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Europe - Page 184

  • L'avortement : un suicide sociétal, médical et familial

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    Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, revient pour libertepolitique.com sur la question de l'avortement. Il met en cause une pratique qui équivaut à un suicide sociétal, médical et des familles mettant la politique du pays en échec. A voir et à écouter ici : TV/Avortement-un-suicide-societal-medical-et-familial

  • Quand Vladimir Poutine est désigné à la vindicte de l'opinion publique

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    A entendre les médias, on a l'impression que Vladimir Poutine ne mérite que la réprobation générale en raison de pratiques électorales douteuses, mais pas seulement...

    Ce n'est pas notre "miniblogue" qui va prétendre pouvoir trancher dans ce vaste domaine, mais il est évident que, pas plus que pour la Hongrie ou pour la Syrie, on ne peut se contenter de ce chorus consensuel.

    Fort heureusement, notre amie de "Benoît et moi" ouvre ce dossier et se démarque de la meute hurlante : http://benoit-et-moi.fr

  • Six cents cas d'intolérance antichrétienne

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    Source = Liberté politique : L’Observatoire sur l’intolérance et la discrimination contre les chrétiens en Europe vient de publier de 600 cas d’Intolérance ou de discrimination répertoriés contre les chrétiens d’Europe.

    Chacun d’entre eux relate une expérience personnelle d’intolérance ou de marginalisation. l’Observatoire réalise un travail de recherche, de documentation et d’analyse dans 30 pays. Grâce à ce travail, des politiciens, des leaders de la société, des journalistes, des intellectuels et tous ceux que cette question intéresse ont la possibilité de prendre la mesure du phénomène, d’acquérir une vision plus complète de la situation et de développer des solutions adéquates.

    Il est possible de consulter chacun de ces cas sur son site

    En particulier l’observatoire souligne qu’en Grande Bretagne «Il y a plus de discrimination envers les Chrétiens qu’envers les fidèles d’autres religions.» Selon l’observatoire, plus de 60% des anglais ont répondu avoir l’impression que la marginalisation des chrétiens augmentait parmi les membres du gouvernement (59% en novembre 2010), sur leur lieu de travail (61%) et dans la sphère publique (68%). 71% des personnes interrogées observent une augmentation des discriminations dans les médias.

    En ce qui concerne la France il note que les actes de vandalismes contre des sites religieux ont augmenté de 96% en deux ans et que 84 % d’entre eux concernaient des sites chrétiens.

  • Le saint patron de la Pologne et de la Lituanie

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    200px-Kazimieras.jpgSource : missel.free

    Saint Casimir, prince de la dynastie des Jagellons, troisième enfant et second fils des treize enfants du roi Casimir IV de Pologne (1427 + 1492)[1] et d'Elisabeth d'Autriche, naquit le 3 octobre 1458, à Cracovie. Pieusement élevé par sa mère, il fut formé par les leçons du chanoine Jean Dugloss, futur archevêque de Lemberg, et de l'humaniste Philippe Bonacorsi (Callimaque). Dévot à la sainte Vierge, méditant les mystères de la Passion, le prince Casimir se tenait constamment dans l'exercice de la présence de Dieu et, inviolablement attaché à la chasteté, domptait ses passions par une vie d'austères mortifications.

    En 1471, il accepta, pour complaire à son père, son élection au trône de Hongrie[2]. Or, à peine touchait-il les frontières de Hongrie, qu'il se retira parce qu'il avait appris, outre que le pape Sixte IV désapprouvait l'entreprise, que le plus grande partie du peuple hongrois était favorable au roi Matthias. Ses troupes furent battues en Slovaquie (1472) et il retourna en Pologne. Il se retira trois mois dans le château de Cobzki pour expier l'injustice de l'expédition. Puisque son frère Wladislas était roi de Bohême, il semblait que Casimir serait roi de Pologne où il prit part au gouvernement qu'il administra sagement pendant que son père s'assurait la Lituanie destinée au cadet Jean-Albert (1479-1483). Le prince Casimir refusa d'épouser la fille de l'empereur Frédéric III (1481). De mœurs très pures, habitué à la mortification, il était vivement attaché à la chasteté et puisait sa force et sa joie dans l'adoration du Saint-Sacrement et la dévotion à la Vierge Marie.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 2 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • Allemagne: la grande apostasie ?

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    Lu sur les matinales du site du magazine “La Vie”:

    24754_0280edb1bc_440x260.jpgRéunie à Ratisbonne, la Conférence épiscopale allemande (photo) s'est penchée sur la mauvaise santé de l'Eglise catholique, dont les statistiques sont assez accablantes.

