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Europe - Page 144

  • Pays-Bas : quand l'euthanasie devient monnaie courante

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    Lu sur NdFr :

    Pays-Bas : la frontière floue entre euthanasies et assassinats médicalisés

    Pays-Bas : la frontière floue entre euthanasies et assassinats médicalisésLes statistiques officielles de l’euthanasie aux Pays-Bas montrent une hausse constante de cette pratique. Et c’est sans compter les nombreux cas d’euthanasies non déclarées, parfois même réalisées sans l’accord du patient. La Hollande a officiellement légalisé l’euthanasie en 2002 mais elle l’avait déjà dépénalisée depuis 1984. En 2012, il y a eu près de 4 200 euthanasies déclarées contre environ 3 600 en 2011 et 1 800 en 2004. Sur les près de 4 200 cas déclarés l’année dernière, 13 ont concerné des patients souffrant de maladies mentales et 49 des personnes âgées atteintes de démence. En fait, dans 40-60 % des cas, « l’euthanasie » serait réalisée sur des patients qui n’ont pas demandé à mourir. Officiellement, les Pays-Bas n’autorisent l’euthanasie que pour les patients souffrant d’une maladie incurable et de douleurs difficilement supportables et qui réclament en toute conscience une euthanasie. L’euthanasie des mineurs est elle aussi autorisée, mais l’accord des parents est indispensable jusqu’à 16 ans. Certains services pédiatriques pratiquent même l’euthanasie sur les nouveau-nés. Pour faciliter l’accès à l’euthanasie, des équipes mobiles ont aussi été créées afin de fournir ce type de prestations au domicile des malades. L’association néerlandaise pour l’euthanasie volontaire NVVE a même créé une « clinique » spéciale pour tuer les patients souhaitant se suicider mais à qui l’euthanasie a été refusée.

    Mais outre les cas déclarés, ...

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  • Supprimer des fêtes chrétiennes pour y substituer des fêtes juives ou musulmanes ?

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    France : Faut-il supprimer des fêtes chrétiennes au nom de l'égalité entre les religions ?

    MARIE-LUCILE KUBACKI sur La Vie :

    C'est une interview donnée au magazine Challenges par la nouvelle recrue de l'Observatoire de la laïcité à Matignon, Dounia Bouzar, qui relance le débat. Faut-il, au nom de l'égalité entre les religions, supprimer des fêtes chrétiennes pour les remplacer par des fêtes juives et des fêtes musulmanes ? Oui, répond l'anthropologue, qui, de 2003 à 2005, a siégé au Conseil français du Culte musulman, dans ce long entretien consacré au problème de la laïcité dans le monde de l'entreprise  : « Je pense que la France a montré l’exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience, d’avoir la religion de son choix ou de ne pas croire en dieu. Elle doit donc continuer à montrer la voie. Aujourd’hui tous les Français fêtent Noël et je pense qu’il faudrait également qu’un de nos jours fériés soit celui d’une fête juive et d’une fête musulmane. »

    Au lieu de remplacer, ne pourrait-on pas ajouter deux jours féries supplémentaires ? Pour Dounia Bouzar, la réponse est non : « Non, on doit remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l’Aïd. Le clergé y a longtemps été opposé mais il a évolué et n’y est plus hostile car il y a beaucoup de fêtes chrétiennes. Qu’une fête juive et une fête musulmane devienne une fête pour tous les Français permettrait de combattre le communautarisme et de faire avancer la cause de la laïcité. Aujourd’hui, les français de confession juive ou musulmane sont très mal à l’aise quand ils demandent un jour de congé pour célébrer ces deux fêtes très importantes. On peut le leur refuser pour nécessité de service. »

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  • Bulletin de l'IEB - 25 septembre 2013; Embryons/Soins Palliatifs/Comece

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  • L'euthanasie progresse aux Pays-Bas

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    L'euthanasie en forte augmentation aux Pays-Bas depuis six ans (synthèse de presse quotidienne de gènéthique)

    Aux Pays-Bas, selon un rapport publié mardi 24 septembre par une commission spéciale, l'euthanasie est en constante augmentation dans le pays depuis 2006, avec une hausse de 13% entre 2011 et 2012. Plus précisément, la commission fait état de 1923 cas en 2006 et 4188 cas en 2012, soit environ 3% de tous les décès aux Pays-Bas. 

