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Famille - Page 100

  • Banneux, 20-22 février : Session sur la Famille

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  • Synode sur la famille : des catholiques inquiets adressent une supplique au pape

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    Plus de 58000 personnes ont déjà apposé leur signature au bas de cette supplique; ils désirent que soit maintenu l'enseignement de l'Eglise concernant le mariage et sont inquiets des "avancées" possibles qui pourraient le remettre en cause, tant en ce qui concerne l'accès des personnes divorcées et remariées aux sacrements qu'à la reconnaissance des unions homosexuelles : http://www.filialesupplique.org/

    Très Saint Père,

    En vue du Synode sur la famille d’octobre 2015, nous nous adressons filialement à V.S. pour lui manifester nos appréhensions et nos espérances concernant l’avenir de la famille.

    Nos appréhensions viennent de ce que nous assistons depuis plusieurs dizaines d’années à une révolution sexuelle qui mine progressivement l’existence même de la famille comme cellule de base de la société, sous l’effet d’une alliance entre de puissantes organisations et des forces politiques et médiatiques.

     Depuis la Révolution de 1968, une évolution graduelle et systématique de mœurs opposées à la loi naturelle et divine nous est infligée de force et se révèle si impitoyable qu’on en vient, par exemple, à enseigner en de nombreux établissements scolaires l’aberrante “l’idéologie du genre”, et ce dès l’enfance.

    Devant cet obscur tableau idéologique, l’enseignement catholique sur le Sixième Commandement de la Loi de Dieu est comme une torche enflammée qui attire de nombreuses personnes – saturées de propagande hédoniste – vers le modèle chaste et fécond de famille prêché par l’Évangile et conforme à l’ordre naturel.

    Sainteté, sur la base des informations véhiculées à l’occasion du dernier Synode, nous constatons avec douleur que, pour des millions de fidèles, la lumière de cette torche a semblé vaciller face aux vents malsains de modes de vie propagés par des lobbies anti-chrétiens. En effet, nous remarquons une désorientation généralisée causée par l’éventualité qu’au sein de l’Église se soit ouverte une brèche permettant l’acceptation de l’adultère – moyennant l’admission à l’Eucharistie de couples divorcés civilement remariés – et jusqu’à une virtuelle acceptation des unions homosexuelles, pratiques condamnées de façon catégorique comme contraires à la loi divine et naturelle.

    Et c’est paradoxalement de cette désorientation que jaillit notre espérance.

    Car, dans cette situation, seule Votre parole éclairante sera capable de faire refluer la confusion grandissant parmi les fidèles. Elle empêcherait que l’enseignement de Jésus-Christ lui-même soit relativisé et dissiperait les ténèbres qui se projettent sur l’avenir de nos enfants, dans le cas où la torche cesserait d’illuminer le chemin.

    Cette parole, Très Saint Père, nous la requérons le cœur plein de dévotion pour tout ce que vous êtes et représentez, sûrs qu’elle ne pourra jamais dissocier la pratique pastorale de l’enseignement légué par Jésus-Christ et vos prédécesseurs, dissociation qui ne ferait qu’augmenter la confusion. Jésus nous a très clairement enseigné, en effet, la cohérence qui doit exister entre la vérité et la vie (cf. Jn 14, 6-7) de même qu’Il nous a averti que seule la mise en pratique de sa doctrine permet de ne pas succomber (cf. Mt 7, 24-27).

    En implorant la Bénédiction apostolique de Votre Sainteté, nous L’assurons de nos prières auprès de la Sainte Famille – Jésus, Marie et Joseph – pour que celle-ci L’illumine dans ces circonstances cruciales. (http://www.filialesupplique.org/)

  • Comment avoir confiance aujourd'hui ?

