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Famille - Page 103

  • Pape François : l'avenir de l'humanité passe par la famille

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    Permettre aux femmes de concilier emploi et famille

    Appel du pape au Festival italien de la famille

    De Zenit.org (Anne Kurian)

    « L'avenir de l’humanité passe par la famille », affirme le pape François qui plaide pour que « la femme ne soit pas forcée pour des raisons économiques à assumer un travail trop dur et des horaires trop lourds » en plus de ses responsabilités au sein de son foyer.

    « Les engagements de la femme, à tous les niveaux de la vie familiale, constituent aussi une contribution incomparable à la vie et à l'avenir de la société », affirme-t-il.

    Le pape a fait parvenir un message aux participants du Festival de la famille organisé à Riva del Garda (Trente) du 1er au 6 décembre 2014 sur le thème : "L’écosystème vie et travail. Travail de la femme et natalité, bien-être et croissance économique".

    La rencontre a pour objectif d'offrir des pistes d'action pour que la famille soit « davantage protagoniste dans le contexte social, culturel et politique » de l'Italie.

    Le pape souligne la « position irremplaçable et fondamentale de la famille dans la société civile et dans la communauté ecclésiale » : « l'avenir de l’humanité passe par la famille ».

    Il exhorte à chercher des réponses concrètes pour « articuler les devoirs de la famille et de la société, en particulier dans les rapports entre vie professionnelle et vie familiale » : il s'agit de « pratiquer la solidarité et la subsidiarité, c'est à dire une synergie entre public et privé, entre entreprises et familles ».

    Le pape préconise en particulier de se pencher sur le travail des femmes : « beaucoup expriment le besoin d'être mieux reconnues dans leur droits, dans la valeur des missions qu'elles remplissent dans les divers secteurs de la vie sociale et professionnelle, dans leurs aspirations au sein de la famille et de la société ».

    « Certaines sont lassées et même écrasées par la lourdeur des engagements et des devoirs, sans trouver suffisamment d'aide et de compréhension », ajoute-t-il, appelant à « agir pour que la femme ne soit pas forcée pour des raisons économiques à assumer un travail trop dur et des horaires trop lourds », en plus de « toutes ses responsabilités de maîtresse de maison et d’éducatrice des enfants ».

    « Mais surtout il faut considérer que les engagements de la femme, à tous les niveaux de la vie familiale, constituent aussi une contribution incomparable à la vie et à l'avenir de la société », souligne le pape.

    Il encourage également à étudier « le statut juridique et social des familles en général et de l'aide qui doit être offerte à ceux qui sont désavantagés sur le plan matériel et moral ».

    Le pape plaide pour que les familles bénéficient « d'une aide appropriée de la part de l’État et des entreprises pour la mise au monde et l'éducation de leurs enfants », faisant observer que « l'évolution démographique préoccupante exige une stratégie extraordinaire et courageuse en faveur des familles », ce qui aidera à « une relance économique du pays ».

    Enfin, il exprime sa préoccupation pour le chômage des jeunes : « le manque de travail démoralise la personne, qui se sent inutile à ses propres yeux, et appauvrit la société, qui est privée de l’apport de forces efficaces et pleines de bonne volonté ».

    Si la famille a des droits, elle a aussi des devoirs envers la société, devoirs qui consistent à « offrir sa collaboration au service de la communauté », conclut le pape en donnant sa bénédiction apostolique, pour « soutenir tout projet en faveur de l’institution familiale, cellule vitale de la société ».

  • Quand la Belgique invente le statut de "comaternité" automatique pour les couples de lesbiennes

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    Nous avions évoqué cette loi hier; J. Smits analyse et commente cette mesure :

    Belgique : et maintenant, la présomption de maternité

    En Belgique, on a décidé d'en finir avec l'adoption par les couples homosexuels. A partir du 1er janvier entrera en vigueur une loi adoptée en juillet dernier, qui invente le statut de « comaternité » automatique pour les couples de lesbiennes « mariées » et prévoit une simple démarche administrative pour celles qui ne le sont pas. Dans le cadre du « mariage », cela s'appelle (il fallait l'inventer) la « présomption de maternité » pour celle qui n'est pas la mère biologique de l'enfant.

