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Europe - Page 189

  • Pologne : quand l'unique télévision catholique est bannie du paysage médiatique

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    Préoccupés par l'évolution de la Pologne, des amis nous demandent de diffuser ces informations :

    Dans les médias occidentaux, des voix se font entendre pour défendre TV Trwam. C’est cette télévision qui a connu la discrimination et l’exclusion de la part du Conseil supérieur de l’audiovisuel polonais (KRRiT). Le quotidien italien Tempi - un journal à grand public édité dans la capitale des affaires et du commerce et qui collabore avec L’Osservatore Romano, a publié un article à ce sujet signé par Rodolfo Casadei.

    L’auteur reconnaît que la Fédération Nationale de Presse, l’Union syndicale de journalistes italiens, les quotidiens Corriere della Sera et Repubblica ont raison de constater que la liberté d’information est en danger en Europe de l’Est; mais quand ils se référent à la situation en Hongrie il vise quant à lui la Pologne. Rodolfo Casadei démontre l'absence de fondement pour  refuser une place à TV Trwam sur la plateforme numérique terrestre. Ce refus signifié par le KRRiT est motivé par sa prétendue mauvaise condition financière. Il observe que l’ensemble des membres du KRRiT est composé surtout de représentants de la Présidence de la République et du Parlement. Le même Parlement n’a pas permis la présence d’un représentant de l’opposition au sein du KRRiT. Le seul qui le soit appartient à un parti ouvertement anticlérical. L’auteur italien écrit aussi que la coalition au pouvoir est responsable, non seulement de l’actuelle composition du Conseil, mais qu'elle continue à soutenir de façon appuyée les actes extravagants des membres de ce Conseil. L’auteur rappelle aussi que si 50% du temps de l’émission de TV Trwam sont consacrés à l’évangélisation et à l’éducation religieuse, une part importante de la programmation est consacrée à la promotion de la culture nationale.

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  • Les Pays-Bas, un laboratoire du laïcisme sectaire

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    "Quatre mois après le discours de Benoît XVI au nouvel ambassadeur hollandais près le Saint-Siège, Daniele Quinto dresse pour la Bussola un assez terrible état des lieux." Notre amie, sur son site Benoît-et-moi, a traduit cet article que l'on pourra lire ici

    Extrait :

    Les Pays-Bas représentent dans le continent européen, le paradigme de cette culture relativiste, l'expression la plus avancée de ce laïcisme libertaire, qui a fortement influencé la législation. Allant des Coffee Shop, autorisés à vendre des drogues "légères" (majuana et haschisch) aux personnes de plus de 18 ans, à la prostitution, qui est considérée comme une profession légale, à la non-imputabilité de l'inceste, s'il est consommé entre adultes consentants; des mariages homosexuels reconnus par la loi depuis 2001, à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels; à la constitution du parti de pédophiles, aujourd'hui dissout, mais jamais mis hors-la-loi, au "Protocole de Groningen", l'accord conclu en 2005 entre la clinique universitaire de Groningue aux Pays-Bas et les autorités judiciaires néerlandaises, concernant l'extension de la possibilité deuthanasie même pour les enfants de moins de 12 ans, jusqu'à l'âge néo-natal: sur les quelques 200.000 enfants nés aux Pays-Bas chaque année, environ 1.000 meurent dans la première année de vie. Pour environ 600 de ces enfants, la mort est précédée par une décision médicale sur la fin de vie. ...

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 25 février 2012

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    Sommaire

     

  • L'avortement selon le sexe pratiqué au Royame-Uni ?

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    Source : info.catho.be

    Selon le « Daily Telegraph », des cliniques anglaises seraient prêtes à effectuer des avortements sur la base du sexe de l’embryon. Une enquête secrète dans neuf cliniques aurait permis de trouver trois médecins d’accord de réaliser une telle opération.

    Selon le quotidien, des journalistes ont anonymement accompagné quatre femmes enceintes qui ont fait une telle demande dans neuf cliniques. Si la majorité des médecins a rejeté une telle démarche en indiquant qu’elle était contraire à la loi, trois ont accepté.

    Le ministre de la santé Andrew Lansley s’est dit très préoccupé d’une telle révélation. L’avortement selon le sexe est non seulement illégal mais surtout immoral, a-t-il estimé. Il a également indiqué que ses services mèneraient une enquête à ce sujet.

    Le journal anglais se réfère aussi à une étude de l’université d’oxford en 2007 sur les avortements au sein de la minorité d’origine indienne en Angleterre et au Pays de Galles. Cette étude avait démontré que le nombre de naissances de garçons connaissait un pic, surtout lorsqu’il s’agissait du 3e enfant.

