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Famille - Page 124

  • Ramdam helvétique autour d'une définition hétéro du mariage en passe d'être inscrite dans la constitution

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    Lu ICI :

    «UNE GIFLE POUR TOUS LES HOMOS SUISSES»

    Au grand dam des associations LGBT, le Gouvernement helvétique a accordé son soutien à l'initiative «Non à la pénalisation du mariage». Un texte qui introduit en douce une définition strictement hétéro des unions.

    Le Conseil fédéral n’a rien trouvé à redire à l’initiative du Parti démocrate-chrétien (PDC) baptisée «Non à la pénalisation du mariage». Mercredi, le Gouvernement s’est exprimé en faveur du texte, déposé en décembre dernier, et qui sera donc soumis au peuple. Cette proposition vise à modifier la Constitution de manière à placer les couples mariés sur un pied d’égalité avec les célibataires en matière d’impôts et d’assurances sociales. Depuis son lancement, elle avait pourtant fait l’objet de mises en garde répétées de la part des organisations LGBT helvétiques. En cause, une petite phrase aux conséquences lourdes: Le mariage, dit l’initiative, est «l’union durable réglementée par la loi d’un homme et d’une femme».

    PRÉOCCUPANT

    Une modification de la loi fondamentale dans ce sens serait «une gifle pour toutes les personnes aimant une personne du même sexe, souligne un communiqué commun de six formations politiques helvétiques allant des Gays dans l’UDC aux Jeunes socialistes. Le fait que le Conseil fédéral n’a pas mis un seul mot sur cette définition du mariage dans son communiqué de presse est particulièrement préoccupant.»

    Dans la foulée, LOS, Familles Arc-en-Ciel, Transgender Network et Pink Cross met en évidence le grand bond en arrière que constituerait une telle disposition pour la Suisse alors que l’Espagne, par exemple, vient de confirmer le droit constitutionnel au mariage égalitaire. Ce pays, note le communiqué, «a réussi le pari de représenter et d’intégrer au sein de la société la diversité des modèles familiaux, ceci sans grand conflit. [..] La constellation que nous présente le PDC comme étant la famille idéale, papa/ maman/enfant cache l’évidence: la grande majorité des familles ne ressemble en rien à ce modèle, mais plutôt à une famille monoparentale, à un patchwork familial, ou à une famille homoparentale.»

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  • Banneux : Pause Partage Prière des Pères

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    Inscriptions : Auprès de M. Simon MARTIN P4@stjean-banneux.com 

    Tel : 087-31-60-62 / GSM : 04-97-33-09-49 

    Frais : 34 € + Participation libre pour la prédication 

    N° de compte : 775-5949405-28 (IBAN : BE 37 7755 9494 0528 – BIC : HKCCBEBB) 

    Merci d’apporter vos draps, ou suppléments de 7 €

  • Joie, fidélité et solidarité intergénérationnelle au coeur du message adressé par le pape aux familles

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    Des dizaines de milliers de familles des quatre coins du monde sont en effet à Rome ce samedi 26 et dimanche 27 septembre, pour un pèlerinage dans le cadre de l'Année de la foi. (zenit.org)

    Voici le texte du pape prononcé pour l'occasion, après différents témoignages de familles :

    Chères familles,

    Bonsoir et bienvenue à Rome !

    Vous êtes venus de plusieurs régions du monde, en pèlerins, pour professer votre foi devant la tombe de saint Pierre. Cette place vous accueille et vous prend dans ses bras : nous sommes un seul peuple, avec une seule âme, appelés par le Seigneur qui nous aime et nous soutient. Je salue aussi toutes les familles qui sont reliées par la télévision et par l’Internet : c’est une place qui s’élargit sans limites.

