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Europe - Page 191

  • Qui va gouverner l'Italie ? et peut-être nous, demain ?

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    Unanimes, nos bonnes âmes se réjouissent du départ de Berlusconi et s'acharnent à dénoncer le "bilan désastreux" de sa gestion politique et économique. Et voilà, sorti magiquement du chapeau, le sauveur de la situation : Mario Monti. Que penser de tout cela? Un analyste politique, Robi Ronza, consacre un article intitulé "la puissante machine invisible" sur le site de la Bussola Quotidiana que notre amie de "Benoit et moi" a traduit, mis en ligne et commenté.

    C'est à lire ici : http://benoit-et-moi.fr/

  • 11 novembre : in memoriam

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    soldat.jpgDe Gérard Leclerc dans « France Catholique » :

    « Dans trois ans, nous célébrerons le centenaire du déclenchement de la Première guerre Mondiale. L’éloignement dans le temps nous a rendu étrange cette formidable déflagration, où l’Europe s’est trouvée saignée à blanc, avec le massacre de ses garçons de vingt ans. Nous comprenons difficilement, dans l’Europe pacifiée d’aujourd’hui, comment les peuples ont pu se jeter sauvagement les uns contre les autres. Cela paraît si invraisemblable que certains tentent d’opposer les populations à leurs dirigeants, comme si ceux-ci avaient conduit les nations au massacre sans le consentement des citoyens. C’est une pure légende, comme le montre Jean Sévillia dans son dernier ouvrage [1], en dépit des mouvement de révolte de 1917, motivés par l’échec de l’offensive Nivelle. C’est le patriotisme unanime de l’armée française qui a permis l’offensive finalement victorieuse de 1918.

    Certes, on peut déplorer cette « guerre civile européenne », en déduire les conséquences désastreuses dont la plus grave est l’invention et l’essor des totalitarismes qui conduiront au second conflit mondial. On accuse les « nationalismes » à juste raison, mais il faut comprendre la genèse de leur éclosion. C’est la disparition de l’Europe ancienne, sous les coups de la Révolution française et de l’Empire napoléonien, qui a conduit à l’instabilité du continent, avec la montée en puissance des idéologies et l’apparition de ce qu’Alphonse Séché (1876-1964) appelait « les guerres d’enfer ». En d’autres termes, l’histoire avançait dans le sens prévu par le stratège prussien Carl von Clausewitz (1780-1831), jusqu’à la montée aux extrêmes.

    Heureusement, les nations européennes ont désormais établi entre elles un pacte de paix durable, ayant enfin compris que tout conflit interne à leur continent est suicidaire. Le monde n’est pas pour autant en paix. Nous vivons sous la menace d’autres conflits et notre propre armée est toujours engagée sur des terrains extérieurs, en Afghanistan par exemple. La paix universelle constitue la plus difficile des conquêtes. »

     [1] Jean Sévillia, Historiquement Incorrect, Fayard, 360 pages, 20 e.

    Ici :11 novembre - France Catholique

  • Grande-Bretagne: la relation prêtre-évêque devant le tribunal

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    imagesCATXEU4W.jpgSur son site, l’hebdomadaire “La Vie” note aujourd’hui:

    L'évêque dans l'Eglise catholique peut-il être considéré comme l'employeur d'un prêtre? La Haute cour de justice anglaise vient de répondre par l'affirmative à cette question, avec des conséquences multiples pour l'Eglise catholique. Cela signifie en particulier que l'évêque est responsable, en tant que supérieur hiérarchique, des fautes commises par son "employé", notamment dans les cas d'abus sexuels, et qu'il doit donc indemniser les victimes.

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  • Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

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    article_photo_1320750206129-1-HD.jpgLu sur « 20 minutes.fr » :

    « Pas facile d'être catholique quand les églises se vident, que la transmission de la foi est en chute libre et qu'il faut refuser de s'ériger en groupe de défense là où des intégristes crient à la "christianophobie", s'inquiètent les évêques de France.

    Les évêques, réunis en assemblée plénière à Lourdes jusqu'à ce mercredi, admettent devoir affronter des défis majeurs pour enrayer un catholicisme déclinant et faire qu'"on ne rougisse pas d'être croyant".

    Invitée de la dernière heure à l'agenda épiscopal: la fronde menée par des groupes intégristes contre la pièce de l'Italien Romeo Castellucci, "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Lille, est clair: "Nous ne nous situons pas comme un groupe de défense".

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  • Un nouveau groupe politique en Lituanie

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    La "Tribune de la Lituanie" informe que, le 13 Octobre, le Parlement a enregistré la création d'un nouveau groupe parlementaire intitulé "Pour la famille traditionnelle." Le groupe a un total de 91 députés fondateurs.