    Majoritairement, les cas seraient liés au cancer mais "certains évoquent une plus grande tolérance de la pratique parmi la population, les patients et les médecins". 

    (Lapresse.ca 24/09/2013)

    Voir également : http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2013/09/13-deuthanasies-aux-pays-approbation-de.html

  • France : radicalisation laïcarde au Comité National d'Ethique

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    Lu sur Le Figaro :

    Des personnalités proches de la majorité y font leur entrée et des responsables religieux sont évincés.

    «On veut faire payer aux représentants religieux leurs positions plutôt hostiles au mariage pour tous. En les écartant de la réflexion sur des questions de société, le gouvernement impose une vision de la laïcité fermée au risque d'appauvrir le débat», dénonce le pasteur Louis Schweitzer, par ailleurs professeur d'éthique et de spiritualité à la Faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine. Par voie de presse, ce dernier a appris son éviction du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), cette instance de réflexion régulièrement saisie pour rendre des avis sur des sujets de société aussi sensibles que la fin de vie ou l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples homosexuels. Son mandat de quatre ans arrivant à terme, il n'a pas été renouvelé, comme cela était envisageable selon le règlement de cette structure. C'est aussi le cas pour le rabbin Michaël Azoulay, par ailleurs, membre de la commission de bioéthique du Consistoire de Paris.

    Selon Le Monde, qui a révélé ces informations, ces évictions marquent le choix de l'Élysée de ne plus intégrer de responsables religieux au sein de cette institution. «Nous souhaitons revenir aux principes de création du Conseil de 1983 et faire appel à des laïques pour représenter les courants religieux», confirme-t-on à l'Élysée, qui se charge directement de nommer les membres des familles philosophiques et spirituelles. Pour Louis Schweitzer, l'objectif est clair: «Le gouvernement veut s'entourer de personnalités qui prendront des positions dans le sens souhaité.»

    «Nous souhaitons revenir aux principes de création du Conseil de 1983 et faire appel à des laïques pour représenter les courants religieux»

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  • Quand la France se réveilla

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    Et la France se réveilla

    de Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, Toucan, 288 pages

    La recension de Famille Chrétienne :

    Comment, et pourquoi, La Manif pour tous a-t-elle mobilisé ses troupes ? Et quelles leçons peut-on en tirer ? Deux journalistes, Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, répondent dans un essai en forme de rétrospective.

    C’est l’histoire d’une des plus grandes mobilisations de l’après-guerre. Une série de manifestations que ni les grands médias, ni les intellectuels, ni les politiques n’avaient vu venir – surtout pas les politiques, qui pour la plupart sont passés à côté. Aujourd’hui que les clameurs se sont tues, deux journalistes, Raphaël Stainville et Vincent Trémolet de Villers, dressent un premier bilan de La Manif pour tous.

    Leur livre, bien informé et très vivant, se lit avec plaisir, truffé qu’il est de choses vues et de portraits bien troussés, de Virginie Tellenne, alias Frigide Barjot, à Tugdual Derville (Alliance Vita), de Béatrice Bourges (le Printemps français) à Ludovine de la Rochère (présidente de La Manif pour tous), d’Albéric Dumont (La Marche pour la vie), à François-Xavier Bellamy, philosophe de 27 ans…

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  • Les Conférences épiscopales d'Europe vont plancher sur la laïcité et le laïcisme

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    Europe: Dieu et l'Etat: entre laïcité et laïcisme
    Assemblée du CCEE en Slovaquie

    ROME, 17 septembre 2013 (Zenit.org) - "Dieu et l’Etat: entre laïcité et laïcisme": ce sera le thème de l'assemblée plénière annuelle des Présidents des Conférences épiscopales d’Europe aura lieu, cette année, à Bratislava (Slovaquie) à l’occasion du 1150ème anniversaire de l’arrivée des Saints Cyrille et Méthode sur sol slovaque.