    L'information plus développée, avec les videos, est ici : lefigaro.fr/. C'est particulièrement édifiant et cela montre jusqu'où peut conduire ce laxisme assassin.

    Voir aussi : www.lalibre.be/avortement-selectif-en-grande-bretagne.html

  • A Liège, le 28 février, un débat sur la laïcité dans le cadre des institutions européennes

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    « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne  »


    Un débat à l’université de Liège, le 28 février 2012 à 18h00  

     avec Mgr Piotr Mazurkiewicz, Secrétaire général de la COMECE

    Dans le cadre de son cycle de rencontres 2011-2012 « neutralité ou pluralisme », l’Union des Etudiants catholiques de Liège (Cercle « Ethique sociale ») organise un lunch-débat  sur le thème « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne ».

    Qu’est-ce que la laïcité ?En quel sens les institutions publiques peuvent-elles ou doivent-elles être laïques ? A l'heure du pluralisme et du sécularisme, l'Eglise n'a-t-elle plus rien à leur dire, ni à la société civile? Ces pouvoirs sont-ils à ce point séparés?Qu’en est-il de la laïcité dans le droit positif et la pratique de l’Union européenne et de ses Etats membres ?

    C’est Monseigneur Piotr Mazurkiewicz,Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE) qui a été invité à débattre de ces questions avec le public. Mgr Mazurkiewicz est aussi professeur ordinaire d’Ethique politique à la faculté  des Sciences politiques de l’Université de Varsovie. La rencontre aura lieu le mardi 28 février 2012 à 18h00, au bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er étage: salle des professeurs (accès par la grande entrée de l'immeuble) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel 04.344.10.89 ouinfo@ethiquesociale.org

     Quelques informations sur le cycle :

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  • L'Europe est très loin d'être favorable à l'euthanasie

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    Pierre-Olivier Arduin, sur Liberté Politique, réfute les arguments en faveur de l'instauration d'une euthanasie légalisée en France. Il insiste sur le fait que seule une petite minorité d'états européens l'ont légalisée : les états du Benelux où ce serait surtout la mouvance néerlandophone (qualifiée par l'auteur de "flamande") qui y est favorable.

    "28 millions contre 320 millions

    ...les trois Etats du Benelux ne représentent que 28 millions de personnes sur les 800 millions enregistrées au Conseil de l’Europe et sur les 320 millions habitants de l’Union européenne. De fait, nous ne saurions oublier que l’écrasante majorité des Européens ignore toute législation légalisant l’euthanasie. Ainsi que nous le rappelle fort opportunément le groupe Ethique, droit et santé du Collectif Plus digne la vie, « croire que 28 millions d’habitants du Benelux peuvent avoir raison tous seuls contre les 321 millions des 24 autres Etats de l’Union européenne qui ont fait un choix contraire, c’est refuser la réalité, c’est raisonner exclusivement avec des préjugés idéologiques [1]». 

     

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  • Une prime de 300 euros pour éviter le recours à l'avortement

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    "La mutuelle allemande BKK IHV a décidé d'accorder une prime de naissance de 300€, à ses assurées qui s'engagent moralement à "ne pas avorter et n'inciter personne à le faire". 1 200 assurés de BKK IHV, qui est en partenariat avec l'association Pro-Life depuis 2010, auraient déjà adhéré au mouvement.

    Cette initiative soulève des questions. Depuis 2011, elle fait l'objet de surveillance par l'Office fédéral des assurances sociales, qui vérifie la légalité de ses offres. Selon la loi allemande, les assurances sont obligées de financer les avortements légaux et en tant que personnes morales de droit public, elles ont également un devoir de neutralité. 
    Selon le magazine Der Spiegel, Heinz-Werner Stumpf, directeur de la BKKV IHV, a affirmé que ces offres étaient parfaitement conformes au droit allemand.

    L'Allemagne est le pays d'Europe où la population est la plus âgée et où le taux de fécondité est des plus bas. Le pays s'efforce d'ailleurs depuis plusieurs années de promouvoir les naissances."

    source : genethique.org

  • Liens du jour (24 février)

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    J. Smits :

    Irlande : l'avortement « jamais nécessaire » pour sauver la vie de la mère

    Etats du Washington : les pharmaciens ont le droit constitutionnel de ne pas vendre la pilule du lendemain

    Pays-Bas : refus de protéger un fœtus de 17 semaines menacé par un “crime d'honneur”

     

  • Liens du jour (23 février)

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    Adoption homosexuelle: comment on pousse à la roue en Angleterre (J. Smits)