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    Du site Aleteia.org (Mathilde Rambaud) : 

    François-Xavier Bellamy : « Devenons des apôtres de la confiance, des fidèles pour le monde de demain »

    Présent ce week-end à Ecclesia Campus, à Grenoble, l'adjoint au maire de Versailles et professeur agrégé de philosophie, a proposé aux étudiants son éclairage sur le thème de la confiance.

    « Comment avoir confiance aujourd’hui ? » Voici d'emblée la grande question à laquelle François-Xavier Bellamy a apporté sa réponse, tant de philosophe et d’homme politique. « Il est assez curieux d’aborder la confiance d’une manière aussi générale, a-t-il reconnu. Il paraît en effet parfois plus sage de se méfier et il existe des situations où l’acte même de faire confiance reste impossible. »

    Portant son propos sur la société actuelle, le professeur de philosophie a déploré la défiance ambiante dans laquelle nous évoluons depuis plusieurs années : « Nous vivons dans une société organisée autour de la défiance et où l’acte même de la confiance est rendu difficile. Il est compliqué de faire confiance aux institutions et aux autorités qui nous dirigent ou aux médias, etc. ». 

    Et cette défiance envers ce qui relève du public, se retrouve également dans notre vie privée. Prenant l’exemple de l’infidélité élevée au rang de la normalité, il a dénoncé les méfaits d’un tel détournement. « Face à cette infidélité organisée par la société marchande, vous ne pouvez même plus faire confiance à votre conjoint ! Comment cela serait-il encore possible quand même ce lien de fidélité dans l’amour est à ce point menacé ? La fidélité apparaît comme impossible et l’on renonce à se marier car l’on n’y croit plus. La conséquence directe de cette structure de la défiance n'est rien de moins que la solitude. »

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  • L'enseignement de l'Eglise sur la contraception bientôt aux oubliettes ?

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    Lue sur France Catholique, la traduction de cet article du Père Mark A. Pilon :

    Le synode de 2015 va-t-il enterrer l’enseignement de l’Eglise sur la contraception ?

    L’élément le plus surprenant du nouveau texte par lequel le Vatican sollicite des opinions en vue de la préparation du synode prévu en octobre 2015 (Questions pour la réception et l’approfondissement de la Relatio synodi) n’est pas tant la liste des questions posées que l’absence surprenante de celle qui aurait dû avoir sa place dans ce document. Parmi ces quarante-six questions aucune ne porte directement sur la contraception.

    Aberrant. Comment un synode consacré à la pastorale du mariage et de la famille aujourd’hui peut-il totalement exclure toute question ayant spécifiquement trait à un problème qui occupe une place centrale dans ce domaine depuis cinquante ans ?

    Cette omission ne saurait être fortuite. La contraception a indéniablement eu un impact sérieux sur l’institution du mariage. Certains pourraient parler d’un impact positif, mais nul ne pourrait soutenir en toute objectivité que c’est une préoccupation marginale. Et pourtant nous avons devant nous un document qui ne la mentionne jamais nommément. Il renferme certaines questions générales où il est recommandé d’encourager la générosité féconde et de souligner la relation essentielle entre le mariage et l’ouverture à la vie. Ce qui est fort bien. Mais il n’aborde jamais la relation évidente entre la contraception et le fait que de nombreux mariages méconnaissent ces recommandations. Si le document mentionne « les changements » démographiques et demande si « l’on a conscience des graves conséquences » de ces changements, il s’abstient de les définir précisément et évite ainsi des formulations plus tranchées telles que « suicide démographique » ou « hiver démographique », expression utilisée par Saint Jean-Paul II lui-même.

    Dans l’encyclique Humanae Vitae, ces « changements » se référaient à un accroissement démographique considérable, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Quelle est l’importance de ce problème s’il ne mérite qu’une seule phrase à la question 43 ? La population des pays européens est en chute libre, et le document ne signale que vaguement la dénatalité sans faire état de la contraception à cet endroit ou ailleurs ?

