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Famille - Page 66

  • Salzinnes (Namur), paroisse Sainte-Julienne (20-27 novembre) : grande mission paroissiale

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    Grande mission paroissiale pour tous à la paroisse Sainte-Julienne de Salzinnes-Namur.

    Salzinnes, le 21 novembre 2016. « Voici que je fais toutes choses nouvelles » sera la thème de la grande mission paroissiale qui a lieu à la paroisse Sainte-Julienne de Salzinnes-Namur du 20 au 27 novembre 2016. Plus de 1.000 personnes sont attendues pour vivre six jours de rencontres, de partage, à l’invitation du pape François qui incite les chrétiens à sortir sur le « parvis de l’église ». Six jours aussi pour découvrir qui sont nos voisins et, pourquoi pas, qui est Dieu. La mission est placée sous le patronage de sainte mère Teresa, qui avait un jour répondu à un journaliste: « L’isolement social est sans doute actuellement la plus grande forme de pauvreté en Europe». Les paroissiens de Sainte-Julienne s’y engagent déjà au travers de « Noël pour tous », bien connu des namurois. Cette mission est organisée par la paroisse avec le soutien de l’Emmanuel School of Mission et de la Communauté de l’Emmanuel. Plus de 20 activités pour tous sont proposées durant toute la semaine.

    Le père Cédric Claessens, curé de la paroisse sainte-Julienne : « C’est fantastique de vivre une telle mission qui va renouveler l’élan missionnaire de notre paroisse. Je me réjouis d’accueillir les 20 jeunes de l’Emmanuel School of Mission qui vont co-animer cette semaine avec nous, ils se forment durant une année pour fonder leur vie sur le roc. J’ai moi-même vécu cette année il y a longtemps et de nombreux jeunes namurois aussi. »

    Anne-Claire Verscheure, coordinatrice de la mission : « Nous avons souhaité que cette mission permettre à chacun d’y prendre part. Pour les familles, une balade ludique, un spectacle sur mère Teresa, une veillée de la miséricorde. Pour les jeunes, hands-up bar, lieu  de rencontre et de partage de la foi et du sens de la vie, la 6è édition de la MoonWalk durant la nuit de vendredi à samedi, pour les hommes car ils savent pourquoi, ou la journée spéciale jeunes de samedi. »

    Suivez la mission en direct

    Aimez la nouvelle page de la paroisse sainte-Julienne
    https://www.facebook.com/Paroisse-Sainte-Julienne-Namur-994866100658655/?fref=ts
    et vous pourrez suivre la mission paroissiale co-animée par l'Ecole de Mission de Paray-le-Monial, avec 20 jeunes qui prennent une année pour fonder leur vie sur le roc !

    Le programme :

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    Le programme jeune :

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    MISSION ESM SPECIALE JEUNES du 20 au 27 nov,

    semaine missionnaire à Ste Julienne Namur, 

    Animée par les jeunes de l'ESM de Paray, 23 jeunes qui vivent une année de feu pour construire leur maison sur le roc dans une école de mission à Paray-le-monial, ville du Sacré-Cœur de Jésus.

    Programme jeunes :

    • mercredi 23, 19h30 à 22h, Hand’s Up Bar
      Souper + soirée, questions sans tabous à quelques jeunes de l'ESM
    • vendredi 25 à 20h15, Night Fever
      dans l’église Ste Julienne
    • nuit du ven 25 au sam 26, Moonwalk
      ( UNIQUEMENT pour les gars ) !
      Départ pour une marche dans la nuit, à la sortie de la Nigth fever, retour au petit matin… 30 gars… 25 km… 1 nuit…Vallées, rivières, feu de bois, silence et ambiance. http:/moonwalk.emmanuelyouth.be
    • Samedi 26, 12h, Grande journée des jeunes #TousEnsemble 
      aprem temps forts avec les jeunes de l’ESM, occasion de discuter mais aussi d’une flashmob…
      11h00 Louange, 12h00 Messe, 13h00 Repas, 14h00 animation et mission en ville
      RDV à la salle St Vincent de Paul à 11h. Inscriptions pour le repas de samedi midi: Anne-Claire +32 (484) 02 11 56 ou familyverscheure@gmail.com
    • Dimanche 27, 17h, Sport course à pied - Best-of Ste Julienne
      avec les jeunes de l’ESM course à pied, témoignage, souper… RDV à 17h à la Salle St Vincent de Paul