    Genethique.org :

    "Face à la déshumanisation : l'écologie humaine" 22/02/12

    Baisse de la fertilité en France : l’environnement mis en cause 22/02/12

    Les avancées de l'AMP, 30 ans après le 1er "bébé-éprouvette" 22/02/12

    Euthanasie : sortir d'un "débat empoisonné" 21/02/12

    Zenit.org :

    Suivre Benoît XVI sur « twitter » pendant tout le carême
    Twitter, une « avenue » pour le message de l'Eglise

    Pèlerinage de l'ordinariat de Notre Dame de Walsingham
    Audience du mercredi

    Le carême, temps des responsabilités assumées
    Catéchèse de Benoît XVI sur le carême

    France : Mgr Olivier de Germay nommé évêque d'Ajaccio

    Un Saint-Cyrien spécialiste en théologie morale

    L'amour des pauvres et l'amour de Dieu c'est tout un
    Congrès à Rome sur « Jésus notre contemporain »

    « Relire le Concile, historiens et théologiens en débat »
    Cycle de six conférences à Rome

    Pérou : préserver l'identité catholique de l'université pontificale
    Adapter les statuts d'ici Pâques

  • Mères porteuses: encore une "avancée" aux Pays-Bas?

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    Source : Genethique.org

    La législation néerlandaise sur les mères porteuses pourrait bien être remaniée prochainement. Aujourd'hui aux Pays-Bas, il est déjà possible d'avoir recours à une mère porteuse à plusieurs conditions : la femme qui portera l'enfant doit être de la famille, avoir déjà eu elle-même des enfants et ne plus en souhaiter. Ce geste doit être aussi "absolument gratuit".
    Selon  Fred Teeven, secrétaire d'Etat néerlandais chargé de la Justice, "de plus en plus de femmes cherchent des mères porteuses et sont prêtes à payer ce service". Il dit donc vouloir modifier la loi pour que les enfants de ceux qui payent des mères porteuses étrangères soient reconnus aux Pays-Bas. En effet, un véritable commerce s'élevant à 1,7 milliard d'euros s'instaure avec l'Inde via des cliniques spécialisées, où des femmes pauvres vendent leurs "services" à des couples occidentaux.

    René Hoksbergen, professeur émérite spécialiste de l'adoption, trouve "ridicule" que "les lois soient adaptées" et estime que ce n'est pas sans raison si cette pratique est interdite. D'une part, il constate que l'intérêt et le bonheur de l'enfant ne sont pas pris en compte. Celui-ci pourra bientôt penser : "Je proviens d'un utérus indien et cette femme indienne qui était pauvre, a reçu 1 000 dollars (760 euros)" . Cette réalité atteindra la vision qu'il a de lui-même :  "je suis tout simplement un objet de commerce".
    D'autre part, le Pr Hoksbergen explique qu' "être mère porteuse pour des raisons commerciales relève tout simplement de la prostitution de procréation". Il contredit les arguments de certains, comme Nayna Patel, médecin indienne pour laquelle les deux parties profitent du marché : les parents ont un enfant, la mère porteuse peut utiliser l'argent pour faire des choses qu'elle n'aurait pas pu faire sans cet argent. Pour René Hoksbergen, utiliser "les fonctions corporelles d'une autre pour pourvoir à [ses] propres besoins", c'est de "la prostitution".

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 17 février 2012

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    images (4).jpgSommaire

     

  • Préserver l'identité chrétienne de l'Europe

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    Source : Zenit.org

    L'Europe doit préserver son identité chrétienne

    Le point de vue d'une ministre musulmane

    ROME, mercredi 15 février 2012 (ZENIT.org) –« L’Europe doit avoir davantage confiance en sa chrétienté », a déclaré mardi 14 février, à Rome, la baronne Sayeeda Hussein Warsi, ministre sans portefeuille dans l’exécutif anglais, lors d’une conférence devant l'Académie pontificale ecclésiastique en présence du Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège.

    Cette conférence était organisée à l’occasion du XXXe anniversaire des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et le Royaume Uni. Mme Hussein Warsi, a représenté le premier ministre britannique David Cameron.  L’archevêque de Westminster, Mgr Vincent Nichols, a participé à cette visite (cf. Zenit du 14 février 2012).

    Dans cette conférence sur « Le rôle de la religion dans le débat politique et dans les affaires internationales », la baronne a souligné la qualité des relations diplomatiques qui unissent les deux Etats, et elle a évoqué la visite de Benoît XVI  à Londres, en septembre 2010, comme « historique, importante et inoubliable ».

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