    Et, non, ce n'est pas une histoire belge.

    C'est au nom de la totale égalité de droits que les couples de lesbiennes se voient reconnaître cette facilité. L'enfant qui naît dans le cadre du mariage est supposée être l'enfant des deux partenaires ; nul besoin de suivre la longue enquête en vue de l'adoption, pas de complication.

    Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • La descente aux enfers de l’occident chrétien : irréversible ?

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    Sur le chemin de l’enfer, Dante vit soudain une porte sur laquelle étaient écrits ces mots tracés d’une sombre couleur : « vous qui entrez, laissez toute espérance » ( La divine comédie, livre un, dantenf07-02-01 (1).jpgchant troisième, vendredi-saint, 8 avril 1300). Lu sur le « metablog », cette réflexion post-synodale :

    « La popularité du pape François, y compris auprès de publics éloignés de l’Église, est un phénomène massif et constant. Un pape qui fait l’objet de plusieurs couvertures de journaux à portée mondiale ; un pape qui suscite l’intérêt de personnalités éloignées de l’Église; etc. Certains hurleraient, d’autres s’en réjouiraient. Mais ce n’est pas la question. Et je crains que les discussions sur le pontificat bergoglien n’oublient certaines choses, à commencer par l’état précaire du catholicisme dans un pays comme la France, qui se vérifie dans tout l’occident sécularisé (de Los Angeles à Berlin ou de Stockholm à Barcelone). On raisonne encore comme si les jeunes de France et de Navarre étaient en contact permanent avec l’Église, comme si celle-ci continuait à drainer massivement les jeunes par ses aumôneries et son catéchisme… Nous ne sommes plus dans les années 1950, on en conviendra. Mais nous ne sommes plus non plus dans les années 1980: cela, on tend à l’oublier, tant chez les catholiques dits traditionnels que chez ceux qui ne le sont pas.

    Permettez-moi une petite séquence rétro. Je ne vais pas vous parler de l’état de l’Église avant le concile, ou même de celui des dernières années pacelliennes ou même du bref intermède roncallien, mais bien de la situation des années 1980. Au cours de ces années, un nombre non négligeable d’enfants allaient au catéchisme et suivaient un parcours sacramentel complet, allant du baptême à la confirmation. Évidemment, ils allaient au catéchisme qui avait, pour ainsi dire, pignon sur rue, au point de susciter la curiosité de leurs collègues. Certes, les jeunes n’allaient pas à la messe tridentine, pas plus qu’ils ne suivaient un catéchisme sous forme de questions-réponses (le manuel Pierres vivantes existait) ; mais dans ces années 1980, le catholicisme existait encore dans l’espace public. Le catéchisme des enfants était un phénomène social. Malgré

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  • Le pape émérite Benoît XVI prend la parole sur l’interdiction de communier imposée aux divorcés remariés

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    Le pape émérite Benoît XVI n’a pas attendu le prochain synode sur la famille (octobre 2015) pour réaffirmer et expliciter l’interdiction de communier imposée aux divorcés remariés. Lu sur le site web « Chiesa » de Sandro Magister (extraits) :

    « Dans ses Opera Omnia, Ratzinger est en train de publier à nouveau – avec l’aide du préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, Gerhard Ludwig Müller – tous les textes théologiques qu’il a écrits, regroupés par thèmes. Dans le dernier des neuf volumes publiés jusqu’à ce jour en allemand par l’éditeur Herder – il compte près de 1 000 pages et est intitulé "Introduction au christianisme. Profession, baptême, vie religieuse" – on trouve un article de 1972, relatif à la question de l'indissolubilité du mariage, publié cette année-là en Allemagne dans un livre à plusieurs auteurs consacré au mariage et au divorce.

