin de vie digne suppose pourtant le respect de la liberté et de la dignité de tous : du patient, bien entendu, mais aussi du médecin, du personnel soignant et des proches.

    Le professeur Willem Lemmens de l'Universiteit Antwerpen, soutenu par plus de cinquante cosignataires, a rédigé une réponse à l'article de Vermeersch.

    Vous pouvez lire son texte ici : "Het waardig levenseinde in gevaar. Hoezo?" (lien vers le texte)

    Vous pouvez également marquer votre accord avec ce texte en signant ci-dessous.

    N'hésitez pas à FAIRE CIRCULER largement !

    Signez le texte

    Vous pouvez marquer votre accord avec ce texte en signant ici.


  • "Chère future Maman" : une video pour la journée de la trisomie 21

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    Via Liberté Politique :

    Pour la 3e édition de la Journée internationale de la trisomie 21, le 21 mars 2014, la Fondation Jérôme-Lejeune participe à une campagne de communication européenne «Chère Future Maman». Une quinzaine d’acteurs, porteurs de la trisomie 21, s’adressent à une mère qui vient d’apprendre que l’enfant qu’elle porte est atteint de cette pathologie. Leur message va la rassurer.

    Cette campagne a pour objectif de transmettre un message réconfortant et fort aux femmes enceintes qui attendent un enfant atteint de trisomie 21 et s’interrogent sur son bonheur possible.

    Ces informations sont essentielles en France en raison de la course à l’hyper-diagnostic prénatal, soutenu par l’Etat, qui laisse à penser que cette pathologie est insupportable à vivre, et qui conduit à l’élimination de masse des enfants trisomiques avant leur naissance.

    Une réalisation européenne

    La vidéo «Chère future maman» a été réalisée à Milan les 20 et 21 février par l’agence Saatchi & Saatchi Italie. D’une durée de 2’30’’, elle rassemble des acteurs italiens, espagnols, anglais et français tous porteurs de trisomie 21. Pour la France, Robin (23 ans) Ségolène (26 ans) et Inès (16 ans, photo ci-jointe) ont délivré un message plein de grâce et d’humour !

    Cette campagne européenne est financée et soutenue par une dizaine d’associations. Pour la France le Collectif des Amis d'Eléonore et la Fondation Jérôme-Lejeune ; pour l’Italie l’association CoorDown ; pour l’Espagne Fundacion Sindrome de Down ; pour l’Angleterre Down Syndrome Education International & Down Syndrome Development Trust ; pour l’Allemagne Arbeitskreis Down-Syndrom ; pour la Croatie DSC Pula ; pour l’Irlande Down Syndrome ; aux US Jérôme Lejeune Fundation et Down Syndrome International ; en Nouvelle Zélande Saving Downs ; en Russie Down Side Up.

    Et puisque tout va par 3, la campagne «Chère Future Maman» complète deux autres évènements importants : trois livres consacrés aux personnes trisomiques sortiront le 21 mars : chez Max Milo,Triso et alors ! d’Eléonore Laloux, Eloge des phénomènes – Trisomie : un eugénisme d’État, de Bruno Deniel-Laurent, et chez Nouvelle cité, Ces surdoués de la relation, de Julien Perfumo.

    Ces livres seront présentés au cours d’un petit-déjeuner de presse qui ouvre un colloque exceptionnel « Plus belle ta vie – Plus belle ta ville » du Collectif Les Amis d’Eléonore, le vendredi 21 mars.

    Contacts :
    http://www.lesamisdeleonore.com/
    solen@fondationlejeune.org

  • La Belgique n'est plus la même !

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    Sur Euthanasie STOP :

    Aujourd'hui, la Belgique n'est plus la même !

    par Pierre VAN de PUTTE, cadre

    Certes, la loi (autorisant l'euthanasie des mineurs) a été votée (et c'est vraiment triste), mais ...

    La Belgique a commencé à changer parce que vous avez entrepris et mené, certains depuis (très) longtemps, cette lutte contre la désinformation et la manipulation, et pour un traitement vraiment humain des personnes en souffrance, en particulier les enfants.

    Une conscience a commencé d'émerger, tant par rapport à l'euthanasie que par rapport au potentiel que forment tous les silencieux que nous sommes dans l'arène politique.

    Grâce à vous,

    Nous avons prêté l'oreille à des personnes qu'on n'écoute trop peu et leur avons cédé le devant de la scène ;

    Nous sommes entrés, ne serait-ce qu'un peu, dans le quotidien de ceux et celles qui souffrent, de ceux et celles qui les soignent ;

    Nous avons entendu des alternatives intéressantes et séduisantes – malheureusement trop rares, trop petites et trop peu connues ;

    Nous avons découvert la parodie manipulatrice d'un pseudo instrument de contrôle pourtant acclamée ;

    Nous avons entendu des médecins, des infirmières et d'autres professionnels de la santé dénoncer l'absurdité de la proposition ;

    Nous avons entendu les mensonges perfides de plusieurs politiciens et débusqué d'autres honnêtes et courageux ;

    Merci pour vos initiatives judicieuses et fermes, pour vos efforts persévérants et généreux, toujours avec patience et le respect des personnes.