    C’est à l’invitation de l’Archevêque de Bratislava, Mgr Stanislav Zvolenský, que cette année aura lieu à Bratislava (3-6 octobre) auprès du Falkensteiner Hotel (Pilárikova ulica 5 - Bratislava), l’Assemblée plénière du Conseil des Conférences épiscopales d’Europe (CCEE), l’organisation continentale qui réunit les présidents des 33 Conférences épiscopales en Europe, les archevêques du Luxembourg, de la Principauté de Monaco, de Chypre des Maronites, l’évêque éparchialde Mukachevo (Ukraine) et l’évêque de Chişinău (Moldavie).

    Pendant quatre jours, les sommets de l’Eglise catholique en Europe aborderont, à l’aide d’experts, les aspects sociaux et spirituels des défis auxquels l’Europe contemporaine doit faire face. Les débats de la rencontre de Bratislava se pencheront notamment sur la place laissée à la religion et donc sur le rôle de l’Eglise dans les sociétés des pays européens, qui se débattent entre laïcité et laïcisme. Le sujet sera introduit par Madame le prof. Emila Hrabovec, professeur d’histoire, qui aura la tâche de présenter les conclusions d’une enquête menée auprès des Conférences épiscopales. Les présidents aborderont également d’autres sujets tels que :l’évangélisation dans un monde sécularisé, l’objection de conscience et les travaux de l’Union Européenne et du Conseil de l’Europe.

    Les travaux seront suivis par le Préfet de la Congrégation pour les Evêques (Saint Siège), leCardinal Marc Ouelletet par le Nonce Apostolique en Slovaquie,l’archevêque Mario Giordana.

    À Bratislava arriveront également le secrétaire général du Symposium des Conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SECAM) ; mons. William Shomali, évêque auxiliaire du Patriarcat latin de Jérusalem ; Sa Béatitude Ignace Youssif III Younan, Patriarche Syriaque d’Antioche et un représentant de la Conférence épiscopale du Kazakhstan.

    Les évêques réunis à Bratislava rencontreront également Son Excellence Robert Fico, Premier Ministre du Gouvernement Slovaque, ainsi qu’un certain nombre de représentants des institutions civiles et ecclésiales du Pays.

    Jeudi 3 octobre, à partir de 21h30, à l’Eglise Saint Jean de Matha, aura lieu une veillée de prière pour la Terre Sainte et pour les chrétiens du Moyen Orient.

    La rencontre est à huits clos.

    Le programme complet de la rencontre est disponible sur le site www.ccee.eu (section featured today).

  • Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

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    Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. 

     

    Tous nés d’un homme et d’une femme

    Paris, le 17 septembre 2013 

    Communiqué de presse

    Parlement Européen - Rapport sur la santé et les droits sexuels et reproductifs

    L’Europe, l’éducation sexuelle et le genre :

    La Manif Pour Tous en alerte 

    sur un projet d’enseignement obligatoire dès le primaire

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. La Manif Pour Tous est particulièrement inquiète des dispositions envisagées en matière d’éducation sexuelle, de lutte contre les stéréotypes et d’éducation à l’égalité des genres. Elle dénonce fermement la volonté affirmée dans l’amendement 151 de promouvoir l’égalité de genre dans les programmes et manuels scolaires.

    Une nouvelle menace pour l’enfant et les libertés fondamentales

    La Manif Pour Tous dénonce l’amendement 151 de la députée européenne Barbara Matera (PPE) qui propose de rendre obligatoire des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles primaires et secondaires des Etats membres. De tels cours n’ont certainement pas leur place en primaire, et d’autant moins qu’ils aborderaient notamment la question de « l’égalité des genres ». La Manif Pour Tous dénonce ce projet de promotion de l’identité de genre, notion qui fait débat chez les spécialistes et qui n’est pas un sujet pertinent à l’âge de l’école ! Imposée aux écoles, cet enseignement serait ainsi décidé sans concertation avec les parents, sans respect de leur rôle de premiers et principaux éducateurs de leurs enfants.