    Le programme pour les familles :

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    Présence digitale:

    www.ste-julienne.be

    http://www.emmanuelyouth.be/events/event/mission-paroissiale-a-salzinnes/

    https://www.facebook.com/Paroisse-Sainte-Julienne-Namur-994866100658655/

  • Accès des divorcés remariés aux sacrements: "amour et vérité", le point de vue de Mgr Léonard

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    IMG_6912.JPG« Je suis partisan d’une pastorale très chaleureuse et proactive à l’égard des personnes qui se sont remariées civilement après un divorce civil ou qui vivent en concubinage. L’Eglise doit chercher le contact avec ces personnes, comprendre ce qui s’est passé dans leur vie et les aider à assumer leur situation, en conjoignant, comme le fait un psaume, amour et vérité.

    Autrement dit, je décourage les pastorales qui font comme si cette nouvelle union civile ou ce concubinage étaient ou pouvaient être un mariage sacramentel : non. Et il ne faut pas faire des choses qui y ressemblent car c’est autre chose. Oui, il y a, bien sûr, des éléments positifs qui se vivent mais ce ne sont pas des situations qu’il faut demander au Seigneur de bénir sacramentellement.

    Il n’y a que deux manières de répondre à ce que le Seigneur attend. Lorsqu’on se trouve dans une situation qui ne correspond pas à ce qu’il demande, quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvions, pécheurs que nous sommes, il y a toujours un chemin de salut. Mais il n’y a que deux manières tout à fait acceptables, comme chrétiens, de vivre cette situation :

    D’abord, c’est de se dire : au fond, l’homme ou la femme avec qui je vis n’est pas mon conjoint dans le Seigneur puisque mon conjoint, avec lequel je suis marié sacramentellement, est toujours là. Je ne peux pas en avoir deux. Cette seconde union ne peut pas être un signe sacramentel de l’alliance nouvelle et éternelle.

    Alors, première solution possible : j’en tire les conséquences. Je suis un chrétien à part entière, je participe à l’Eucharistie mais au moment d’exprimer sacramentellement, publiquement, objectivement, l’alliance nouvelle et éternelle, librement je m’abstiens de poser le geste sacramentel, parce que celui-ci est un geste objectif que contredit publiquement ma situation objective d’alliance rompue. Et je connais des gens qui font cela en sachant pourquoi, qui le font par amour et qui, dans cette abstention même, communient à la personne du Seigneur avec une intensité qui souvent m’émeut. En voyant cela, je me dis qu’ils communient au Seigneur peut-être plus profondément que moi quand il m’arrive (le plus rarement possible) d’être distrait en communiant et de me rendre compte que j’ai communié au Corps du Seigneur en pensant à ce qui allait suivre dans l’heure prochaine. Et bien, cela, c’est une conclusion qu’on peut tirer : si elle est tirée avec amour, en ayant compris la profondeur de ce geste d’abstention, elle porte du fruit. J’en ai fait l’expérience chez toutes les personnes qui vivent cela.

    Il existe une autre voie possible, plus exceptionnelle et qui n’est pas recommandable sans une grande préparation, mais je la cite parce que cela existe et je connais des couples qui ont en effet tiré cette conclusion : après une conversion, ils se sont dit voilà, je vis avec une personne qui n’est pas mon conjoint dans le Seigneur. Je vais continuer de vivre avec cette personne, car on ne peut pas se séparer, il y a les enfants etc., mais je vais vivre avec mon conjoint une amitié qui s’exprime autrement que si c’était ma femme ou mon mari, qui trouve une autre forme d’expression, une tendresse qui n’est pas typiquement conjugale. Mais pour cela, il faut être bien préparé, bien motivé.

    Être dans d’autres situations qui ne sont pas telles que le Seigneur et l’Eglise le demandent cela ne veut pas dire que l’on est abandonné. Quand je reçois des personnes que ne peuvent vivre aucune des deux choses que j’ai évoquées, je vis avec ces personnes avec respect, car je suis aussi un pécheur et je vis avec elles un chemin de conversion, d’espérance et de supplication adressée à la miséricorde de Dieu dans ma vie. Cela peut aussi se vivre positivement »

     « Toujours, il faut l’amour et la vérité. L’amour sans la vérité flatte les gens mais cela ne les construit pas et la vérité sans l’amour les détruit, les écrase et ce n’est pas bon non plus. Tout l’art dans ces formations, c’est de conjuguer les deux : le coeur et la vérité, avec cela je pense qu’on peut aller loin ».