    Vous avez voulu appeler ce moment : « Famille, vis la joie de la foi ». Ce titre me plaît. J’ai écouté vos expériences, les histoires que vous avez racontées. J’ai vu beaucoup d’enfants, beaucoup de grands-parents… J’ai entendu la douleur des familles qui vivent une situation de pauvreté et de guerre. J’ai écouté les jeunes qui veulent se marier malgré mille difficultés. Et maintenant nous nous demandons : comment est-il possible de vivre la joie de la foi, aujourd’hui, en famille ? Mais je vous demande aussi : « est-ce possible de vivre cette joie ou ce n’est pas possible ? »

    1. Il y a une parole de Jésus, dans l’Evangile de Matthieu, qui nous éclaire : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos » (Mt 11, 28). La vie souvent est pénible, souvent aussi tragique ! Nous avons entendu récemment... Travailler est pénible, chercher un travail est pénible. Et trouver du travail aujourd’hui nous demande beaucoup d’effort. Mais ce qui est le plus pénible dans la vie ce n’est pas cela : ce qui est plus pénible que toutes ces choses c’est le manque d’amour. C’est pénible de ne pas recevoir un sourire, de ne pas être accueilli. Ils sont pénibles certains silences, parfois aussi en famille, entre mari et femme, entre parents et enfants, entre frères. Sans amour, la peine devient plus pesante, insupportable. Je pense aux personnes âgées qui sont seules, aux familles qui peinent de ne pas être aidées à soutenir ceux qui, à la maison, ont besoin d’attentions spéciales et de soins. « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau », dit Jésus.

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  • La pilule, une violence faite au corps de la femme

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    Amère pilule

    Rédigé par Adélaïde Pouchol le 25 octobre 2013 dans Éthique et tac (L'Homme Nouveau)

    Les politiciens, ça ose tout et c’est même à cela qu’on les reconnaît. En 2012, éclatait le scandale des pilules contraceptives de 3e et 4e génération grâce à Marion Larat, jeune femme victime d’un AVC suite à l’utilisation de l’une de ces pilules et qui venait de porter plainte contre le laboratoire pharmaceutique Bayer. Les complications et risques de thrombose veineuse dus aux pilules contraceptives ont alors été confirmés par nombre d’experts et en juin 2012, la Commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux reconnaissait le lien de cause à effet entre la pilule et l’AVC de Marion Larat.

    Après elle, d’autres femmes victimes des effets secondaires de la pilule ont rendu publique leur histoire, faisant apparaître au grand jour, au mieux l’ignorance, au pire la criminelle désinvolture des médecins qui prescrivaient ces contraceptifs à des femmes pourtant susceptibles d’en faire les frais. Les effets de la médiatisation de ce scandale ne se firent pas attendre puisqu’en un an, la consommation des pilules de 3e et 4e génération a baissé de 52 % en France. Les femmes ont jeté leur dévolu sur les pilules de 1re et 2e génération et fait bien vite une croix sur les désagréments de ces dernières par rapport aux contraceptifs des générations suivantes : prise de poids, peau et cheveux et peau plus gras, etc. De son côté, le ministère de la Santé a mis fin le 31 mars 2013 au remboursement de ces produits par la Sécurité sociale. Depuis, le sujet a été mis aux oubliettes… jusqu’à ce que Marion Larat publie mi-octobre le livre La pilule est amère (Stock) et rappelle à la mémoire des Français les risques que présentent ces dangereux cocktails d’hormones. Ce n’est pas que Marion Larat fut à l’origine une fervente partisane des méthodes de régulation naturelle des naissances : elle a pris la pilule comme 80 % des Françaises qui utilisent un moyen de contraception. Mais la réalité lui a éclaté à la figure de manière trop dramatique… Hasard ou sombre machination, l’ouvrage est sorti tandis que l’Agence européenne du médicament rendait public le 11 octobre dernier un avis favorable aux pilules de 3e et 4e génération. L’organisme estime que les avantages de ces contraceptifs demeurent supérieurs aux risques dont ils sont porteurs et qu’un bon suivi médical ainsi que des notices d’utilisation plus détaillées suffiront à écarter le danger.

