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Ethique - Page 459

  • Bruxelles, dimanche 3 novembre / Veilleurs Debout : la résistance continue

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    Veilleurs Debout: La résistance continue! 

     
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    Heure d'hiver oblige: on sera là dès 16h00Rejoignez-nous :)
    Maintenir la contestation, c'est vital.
    Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat le 9 octobre 2013.
    Citoyens, élus, législateurs, présidents de partis, sénateurs: ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas ce qui se passait dans les hôpitaux et centres de "soins".
    En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bxs - en face du Parc royal, rue de la Loi)

    Dates suivantes à retenir:
     - dimanche 3 novembre 2013 à 16h
     - mardi 5 novembre 2013 à 18h30
     - dimanche 10 novembre 2013 à 16h

    Source: Espérance Nouvelle

  • Quand l'Agence européenne des médicaments prend fait et cause pour la pilule

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    Lu sur "Santé nature Innovation" (Jean-Marc Dupuis)

    Pilules : circulez, y a rien à voir !

    L'Agence européenne des médicaments a publié un communiqué le 12 octobre 2013 expliquant que « les bénéfices de tous les contraceptifs oraux combinés (COC) continuent d’être supérieurs aux risques ».

    Ce communiqué a été très largement relayé par la presse.

    L'Agence européenne des médicaments continue donc à recommander les pilules de 3e et 4e génération. Elle enfonce le clou après avoir déclaré, en mai dernier, être en faveur d'un maintien sur le marché européen de l'antiacnéique Diane 35, souvent prescrit aux adolescentes pour faire office de contraceptif.

    Ces médicaments augmentent pourtant fortement le risque d'embolie pulmonaire, de cancer du sein et de l'utérus.

    Pourquoi vouloir faire courir des risques aux femmes ?

    Pour les médicaments habituels, qui traitent un problème de santé, le rapport bénéfices/risques correspond aux chances de guérir par rapport au risque d'effets secondaires.

    Par exemple, si un médicament a 50 % de chance de soulager l'arthrose et 10 % de risque de donner mal à la tête, on jugera que le rapport bénéfices/risques est positif.

    C'est le rôle d'une agence comme l'Agence européenne du médicament d'éclairer le public sur ce point. Chacun peut ainsi choisir ses médicaments, sans dépendre de ce qu'affirme le fabricant.

    Mais la pilule n'est pas un médicament comme les autres.

    Lire la suite sur Santé Nature Innovation

  • Rome, 2-3 novembre : une rencontre pour lutter contre le trafic d'êtres humains et l'esclavage moderne

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    Le Saint-Siège entend lutter contre l'esclavage moderne

    (Radio Vatican)

    L’Académie pontificale des sciences et l’Académie pontificale des sciences sociales organisent les 2 et 3 novembre un groupe de travail sur le trafic d'êtres humains et l’esclavage moderne. Cette rencontre, a été voulue par le pape François qui a personnellement écrit au chancelier de l’Académie pontificale des sciences, l’argentin, Mgr Marcelo Sánchez Sorondo l’invitant à « traiter » de ces questions.

    Organisée en partenariat avec la Fédération mondiale des associations médicales catholiques (FIAMC) l’objectif de ces deux jours de travaux, au Vatican, sera, indique Mgr Sánchez Sorondo, « de prendre conscience de faire le point sur la situation, mais aussi de trouver des lignes d’orientation pour trouver des solutions à ce problème ». Le pape François a mis l’accent sur un sujet dramatique, affirme-t-il, et « nous voulons dire que nous sommes d’accord avec les pays qui font la guerre à ces formes nouvelles d’esclavage ».

    Le Saint-Siège précise par ailleurs Mgr Sánchez Sorondo entend « établir une collaboration entre le groupe de travail, voulu par le pape François et les institutions et organisations qui luttent contre la traite des êtres humains. Cette rencontre a également pour but de mettre en lumière les nouveaux instruments à utiliser contre les nouvelles formes d’esclavage, comme un registre digital permettant de confronter le DNA des enfants disparus non identifiés avec celui de leurs proches qui ont dénoncé leur disparition

    2 millions de personnes victimes du trafic sexuel chaque année

    Le rapport 2012 de l’Office des Nations-Unies contre la drogue et le crime (UNODC) sur le trafic des êtres humains estime à 20,9 millions le nombre de victimes du travail forcé entre 2002 et 2010. En outre, quelque 2 millions de personnes – dont 60% de filles – sont victimes du trafic sexuel chaque année. Le trafic d’organes humains représente presque 1% de ce chiffre, touchant environ 20.000 personnes à qui sont prélevés des organes, de manière illégale et sous diverses formes de ruse.