    Extraits d’une conférence prononcée à l'Ulg par Mgr Léonard un an avant la publication de l’exhortation papale « Amoris laetitia ».

    JPSC

  • Amoris Laetitia : "c'est le Saint Esprit qui parle à travers ce texte"

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    De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :

    Amoris Laetitia : le Vatican répond aux « doutes » de quatre cardinaux

    Après les critiques de quatre cardinaux contre Amoris laetitia, le cardinal Kevin Farrell, nouveau responsable de la famille au Vatican, prend la défense du texte du pape François.

    Mgr Kevin Farrell, nouveau préfet du dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, et qui sera créé cardinal samedi prochain par le pape François, a pris mardi 15 novembre la défense de l’exhortation apostolique Amoris laetitia, critiquée la veille par quatre cardinaux.

    « Honnêtement, je ne vois pas en quoi et pourquoi quelques évêques semblent penser qu’ils ont à interpréter ce document », affirme, dans une interview au National Catholic Reporter à paraître jeudi 17 novembre, celui à qui le pape François a confié la pastorale familiale.

    Lundi 14 novembre, quatre cardinaux avaient rendu publique une lettre au pape exprimant leurs « doutes » sur le texte pontifical, reprochant à François de ne pas leur avoir répondu.

    « Je pense que le pape a parlé », tranche le cardinal Farrell, en référence à la lettre que François a envoyée début septembre aux évêques de la région de Buenos Aires (Argentine) en réponse à leur projet pastoral ouvrant, après un parcours de discernement, l’accès aux sacrements à certains divorcés remariés.

    Pour le futur cardinal Farrell, s’il est important « d’avoir une discussion » autour d’Amoris laetitia, « il est aussi très important que nous comprenions que c’est le Saint-Esprit qui parle » à travers ce texte.

    « Je pense que le document Amoris laetitia est fidèle à la doctrine et à l’enseignement l’Église », estime-t-il en réponse aux quatre cardinaux qui y voient une rupture avec l’enseignement de Jean-Paul II. « Il s’appuie sur la doctrine de Familiaris consortio de Jean-Paul II, ajoute-t-il. Je le crois passionnément. »

    « C’est le Saint-Esprit qui nous parle, martèle-t-il. Pensons-nous que le Saint-Esprit n’était pas là au premier synode ? Pensons-nous qu’il n’était pas là au second synode ? Croyons-nous qu’il n’a pas inspiré notre Saint-Père François en écrivant ce document ? »

    « C’est l’enseignement de l’Église »

    « Il faut être conséquent ici. Je crois fermement que c’est l’enseignement de l’Église. C’est un document pastoral qui nous dit comment nous devrions procéder. Je pense que nous devons le prendre tel qu’il est », explique-t-il, affirmant que les divorcés remariés doivent pouvoir être inclus à tous les niveaux de l’Église.

    « Cela ne signifie pas que je vous dis qu’ils doivent recevoir la communion. C’est un processus de discernement et de conscience », explique-t-il, soulignant que « nous devons accompagner les personnes dans des circonstances difficiles ».

    « Je crois que c’est ce que nous devons faire, mais cela doit être pris au sérieux. Il ne s’agit pas juste de venir et de s’asseoir avec un prêtre pour parler avec lui. C’est un chemin, un discernement. »

  • 18-19 mars : Marche des pères centrée sur "saint Joseph, guide pour l'homme d'aujourd'hui"

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    Marche des Pères des 18 et 19 mars 2017

    La prochaine marche des pères de famille aura lieu les 18 et 19 mars 2017. Cette date est symbolique car elle correspond à la fête de St Joseph le 19 mars. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons lui donner un éclat particulier. Le thème de cette année est en lien avec la date : « saint Joseph, guide pour l’homme d’aujourd’hui. » Notre objectif est de rassembler au moins 200 pères de famille à cette occasion !! Mobilisons-nous tous.

    Le Père Dominique Janthial sera notre prédicateur.