    La politique du risque zéro est bien vite oubliée lorsque l’idéologie ou l’argent sont en jeu. Que l’on ne s’y trompe pas, la contraception représente un marché extrêmement juteux. Par ailleurs, la remise en cause radicale de la pilule n’est pas compatible avec la politique anti-vie menée par nos dirigeants. La pilule ne peut, ne doit pas être assimilée à un produit dangereux et les Françaises sont priées d’oublier qu’elles ingèrent des produits destinés à perturber un cycle pourtant normal non pas pour soigner – auquel cas la pilule est utilisée comme un médicament – mais pour empêcher la vie d’advenir. Les pilules sont une violence faite au corps de la femme mais c’est un secret d’État bien gardé…

  • La bonne nouvelle de la famille, moteur du monde et de l'histoire

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    La famille, moteur du monde et de l'histoire

    (Zenit.orgLe pape a reçu les participants à la XXIe Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la famille, vendredi matin, 25 octobre 2013, à 12h30, dans la salle Clémentine du palais apostolique du Vatican.

    « La famille est fondée sur le mariage », qui est « la base sur laquelle se fonde la famille et qui rend plus solide l’union des époux et le don mutuel qu’ils se font l’un à l’autre », leur a-t-il déclaré.

    Le pape a encouragé à « dire aux jeunes époux qu’ils ne terminent jamais une journée sans faire la paix entre eux » car « les épreuves, les sacrifices et les crises du couple, comme de la famille, représentent des passages pour grandir dans le bien, la vérité et la beauté ».

    Il a également demandé aux parents de « perdre du temps » avec leurs enfants, de « jouer avec eux » car « la gratuité est tellement importante ».

    Discours du pape François

    Messieurs les cardinaux,

    Chers frères dans l’épiscopat et le sacerdoce,

    Chers frères et sœurs,

    Soyez les bienvenus à l’occasion de la XXIe Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la famille. Je remercie le président, Mgr Vincenzo Paglia, pour les paroles avec lesquelles il a introduit notre rencontre.

    1 Le premier point sur lequel je voudrais m’arrêter est celui-ci : la famille est une communauté de vie qui a une consistance proprement autonome. Comme l’a écrit le bienheureux Jean-Paul II dans l’exhortation apostolique Familiaris consortio, la famille n’est pas la somme des personnes qui la constituent, mais une « communauté de personnes » (cf. N. 17-18). Et une communauté est plus que la somme des personnes.

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  • Mariage : rappel de la doctrine de l'Eglise sur l'indissolubilité du lien conjugal

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    Document : la mise au point du St-Siège sur l’indissolubilité du mariage

    par Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (25 octobre 2013)

    Après l'annonce d'un synode extraordinaire qui se tiendra en octobre 2014 sur la pastorale de la famille et des interventions du pape François mal comprises, de nombreux avis plus ou moins autorisés ont laissé entendre que la position de l’Eglise pourrait changer sur la question des fidèles divorcés et remariés. Pour éclairer ce thème de l'accompagnement pastoral de ces fidèles en cohérence avec la doctrine catholique, l’Osservatore Romano publie une contribution de Mgr Müller, archevêque préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

    LA DISCUSSION concernant la problématique des fidèles qui ont contracté un nouveau lien civil après un divorce n’est pas nouvelle et a toujours été suivie avec un grand sérieux par l’Église dans l’intention d’aider les personnes concernées. En effet, le mariage est un sacrement qui touche de manière particulièrement profonde la réalité personnelle, sociale et historique de l’homme. En raison du nombre croissant de personnes concernées dans les pays d’antique tradition chrétienne, il s’agit d’un problème pastoral de grande portée. Aujourd’hui, des personnes tout à fait croyantes se demandent sérieusement : l’Église ne peut-elle pas permettre aux fidèles divorcés remariés d’accéder, sous certaines conditions, aux sacrements ? L’Église a-t-elle les mains liées à jamais en cette matière ? Les théologiens ont-ils vraiment déjà dégagé toutes les implications et les conséquences relatives à cet égard ?

    Ces questions doivent être discutées en accord avec la doctrine catholique sur le mariage. Une pastorale responsable présuppose une théologie qui s’en remet tout entière et librement à Dieu « dans un complet hommage d’intelligence et de volonté à Dieu qui révèle et dans un assentiment volontaire à la révélation qu’il fait » (Concile Vatican II, Constitution dogmatique Dei Verbum, n. 5). Pour rendre compréhensible l’enseignement authentique de l’Église, nous devons procéder à partir de la Parole de Dieu qui est contenue dans l’Écriture Sainte, exposée dans la Tradition de l’Église et interprétée normativement par le Magistère.