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  • Quand la Cour européenne des droits de l’homme valide la vente d’enfants

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    De Grégor Puppinck (Directeur du Centre européen pour le droit et la justice) sur Boulevard Voltaire :

    La Cour européenne des droits de l’homme valide la vente d’enfant !

    D’un crime naît un droit.

    Le drame des enfants nés vivants durant leur avortementCes enfants naissent vivants, l’Europe doit les protéger !

    Le 27 janvier, dans l’affaire Paradiso, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné l’Italie pour avoir retiré à un couple l’enfant qu’il a acheté 49.000 euros à Moscou en 2011. L’Italie doit leur verser 30.000 euros de dommages.

    L’enfant, conçu par GPA, n’ayant aucun lien génétique avec le couple, l’Italie refusa de reconnaître l’acte de naissance russe qui indiquait le couple comme parents de l’enfant, leur retira l’enfant et le confia à l’adoption.

    Saisie par le couple, la CEDH a jugé, par cinq voix contre deux, que l’Italie pouvait refuser de reconnaître la filiation russe, mais que le retrait de l’enfant a porté atteinte à leur vie privée et familiale. La Cour a estimé que les acquéreurs se sont comportés comme des parents pendant six mois et qu’ils méritent la protection accordée à la vie familiale, puis elle a jugé que l’interdiction de la GPA et de la vente d’enfant ne justifie pas le retrait de l’enfant au regard de l’intérêt de celui-ci à rester avec ses parents d’intention.

    L’achat d’un enfant confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant au nom de l’intérêt de l’enfant tel que déterminé par les juges.

    D’un crime naît un droit.

    Lire aussi : GPA : Il ne suffit pas d’affirmer, la main sur le cœur, que l’enfant n’est pas un objet.

    Ainsi la Cour valide la vente d’enfant. Il faut le dire lucidement : le prétendu intérêt de l’enfant cache en réalité celui des juges à imposer la libéralisation de la GPA.

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  • Olivier et Xristilla Roussy : l’avenir est entre les mains de familles missionnaires

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    Au lendemain du Congrès sur la famille qui s’est tenu à Rome et auquel ils ont participé, les époux Roussy témoignent de ce qu’ils ont dit, vu et entendu. Elisabeth de Baudouin les a interviewé pour « Aleteia » :

    topic (17).jpg"Olivier et Xristilla Roussy sont parents de sept enfants, membres de la communauté de l’Emmanuel et responsables internationaux d’Amour et Vérité, la branche couple et famille de cette communauté. À ce titre, ils ont été choisis pour faire partie des 13 couples mariés membres du synode sur la famille. C’est également à ce titre qu’ils ont participé au Congrès sur la famille qui s’est déroulé à Rome du 22 au 24 janvier dernier. Et qu’ils y sont intervenus. 

    Vous rentrez du congrès qui s’est déroulé à Rome sur le thème : « Relire ensemble le synode extraordinaire sur la famille ». Que pouyvez-vous nous en dire ? 

    Olivier et Xristilla Roussy : Comme le Pape lui-même l’a dit, l’année qui sépare les deux synodes (octobre 2014-octobre 2015) est une année essentielle, où la réflexion doit se poursuivre dans l’Eglise, à tous les niveaux. Cette réflexion se fait sur la base du dernier document synodal en date : les lineamenta, composés de la relatio synodi du synode d’octobre  dernier et d’une série de questions destinées à son approfondissement. Organisé par le Conseil pontifical pour la famille et le Secrétariat du synode, le congrès qui s’est tenu à Rome a réuni autour de ce texte quelque 300 personnes appartenant à plus de 80 mouvements ou associations familiales du monde entier. Il s’agissait de répondre au souhait du Saint-Père, qui par ailleurs a demandé à ceux qui sont engagés dans la réflexion de faire preuve de créativité et de proposer des solutions concrètes. Ce qui a été fait dans les échanges par petits groupes. 

    Pouvez-vous donner des exemples de solutions concrètes proposées dans ces carrefours ?