    Il est : Membre de la Communauté de l’Emmanuel et prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles, Docteur en théologie, Curé de la paroisse universitaire S. François de Louvain-la-Neuve, Président de la Commission Nationale Catholique de contact avec le monde Juif (CNCJ), et il enseigne l’exégèse et la théologie biblique à l’IÉT. (Thèse de doctorat : L’oracle de Nathan et l’unité du livre d’Isaïe, Berlin-New-York, de Gruyter, 2004.) Il a publié, entre autres : L’Apocalypse : ce qui doit être engendré bientôt, Paris, Emmanuel, 2012; « Saint Paul, apôtre du Gender ? » in Gender, qui es-tu ?, coll. IUPG, Paris, Ed. de l’Emmanuel, 2012, pp. 259-268; « Le livre d’Isaïe ou la fidélité de Dieu à la maison de David », Cahiers Evangile 142, Paris, Cerf, 2007.

    Informations pratiques pour les pères de famille

    PROGRAMME (susceptible de modifications)

    Samedi 18/03/2017 :

    • 9h30 maximum : Rendez-vous au prieuré des frères de Saint Jean à Banneux (Rue de l’esplanade – 4141 Banneux) pour déposer les grands sacs.*
    • 10h00 : Déplacement vers le départ de la marche.
    • 10h30 :Messe d’envoi à Haute Desnié (4910).
    • 11h30 : Départ de la marche en chapitres.
    • Marche en alternance avec temps de méditation, prière et enseignement (environ 20 km).
    • 18h00-18h30: Arrivée au prieuré des frères de St Jean à Banneux. Installation dans les chambres du prieuré et de l’hospitalité du sanctuaire.
    • 19h00 : Apéritif.
    • 20h00 : Dîner.
    • 21h30 : Veillée, adoration et sacrement de réconciliation.

    Dimanche 19/03/2017

    • 06h45 : oraison
    • 07h30 : laudes
    • 08h00 : petit déjeuner, rangement
    • 09h00 : départ de la marche vers Tancrémont. Marche en alternance avec temps de partage en chapitre et prière (environ 10 km). Enseignement à mi-parcours.
    • 12h00 : Arrivée au Sanctuaire de Banneux
    • 12h30 : Messe avec les familles
    • 13h45 : Bénédiction des familles à la source
    • 14h15 : Repas tiré du sac avec toutes les familles au prieuré St Jean
    • 16h00 : Fin de la Marche des Pères de Famille 2017. Retour dans les foyers.

    EQUIPEMENT ET SAC DU MARCHEUR

    Le climat dans cette région est très changeant en cette époque de l’année. Il neigeait début mars 2016 !!

    Prévoir de bonnes chaussures de marche (pas de tennis, ni de chaussures « bateau ») et de bonnes chaussettes; le petit sac (à dos) pour la marche du samedi avec le pique-nique et boisson pour le samedi midi et pour la marche, de quoi écrire et tout autre document vous aidant à méditer ou à prier. Un carnet d’accompagnement vous sera fourni, un vêtement de pluie, poncho ou autre; gants, écharpe, vêtement chaud sont recommandés;

    Le ‘grand’ sac à dos pour le soir : celui ci sera déposé le samedi matin au prieuré. Vous ne marcherez pas avec. pour le samedi soir : le dîner nous sera préparé chez les frères; de quoi dormir : duvet, affaires de nuit et de toilette; de quoi se changer à l’arrivée de la marche samedi soir (inclure chaussures); repas du dimanche : le petit déjeuner est servi chez les frères. Il est prévu que le repas de dimanche midi sera apporté par les familles et partagé avec les participants. Pour les « célibataires », les frères de saint Jean y pourvoiront.

    Informations pratiques pour les familles

    Les familles qui le veulent rejoignent les pères le dimanche en fin de matinée

    • 12h00 : Arrivée au prieuré saint Jean (rue de l’esplanade). Vaste Parking.
    • 12h30 : Messe au sanctuaire de Banneux.
    • 13h45 : Bénédiction des familles à la source.
    • 14h15 : Repas tiré du sac au prieuré Saint Jean.
    • 16h00 : Départ de Banneux.

    http://marchedesperes.be/marche-des-peres-2107/

     

  • "Amoris laetitia" : quatre cardinaux appellent le pape à faire la clarté

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    De l'abbé Claude Barthe sur le site de l'Homme Nouveau :

    Ces cardinaux qui questionnent le pape :
    « Que votre oui soit oui ; que votre non soit non ».

    Evénement considérable : parmi les cardinaux qui ont fait part au Pape François de leur incompréhension d’Amoris lætitia, quatre ont aujourd’hui décidé de rendre publiques les questions qu’ils lui ont posées formellement et auxquelles il leur a fait savoir qu’il ne répondrait pas.