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  • Divorcés-remariés : sujet phare du prochain synode consacré à la famille ?

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    C’est ce que la presse a déjà annoncé à son de trompe. Or, dans l’Osservatore Romano, voici que le Préfet de la Congrégation romaine pour la doctrine de la foi recadre clairement la question :

    « Bien que l’admission des divorcés remariés aux sacrements ne soit pas possible en raison de la nature profonde de ces derniers, les efforts pastoraux s’imposent d’autant plus envers ces fidèles, même si ceux-ci doivent se conformer aux normes dérivant de la Révélation et du Magistère de l’Église. Le parcours indiqué par l’Église pour les personnes concernées n’est pas simple, mais elles doivent savoir et sentir que l’Église accompagne leur chemin en tant que communauté de salut. À travers leur effort pour comprendre la pratique de l’Église et ne pas s’approcher de la Communion, les partenaires rendent témoignage, à leur manière, à l’indissolubilité du mariage. 

    Le souci pour les divorcés remariés ne devrait certes pas se réduire à la question de la réception de l’Eucharistie. Il s’agit d’une pastorale plus globale qui cherche à tenir compte le plus possible des différentes situations. Il est important de savoir, à ce propos, qu’outre la Communion sacramentelle, il existe encore d’autres manières d’entrer en communion avec Dieu. La relation avec Dieu est réalisée lorsqu’on s’adresse à lui dans la foi, dans l’espérance et dans la charité, dans le repentir et dans la prière. Dieu peut accorder sa proximité et son salut aux hommes à travers diverses voies, même s’ils vivent des situations contradictoires. Comme le soulignent constamment les récents documents du Magistère, les pasteurs d’âmes et les communautés chrétiennes sont appelés à accueillir avec ouverture et cordialité les personnes vivant dans des situations irrégulières, pour être à leurs côtés avec empathie, les aidant et pour leur faire sentir l’amour du Bon Pasteur. Une pastorale fondée sur la vérité et sur l’amour trouvera toujours à nouveau dans ce domaine les voies et les formes justes. »

    Texte à lire en entier ici : La force de la grâce Contribution d’une grande clarté de l’archevêque-préfet, Mgr Müller. JPSC

    Lire aussi : Divorcés remariés. Müller écrit, François dicte

  • La demande d'obsèques religieuses resterait très forte, mais…

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    Selon le site de "La Vie":

    "Pas moins de 70 % des obsèques en France sont religieuses selon une étude menée par les Pompes funèbres générales que La Vie publie en exclusivité. Ce qui n'empêche pas une progression importante des obsèques civiles et de la crémation comme mode de sépulture.

    Les obsèques religieuses se maintiennent à un niveau très élevé en France. C'est la principale information d’une étude menée par le groupe OGF (Pompes funèbres générales) et que La Vie publie en exclusivité. Pas moins de 7 familles sur 10 ont recours à cette pratique. L'étude, basée sur une observation des convois funéraires du mois de juin dernier, montre aussi que le mode de sépulture est celui de l’inhumation dans la grande majorité des cas pour les obsèques religieuses. « Pour les Français, les funérailles sont de loin la cérémonie la plus importante, bien avant le mariage. Et ce besoin de rite semble même s’accroître », explique Tanguy Chatel, anthropologue et chargé de mission à l’Observatoire national de la fin de vie. Pour lui, le maintien relatif des obsèques religieuses reflète à la fois « le besoin universel du cultuel que les cérémonies civiles ne satisfont pas toujours », et « le besoin spirituel qui est en plein essor aujourd’hui ». 

    Par ailleurs, l'Eglise catholique « offre encore des repères et un lieu approprié et pratique pour accueillir des gens afin de rendre hommage au défunt, le tout indépendamment de la question du sens », constate Jean Ruellan, responsable de communication au groupe OFG et l'un des architectes de l'étude. On comprendrait ainsi pourquoi la part de funérailles religieuses dépasse largement celle des Français qui se disent croyants (60 %) et a fortiori celle des chrétiens pratiquants réguliers (5 %). 