    Olivier et Xristilla Roussy : Nous avons été particulièrement touchés par un thème qui est ressorti des discussions : celui du « souci des différents âges de la vie ». La réalité de la famille recouvre une large gamme d’âges, de situations et de problématiques différentes. Le défi qui se pose, c’est d’apporter des réponses spécifiques à chaque cas tout en se préoccupant de la famille dans son ensemble et du lien qui doit exister entre les générations. À cet égard, certains ont proposé la création d’une « maison de la famille » dans chaque diocèse (quelqu’un a même dit dans chaque paroisse), qui pourrait regrouper un ensemble de services ou propositions : conseillers conjugaux, groupes d’échange ou de formation, activités récréatives, etc. 

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  • La religion aurait-elle cessé d'être une affaire de famille ?

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    La famille aurait cessé d'être un facteur déterminant dans l'adhésion des jeunes à une religion. C'est du moins le point de vue défendu dans cet article de Nicolas Basse :

    Pourquoi les jeunes se convertissent de plus en plus ?

    La religion n'est plus une affaire de famille. Ou moins. Les jeunes sont prêts à renoncer à l'héritage ancestral pour décider, seuls, de leur foi. Au risque de choquer leurs parents. Témoignages et explications.

    Alexandra l'avoue : elle est devenue évangéliste parce qu'elle vivait dans un immeuble 100 % évangéliste ! « Tout le monde croyait à la même chose, tous mes voisins et toutes mes copines d'Aulnay-sous-Bois. Ils ne cessaient de me vanter les mérites de leur religion, alors que mes parents parlaient peu de croyance. Au bout d'un moment, j'ai voulu rejoindre cette communauté qui était si convaincante et joyeuse. » D'autres, poussés par le prosélytisme de leur entourage, choisissent de se convertir à l'islam comme on s'intègre à un groupe. Mais ces « conversions d'intégration », souvent médiatisées, ne sont qu'un visage d'un phénomène désormais bien plus large. 

    Riccardo a 35 ans et des parents musulmans. Depuis sa majorité, il est converti au catholicisme : « À 18 ans, j'ai décidé de changer de religion alors que j'étais dans une famille très pratiquante. Ni par provocation ni par rejet, mais par envie. » Un choix qu'a aussi fait Sophie, mais dans le sens inverse : « J'ai grandi avec des parents catholiques peu pratiquants et j'ai voulu aller voir ailleurs ; je n'étais pas convaincue par leur type de foi. En m'intéressant à l'islam, j'ai compris que c'était la voie à suivre, que cela me correspondait. Je ne l'ai pas fait pour les autres, mais pour moi. »

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  • Le pape François est contrarié par la confusion suscitée par ses propos

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    Du site Aleteia.org :

    Familles nombreuses : le pape François contrarié par la confusion créée par ses déclarations

    Mgr Becciu dément que le Pape ait parlé de trois enfants par famille comme le « bon nombre ». La phrase a été sortie de son contexte.

    Le Pape est surpris et contrarié par la tournure prise par ses déclarations au cours du vol de retour de son voyage au Sri Lanka et aux Philippines. Ce qui ressort des déclarations du substitut de la Secrétairerie d'État, S.Exc Mgr Angelo Becciu, au journal italien Avvenire.

    Il se trouve que Mgr Becciu assistait à la conférence de presse du Pape tenue lundi 19 janvier dans le vol retour de Manille à Rome. Le prélat s'est dit quelque peu surpris du fait que les paroles du Pape, volontairement simples, n'aient pas été entièrement replacées dans leur contexte, en référence à une citation de l'encyclique Humanæ Vitæ sur la paternité responsable.

    « La phrase du Pape s'entend dans le sens que l'acte procréateur de l'homme ne peut suivre la logique de l'instinct des animaux, mais doit provenir d'un acte responsable qui a sa racine dans l'amour et le don réciproque de soi », affirme le substitut de la Secrétairerie d'État, qui dément que le Pape ait parlé de trois enfants par famille comme étant le bon nombre.