    "Nous voulons affirmer que la prise en considération de la famille (traditionnelle) comme une priorité est un objectif à atteindre au Parlement" déclare la députée MP Rima Braskiene, expliquant les raisons justifiant le lancement d'un tel groupe parlementaire.

    Elle fait remarquer que le Comité des affaires concernant la famille et l'enfance a été actif durant la dernière législature, mais que ses activités ont été abandonnées. Le nouveau groupe se fixe pour objectif de les assumer.

    Selon Mme Rima Braskiene, les députés qui font partie de ce groupe parlementaire veulent montrer qu'ils sont favorables à la famille traditionnelle fondée sur un mariage entre un homme et une femme, et qu'ils vont se battre pour la protection de ces valeurs.

    "Nous allons participer à des activités spécifiques pour promouvoir et faire campagne en faveur de la famille traditionnelle», a déclaré la politicienne.

    Le groupe parlementaire a été créée peu après que la Cour constitutionnelle lituanienne a décrété que le Plan National de la Famille fournit une définition inconstitutionnelle de la famille lorsqu'il déclare que la famille ne peut être fondée que sur un mariage entre un homme et une femme.

    Aussi, cette semaine, Marija Ausrine Pavilioniene, un membre du Parlement, a présenté un projet de loi pour un partenariat civil unissant des personnes de même sexe.

    source : Talpa Brusseliensis Christiana

  • Le pape Benoît XVI bientôt à Bruxelles ?

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    225px-herman_van_rompuy_portrait.jpgL’agence de presse Cathobel a publié l’annonce suivante : « Le 12 novembre, le président du Conseil européen sera reçu en audience par le pape Benoît XVI. Ce sera la première audience du représentant des institutions de l’Union européenne, depuis son entrée en fonction le 1er janvier 2010. Le président du Parlement européen, le polonais Jerzy Buzek, et le président de la Commission européenne, le portugais José Manuel Barroso, ont déjà été reçus en audience privée par Benoît XVI.

    Par ailleurs, à la fin du mois de novembre, ce sera au tour du premier ministre libanais, Najib Mikatil, d’être reçu par le pape.

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  • L'Eglise a le droit de parler quand la dignité humaine est menacée

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    Radio Vatican :

    "Benoît XVI a reçu, ce lundi 7 novembre, le nouvel Ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne près le Saint-Siège, Reinhard Schweppe, venu lui présenter ses lettres de créances. Dans son discours, le Pape a plaidé pour la protection des valeurs humaines et pour le droit des femmes.

    L’Eglise défend la dignité humaine. C’est pourquoi elle dit non aux manipulations génétiques, car une société qui se veut humaine doit respecter et défendre la dignité de toute personne, de sa conception jusqu’à sa mort naturelle. L’Eglise dit non à la pornographie sur internet qui constitue un des symptômes de l’exploitation et de la discrimination dont les femmes sont actuellement victimes. Le Pape a également pointé du doigt les tendances matérialistes et hédonistes qui blessent la dignité des femmes. Pour Benoît XVI, aujourd’hui, des valeurs fondamentales de l’existence humaine sont à nouveau remises en question. L’Eglise n’essaye pas d’imposer indirectement sa foi aux autres, elle défend des valeurs évidentes pour tous, même si des intérêts de genres divers semblent vouloir occulter cette évidence. L'Eglise voit là, au delà du domaine propre de sa foi, un devoir de défendre, dans l'ensemble de notre société, ces vérités et ces valeurs, pour lesquelles la dignité humaine est en jeu."

    Le discours du pape, en allemand, est ici : http://www.vatican.va/

  • France : grande marche pour le respect de la Vie, le 22 janvier 2012

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  • Suisse : une nomination épiscopale importante

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    8_12_2010_Benedict_Morerod_CNA.jpgSelon l’agence Apic, le pape Benoît XVI a nommé le dominicain fribourgeois Charles Morerod évêque de Lausanne, Genève et Fribourg (LGF). L’information, qui va être publiée à Rome jeudi 3 novembre et devait être communiquée au même moment par l’évêché, a été divulguée dès mercredi par la presse romande. Contacté mercredi par l’Apic, l’évêché n’a ni voulu commenter, ni voulu confirmer ou infirmer la nouvelle. Qui devrait être confirmée officiellement aujourd’hui.