    Cet article publié par Ratzinger en 1972 a été exhumé par le cardinal Walter Kasper qui l’a utilisé, au mois de février dernier, dans le discours qu’il a prononcé pour ouvrir le consistoire des cardinaux convoqué par le pape François afin de débattre sur le thème de la famille en vue du synode des évêques programmé pour le mois d’octobre […]  En effet, dans cet article de 1972, Ratzinger, alors âgé de quarante-cinq ans et professeur de théologie à Ratisbonne, affirmait que le fait de donner la communion aux divorcés remariés apparaissait, si l’on respectait certaines conditions particulières, comme étant "tout à fait en ligne avec la tradition de l’Église" et en particulier avec "ce type d’indulgence que l’on voit apparaître dans l’œuvre de Basile, selon qui, après une période prolongée de pénitence, le "digamus" (c’est-à-dire celui qui vit en secondes noces) se voit concéder l’accès à la communion sans que son second mariage ait été annulé : dans la confiance en la miséricorde de Dieu, qui ne laisse pas sans réponse la pénitence".

    Cet article de 1972 a été la première et la dernière manifestation par Ratzinger d’une "ouverture" à l’accès des divorcés remariés à la communion. Par la suite, en effet, non seulement il a pleinement adhéré à la position rigoriste, consistant à leur interdire de communier, qui a été réaffirmée par le magistère de l’Église au cours du pontificat de Jean-Paul II, mais il a également, en tant que préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, contribué dans une mesure déterminante à l'argumentation déployée en faveur de cette interdiction. 

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  • Couples lesbiens : le lien de filiation de la coparente sera désormais automatique

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    Le n'importe quoi à la belge franchit une nouvelle étape comme on peut le découvrir sur le site de la RTBF (Daphné Van Ossel) :

    "Une bonne nouvelle pour la communauté lesbienne. La coparente, c'est-à-dire la mère qui ne porte pas le bébé, ne devra plus passer par l'adoption pour établir un lien de filiation avec son enfant. Une nouvelle loi entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Les parlementaires fédéraux ont apporté hier la dernière touche. Le lien de filiation sera désormais automatique.

    Jusqu'à présent, ces "co-mères", ces mères qui ne portent pas l'enfant doivent passer par l'adoption intrafamiliale : elles doivent adopter leur propre enfant. La  procédure implique des formations, une enquête, des rencontres avec un psychologue, etc... Cette procédure peut être longue. (...)

    Les mêmes droits que les pères hétérosexuels

    Ce ne sera plus possible avec la nouvelle loi qui entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Si une coparente est mariée à la mère biologique, elle sera automatiquement considérées comme la mère de l'enfant. C'est ce qu'on appelle la "présomption de maternité", à l'image de la "présomption de paternité" (on suppose que le mari de la mère est le père). Si la coparente n'est pas mariée, c'est comme pour les hétéros : il faudra simplement aller reconnaître l'enfant à la commune avec l'accord de la mère biologique.

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  • Plus de dix mille fidèles finlandais quittent l'Eglise luthérienne

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    Du site de Valeurs Actuelles :

    En Finlande, plus de dix milles fidèles ont quitté l’Eglise luthérienne après que cette dernière ait fait campagne en faveur du mariage gay.

    Une position tranchée

    Vendredi, le Parlement finlandais a validé une initiative citoyenne afin d’autoriser le mariage gay. Une étape cruciale avant le probable vote d’une loi sur le sujet en 2015. Et cette initiative populaire a reçu le soutien plein et entier de Kari Mäkinen, l’archevêque de l’Eglise Luthérienne. Il a déclaré vendredi «se réjouir du fond de son cœur» des résultats du vote. Une position assumée qui a choqué les croaynts de l’Eglise finlandaise.

    Un acte fort

    Entre vendredi et dimanche, plus de 13 000 fidèles ont décidé de quitter l’Eglise Luthérienne via le site internet eroakirkosta.fi, qui expliques les démarches nécessaires. «Le message de l'archevêque était destiné aux libéraux au sein de l'église, mais s'est tourné contre l'Église elle-même » a expliqué le créateur du site internet. Dimanche, face à ces réactions, un haut dirigeant de l’Eglise Luthérienne a déclaré que ce vote «n'a pas changé l'idée ecclésiastique de mariage».