    Mais cette remarquable constance ne doit pas faire oublier une progression, spectaculaire, des obsèques civiles et de la crémation. C'est le deuxième constat établi par cette étude. Les obsèques civiles sont passées de 25 % à 30 % en seulement cinq ans (par rapport à 2008, année de la première étude d'OGF). Parallèlement, le nombre de crémations se trouve également en forte hausse : 36 % en 2013 par rapport à 28 % il y a cinq ans. Une pratique qui ne suppose pas forcément le choix d’obsèques civiles (l'Eglise catholique déconseille la crémation, mais ne l'interdit pas ; les Eglises protestantes l'acceptent). Mais la tendance est clairement en faveur d’une cérémonie non religieuse. Celle-ci est choisie par une majorité (53 %) de ceux qui recourent à la crémation. 

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  • Avortement sélectif : en Europe aussi...

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    Lu sur le site de la RTBF (A. Degand) :

    Avortement sélectif: l'Europe aussi préfère les garçons

        Si en Occident, une majorité de citoyens disent n'avoir pas de préférence quant au sexe de leur enfant, les statistiques montrent pourtant que les naissances masculines sont bien plus nombreuses, et ce particulièrement dans les Balkans. Ces pratiques se justifient par des traditions culturelles ainsi que par le poids financier que représentent les filles dans ces pays.

        On savait les asiatiques plus enclins à avoir des garçons. Pas étonnant donc si l'Inde, la Chine ou le Vietnam se trouvent dans le top 10 des pays dont le ratio filles/garçons est le plus inégal. 

        Ce qui est plus surprenant par contre, c'est qu'ils se partagent le top 10 avec des pays... européens. 

        Un classement des pays selon leur ratio filles/garçons réalisé par la CIA montre en effet que plusieurs pays européens (Liechtenstein, Albanie, Arménie, Macédoine, Georgie, Kosovo) semblent pratiquer l'avortement sélectif.

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  • L'Afrique résiste à la promotion de l'avortement et de l'homosexualité

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes pays africains combattent les avancées du mouvement homosexuel à l’Onu

    NEW YORK, 11 octobre (C-FAM) Tard dans la nuit de vendredi dernier, lors de la dernière table ronde organisée dans le cadre d’une série de conférences internationales, les délégations africaines ont rejeté les tentatives de promotion de l’homosexualité et de l’avortement à l’Onu.

    Les participants de la conférence, organisée dans le but de définir un nouvel agenda pour le développement en Afrique, ont été témoins d’un conflit entre les valeurs régionales et les normes « progressives » poussées de force par les agences de l’Onu sur des question controversées, par exemple l’avortement et l’orientation sexuelle. Les décideurs africains s’étaient bien préparés à combattre, lors de la conférence africaine, les formules avancées par le lobby des droits sexuels.

    Lors d’une conférence de presse, la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) a pris note de ce que 17 Etats avaient émis des réserves sur trois objectifs mentionnés aux conclusions de la conférence, et minimisé leur importance en considérant que c’était « normal pour ce type de négociations »

    La controverse concerne l’appel au respect des droits de l’homme pour tous « sans distinction aucune », une formule qui, aux aveux mêmes de la CEA, est ouverte à une « interprétation élastique, qui pourrait revêtir des significations inacceptables en Afrique, et ce pour plusieurs raisons ».

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  • Rome : un synode extraordinaire pour changer la position l’Eglise sur les divorcés-remariés ?