    On sait que l’exhortation post-synodale sur la famille a causé la plus importante commotion ecclésiale ayant ébranlé l’Eglise depuis le dernier concile, son chapitre VIII, selon le sens apparent des mots, exposant que, dans certains cas de « remariages » après divorce, les actes qualifiés de fornication et l’adultère pouvaient n’être pas des péchés graves, ou même être considérés comme répondant à la volonté de Dieu.

    Innombrables ont été les réactions dans le monde ecclésiastique (voir par exemple notre article : « Quelle est la critique exacte de 45 théologiens envers Amoris Laetitia ? ». Tous cependant gardaient les yeux fixés sur les cardinaux qui avaient clairement manifesté leur opposition préalable à cette mise en question de la doctrine du mariage – et par voie de conséquence de la pénitence et de l’eucharistie – à l’occasion des deux derniers synodes : Caffarra, Cordes, Eijk, Ruini, Sarah, Šev?uk, Urosa Savino, Cleemis, Duka, Meisner, Pell, Rouco Valera, Burke, Brandmüller, etc. Ces cardinaux qui signèrent Demeurer dans la vérité du Christ (Artège, 2014), ceux qui collaborèrent à Mariage et famille (Artège, 2015), les cardinaux et évêques d’Afrique co-auteurs de L’Afrique, nouvelle patrie du Christ (Ignatius Press, 2015), Onaiyekan, Ouedraogo, Souraphiel, Tumi, Sarr, Kleda, Kutwa, Arinze, mais aussi le cardinal Antonelli, ancien Président du Conseil pour la Famille, dans Crisi del matrimonio ed eucaristia, et d’autres encore dans des prises de position et interventions diverses.

    Ce 14 novembre, quatre des cardinaux opposés à la remise en question de la morale, le cardinal Walter Brandmüller, ancien président du Comité pontifical des Sciences historiques, le cardinal Raymond L. Burke, patron de l’Ordre de Malte, le cardinal Carlo Caffarra, archevêque émérite de Bologne, et le cardinal Joachim Meisner, archevêque émérite de Cologne, rendent publiques sur le site de Sandro Magister, les questions sans réponse qu’ils ont posées au pape. On sait par ailleurs que le cardinal Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, s’était personnellement chargé de les présenter au pape, que tous les signataires de ces questions n’ont pas jugé opportun de faire connaître publiquement leur nom, et qu’elles ont été soutenues par d’autres interventions orales ou écrites de cardinaux de Curie.

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  • Pas de mariage pour tous au Mexique

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    Lu sur LaPresse.ca :

    Mexique: la légalisation du mariage homosexuel rejetée

    L'an dernier, la Cour suprême du Mexique avait statué qu'il était anticonstitutionnel d'interdire les unions civiles homosexuelles.

    La proposition du président mexicain, Enrique Peña Nieto, de légaliser le mariage homosexuel à l'échelle du pays a été rejetée, mercredi, par un comité de la chambre basse.

    La commission des questions constitutionnelles a tranché - 19 contre 8 - contre une réforme de la Constitution pour y ajouter le droit au mariage entre conjoints de même sexe.

    Selon un compte rendu de la Chambre des députés, le président de la commission, Edgar Castillo Martinez, affirme que cette décision fait en sorte que le dossier est «totalement et définitivement» clos.

    L'an dernier, la Cour suprême du Mexique avait statué qu'il était anticonstitutionnel d'interdire les unions civiles homosexuelles. Ce jugement n'a toutefois pas entraîné une révision des lois en ce sens. Le mariage gai n'est donc autorisé que dans certaines régions du pays.

    Le président Peña Nieto avait soumis cette proposition en mai dernier, provoquant des manifestations à la fois en faveur et en défaveur du mariage pour tous.

  • "Etre homme, être père" : une conférence de Fabrice Hadjadj (Vézelay, 29 octobre)

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    Du site web de l'hebdomadaire Famille Chrétienne :

    Le philosophe Fabrice Hadjadj est intervenu auprès des routiers Scouts d'Europe sur le thème de la paternité à Vézelay pendant le week-end de la Toussaint. Une conférence à écouter.