    "Très préoccupés": c'est en ces termes que le porte-parole de l'épiscopat catholique allemand a décrit l'état d'esprit des évêques, notamment en ce qui concerne le nombre d'étudiants inscrits en cycle universitaire de théologie, qui représentent traditionnellement un vivier important de futurs prêtres. Seuls 2200 élèves ont choisi de s'inscrire à ces cours, ce qui représente une chute de 50%. Parallèlement, le nombre de professeurs de théologie a, lui, baissé de 25% cette année, notamment à cause du fait que les facultés de théologie de Bamberg et Passau ont perdu une part importante de leur financement... à cause de la baisse du nombre d'élèves.  C'est dans un contexte de sécularisation accélérée que ces mauvais chiffres sont tombés. L'Eglise catholique allemande a perdu en 20 ans 12.7% de ses fidèles. Sur la seule année 2010, ce sont 181.193 allemands qui ont décidé de quitter l'Eglise, à cause notamment du scandale des abus sexuels. Un chiffre qui dépasse pour la première fois le nombre de nouveaux baptisés, qui était en 2010 de 170.330. Le nombre de candidats à la prêtrise a chuté, lui, de plus de 60%, et les baptêmes de 43.1%.” Ici: Allemagne: les évêques inquiets pour l'avenir de l'Eglise

    Le diagnostic des causes a déjà été posé avec vigueur par Benoît XVI lors de son voyage en Allemagne en septembre dernier, mais est-il partagé par tout l’épiscopat germanique ?

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  • France : un bébé nommé désir

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    Source : revue de presse de genethique.org d'après Famille Chrétienne

    "Un bébé nommé désir"

    Voilà le titre du documentaire sur France 2, le 22 février dernier, proposant une réflexion sur les "bébés éprouvettes", les "bébés médicaments", les embryons congelés, ou encore les dons de gamètes.

    "Un bébé quand je veux, si je veux, comme je veux", résume le journaliste. Dans ces techniques de procréation artificielle, le statut de l’embryon reste la grande question.

    Au cours de l’émission, une psychologue exprime l’incertitude française : "L’embryon, dans les hôpitaux, on ne sait pas très bien ce que c’est : tantôt une cellule, tantôt une potentialité d’enfant".

    Le professeur Israël Nisand, gynécologue à Strasbourg, reconnait que l’embryon est un être humain, "mais pas encore une personne […] il a sa dignité [mais] il va acquérir ses droits petit à petit". 

    Aude Mirkovic, professeur de droit à l’université d’Evry, s’insurge : "voilà un concentré [d’] inepties […] Si certains êtres humains ne sont plus des personnes, ou à moitié, on change de civilisation ! C’est le retour à l’époque romaine, quand l’embryon n’était que la pars viscerum matris, un morceau des entrailles de la mère. Un gigantesque retour en arrière !". Elle explique que la France est en pleine incohérence, mais que même si la question du statut de l’embryon est une question philosophique, le droit, dans le doute, ne peut que s’abstenir et est obligé de traiter l’embryon comme une personne.

    Il y a ensuite les conséquences psychologiques que l'assistance médicale à la procréation engendrent. Passées sous silence dans le documentaire, Benoît Bayle, psychiatre et docteur en philosophie, entend les dénoncer. En parlant des embryons crées in vitro, il explique : "Nous avons affaire à une population d’individus qui doit sa vie à la société, à la médecine, un peu à l’État, note Benoît Bayle. Cette intrusion dans une histoire intime n’est pas sans conséquence pour la structuration de l’identité de la personne". Il constate ensuite le "phénomène de survivance" chez l’enfant né, seul survivant parmi les autres embryons conçus in vitro qui sont supprimés par le tri opéré avant implantation ou par la réduction embryonnaire (NDLR : avortement d'un ou plusieurs embryons déjà implantés). Enfin, note Benoit Bayle, les parents de ces enfants auront tendance à développer un "mode d’éducation mégalomaniaque", ou bien emprunt d’une "culpabilité inconsciente".

    Soutenons la Fondation Jerôme Lejeune

  • Suisse : le suicide assisté a la cote...

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    Source : revue de presse de genethique.org

    En Suisse, de nouveaux chiffres montrent que le nombre de personnes qui se sont tournées vers des organisations de suicides assistés pour se tuer a considérablement augmenté en 2011.
    Récemment, l'organisation Exit, qui propose des suicides assistés exclusivement aux résidents suisses, a annoncé qu'il avait "aidé" 416 patients à se suicider en 2011. Les adhésions à Exit sont également en plein essor : le groupe compte aujourd'hui 75 000 adhérents.
    Dignitas, autre organisme suisse de suicide assisté, a pour sa part "aidé" 144 personnes à se tuer en 2011, soit une augmentation de 35% selon le journal Sonntag Zeitung.

    Jérôme Sobel, président d'Exit pour les cantons suisses de langue française, estime que l'augmentation des suicides assistés est directement corrélée à l'augmentation des adhérents. "Il y a des gens qui nous appellent pour être réconfortés et qui fixeront une date [pour mettre fin à leurs jours] si leur situation se détériorait davantage. Il y a des gens pour lesquels le fait de nous appeler est un réconfort et d'autres que nous sommes allés voir mais qui en fait sont ensuite morts de mort naturelle", déclare-t-il.

    Dernièrement, des rapports sur le "tourisme du suicide" ont soulevé un débat houleux, tant national qu'international, faisant croître la pression sur le gouvernement Suisse pour qu'il durcisse ses lois sur le suicide assisté. En juin 2011, le gouvernement a rejeté l'introduction d'une nouvelle loi pour réglementer la pratique, mais il a proposé depuis une série de mesures pour renforcer la prévention du suicide et pour améliorer les offres de soins palliatifs.