    L’Apic a obtenu une confirmation du côté de la famille. Cette nomination met fin à plus de 13 mois d’attente, après le décès, mardi 21 septembre 2010, de Mgr Bernard Genoud. Le dominicain Charles Morerod, qui vient de fêter ses 50 ans, exerce la fonction de recteur de l’Université pontificale S. Thomas d’Aquin, l’Angelicum, à Rome.

    Un dominicain connu et apprécié par Benoît XVI

    Théologien thomiste, Charles Morerod a vécu une année 2009 marquée par une série de quatre nominations importantes à Rome. Il a été nommé tour à tour Secrétaire général de la Commission théologique internationale, Consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la foi, puis membre de la Commission de dialogue avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X et enfin Recteur de l’Angelicum.

    C’est le pape Benoît XVI lui-même qui avait choisi Charles Morerod comme Secrétaire général de la Commission théologique internationale, un poste-clé qui a entraîné les deux autres nominations au Vatican. Le cardinal William Levada, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, avait en effet affirmé au dominicain: "Si vous acceptez, le Saint-Père en serait très heureux".

    Puis, quelques mois plus tard, il est élu recteur de l’Angelicum, au terme d’une procédure en deux phases, qui rappelle un peu celle de la nomination des évêques: un collège électoral interne établit une liste de trois candidats et la présente au Maître général des dominicains – qui a le titre de Grand Chancelier de l’Université – lequel choisit un des trois nominés.

    C’est sur l’insistance du Maître général, le Père Carlos Alfonso Azpiroz Costa, que Charles Morerod finit par accepter. Encore marqué par les appels du pape, il avait mené une campagne active pour ne pas être élu. Il l’a dit ouvertement au sein de l’Angelicum: "Je ne veux pas devenir recteur". "Finalement, j’ai obéi", avait-il lâché l’an dernier à l’Apic.(...) Toute l’information ici : Les médias romands précèdent l’annonce officielle prévue ce jeudi   

    Notre confrère « Le Swiss Romain » se réjouit de la nomination de ce grand format, au moment où l'Eglise se prépare à entrer en 2012 dans une année consacrée à la foi : une foi  qui, en Suisse comme ailleurs en Europe s’est largement effondrée au fil des années postconciliaires.,

  • En Espagne, en cas de victoire de la droite...

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    Voir ici : http://www.lalibre.be/, car les agences de presse ne "rigolent" pas quand elles menacent de faire fermer des sites ou des blogs utilisant leurs dépêches sans y être abonnés.

  • "L'avortement ne peut pas être un droit en soi"

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    Revue de presse quotidienne de genethique.org

    "Lors d'une conférence de presse qui s'est tenue durant la session plénière du Parlement européen à Strasbourg le 26 octobre 2011, le Centre européen pour le droit et la justice (European Centre for Law and Justice, ECLJ) a présenté un document appelé les Articles de San José destiné aux responsables politiques et visant à développer une compréhension objective des modalités de protection du droit à la vie par le droit international.

    Adoptés le 25 mars 2011 au Costa Rica, ces articles ont été lancés collectivement, notamment à New York (ONU), à Washington, à Londres et à Madrid.

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  • Monseigneur Rey, un évêque entreprenant et atypique

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    Nous trouvons ici ces extraits d'un article de l'Homme Nouveau consacré à l'évêque de Fréjus-Toulon :

    "L’Homme Nouveau a tracé un portrait de Mgr Dominique Rey, évêque actuel du diocèse de Fréjus-Toulon, qui pourrait être nommé prochainement à un poste plus prestigieux :

     Mgr Rey est né à Saint-Étienne en 1952. Il a fait des études très pointues de fiscalité et d’économie (maîtrise en économie politique, doctorat en économie fiscale), et a été inspecteur des finances durant trois ans. II s’est alors orienté vers le sacerdoce et est entré au séminaire de Paris, comme membre de la Communauté de l’Emmanuel, au cours de ce qu’il est convenu de qualifier « les années de plomb ». C’est le couvent des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré qui l’a accueilli, avec d’autres séminaristes de même « profil ». Il obtint une licence de théologie et un diplôme en droit canonique (il obtiendra plus tard un doctorat en Droit canonique) à l’Institut catholique de Paris, et a été ordonné en 1984 par le cardinal Lustiger, pour le diocèse de Paris. D’abord aumônier à Stan (le lycée Stanislas, rue Notre-Dame-des-Champs), il devint ensuite vicaire à Sainte-Marie-des-Batignolles. Puis il quitta Paris de 1986 à 1988, pour devenir supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, sanctuaire confié à sa Communauté. Il est ensuite rappelé à Paris, pour devenir curé de la très vivante paroisse de La Trinité, elle aussi confiée à l’Emmanuel, de 1995 à 2000.

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