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    Lu sur le site de « La Vie » (extraits)

    Le pape François avait déjà évoqué cette possibilité en juillet dernier, dans l'avion qui le ramenait des Journées mondiales de la jeunesse de Rio de Janeiro, au Brésil et le Vatican a officialisé l'information mardi 8 octobre : une assemblée extraordinaire du Synode des évêques sera convoquée à Rome du 5 au 19 octobre 2014 afin de travailler aux « défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », d'après l'agence I.Media. En d'autres termes : le premier synode du nouveau pontificat sera consacré à la famille (…)

    Dans la perspective de cette réunion, c'est la pastorale des personnes divorcées et remariées civilement qui attire évidemment les regards, et notamment la question d'un potentiel assouplissement des règles qui entourent leur accès aux sacrements de l'Eglise catholique. En effet, le mariage étant un sacrement indissoluble pour les catholiques, ceux qui se séparent et se remarient ne peuvent actuellement plus recevoir les sacrements – au premier rang desquels la communion eucharistique – à moins que leur premier mariage ne soit reconnu comme « nul » canoniquement par un tribunal ecclésiastique (souvent après des démarches longues de plusieurs années)

    (…) Ces dernières semaines, plusieurs signes ont pu laisser entrevoir un possible changement. Le pape a par exemple évoqué le sujet à deux reprises en des termes, certes prudents, mais ouverts à une nouvelle réflexion. Ainsi, aux journalistes qui l'accompagnaient dans l'avion au retour du Brésil, fin juillet, François avait appelé à étudier cette question « dans la totalité de la pastorale matrimoniale », tout en suggérant que « le problème juridique de la nullité du mariage » devait être revu. Par ailleurs, le 16 septembre dernier, lors d'une rencontre avec les prêtres du diocèse de Rome, il avait admis que « l’Eglise doit faire quelque chose pour résoudre les problèmes des nullités » de mariage, appelant par exemple à « trouver une autre voie, dans la justice »,sans entrer dans le détail de ce que pourrait être cette « autre voie ».

    Autre signe récent, hors du Vatican cette fois, un service du diocèse allemand de Fribourg-en-Brisgau a publié un document qui autorise les prêtres à « ouvrir la possibilité de recevoir les sacrements » pour les personnes divorcées et remariées civilement, sous condition d'un discernement spirituel appuyé sur des points précis.

    Lire notre article à ce sujet

     

    Cette décision du pape a été qualifiée de « très importante » par le père Lombardi, qui a également mis en garde contre l'initiative du diocèse de Fribourg et appelé à se mobiliser« communautairement » pour « prendre des orientations pastorales communes ».

    Réf. : Le pape convoque un synode sur la famille

    Quo vadis ?

    JPSC

  • Inde : ouverture d'une "usine à bébés"

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    Lu sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (8 octobre) :

    Une "usine à bébés" en Inde

     En Inde, à Anand, dans la province du Gurajat, une véritable "usine à bébés" va voir le jour à l'initiave de Nayna Patel, une femme médecin spécialiste de la fécondation in vitro et formée à Singapour, en Angleterre et Corée du Sud. Cette grande clinique de mères porteuses s'adresse aux couples infertiles principalement occidentaux et "abritera des centaines de mères porteuses". 

    Selon Nayna Patel, "les femmes doivent avoir moins de 45 ans, être en bonne santé et avoir déjà eu au moins un enfant, pour éviter qu'elles ne s'attachent au bébé". Les règles de l'établissement sont extrêmement sévères pour la mère porteuse sur qui repose une grande responsabilité. En effet, que ce soit le médecin, l'hôpital ou le futur couple, aucun n'est responsable d'éventuelles complications qui pourraient intervenir. Face à de telles pratiques, de nombreuses critiques ont émergé: Nayna Patel "exploite la pauvreté et le corps de ces femmes". Elle tente de se défendre en précisant "que les mères porteuses réalisent un travail physique et qu'elles sont rémunérées pour cela". 

    Actuellement, "le marché indien de la gestation pour autrui est évalué à plus d'un milliards de dollars par an", dans ce "pays où un tiers de la population vit avec moins de 0,6 dollar par jour". L'association pour le droit des femmes All India Democratic Women's a fait part de sa vive inquiétude de "la pratique même de la gestation pour autrui dans un pays où les femmes n'ont pas de ressources financières". Les parents qui souhaitent concevoir un enfant en recourant à cette clinique indienne débourseront la somme de 28 000 dollars, "tarif très inférieur à celui pratiqué aux Etats-Unis" où la gestation pour autrui est autorisée. Les mères porteuses de la clinique toucheront quant à elles 8 000 dollars.