    « Pas du tout ! », s'exclame Mgr Becciu qui souligne qu’« en aucune façon le Pape a voulu indiquer le nombre de trois enfants par famille comme le "bon nombre " pour tous les mariages. Chaque couple catholique, à la lumière de la grâce, est appelé à discerner, en fonction d'une série de circonstances humaines et divines, quel est le nombre d'enfants qu'il devrait avoir ».

    « Le Pape est réellement contrarié que ses propos aient provoqué une telle confusion », affirme-t-il dans une interview : « Il ne voulait en aucune manière sous-estimer la beauté et la valeur des familles nombreuses ». Le prélat souligne qu'à l’audience générale suivante, le Saint-Père avait affirmé que « la vie est toujours un bien et qu'avoir autant d'enfants est un don de Dieu pour lequel il faut Lui rendre grâce ».

    Et Mgr Becciu de souligner également l'admiration du pape François pour Paul VI : « Il a été celui qui l'a béatifié et aux Philippines, voici quelques jours, admirant une nation aussi jeune, il a tenu à souligner que la position adoptée en 1968 par Paul VI a été prophétique », conclut le prélat.

    Adaptation de l'espagnol par Élisabeth de Lavigne

  • Le père, ce grand absent

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    Les ombres de la paternité humaine: des jeunes "orphelins"

    Catéchèse du pape (mercredi 28 janvier 2015) (source : zenit.org)

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Nous reprenons le parcours de catéchèse sur la famille. Aujourd’hui, nous nous laissons guider par le mot « père ». Un mot qui nous est cher, à nous chrétiens, plus que tout autre, parce que c’est le nom avec lequel Jésus nous a appris à appeler Dieu : Père. Le sens de ce mot a reçu une nouvelle profondeur, précisément à partir de la manière dont Jésus l’employait pour s’adresser à Dieu et manifester sa relation particulière avec Lui. Le mystère béni de l’intimité de Dieu, Père, Fils et Esprit, révélé par Jésus, est le cœur de notre foi chrétienne.

    « Père » est un mot que nous connaissons tous, un mot universel. Il indique une relation fondamentale dont la réalité est aussi ancienne que l’histoire de l’homme. Aujourd’hui, cependant, on en est arrivé à affirmer que notre société serait une « société sans père ». En d’autres termes, en particulier dans la culture occidentale, la figure du père serait symboliquement absente, évanouie, éliminée. Dans un premier temps, cela a été perçu comme une libération : libération du père-patron, du père en tant que représentant de la loi qui s’impose de l’extérieur, du père en tant que censeur du bonheur de ses enfants et obstacle à l’émancipation et à l’autonomie des jeunes. Parfois, dans certaines maisons, il régnait autrefois un autoritarisme, dans certains cas même un abus de pouvoir : des parents qui traitaient leurs enfants comme des serviteurs, sans respecter les exigences personnelles de leur croissance, des pères qui ne les aidaient pas à se lancer sur leur chemin librement - mais ce n’est pas facile d’éduquer des enfants dans la liberté -, des pères qui ne les aidaient pas à assumer leurs responsabilités pour construire leur avenir et celui de la société.

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  • Rapport Tarabella: 2/3 de la Commission parlementaire européenne ignorent 40 000 citoyens... la mobilisation continue!

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    Bruxelles, le 24 janvier 2015

    Alors que plus de 40 000 citoyens avaient exprimé leur opposition à l'inclusion d'un soutien de l'UE à l'avortement, un sujet hors de la compétence de l'UE, le Rapport Tarabella du Parlement européen a été adopté par la Commission des Droits des Femmes et l'Egalité des Genres du Parlement européen

     

    (FEMM) le 20 janvier. La Fédération des Associations Catholiques en Europe (FAFCE) avait signalé la présence d'un paragraphe qui vise à promouvoir un "droit à l'avortement" et invité des citoyens à signer la  pétition "Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela!" pour défendre la dignité humaine et le principe de subsidiarité. 

