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Europe - Page 154

  • France : encore quelques heures pour agir afin que l'embryon humain ne devienne pas du matériau de laboratoire

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    Soyons au rendez-vous avant qu’il ne soit trop tard.


    Urgence Assemblée Nationale : l’embryon humain ne doit pas devenir un matériau de laboratoire !

     

    Nous sommes à J-1 avant le passage en séance publique de la proposition de loi qui vise la levée de l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain. 


    48 000 personnes ont déjà signé la pétition en ligne Vous trouvez ça normal ? pour maintenir le principe d’interdiction inscrit dans la loi de bioéthique.


    Objectif : 50 000 signatures avant le passage du texte à l’Assemblée Nationale demain, jeudi 28 !

     

    Un lien, un clic, une seconde !


    Besoin d’infos ?

    ·         Ecoutez l’interview de Jean-Marie Le Méné sur RCF ce matin, interrogé par Christian Vadon.

    ·         retrouvez en ligne tous les numéros du journal hebdomadaire de la campagne et le dernier.

    ·         Télécharger, lisez et diffusez le tract à décryptage express.

  • Chypre : un accord insatisfaisant qui porte en lui les germes d'une nouvelle crise à venir

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    Telle est l'analyse proposée par l'Institut Thomas More :

    L’accord négocié dans la nuit du 24 au 25 mars a le grand mérite d’apporter une solution qui évite la sortie immédiate de Chypre de la zone Euro avec toutes les incertitudes qui y sont liées. Il est aussi très probable que le périmètre du sinistre est largement circonscrit quant à l’origine des fonds locaux qui conditionnent le déblocage du prêt de 10 milliards du FMI et des partenaires de l’Eurozone. En revanche, ce qui demeure très largement inconnu sont les dommages collatéraux, tant ceux qui affecteront Chypre que ceux qui fragiliseront encore un peu plus la gouvernance de l’Eurozone, notamment la mise en place de l’Union Bancaire.

    A lire sur le site de l'ITT : http://www.institut-thomas-more.org/fr/actualite/chypre-pardonnez-leur-car-ils-ne-savent-pas-ce-qu-ils-font.html

  • France : gouverner sans écouter ?

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    Sur leur blog, les Padre commentent ce mot de Mgr Podvin selon lequel on ne peut gouverner sans écouter :

    ON NE PEUT GOUVERNER SANS ÉCOUTER !

    Ce sont les mots prononcés par Mgr Podvin, porte-parole des Evêques de France, au soir du dimanche 24 mars. Ces mots résonnent comme un avertissement solennel lancé au gouvernement et au Président de la République. Pourquoi ?

    Comme prêtres, nous ne rêvons pas de mettre le pouvoir en difficulté : l’Eglise a toujours encouragé ses fidèles à reconnaître l’autorité légitime en place et à se comporter en citoyens exemplaires. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait même prier solennellement pour ceux qui nous gouvernent. Mais comme prêtres, avec nos évêques, nous sommes inquiets pour notre pays.

    Inquiétude

    Le débat ne nous fait pas peur. Il est légitime. Nos évêques l’ont demandé à plusieurs reprises. Non pas un débat partisan (parfois de nuit) ou des auditions truquées, mais des Etats Généraux de la Famille qui nous auraient permis d’approfondir tous ensemble, citoyens croyants et non-croyants, ce thème essentiel pour la vie de notre pays.