     

  • Le pape salue la mémoire de l'empereur Charles de Habsbourg

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    Du site web de Radio Vatican :

    Le Pape rencontre les Habsbourg et salue la mémoire de Charles

    Le Pape François et la famille des Habsbourg - OSS_ROM

    (RV) La mémoire de Charles de Habsbourg, dernier empereur d’Autriche-Hongrie (1916-1918), a été au coeur de l’audience que le Pape François a accordé aux membres de la famille des Habsbourg ce samedi 5 novembre 2016 dans la matinée, salle Clémentine. Charles, bienheureux de l’Église, montait sur le trône d’une des plus vieilles monarchies d’Europe il y a cent ans, en pleine Première Guerre mondiale. Il avait abdiqué et était mort en exil quelques années plus tard en 1922.

    « Charles fut d’abord et avant tout un bon père de famille, et comme tel, un serviteur de la vie et de la paix. Il avait connu la guerre, ayant été simple soldat au début de la Première Guerre mondiale. Parvenu au trône en 1916, et sensible à la parole du pape Benoît XV, il s’est engagé de toutes ses forces en faveur de la paix, au risque d’être incompris et raillé. En cela également, il nous offre un exemple très actuel, et nous pouvons l’invoquer comme intercesseur pour obtenir de Dieu la paix pour l’humanité » a ainsi déclaré le Pape aux descendants du dernier empereur d’Autriche-Hongrie.

    Les membres de cette famille autrichienne sont venus à Rome pour effectuer le pèlerinage jubilaire. Parmi eux, certains sont engagés dans des organisations de solidarité et de promotion de la personne humaine et de la culture, ainsi que dans la promotion de l’Europe comme « maison commune fondée sur des valeurs humaines et chrétiennes ». D’autres membres ont choisi d’entrée dans la vie religieuse, soit comme prêtres soit dans des instituts de vie consacrée. (XS)

  • Hongrie : la pratique de l'avortement est en net recul

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    De Lifesite.news

    Les initiatives pro-vie du gouvernement hongrois réduisent les avortements de près de 25%

    BUDAPEST, Hongrie, 1er novembre 2016 (LifeSiteNews) - Sous la Hongrie communiste, l'avortement était devenu le principal moyen de contrôle des naissances. Aujourd'hui, les efforts pro-vie déployés par le gouvernement conservateur du premier ministre Viktor Orbán diminuent le nombre d'avortements.

    L'administration d'Orbán encourage ouvertement les femmes à accoucher. Son gouvernement contribue à organiser les adoptions, aide les familles, encourage l'éducation religieuse et facilite les cours d'éthique dans le système d'éducation publique.

    En conséquence, de 2010 à 2015, le taux d'avortement a diminué de 23 pour cent, et, rien qu'au premier trimestre de 2016, les avortements ont chuté de plus de 4 pour cent, a déclaré le secrétaire d'État parlementaire au ministère des Capacités humaines dans le journal 'Magyar Hirlap'.

    En 2011, une campagne pro-vie a placé des affiches aux arrêts de bus hongrois avec l'image d'un bébé dans l'utérus, disant: «Je comprends que vous n'êtes pas encore prêt pour moi, mais donnez-moi à l'agence d'adoption. Laissez-moi vivre ! "

    Orbán a été critiqué pour sa campagne pro-vie et pour l'utilisation de l'argent de l'Union européenne (UE) pour le financer. En juin 2011, Viviane Reding, commissaire européenne aux droits fondamentaux, a déclaré: "Cette campagne va à l'encontre des valeurs européennes. Nous souhaitons que les fonds européens nous soient retournés le plus rapidement possible."

    Le secrétaire d'Etat hongrois pour la Famille et la Jeunesse Miklós Soltész a défendu la campagne en déclarant: "Nous voulons souligner l'importance de la vie".

    L'administration Obama et les Nations Unies ont toutes deux critiqué le gouvernement conservateur d'Orban, l'accusant d'avoir "obstrué" l'accès à l'avortement avec des "périodes d'attente inutiles, des conseils hostiles ou des objections de conscience".

    Cette année, l'ONU a qualifié cette politique de «discrimination de genre».

    La nouvelle constitution de la Hongrie, promulguée en 2011, stipule explicitement que la vie humaine sera protégée du moment de la conception.

  • Le Pape rend hommage à l'enseignement de Jean-Paul II sur la famille

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    De Radio Vatican :

    Le Pape François rend hommage à l'enseignement de Jean-Paul II sur la famille 

    (RV) «Les liens conjugaux et familiaux sont de nombreuses manières mis à l’épreuve». C’est ce que le Pape a dénoncé dans un discours prononcé ce jeudi matin au Vatican aux 400 membres de la communauté académique de l’Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille, à l'occasion de l'ouverture de leur année académique.