    L’amendement 151 est une grave atteinte à l'article 26 (§3) de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui stipule que le droit d'éducation est reconnu prioritairement aux parents. Il met en danger la liberté et le droit des parents à s'opposer à l'interférence d'acteurs étatiques ou non étatiques dans cette éducation. La défense d'un droit d'accès de l’enfant à une information scientifique et dégagée de tout jugement en matière de sexualité ne doit pas se faire sans l’implication des parents et l’assurance que les contenus contribuent à l’équilibre de l’enfant. Par ailleurs les concepts de genre n’entrent pas dans le champ « d’une information scientifique » et n’ont donc pas de place dans ce cadre.

    La Manif Pour Tous en alerte

    Le 18 septembre prochain, La Manif Pour Tous suivra avec attention les débats de la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen. Elle se prépare à se mobiliser et à mener toutes les actions nécessaires si cet amendement devait être adopté. La Manif Pour Tous demande aux députés européens de cette  commission permanente de prendre concrètement position à l’occasion de ce vote pour défendre les intérêts de l’enfant, le rôle de ses  parents et la neutralité des instances nationales d’éducation gravement mis en danger par ce rapport. Elle leur rappelle que :

    1. La Manif Pour Tous s’oppose fermement à la diffusion à l’école du concept de genre, notion floue et non scientifique conduisant notamment à la remise en cause des identités sexuelles homme/femme.

    2. Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La liberté d’éducation des parents est un droit fondamental et inaliénable qu’aucune institution ne peut retirer et que toutes les conventions internationales garantissent.

    3. La Manif Pour Tous défend les droits de l’enfant. Elle est prête à agir aussi bien au niveau français qu’au niveau européennif Pour Tous est un mouvement spontané, populaire et divers qui s’oppose à la généralisation de la PMA, à la GPA (mères Contact presse

      Tel : 06 43 90 35 81    /    contact-presse@lamanifpourtous.fr  

  • France : le Dr Dor condamné pour avoir offert des chaussons

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    Lu ICI : Le Dr Dor condamné pour avoir offert des chaussons

    Communiqué de Laissez-les-Vivre :

    "Fort du soutien inconditionnel et financier ( avec les fruits de nos impôts) du Gouvernement, le Planning Familial vient de faire lourdement condamner le docteur DOR.

    Celui-ci était poursuivi par deux plaignants :

    1) L'hôpital St Vincent de Paul à Paris pour un banal rosaire pour la vie dans la rue en 2011, comme SOS Tout Petits en organise régulièrement.

    2) Le Planning Familial parisien pour s'être introduit à deux reprises en 2012 dans les locaux public de cet organisme, y avoir déposé quelques tracts, et remis une médaille miraculeuse et des bottons de bébé en laine à une femme croisée dans l'escalier, alors qu'il quittait les lieux.

    S'il a été relaxé pour la première plainte, le docteur Dor a été condamné pour la deuxième à 10.000€ d'amende et 2.000€ de dommages et intérêts à la personne croisée en repartant. Circonstance aggravante dit la Cour, celle-ci étant catholique, elle fut d'autant plus traumatisée du geste compassionnel du docteur Dor.

    Sachant que même tricoté à la main, un botton de bébé en laine n'a pas spécialement de connotation confessionnelle, cela fait cher la marche d'escalier !"

    Cette peine pour entrave à l'avortement dépasse les réquisitions du parquet, qui avait demandé une peine de 8000 euros d'amende. Le lobby pro-mort se défend bien. Le parquet avait souligné "la pression morale et psychologique" et "les actes d'intimidation" (sic) exercés par le vieillard de 84 ans auprès de cette femme.

  • France : 220.000 avortements annuels ne suffisent pas

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    Lu ICI :

    Plus de 220 000 avortements légaux déclarés en France par an, cela ne leur suffit donc pas ? Un rapport qui vient d’être mis en ligne par le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, HCEfh, demande que le ministre des Droits des femmes fasse quelque chose pour rendre plus accessible une « information de qualité » sur le droit à l’avortement. Il s’agit de contrebalancer les sites pro-vie qui sont, horreur ! souvent mieux référencés et plus visibles sur internet, avec leurs présentations « fallacieuses », leur « information biaisée, voire hostile à la pratique de l’avortement ».