  • Le délabrement de la famille traditionnelle se confirme en Angleterre

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Royaume-Uni : 40% des enfants de 11 ans ne vivent pas avec leurs parents 

    Une étude menée au Royaume-Uni sur les « Cohortes du Millénaire » révèle une image inquiétante de la société britannique dont l'élément fondamental – la famille unie et stable – se disloque peu à peu. Et même très vite, si l'on compare ses données avec des enquêtes antérieures.

    Portant sur des enfants âgés de 11 ans – 13.000 bébés du début du millénaire – l'enquête des pouvoirs publics montre que parmi eux, seule la moitié vivent encore avec leurs parents mariés à la fin de leur scolarité dans le primaire – sachant que tous les parents ne sont pas mariés au départ. L'étude montre encore que des problèmes de comportement sont liés à cette instabilité. Même si les enfants se disent généralement « heureux ».

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

    Et il y a aussi cela : Viols, implants contraceptifs et avortements dès 13 ans, ou les succès de l’éducation sexuelle en Grande-Bretagne

     

  • Quand un père devient père d'un enfant trisomique

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    "Ce n'est pas toi que j'attendais"

    Interview avec l'auteur du livre Fabien Toulmé

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    source : Fondation Lejeune.org

    Bonjour Fabien Toulmé, vous venez de publier un livre sur la trisomie 21, qui raconte l’histoire d’un père qui devient père d’un enfant trisomique. Pourquoi avez-vous voulu faire ce livre ?

    L’idée de ce livre s’est concrétisée quand mon éditeur m’a demandé si j’avais une histoire ancrée dans le réel à raconter. Il se trouve que j’avais déjà réfléchi à faire le récit de cette expérience : le cheminement d’un père vers sa fille « différente » de celle qu’il espérait. Cela me paraissait être une problématique universelle qui permettait de faire appel à toute une « palette » de sentiments, d’émotions pour transmettre un message sur l’acceptation de l’autre. Il se trouve que cette histoire était la mienne ce qui en rendait l’écriture plus simple, et que c’est aussi, je l’espère, une belle histoire d’amour.

    La réalisation a dû être complexe ! De nombreux dessins, pouvez-vous nous raconter la genèse de ce livre ?

    En fait, la réalisation du livre a été très fluide. L’écriture s’est faite assez naturellement et le dessin a suivi. Mon éditeur a apporté du recul sur le vécu mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, ma fille étant maintenant plus grande, j’en ai aussi pas mal sur ces événements, ce qui m’a permis d’aborder certains sujets avec douceur ou humour plutôt que de rester dans le choc. Alors, bien sûr, des retouches ont été apportées en cours de réalisation suite à des questionnements sur la manière de présenter telle ou telle période, mais comme pour n’importe quel livre. Comme c’était ma vie, je me suis immergé dans les souvenirs et ça c’est fait au fil de l’eau : c’était presque une matière vivante qui a trouvé sa forme définitive lorsque j’ai mis le point final à la dernière version de la dernière page et que l’ensemble est parti chez l’imprimeur ! 

    Le livre, très réaliste, montre les différentes étapes de bon nombres de pères ayant un enfant trisomique : la stupeur, l’effondrement, mais au final, un immense message d’espoir et d’amour. Quel message voulez-vous transmettre à travers ce livre, mais aussi à tous les futures pères ?

    Alors il se trouve que l’objectif du livre n’était absolument pas de faire passer un message, sa réalisation a plutôt été conduite par l’envie de témoigner et de raconter une histoire qui me paraissait être une belle histoire, celle que j’aurais aimé lire à cette époque. Si cela permet de réconforter des parents qui se retrouvent dans cette situation et de faire ouvrir les yeux sur la question de la « différence » aux personnes qui n’y sont pas confrontées, j’en bien sûr ravi. Mais je suis persuadé que lorsqu’on écrit un livre avec l’intention de faire passer un message, on oublie l’essentiel : raconter une bonne histoire. Alors que l’inverse est possible. 

    Ce livre raconte le point de vue du père, souvent oublié et peu mis en avant, nous avions, pour la fête des pères essayé de les mettre à l’honneur (avec la vidéo Mon Papa). Pouvez-vous nous dire ce que c’est que d’être père d’un enfant atteint de trisomie ?