  • Un enfant et... combien de parents, avez-vous dit ?

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    De José Ramos-Ascensão sur Europeinfos (COMECE)

    Un enfant et... combien avez-vous dit de parents ?

    La maternité de substitution est une question éthique et juridique en voie d'émergence au niveau international comme au niveau de l'Union européenne.

    Une “Etude comparative sur le régime applicable à la maternité de substitution dans les Etats membres de l'Union européenne”, commanditée par la commission parlementaire européenne des affaires juridiques, a récemment été présentée au Parlement européen ; en même temps, il a été annoncé que ce que l'on appelle le "tourisme de la maternité de substitution" est en augmentation en Inde et vient renforcer dans ce pays une industrie qui représente déjà quatre milliards de dollars.

    La maternité de substitution est une pratique par laquelle une femme (la mère porteuse) tombe enceinte dans l'intention de donner l'enfant à une autre personne (appelée le "parent d'intention") après la naissance. On établit une distinction entre la maternité de substitution traditionnelle et la maternité de substitution non-génétique, selon que l'on utilise ou non les ovules de la mère porteuse. Dans le premier cas, la mère porteuse est aussi la mère génétique de l'enfant. Dans le second cas, le parent d'intention peut également être ou non le parent génétique de l'enfant, selon que l'on utilise ou non les gamètes d'une tierce personne (en ce qui concerne le don de gamètes, que l'on appelle la fécondation in vitro hétérologue, voir notre article dans le numéro 146 d'europeinfos). Enfin, par de nouvelles techniques telles que le transfert pronucléaire, même le “matériel génétique” pourrait avoir pour origine plus d'un donneur, du moins en théorie.

    Vous ne vous y retrouvez pas dans les comptes ? C'est normal, il y a trop de “parents” pour un seul enfant, sans parler du mari ou du partenaire éventuel de la mère porteuse elle-même !

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  • Des hommes, des femmes et... des neutres ?

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    D'Adélaïde Pouchol sur l'Homme Nouveau ("Ethique et tac") :

    Les hommes, les femmes et les neutres

    Certains enfants naissent « hermaphrodite », victimes d’une malformation physique qui fait que le bébé n’a pas de sexe biologique déterminé. Une épreuve terrible pour l’enfant et la plupart des parents que quelques discours imprégnés de la théorie du Genre n’aident pas à affronter la terrible réalité. Que faire ? Imposer à l’enfant un sexe déterminé ? Décider pour lui, parce que l’humanité est ainsi structurée et la vie en société avec elle, qu’il sera fille ou garçon et l’opérer en conséquence ? La difficulté est immense et les parents savent que quelque soit le choix qu’ils imposeront à ce bébé, il grandira avec une blessure profonde, comme tout autre personne née malade ou victime d’une malformation.

    En Allemagne entre en vigueur aujourd’hui une loi instituant un genre « neutre », qui fait suite à une déclaration de la Cour suprême reconnaissant à chaque individu le droit de vivre selon son « genre ressenti et vécu ». Le législateur entend répondre ainsi au problème de ces personnes dites « hermaphrodites » ou intersexuées, la loi n’autorisant pas pour l’instant les personnes sexuées normalement à faire usage de ce troisième genre. Nul doute que la France ira dans le même sens à plus ou moins long terme. En attendant, l’Allemagne vient de légiférer à partir d’une exception, de reconnaître l’hermaphrodisme comme un genre à part entière : le législateur considère donc la maladie – puisqu’il faut appeler les choses par leur nom – comme fondatrice de l’identité de la personne. Plus encore, si l’Allemagne entend aller jusqu’au bout de sa logique, il faudra ouvrir la possibilité de se déterminer comme neutre à tout le monde. Une personne née homme peut tout à fait se sentir un peu femme et un peu homme et revendiquer, au nom du « genre ressenti » qui fonde désormais la loi, de changer de genre administratif.

    Une véritable mascarade juridique qui, au delà de sa gravité sur le plan moral, rendra la vie en communauté de plus en plus complexe. Puisque l’on a imposé au nom de la parité des quotas de femmes aux entreprises, il faudra imposer aussi des quotas de « neutres ».  Et tant pis pour les patrons qui refusent ce genre d’aberrations. Les choses pourraient être d’autant plus rocambolesques que le genre étant désormais fluctuant, un « neutre » pourra un beau jour se déclarer « femme » et bouleverser la politique de recrutement de l’entreprise. Cela aura le mérite de créer de l’emploi en psychologie et ressources humaines. Que les chantres de l’égalitarisme et du constructivisme réfléchissent également au congé « neutranité » qu’il faudra accorder en plus des congés paternité et maternité. Que les professionnels de la mode travaillent dès maintenant à la conception de collections neutres, que l’on s’empresse aussi d’installer dans les lieux publics des toilettes pour le troisième sexe et des piscines spéciales à Lourdes. Enfin, puissent les académiciens se mettre au travail au plus vite pour réformer la grammaire et créer un genre neutre.