    C’est urgent, Najat Vallaud-Belkacem qui exerce le « porte-parolat » (sic) du gouvernement, commanditaire du rapport, doit créer un site internet institutionnel pour les femmes et les professionnels de l’« IVG » ; il faut un numéro de téléphone national, « guichet unique » à quatre chiffres, anonyme et gratuit, une équipe nationale de veille et d’animation, fruit d’un partenariat entre l’Etat et des associations pro-mort, et pour finir organiser la première campagne nationale d’information sur le droit à l’avortement : par radio, affiches et encore mieux par la télévision.

    C’est le « discours public volontariste » que le HCEfh appelle de ses vœux : l’Etat doit vouloir, aimer, promouvoir la mise à mort volontaire des tout-petits après l’avoir légalisée, remboursée, et pour finir rendue gratuite en janvier dernier.

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  • Le saint nom de Marie, une fête reléguée par Paul VI

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    17thcentury163-1683-austria-siege-of-vienna-03.jpgSur Missel.fre.fr :

    La fête du Saint Nom de Marie, disparue aujourd'hui du calendrier liturgique, venait de la ville de Cuenca, en Espagne (Nouvelle-Castille), à qui elle fut concédée en 1513, sous le rite double. Un temps abrogée par saint Pie V (1570), la fête du Saint Nom de Marie fut rétablie par Sixte V (1585-1590) et assignée au 17 septembre. Réservée à Cuenca, au diocèse de Tolède, puis à toute l'Espagne, la fête du Saint Nom de Marie fut ensuite permise par Clément X au royaume de Naples (1671) ; le diocèse de Milan la célébra le 11 septembre et d'autres le 22 septembre. La fête du Saint Nom de Marie ne fut instituée à Rome qu'en 1683, par Innocent XI, en action de grâce pour la délivrance de Vienne assiégée par les Turcs (12 septembre 1683) (gravure contemporaine).

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  • Strasbourg, 1er octobre : la famille un sujet de droits

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    La famille,
    un sujet de droits

    Strasbourg, le 1er octobre 2013

    à l'occasion de Année européenne des citoyens
    & le 30ème anniversaire de la Charte des 
    Droits de la Famille du Saint Siège

    Inscription et programme

    CONFERENCE AVEC

    Xavier Breton, Député français
    Mgr Jean Laffitte, Secrétaire du Conseil pontifical pour la famille
    Grégor Puppinck, Directeur du Centre européen du droit  et de la justice  (ECLJ)
    Antoine Renard, Président de la FAFCE et de la CNAFC
    On. Luca Volontè, Président de la fondation Novae Terrae

    Dr Anna Záborská, Présidente de l’Intergroupe pour la famille, la petite  enfance et la solidarité intergénérationnelle du Parlement européen.

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, a été fondée en 1997 et elle est dotée d’un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe.

    La FAFCE représente des associations familiales de 16 pays européens. L’action de la FAFCE est fondée sur l’enseignement social et familial de l’Eglise catholique. Elle promeut l’intérêt des familles et valorise la contribution de la famille à la société auprès des décideurs politiques à l’échelle européenne.

    Dans le cadre de l’Année européenne des citoyens et pour célébrer le 30ème anniversaire de la Charte des Droits de la famille du Saint Siège, la FAFCE souhaite attirer l’attention sur la famille comme sujet de droits. Cet événement prépare également le 20ème anniversaire de l’Année internationale de la famille en 2014.

     La FAFCE souhaite promouvoir la famille comme un sujet de droits et par là contribuer à renforcer les droits existants qui sont déjà inscrits dans les instruments juridiques aux niveaux nationaux, communautaires et internationaux.

    Cette conférence abordera le thème de la famille, sujet de droits en s’inspirant de la Charte des Droits de la Famille du Saint Siège et en explorant la législation en faveur de la famille comme ressource pour les législateurs aux niveaux européen et national.

    La conférence est ouverte aux législateurs, experts juridiques, étudiants en droit, think tanks, associations familiales et d’autres acteurs qui s’intéressent à la promotion de la famille et ses intérêts.