    Soutenons la Fondation Jérôme Lejeune

  • Pologne : quand l'unique télévision catholique est bannie du paysage médiatique

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    Préoccupés par l'évolution de la Pologne, des amis nous demandent de diffuser ces informations :

    Dans les médias occidentaux, des voix se font entendre pour défendre TV Trwam. C’est cette télévision qui a connu la discrimination et l’exclusion de la part du Conseil supérieur de l’audiovisuel polonais (KRRiT). Le quotidien italien Tempi - un journal à grand public édité dans la capitale des affaires et du commerce et qui collabore avec L’Osservatore Romano, a publié un article à ce sujet signé par Rodolfo Casadei.

    L’auteur reconnaît que la Fédération Nationale de Presse, l’Union syndicale de journalistes italiens, les quotidiens Corriere della Sera et Repubblica ont raison de constater que la liberté d’information est en danger en Europe de l’Est; mais quand ils se référent à la situation en Hongrie il vise quant à lui la Pologne. Rodolfo Casadei démontre l'absence de fondement pour  refuser une place à TV Trwam sur la plateforme numérique terrestre. Ce refus signifié par le KRRiT est motivé par sa prétendue mauvaise condition financière. Il observe que l’ensemble des membres du KRRiT est composé surtout de représentants de la Présidence de la République et du Parlement. Le même Parlement n’a pas permis la présence d’un représentant de l’opposition au sein du KRRiT. Le seul qui le soit appartient à un parti ouvertement anticlérical. L’auteur italien écrit aussi que la coalition au pouvoir est responsable, non seulement de l’actuelle composition du Conseil, mais qu'elle continue à soutenir de façon appuyée les actes extravagants des membres de ce Conseil. L’auteur rappelle aussi que si 50% du temps de l’émission de TV Trwam sont consacrés à l’évangélisation et à l’éducation religieuse, une part importante de la programmation est consacrée à la promotion de la culture nationale.

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  • Les Pays-Bas, un laboratoire du laïcisme sectaire

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    "Quatre mois après le discours de Benoît XVI au nouvel ambassadeur hollandais près le Saint-Siège, Daniele Quinto dresse pour la Bussola un assez terrible état des lieux." Notre amie, sur son site Benoît-et-moi, a traduit cet article que l'on pourra lire ici

    Extrait :

    Les Pays-Bas représentent dans le continent européen, le paradigme de cette culture relativiste, l'expression la plus avancée de ce laïcisme libertaire, qui a fortement influencé la législation. Allant des Coffee Shop, autorisés à vendre des drogues "légères" (majuana et haschisch) aux personnes de plus de 18 ans, à la prostitution, qui est considérée comme une profession légale, à la non-imputabilité de l'inceste, s'il est consommé entre adultes consentants; des mariages homosexuels reconnus par la loi depuis 2001, à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels; à la constitution du parti de pédophiles, aujourd'hui dissout, mais jamais mis hors-la-loi, au "Protocole de Groningen", l'accord conclu en 2005 entre la clinique universitaire de Groningue aux Pays-Bas et les autorités judiciaires néerlandaises, concernant l'extension de la possibilité deuthanasie même pour les enfants de moins de 12 ans, jusqu'à l'âge néo-natal: sur les quelques 200.000 enfants nés aux Pays-Bas chaque année, environ 1.000 meurent dans la première année de vie. Pour environ 600 de ces enfants, la mort est précédée par une décision médicale sur la fin de vie. ...

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 25 février 2012

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    Sommaire

     

  • L'avortement selon le sexe pratiqué au Royame-Uni ?

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    Source : info.catho.be

    Selon le « Daily Telegraph », des cliniques anglaises seraient prêtes à effectuer des avortements sur la base du sexe de l’embryon. Une enquête secrète dans neuf cliniques aurait permis de trouver trois médecins d’accord de réaliser une telle opération.

    Selon le quotidien, des journalistes ont anonymement accompagné quatre femmes enceintes qui ont fait une telle demande dans neuf cliniques. Si la majorité des médecins a rejeté une telle démarche en indiquant qu’elle était contraire à la loi, trois ont accepté.

    Le ministre de la santé Andrew Lansley s’est dit très préoccupé d’une telle révélation. L’avortement selon le sexe est non seulement illégal mais surtout immoral, a-t-il estimé. Il a également indiqué que ses services mèneraient une enquête à ce sujet.

    Le journal anglais se réfère aussi à une étude de l’université d’oxford en 2007 sur les avortements au sein de la minorité d’origine indienne en Angleterre et au Pays de Galles. Cette étude avait démontré que le nombre de naissances de garçons connaissait un pic, surtout lorsqu’il s’agissait du 3e enfant.

    L'information plus développée, avec les videos, est ici : lefigaro.fr/. C'est particulièrement édifiant et cela montre jusqu'où peut conduire ce laxisme assassin.

    Voir aussi : www.lalibre.be/avortement-selectif-en-grande-bretagne.html