    Le Pape François a salué «l'intuition visionnaire de Saint Jean-Paul II, qui a fortement voulu cette institution académique, qui peut aujourd'hui être encore mieux reconnue et appréciée dans sa fécondité et actualité». Saluant le travail des membres de l’Institut et se félicitant du renforcement de leurs liens avec l’Académie pour la Vie, le Pape François a rappelé avec force les menaces que doit affronter la famille actuelle et appelé l’Église à bien comprendre les évolutions en cours pour mieux reproposer «cette extraordinaire “invention” de la création divine».

    Xavier Sartre 

    La famille contemporaine doit affronter plusieurs facteurs de crise détaille le Pape : «une culture qui exalte l’individualisme narcissique, une conception de la liberté qui ne prend plus en compte la responsabilité envers l’autre, une indifférence croissante envers le bien commun». Sans oublier des idéologies qui «agressent directement le projet familial», la «pauvreté» et les «nouvelles technologies qui rendent possibles parfois des pratiques qui entrent en conflit avec la vraie dignité de la vie humaine».

    Toutes ces attaques déstabilisent «tous les liens, familiaux et sociaux, faisant prévaloir toujours plus le moi sur le nous, l’individu sur la société». «Un résultat qui contredit le dessein de Dieu», affirme François.

    Ce dessein, il s’appuie sur l’homme et la femme ainsi que sur la famille qui nait de leur union. Or «quand les choses vont bien entre l’homme et la femme, même le monde et l’histoire vont bien» souligne le Pape. L’Église, «animée d’une grande compassion et de miséricorde pour la vulnérabilité et la faillibilité de l’amour entre les êtres humains» a pour tâche de diffuser ce dessein.

    François rappelle alors ce qu’il avait écrit dans Amoris Laetitia, à l’issue des deux synodes sur la famille. Reconnaissant que l’Église a présenté «un idéal théologique du mariage trop abstrait, construit quasiment artificiellement», le Pape insiste pour que l’Église se fasse plus compréhensive et qu’elle encourage les familles à prendre conscience «du don de grâce» qu’elles portent, et à«devenir orgueilleuse de pouvoir le mettre à disposition de tous les pauvres et les abandonnés qui désespèrent de pouvoir le trouver ou retrouver».

    Le Pape François a également affirmé que l’Institut Jean-Paul II est appelé «à soutenir la nécessaire ouverture de l’intelligence de la foi au service de la sollicitude pastorale du Successeur de Pierre». «Théologie et pastorale vont ensemble» a-t-il insisté, expliquant qu’une «doctrine théologique qui ne se laisse pas orienter et pétrir par la finalité évangélisatrice et par le soin pastoral de l’Église, est autant impensable qu’une pastorale de l’Église qui ne sait pas cueillir le trésor de la révélation et de sa tradition en vue d’une meilleure intelligence et transmission de la foi».

  • Liège Ardennes - Fête familiale de HolyWins 2016 - vive la sainteté plutôt que les araignées

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    unnamed.jpgLa Toussaint approche et nous vous invitons à venir fêter avec les enfants :

    HOLYWINS 2016
    les Saints vainqueurs, avec nous dans la joie !
    Et mieux vaut une bonne soupe au potiron que de vilaines araignées qui font peur.

    Nous vous donnons rendez-vous ce samedi 29 octobre à 15h dans le village de Samrée
    pour une belle balade type "chasse aux trésors", à la découverte d'un grand Saint. 

    Les plus jeunes peuvent venir déguisés en Saint s'ils le souhaitent.
    Nous terminerons vers 18h après avoir partagé un goûter dans la convivialité.

    L'adresse du jour:
    Samrée 11r à 6982 Samrée (suivez le fléchage)
    Sortie Baraque de Fraiture, dans un endroit exceptionnel !
    Plan d’accès : https://goo.gl/maps/KXSwVoMyUv62

    Pour plus d'infos: 0496/633.474, Anne-France

    Pourriez-vous apporter un petit goûter à partager ?
    Le team préparera du chocolat chaud pour tous.

    Dans la joie de partager ce beau moment ensemble en manifestant notre espérance chrétienne.

    Evènement facebook : https://www.facebook.com/events/905203556278024/

    Une initiative de la Communauté de l’Emmanuel à Liège

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  • GPA : vous avez-dit "infertilité" ?