    Bienvenue dans un Occident décadent, fier de retourner à l’état embryonnaire de l’indifférenciation sexuelle.

  • Louvain-la-Neuve, 7 novembre : conférence-débat sur l'euthanasie pour les mineurs

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    Communiqué du "Kot Droits de l'Homme" :

    Dans le cadre de sa semaine sur les droits de l'Homme, le kot-à-projet "Kot droits de l'Homme" organise prochainement une conférence :

    "Euthanasie pour les mineurs :

    un progrès pour les droits de l'Homme?".

    Jeudi 7 novembre, Auditoire Montesquieu 03

    (pl. Montesquieu, Louvain-la-Neuve).

    L'euthanasie, chacun a son avis sur la question. Aujourd'hui, on parle de l'étendre aux enfants et aux personnes atteintes de démence. Est-ce que cela deviendra un droit ? Qu'en penser ?

    Des experts sur le sujet seront là pour en débattre et répondre à vos questions : Philippe Mahoux (Président du groupe PS au Sénat), Catherine Dopchie (Oncologue et médecin en soins palliatifs), Christine Defraigne (Présidente du groupe MR au Sénat), Michel Ghins (Professeur de Philosophie des sciences UCL) (Animé par Michel Dupuis (Philosophe et président du Comité consultatif de bioéthique de Belgique)

    PAF : GRATUIT

    Evénement facebook : https://www.facebook.com/events/167955846745495/?fref=ts

  • De la mort et de l'euthanasie

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    Un petit compte rendu d'un topo consacré à l'histoire de l'euthanasie est paru sur le blog "les alternatives catholiques" sous le titre : "Histoire d'une bonne mort" :

    « Ne me console pas de la mort. J’aimerais mieux, en vivant sur la glèbe, être aux gages d’autrui chez un homme pauvre et sans ressources, que de régner sur le peuple évanoui des morts. »

    Qui parle ainsi ? C’est Achille dans l’Hadès, celui qu’Ulysse félicite d’être éternellement heureux, parce qu’il a eu une belle mort, euthanatos. Revenons un peu en arrière : sommé de choisir entre deux types de mort, Achille avait refusé de mourir tranquillement entouré des siens, préférant le sacrifice sur le champ de bataille, dans la fleur de la jeunesse. Quel rapport avec notre sujet ? Quel lien y a-t-il entre l’euthanasie, la mort subie sur le lit d’hôpital et le combat du fils du Pelée ? Aucun, et c’est bien ce qui nous intéresse. En choisissant un terme grec, en l’entourant des concepts mous de « dignité humaine » ou de « droit à mourir dans la dignité », les défenseurs de l’euthanasie veulent nous faire croire que la mort qu’ils défendent est celle que défendaient les anciens sages, qui voulaient mourir dignement, librement, en choisissant la mort de préférence à la déchéance, à la misère, à la souffrance. On nous parle de ces anciens épicuriens qui préféraient le poison à la souffrance, de ces vieux stoïciens qui préféraient l’épée à l’humiliation. Or je me propose de montrer, dans ce court exposé, que cette référence aux anciens est une parfaite hypocrisie.

    Lire la suite sur "les alternatives catholiques"

  • Bulletin de l'IEB - 31 octobre 2013 - Rejet loi euthanasie/ sédations abusives

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    header_fr.jpgSommaire


  • Fin de vie : quand un accompagnement des patients s'avère possible

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    Fin de vie : un accompagnement des patients est possible (synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org)

    La prise en charge de la mort, une mission "occultée" par les acteurs hospitaliers. Tel était le constat de l'inspection générale des affaires sociales (IGAS) dans son rapport publié en 2009, intitulé "la mort à l'hôpital" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 10 octobre 2012). Un constat toujours d'actualité. La médicalisation prend trop largement le pas sur "l'aspect socio-familial et spirituel", passé au second plan, et cela, "au détriment des familles..." précise le Quotidien du Médecin dans un article qui relate que ce constat a été également dressé par les participants à un colloque organisé par le centre Babel (Centre ressource européen en clinique transculturelle, de l'hôpital Cochin). Et pourtant, accompagner les patients en fin de vie et leur famille est possible. 