    Merci aussi pour le témoignage de votre jeunesse qui se lève pour faire de ce monde un monde meilleur !

  • BXL, dimanche 30 mars, 14H00 : Marche pour la Vie

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    DIMANCHE 30 MARS 14H : MARCHE POUR LA VIE

    Action pour la famille-Actie gezin vous invite à venir très nombreux à la quatrième Marche pour la vie qui partira du Mont des Arts (près de la Gare centrale) à Bruxelles dimanche 30 mars à 14h. Voir www.march4life.be  

    Action pour la famille-Actie gezin promeut une culture de vie et le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, en accord avec le droit à la vie, fondement de tous les autres droits, en conformité avec la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. En particulier, Action pour la famille est en faveur de mesures législatives et sociales qui limitent fortement les avortements et les euthanasies. Dans cette perspective et en vue des élections du 25 mai prochain, nous défendons les propositions ci-dessous :

    1. Soutenir les femmes et les aider à ne pas recourir à l'avortement  en les écoutant d'abord, sans les culpabiliser et en les aidant à garder leur enfant. La loi de 1990 précise que les femmes doivent recevoir une information claire et complète sur toutes les aides et avantages disponibles, ainsi que sur « les possibilités offertes par l’adoption de l’enfant à naître ». 

    2. Appliquer strictement la loi. Selon la loi, l’avortement est dépénalisé lorsque sa grossesse place la femme «dans une situation de détresse ». Il revient au médecin seul, et non à la femme concernée ou à des tiers, d’évaluer cet état de détresse. Or l’ « absence de souhait d’enfant pour le moment » est la raison le plus souvent invoquée (18% en 2011) pour justifier une interruption de grossesse. La brochure du Centre d’Action Laïque (CAL) distribuée dans les écoles prétend qu’aucune justification n’est demandée (page 9) lors d’une demande d’interruption de grossesse, ce qui est contraire à la loi. L'avortement n'est pas un droit. En vertu de sa liberté de conscience, un médecin peut toujours refuser de pratiquer un avortement.

    3. Libérer la parole sur les conséquences psychologiques éventuelles. L'avortement est un acte violent puisqu'il consiste à mettre la fin à la vie d'un enfant à naître. De nombreuses femmes sont confrontées à des problèmes psychologiques immédiatement après avoir subi un avortement ou parfois des années plus tard. Un accompagnement psychologique doit être proposé suite à une interruption volontaire de grossesse. Les problèmes psychologiques sont plus importants si l’avortement est tardif. C'est pourquoi, nous sommes favorables à ce qu'une interruption volontaire de grossesse ne puisse avoir lieu qu'endéans les 10 semaines qui suivent la conception (au lieu de 12 semaines actuellement).

    4. Modifier la loi pour interdire les avortements dits "thérapeutiques", lorsque la grossesse ne met pas la mère en danger. De nombreux avortements sont pratiqués au-delà du délai légal de 12 semaines, en invoquant des malformations graves ou des maladies incurables de l'enfant à naître. Le rapport de la commission de contrôle les évalue à 95 pour l’année 2011. Or, on estime leur nombre réel à plus de 600 par an. Cette dérive inquiète fortement les associations de défense des personnes handicapées qui considèrent ces avortements sélectifs comme une discrimination à leur égard. 

    5. Dispenser une éducation affective dans les écoles qui mette en valeur l’amour vrai, le don généreux de soi et la joie de faire le bonheur de l'autre, plutôt que de donner des cours d'éducation sexuelle qui se limitent à des instructions techniques sur la bonne utilisation des méthodes contraceptives. Les conséquences dommageables de relations sexuelles très précoces sur l'équilibre affectif sont souvent sous-estimées. L'abstinence et la maîtrise de soi doivent être revalorisées, surtout pour les très jeunes.

    6. Modifier la loi en stipulant que l'accord des parents soit requis pour les femmes de moins de 18 ans qui demandent une interruption de grossesse. En outre, le fait d'être mineure ou étudiante ne suffit pas à placer la femme enceinte dans une situation de détresse et ne justifie pas à lui seul un recours à l'avortement. 

    7. Protéger les droits des femmes enceintes à l’égard de leur employeur et garantir leur emploi. Il reste beaucoup à faire pour harmoniser l'activité professionnelle avec la vie familiale, pour les hommes comme pour les femmes. Action pour la famille reste favorable à l’instauration du salaire parental.

    Plus globalement, nous devons travailler à mettre en place les conditions sociétales favorables à la promotion d'une authentique culture de vie. C'est pourquoi  il nous faut lutter contre les situations de précarité où une grossesse non-désirée met une femme dans un état de détresse. La grande pauvreté, la solitude, l’absence d'environnement familial stable, les pressions sociales et culturelles, sont autant de facteurs qui font obstacle à l’accueil de l’enfant à naître. 

    http://www.actiegezin-actionfamille.be/welkom-accueil?lang=fr