    Lire la suite sur le padreblog

  • Le portrait de Pierre Chaunu brossé par Philippe Levillain

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    Dans notre civilisation caractérisée par un phénomène d'accélération vertigineux, on risque d'oublier des disparus dont l'oeuvre mériterait pourtant de rester en mémoire et de nourrir notre réflexion. Tel est le cas de celle de l'immense historien que fut Pierre Chaunu. Un hommage en forme de "notice" vient de lui être consacrée par Philippe Levillain à l'Académie des Sciences morales et politiques, le 18 mars 2013 :

    ... Avant de proposer une biographie historique d’un des « Monstres sacrés » de l’Histoire au XXe siècle- j’emprunte à Jean Cocteau l’expression qui désigne les grands acteurs de grandes rôles –, je voudrais esquisser un portrait de l’homme, de l’homme Pierre Chaunu, encore si proche pour sa famille, laquelle partage volontiers sa mémoire avec celle de ses contemporains, attristés encore par cette disparition qui s’appelle la mort. La mort qui fut au cœur vivant de Pierre Chaunu la voix permanente de l’Espérance, la mort qui fut pour lui au commencement. « À 40 ans - a dit Kipling - un homme est responsable de son visage ». A fortiori l’est- il ensuite, quelques effets trahissant le temps qui ne suspend pas son vol. On eût dit que la stature habitée par Pierre Chaunu était taillée dans le noir granit du Sidobre. Elle portait un visage impérial digne de figurer au Palazzo Altemps à Rome, éclairé, si l’on peut dire, par un regard inquisitorial, mystérieusement porteur d’une promesse de douceur. La bouche ne démentait pas une certaine distance, boudeuse parfois : celle d’une certitude acquise, inaccessible et peu discutable. Mais cette prise instantanée du visage fige un orateur immobile qui était dans la vie un acteur aux mains agiles, aux bras expressifs et aux yeux sévères, quelquefois ourlés par la lumière rase de larmes retenues.

    Pierre Chaunu se défendait contre lui-même. Acteur, il l’était dans une étonnante harmonie entre la voix et le geste. Il savait utiliser son grand galop chromatique. Le regard ne démentait jamais ce que la voix affirmait, prétendait, contestait. Mais cette voix s’exprimait sur deux registres : celle de la conscience de l’âme, douce, mélodique, accueillante ; celle du corps, voix des passions irrépressibles, fulgurantes, proches de celle du devin transporté. ...

    A lire sur le site de l'Académie

  • Se mobiliser pour l'embryon humain

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    Embryon d’Europe

    Par Tugdual Derville (Alliance Vita)

     

    Utilisant une toute nouvelle procédure de démocratie participative, une pétition internationale lancée dans les 27 pays européens pour défendre l’embryon humain démarre en France.

    C’est une « initiative citoyenne » internationale. Elle est dénommée « One of us » (Un de nous). La Fondation Jérôme Lejeune et Alliance VITA se sont associées pour la porter en France, tout en s’engageant à y impliquer d’autres associations. La pétition demande principalement à l’Union Européenne de ne plus financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humains. Elle s’appuie sur un instrument de « démocratie participative » qui vient d’être mis en place pour rapprocher les institutions européennes de ceux que, de plus en plus, elles gouvernent.

    L’enjeu est simple : recueillir avant fin octobre 2013 un million de signatures provenant d’au moins 7 des 27 pays de l’Union Européenne. La procédure de recueil et de validation des voix obéit à des règles contraignantes avec, notamment, un numéro de pièce d’identité pour chaque signataire et la garantie que ses coordonnées ne seront aucunement utilisées à une autre fin. La pétition Un de nous a été déposée très tôt, dès le 11 mai 2012, par un groupe de personnalités, dont le Français Grégor Puppinck, mais il a fallu plusieurs mois aux diverses instances nationales pour préciser ces conditions du recueil des signatures et les décliner pour les deux modes possibles : formulaire à remplir par Internet ou à rassembler par courrier. Une signature s’apparente à un vote et obéit à des règles de confidentialité éprouvées.

    Lire la suite

  • Valls, démission ! Signez la pétition (mise à jour 27/3)

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    Les images et les vidéos de la Manif pour Tous, hier à Paris, que l'on peut voir partout sur les sites des journaux et ceux des réseaux sociaux ne laissent aucun doute : les forces de l'ordre ont réagi de façon brutale et disproportionnée, allant jusqu'à utiliser des gaz pour neutraliser des manifestants parmi lesquels se trouvaient des enfants. Christine Boutin en a fait personnellement les frais. Une personne a même été renversée par un véhicule de police.

    Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur, refuse de présenter des excuses alors que la façon dont il a géré les choses s'est révélée totalement insuffisante. L'interdiction de manifester sur les Champs Elysées a confiné les centaines de milliers de manifestants sur quelques artères où ils ont été contraints de rester sur place dans un espace insuffisant. Le nombre des manifestants a été délibérément sous-estimé et explique que les forces de l'ordre se sont senties dépassées et ont réagi de façon assez anarchique et violente. En arrière-fond, il y a une attitude méprisante et un refus de prendre en compte cette immense mobilisation populaire de la part d'un pouvoir socialiste qui fait preuve d'un sens de la démocratie vraiment très approximatif. Cette gauche au pouvoir révèle son vrai visage : sectaire et tyrannique; elle nous donne la nausée.

    Lire le témoignage du journaliste Ivan Rioufol (Le Figaro)

    Signer un appel à la démission de Manuel Valls.

  • Quand la crise de l'Union européenne fait furieusement penser à la chute de la République romaine

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    livre-engels.jpgC'est Joseph Savès, sur Herodote.net qui nous donne l'envie de lire un ouvrage dont le compte-rendu met incontestablement en appétit :

    Le déclin; La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine

    David Engels (éditions du Toucan, 384 pages, 20 euros,  2013)

    Avec cet essai plein d'érudition et de finesse, le jeune historien belge David Engels (33 ans) a réussi un coup de maître.

    Professeur d'histoire romaine à l'Université libre de Bruxelles, il dresse un parallèle audacieux et tout à fait inédit entre la situation actuelle de l'Europe et celle de Rome... à la fin de la République, autrement dit au 1er siècle av. J.-C., à l'époque de Marius, Sylla, Pompée, César et Auguste !

    Avant lui, dès le XIXe siècle, de nombreux historiens et essayistes s'étaient inquiétés de l'évolution du Vieux Continent et avaient cherché des grilles d'explication dans une comparaison avec la fin de l'empire romain (IIIe-Ve siècles de notre ère), mais jamais encore personne n'avait songé à la crise du 1er siècle av. J.-C.

    Point par point, dans une première partie, David Engels confronte l'Europe du XXIe siècle et la République romaine : il analyse la première principalement à travers les sondages d'opinion et la seconde à travers les chroniques, les écrits et la correspondance des contemporains (Cicéron, Salluste...).

    Les similitudes dans les moeurs et les mentalités sont confondantes...

  • Un vrai laïcisme antireligieux

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    Un article paru hier dans le Figaro constitue une démonstration par l'absurde de l'incapacité chronique de la laïcité à la française à respecter les religions, et de vivre en paix avec elles. Cela démontre aussi que ce n'est qu'une laïcité de façade, mais un vrai laïcisme anti religieux. Il n'est en tout cas pas difficile de comprendre pourquoi nos politiciens anticléricaux belges en rêvent et s'en inspirent. C'est ici :

    Shabbat, ramadan et examens le dilemme des pratiquants (Le Figaro)

  • Revivre la Manif pour Tous avec Aleteia.org

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    http://www.aleteia.org/fr/politique/actualites/manif-pour-tous-une-grande-armee-sest-levee-642001

  • L'embryon humain n'est pas du matériel de laboratoire

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    Dignité de l'embryon: le card. Vingt-Trois appelle à la responsabilité

    Source: ZENIT.ORG

    "Les Français doivent être conséquents avec leur droit de vote", déclare le card. Vingt-Trosi qui appelle à al responsabilité face à des lois qui nieraient la dignité humaine.