    Le Quotidien du Médecin cite en exemple le Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) qui dispose d'un "service de soins...spirituels", dirigé non par un médecin mais par un docteur en théologie, Michel Nyabenda: "Au Québec, on part du principe que tout être humain a des besoins spirituels" précise-t-il. Concrètement, le service s'adapte à chaque demande, en allant "de l'accompagnement vers la mort au soutien de la famille endeuillée". Pour le Dr Régis Aubry, président de l'observatoire national de la fin de vie (ONFV), qui s'insurge contre la "surmédicalisation" de la fin de vie en France, ce modèle québécois est un exemple à suivre. Car en France, souligne-t-il, "On repousse le face à face avec la mort". 

    En France, Famille Chrétienne fait état de l'Unité de soins palliatif  de Malestroit (Morbihan), "un service pilote animé par les Augustines de la Miséricorde de Jésus". Cette unité est dirigée par le Dr Alain Hirschauer, ancien médecin de famille. "Démuni" face à la mort de certains de ses patients, le Dr Dr Alain Hirschauer précise qu'il s'est "alors formé aux soins palliatifs et [a] changé de voie". Il confie: "J'ai trouvé ici la vraie médecine de famille, puisque nous accompagnons nos malades, qui sont des cas extrêmes, aux heures les plus cruciales de leur existence, ainsi que leur proche". Il ajoute qu'il reçoit, dans cette unité, "de grandes leçons de vie et de courage de la part des patients, de merveilleuses leçons de patience et de bienveillance de la part des soignants". Soeur Roxane, responsable de l'unité de soins palliatifs précise les différentes missions de l'unité. Elle précise: "l'accueil de la personne et de sa famille est notre mission n°1" au même titre que la dimension spirituelle du malade."Nous avons [...] deux autres missions: la formation - nous recevons de très nombreux stagiaires, étudiants infirmiers, internes ou déjà médecins - [...] et la recherche, car bien des domaines de la fin de vie ne sont pas encore explorés, comme [...] l'hydratation", souligne-t-elle. Pour Soeur Roxane, le rôle des soignants est "capital". Car accompagner une personne en fin de vie implique "un soulagement de la douleur, une prise en charge psychologique, mais aussi un accompagnement spirituel". 

  • Médecins et tribunaux québecois s'opposent à l'aide médicale à mourir

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Fin de vie Québec : médecins et tribunaux se prononcent contre

    A quelques jours du vote sur le projet de loi 52, "visant à autoriser l'euthanasie sous la forme d'une aide médicale à mourir" (Cf. Synthèse de presse Gènéthique du 13 juin 2013), La coalition des médecins pour la justice sociale a demandé au Dr Stevens, oncologue américain, de témoigner sur son expérience dans un Etat américain, (l'Orégon) où le suicide assisté est autorisé depuis 15 ans. Pour ce médecin, le suicide assisté est un "permis de tuer" et donner le choix au patient de pouvoir mettre fin à ses jours est une "incitation au suicide".

    Récemment, deux décisions de tribunaux canadiens maintiennent la législation contre l'euthanasie et le suicide assisté. Il s'agit, en premier lieu, d'une décision de la Cour d'Appel de la province de la Colombie-Britannique (Cf synthèse de presse Gènéthique du 28 août 2012), rendue le 10 octobre 2013, qui maintient l'interdiction du suicide assité. La deuxième décision, en date du 18 octobre 2013, a été rendue par la Cour suprême du Canada (affaire Rasouli). Elle déclare qu'un médecin est tenu d'obtenir l'accord de son patient (ou de son tuteur) avant d'arrêter un traitement, lorsque cette décision est susceptible d'entraîner la mort de son patient.

  • Le Vatican sera-t-il chassé de l'ONU ?

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    Nous relayons très volontiers ce message, et cet appel, d'Austin Ruse :

    Vont-ils chasser le Vatican de l'ONU

    Chers amis du Friday Fax,

    Ce titre vous a peut-être choqué. Pourtant, c'est exactement ce à quoi des militants radicaux, anti catholiques et pro IVG essaient d’aboutir.

    Prenez un petit instant pour regarder cette vidéo: http://vimeo.com/74665308

    Cette vidéo toxique est le prélude à une campagne mondiale menée par l’organisation «Catholics » for Choice (catholiques pour le droit de choisir), le Centre des droits reproductifs, et le Planning familial. Leur but : priver le Vatican de son siège à l’Onu.

    Pourquoi veulent-ils chasser le Vatican de l’Onu? C’est parce que le Vatican est le meilleur représentant des droits de l’enfant-à-naître et de la famille naturelle à l’Onu. Sans le Vatican, il est fort possible que le droit international à l’avortement aurait déjà été reconnu, et que la famille aurait été bannie.