    Le rapport adopté comporte des points positifs mais inclut également le paragraphe même que des dizaines de milliers de citoyens ont demandé aux membres de la Commission FEMM de retirer, avec un accent accru sur le "droit à l'avortement" et une extension aux "santé et droits sexuels et génésiques". 

    La mobilisation des associations oeuvrant en faveur de la dignité humaine et des citoyens continue, appelant les eurodéputés à réaffirmer la position adoptée par le Parlement européen en décembre 2013 lorsque le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) a été rejeté. A sa place, les eurodéputés ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et déclare clairement que «la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres».

    Le message est clair: l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement, il s’agit de décisions nationales qui en aucun cas peuvent être prises à Bruxelles. 

    En moins d'une semaine la pétition citoyenne lancée par la FAFCE a réuni plus de 50 000 signatures de citoyens qui demandent au Parlement européen de ne pas soutenir un "droit à l'avortement". Le Président de la FAFCE, Antoine Renard, souligne que "ces citoyens s'attendent à ce que les députés européens respectent le principe de subsidiarité et ne dépassent pas les compétences de l'UE. Les nombreuses signatures montrent le besoin d'une double subsidiarité au sujet de l'avortement." 

    La FAFCE invite les citoyens à continuer à se faire entendre et envoyer un signal fort et uni en faveur de la vie et la dignité humaine en vue du vote qui aura lieu en séance plénière du Parlement européen en mars - la mobilisation continue! 

  • Portugal : le parlement refuse le droit à l'adoption pour les couples homosexuels

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    Du site de la RTBF :

    Le Portugal refuse le droit à l'adoption pour les couples homosexuels

    Les trois propositions de loi, présentées par le Parti socialiste, le Bloc de gauche et les Verts, ont été rejetées avec une trentaine de voix d'écart (Belga)

    Le Parlement portugais a une nouvelle fois rejeté jeudi plusieurs textes autorisant les couples homosexuels à adopter des enfants, en dépit des voix favorables de l'ensemble de l'opposition de gauche.

    Les trois propositions de loi, présentées par le Parti socialiste, le Bloc de gauche et les Verts, ont été rejetées avec une trentaine de voix d'écart et une dizaine d'abstentions, sur 220 députés présents. La majorité de droite au pouvoir avait déjà refusé de voter des textes similaires en février 2012 puis en mai 2013. La vote de jeudi a toutefois été plus serré qu'auparavant car les 16 élus du Parti communiste, qui s'étaient opposés à l'élargissement du droit à l'adoption en 2012 avant de s'abstenir en 2013, se sont prononcés en faveur des textes soumis au Parlement. En mars 2014, les députés portugais avaient rejeté à une courte majorité une proposition de loi présentée par des élus socialistes, qui aurait accordé aux homosexuels le droit d'adopter les enfants de leur conjoint. Au Portugal, l'adoption à titre individuel est ouverte à tous mais la loi autorisant le mariage entre homosexuels votée en février 2010, alors que les socialistes étaient encore au gouvernement, exclut explicitement le droit à l'adoption pour les couples de même sexe.

  • Où va le Synode sur la famille ? témoignage de Monseigneur Léonard à l’Université de Liège

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    Encore quelques jours pour s’inscrire au lunch débat du mercredi 28 janvier 2015, 18h00 avec Mgr Léonard : Ulg, salle des professeurs, place du XX août, 7 à Liège 1er étage - accès par la grande entrée : parcours fléché.

    Inscription nécessaire au plus tard trois jours ouvrables à l’avance (23 janvier 2015) :

    soit par téléphone : 04 344 10 89 ,

    soit par email : uniondesetudiantscatholiqueliege@skynet.be

    soit sur le site internet :www.ethiquesociale.org

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