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    De Marie-Anne Frison-Roche sur son blog :

    LA SOPHISTIQUE DES MOTS : CHANGER LA DÉFINITION DU MOT "INFERTILITÉ" POUR CONTRAINDRE LES ETATS À ACCEPTER LA GPA

    Les pro-GPA savent qu'ils ne doivent pas affronter les Parlements et l'opinion publique d'une façon frontale.

    C'est pourquoi ils obtiennent le changement d'autres mots pour obtenir un "effet de ricochet". Ici changer ce que veut dire "l'infertilité" pour imposer la GPA commerciale : un fois que le sens du mot "infertilité" est changé (ce qui passe inaperçu), alors par un effet de ricochet, l'on ne pourrait refuser la GPA.  Sans que les entreprises aient à obtenir une loi en bonne et due forme. Juste en invoquant devant les tribunaux nationaux le "standard international" glissé précédemment dans le "droit global".

    L'admission de la GPA, les entreprises ne la demandent pas aux Parlements qui la refuseraient. Ils l'obtiennent en Soft Law, via l'Organisation Mondiale de la Santé, pour obtenir un seconde "effet ricochet". Car une fois que l'OMS a formulé un "droit individuel à se reproduire", alors l'effet de contrainte vient dans un second temps. Sans que les entreprises aient à intervenir dans ce second temps. Juste en rappelant le "standard international" glissé précédemment dans le "droit global".

    Où l'on mesure que dans les techniques de stratégie, l'essentiel est de choisir son moment : le plus en amont possible, le plus doucement possible. Glisser un noeud coulant et attendre que les Etats ne soient plus en position pour défendre les femmes et les enfants, ne se réveillant que lorsqu'un "droit individuel à se reproduire" aura été mis en place. En affirmant que celui-ci aurait une force obligatoire supérieur à de simples systèmes juridiques nationaux.

    En effet, dans la stratégie d'encerclement mise en place depuis plusieurs années par les entreprises qui ont pour but d'installer l'industrie de fabrication massive d'enfants pour les délivrer à ceux qui les ont commandés, le Droit est utilisé afin de détruire la prohibition de vente des êtres humains.

    Pour cela, dans cette "façon douce" de faire, la sophistique visant avant tout à reconstruire les définitions pour que cette réalité de la GPA consistant à transformer des êtres humains en choses vendues - les mères et leurs enfants, l'enjeu est de détruire toute référence au corps de la femme.

    Pour cela, il faut détruire la définition de "l'infertilité". Les lobbies pro-GPA viennent de l'obtenir de la part de l'Organisation Mondiale de la Santé.  La presse britannique le relate.

    Il n'est surtout pas fait de bruit autour de ce mouvement de changement de définition, ni dans le fait qu'il prend place dans cette enceinte non juridique qu'est l'Organisation Mondiale de la Santé.

    En effet, il s'agit de préparer deux "effets retard", ayant vocation à contraindre dans un second temps les juridictions et les Parlements nationales.

    Dans le but d'imposer la GPA, dans un second temps mais en liant dés à présent les systèmes juridiques nationale, la définition médicale de l'infertilité n'est plus ... médicale et tient désormais dans le fait que ... l'on n'a pas d'enfant et que l'on désire en avoir (I).

    Dans le but d'imposer la GPA, les inventeurs de cette définition soulève que cette définition nouvelle constitue un "standard international" qui sera - plus tard - envoyé aux États qui devront en tirer toutes conséquences dans leurs systèmes juridiques (II). Or, les mêmes auteurs estime que cette définition est liée à ce qu'ils qualifient expressément comme "le droit pour chacun d'avoir des enfants". C'est-à-dire de bénéficier d'une GPA.

    Voilà comment les entreprises qui entendent installer sans contrainte le marché mondial de la GPA procèdent en toute discrétion et, l'année prochaine, se prévaudront de "normes internationales scientifiques" qui leur seraient extérieures, sans avoir jamais affronter elles-mêmes les forces politiques des pays dans lesquelles elles veulent implanter leur industrie si profitable.

    Face à ces manœuvres si bien conçues et auxquelles les experts venues du monde médical et juridique se prêtent, il faut dire NON.

    En effet, ce ne sont pas les médecins qui font la loi. Et encore moins la soft law qui peut renverser la prohibition de la marchandisation des femmes et des enfants. Même en douceur.

    Lire l'analyse détaillée sur le blog de Marie-Anne Frison-Roche