    Ce samedi 23 mars,  dans son entretien hebdomadaire sur l’antenne de Radio Notre-Dame, le Cardinal André Vingt-Trois s’est exprimé au sujet du débat levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain

    Radio Notre-Dame / Elodie Chapelle - Jeudi prochain 28 mars, une proposition de loi levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain sera débattue à l’assemblée pour un vote solennel des députés le mardi 2 avril, c’est un texte qui a été validé en catimini par la Commission des Affaires Sociales le 20 mars. Votre réaction ?

    Cardinal André Vingt-Trois - Je pense que c’est une erreur grave par rapport à l’équilibre de notre société. Car quand on donne libre cours à toutes sortes de recherches sur l’embryon cela veut dire que l’on considère que l’embryon n’est rien et que c’est un matériau de laboratoire. Je sais bien qu’il y a des chercheurs qui sont beaucoup plus conscients de l’importance de l’acte qu’ils font et qu’ils ne sont pas tous irresponsables mais la loi de bioéthique qui a été votée en 2011 prévoyait qu’il y ait une autorisation préalable à la dérogation de l’interdit. Ce n’était pas parfait, mais cela avait l’avantage d’une part de maintenir l’interdit de principe, qui rappelle la dignité particulière de l’embryon humain, et d’autre part d’obliger les chercheurs à étayer leur demande sur un certain nombre d’arguments. Et on sait qu’un certain nombre de demandes ont été soit récusées, soit contestées en raison de la faiblesse des arguments qui étaient présentés pour obtenir la dérogation. Le fait que l’on supprime l’interdit a priori, cela veut dire qu’on laisse le champ libre à tous ceux qui voudront essayer quelque chose.

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  • Hiver belge et printemps français

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    Il n’y a pas photo ! Entre une Belgique totalement chloroformée et une France où l’on voit se dresser des foules innombrables refusant l’établissement de la dictature du relativisme, le contraste est sidérant. Tout ce que l’on redoute de voir s’écrire dans la loi française a déjà été inscrit dans la nôtre sans protestations ou presque, et bien davantage.

    Le Belge se mobilise difficilement. Il faut remonter à la Question Royale (1951) ou à la Question Scolaire (1958) pour le voir descendre massivement dans la rue pour manifester son attachement à la monarchie ou à la liberté d’enseignement. Et depuis lors, en-dehors de causes syndicales ou de réactions émotives (« Marche blanche »), plus rien. Un véritable processus d’engourdissement que l’on peut expliquer de diverses manières :

    • l’emprise d’un libéralisme profondément ancré dans notre histoire et qui présente comme suspect tout discours de vérité,
    • la dérive des milieux catholiques vers des engagements tiers-mondistes ou écologistes peu attentifs aux questions sociétales,
    • une tendance systématique à rechercher des compromis et à se contenter de vagues concessions,
    • un amour immodéré du confort et de la sécurité qui appréhende tout ce qui pourrait venir les compromettre,
    • une Eglise bien installée profitant de larges subventions et peu encline à risquer d’en découdre avec le politique,
    • le formatage de l'opinion publique par un monde médiatique très consensuel et favorable à l’extension sans limites des droits individuels,
    • etc.

    Tant et si bien que les appels à la mobilisation lancés par quelques-uns restent sans écho et ne réunissent que quelques courageux, comme ce fut le cas à Bruxelles, dimanche dernier.

    Comment "le Belge" (s’il existe toujours et s'il n'est pas définitivement descendu au tombeau) pourrait-il comprendre cet immense frémissement qui parcourt l'Hexagone et que d’aucuns ne craignent pas de désigner sous le vocable de « printemps français » ? Il ne peut que hausser les épaules et déclarer que, de toute façon, la cause est entendue et que cela ne servira à rien. Alors, à quoi bon se déranger ? Je dois avouer humblement, en battant ma coulpe, que je n’ai pas été loin de partager une telle attitude en écrivant sur ce blog, il y a quelques mois, que cette mobilisation en France risquait de constituer « beaucoup de bruit pour rien ». Ma seule excuse est d’appartenir à ce triste monde belge incapable de concevoir que l’on puisse aujourd’hui encore, avec un peu de foi, renverser les montagnes de l’iniquité. Je suis donc extrêmement impressionné par le spectacle que nous donnent aujourd’hui ces très nombreux Français qui ne veulent pas que le mariage, la famille et les droits de l’enfant soient dénaturés par des lois contraires au bien objectif de l’homme et de la société.