    Parfois, le Vatican est seul à résister. Vous devriez les voir, ces prêtres courageux qui, seuls, tiennent le coup contre les déchaînements des puissants.

    C-FAM a été fondée il y a 16 ans, lorsque le Nonce apostolique a informé le Pape que sa présence permanente auprès de l’Onu aurait dorénavant besoin de l’aide de laïcs à travers les associations pro vie.

    Un petit nombre de volontaires ont répondu à cet appel, et a donné vie à C-FAM. Leur mission consiste précisément à défendre de la vie de l’enfant-à-naître, la famille et l’Eglise contre les radicaux qui s’opposent à eux à l’Onu.

    De qui parlons-nous ?

    Catholics for Choice, est une organisation dont la seule vocation consiste à affaiblir les messages de l’Eglise, et à pousser en faveur de l’avortement. Ils travaillent en collaboration avec le Centre pour les droits reproductifs, une organisation de juristes dont la culture néfaste prend d’assaut le monde entier.

    Nous nous devons de les combattre inlassablement. Et c’est pour cette raison que nous nous tournons vers vous. Nous avons besoin de votre aide.

    La mission de C-FAM et du Friday Fax n’est rendue possible que grâce aux dons de personnes privées. Nous ne dépendons pas de fondations puissantes ou à des dons des grosses fortunes. C’est pourquoi nous vous recontactons régulièrement pour vous mobiliser votre soutien.

    Cette semaine, nous débutons notre collecte de fonds la plus importante de l’année. Nous avons besoin de rassembler une somme d’argent importante, qui nous permettra de combler notre déficit budgétaire avant la fin de l’année. Nos ressources frugales ne nous permettent pas de financer tout le travail à accomplir auprès de l’Onu et dans le monde entier.

    Nous avons besoin de vous pour mener ce combat difficile, pour défendre l’Eglise contre les organisations soi-disant catholiques qui veulent se débarrasser du Vatican à l’Onu.

    Si vous le voulez bien, rendez-vous sur le site www.c-fam.org/donate pour faire un don. Il y a plusieurs manières de le faire. Par courrier, par carte de crédit sur un serveur sécurisé, et par PayPal.

    Pouvez-vous faire un don de 100 $ ? Cela serait fantastique ! 50 $ aideraient beaucoup aussi.

    Nous vous prions humblement de nous aider, en allant sur www.c-fam.org/donate et en faisant un don qui nous aidera à défendre l’Eglise à l’Onu. Nous en avons besoin dès maintenant.

    Continuez à prier pour la Vatican, et priez pour nous, chez C-Fam. Nous avons aussi besoin de vos prières.

    Cordialement,

    Austin Ruse 

    Président

    PS Nous devons collecter la somme de 100 000 $ avant la fin de l’année. Faites un don sur www.c-fam.org/donate

  • Alzheimer : un appel à plus d'humanité

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    Lu sur Euthanasie STOP

    Alzheimer, il nous appelle à plus d'humanité !

    Véronique HARGOT

    Il y a bientôt 1 an que nous avons été contraints de placer notre papa âgé de 84 ans dans une maison de repos et de soin étant donné l'aggravation de sa maladie d'Alzheimer et les profondes perturbations de comportement qu'elle engendrait nuit et jour, intenables pour notre maman du même âge.

    Depuis cette époque, pas un jour n'a défilé sans que l'un ou l'autre d'entre nous, sa femme, ses cinq enfants et sa famille proche, ne passe l'après-midi auprès de lui.

    Sa souffrance est évidente et quotidienne. Celle de son épouse bien évidemment aussi. Malgré toute l'humanité et les soins prodigués par l'institution où il se trouve, il nous est pénible à tous de voir notre papa qui fut toujours si actif, sportif et positif, contraint à une position figée, voué à l'inactivité et la dépendance la plus totale, à l'humiliation de cette maladie qui vous dépouille de tout, jusqu'à la pensée, la mémoire, la raison, la maîtrise des actes et des paroles.

    Sa détresse, ses cris récurrents et ses « appels à partir», nous rappellent qu'il n'est pas question de « tuer notre père », mais d'augmenter la dose de calmants quand son agitation est ingérable par lui-même ou son entourage.

    Certains parmi ses proches et plus lointains sont tentés de se demander ce qu'il y a encore d'humain dans cette vie.

    Lire la suite : http://www.euthanasiestop.be/article/alzheimer-il-nous-appelle-a-plus-dhumanite-192

    Lire également les nouvelles contributions parues sur EuthanasieStop