    Face à ce qu’il y a de meilleur et de plus respectable dans la société française, on a vu un pouvoir aveuglé par l’idéologie et le mépris recourir à la force brutale allant jusqu'à gazer à bout portant des adolescents et des enfants. On ne peut qu’être ému et admiratif devant la détermination de tous ces Français qui manifestent à moins que de partager cet aveuglement qui caractérise une sensibilité belge dégradée et pour tout dire complètement sclérosée.

    Il reste à souhaiter que nos amis français ne désarment pas et qu’ils se mobilisent encore et encore pour résister à cette dictature du relativisme immoral, négateur de toutes les valeurs d’une civilisation authentique. Souhaitons-leur toutefois de faire preuve de discernement et notamment de ne pas laisser leur mouvement être récupéré par ceux qui ne rêvent que de le détourner à des fins partisanes, de ne pas laisser non plus l’initiative à des figures de proue improvisées dont l’insuffisance est patente (Frigide Barjot !), de méditer aussi les leçons de l’histoire pour éviter d’en reproduire les échecs (se souvenir, à ce propos, d'un certain 6 février 1934) …

    YW

  • Manif pour Tous : un témoignage entre mille

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    Nous avons trouvé reproduit ICI un témoignage adressé au célèbre blogueur Koz : Source: Koz Toujours (Facebook)

    "Cher Koz,

     On parle beaucoup de débordements de la Manif pour tous d’hier et, comme j’étais en haut de l’avenue Foch entre 14h40 et 17h environ, je me dis que peut-être que ces quelques lignes de témoignage peuvent être utiles.

    Je ne sais pas trop à qui les envoyer et m’adresse à toi car je fais confiance à ta pondération et à ton discernement.
    Je ne veux pas rajouter de l’huile sur le feu, mais peut-être que croisé avec d’autres mon témoignage permettra de comprendre ce qui s’est passé avenue Foch et qui en est responsable.

    Je me suis rendue à la Manif pour tous avec mon frère Philippe 31 ans, père de famille et une jeune cousine, Adélaïde, 20 ans. Nous sommes arrivés par la ligne 6 à Kleber vers 14h30 et espérions rejoindre le haut de l’avenue de la Grande Armée. On nous y fait accéder en passant par l’avenue Victor Hugo et la rue Paul Valéry. En arrivant avenue Foch on nous dirige vers le haut de l’avenue. Il y a encore très peu de monde si bien que nous nous postons avec mon frère et ma cousine à l’angle de la rue de Presbourg et de l’avenue Foch. L’ambiance est paisible et conviviale. Le dispositif des forces de l’ordre un peu impressionnant et paraît même ridiculement disproportionné pour ce qui est sensé n’être qu’une voie parallèle à la manifestation : il y a derrière une double rangée de barrières 6 ou 7 camionettes bleues et une trentaine de « policiers » (je le mets entre guillemets car je n’y connais rien et qu’à côté de nous un père de famille visiblement militaire a précisé à ses enfants qu’il s’agissait de gendarmes.)

    (Lire l'Abbé Grosjean, qui explique pourquoi les manifestants se sont dirigés vers l'Avenue Foch.) 

    Un espace de sécurité de 3-4 mètres au moins est préservé par les volontaires « sécurité » de la Manif pour tous entre la foule qui commence à arriver et les barrières. La rue de Presbourg est barrée. Avec 5 ou 6 policiers dans l’espace.
    Par la rue on aperçoit la foule massée avenue de la Grande Armée et l’ambiance a l’air plutôt sympa, mais nous n’en entendons que le brouhaha car la sono ne porte pas du tout dans notre direction.

    Lire la suite