    Avant tout c’est être le père d’un enfant. La trisomie n’est qu’une des innombrables caractéristiques qui peuvent définir un enfant. Comme pour tout enfant il faut de la patience, de l’amour, de la complicité, du respect… Je dirai qu’en plus, dans le cas de Julia, il faut un peu d’énergie en plus pour l’emmener à droite et à gauche dans le cadre de son accompagnement médical (kiné, orthophoniste, éducateur…).

  • Australie : la Haute Cour invalide la loi autorisant le mariage homosexuel

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    Lu sur le site de francetvinfo :

    L'Australie interdit le mariage homosexuel et annule ceux déjà célébrés

    La Haute Cour de justice australienne a invalidé, jeudi, la loi autorisant le mariage homosexuel entrée en vigueur le 7 décembre dans le Territoire de Canberra, la capitale.

    Déception pour 27 couples de jeunes mariés homosexuels, à Canberra (Australie). La Haute Cour australienne a annulé, jeudi 12 décembre, leurs unions, célébrées ces derniers jours dans la capitale du pays. Alors que l'assemblée législative du Territoire de Canberra avait autorisé localement le mariage des personnes de même sexe en octobre, les juges ont estimé que "l'autorisation légale du mariage homosexuel dépend du Parlement fédéral".

    Inconstitutionnels, les mariages sont donc annulés par cette décision. "En moins d'une semaine, nous avons été mariés. Puis 'dé-mariés', du moins d'un point de vue légal", a déploré un couple devant le tribunal.

    Samedi 7 décembre, jour de l'entrée en vigueur de la loi autorisant le mariage des homosexuels dans ce Territoire, plusieurs couples avaient scellé leur union dès les douze coups de minuit. Or cette loi "n'est pas valide", a décidé la Haute Cour à l'unanimité.

    Un vif débat en Australie

    Le gouvernement avait immédiatement saisi la justice pour annuler ces unions. Si la plus haute juridiction du pays avait avalisé la loi votée à Canberra, les autres Etats et Territoires du pays auraient pu eux aussi décider d'autoriser le mariage entre personnes de même sexe, une pression supplémentaire sur le Parlement, soulignent les analystes.

    Le débat est vif en Australie. Le Premier ministre, Tony Abbott, à la tête d'un gouvernement conservateur, s'est prononcé contre l'autorisation du mariage gay. Sa propre sœur, homosexuelle, s'est fiancée et attend de pouvoir se marier. La plupart des Etats autorisent en revanche les unions civiles entre personnes du même sexe, qui accordent les mêmes droits que ceux conférés par le mariage.

  • The humanum series : la série sur le mariage dont tout le monde parle au Vatican

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    Lu sur le site de l'hebdomadaire Famille Chrétienne :

    The humanum series : la série évènement du Vatican sur le mariage

    C’est la série dont tout le monde parle au Vatican. Réalisée à l’occasion du colloque interreligieux sur la complémentarité homme-femme, The Humanum series raconte en six épisodes la force du mariage dans la destinée de l’humanité. Famille, sexualité, transmission aux jeunes générations, débats de société… Cette série-événement n’élude aucun sujet. Avec ses prises de vue aux quatre coins du monde et sa qualité irréprochable digne des meilleurs documentaires, elle offre un rendu très pro et immédiatement accrocheur. À voir de toute urgence.

    Un site a été créé à l'occasion du colloque, sur lequel les six vidéos ont été postées : http://humanum.it/fr/

    À noter : la cinquième parle des Veilleurs (Les difficultés et les espoirs de la nouvelle génération) et la sixième de La Manif pour tous (Mariage, culture, et société civile).

  • Conférence sur la Gestation pour Autrui le 26 novembre à Bruxelles

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    Confrence GPA 26 nov 2014.png

  • Thy le Château (21-23 novembre) : L'éducation affective et sexuelle de nos enfants et adolescents

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    « L’éducation affective et sexuelle de nos enfants et adolescents : parlons-en. »
     
    Du vendredi 21 novembre (18h) au dimanche 23 novembre (17h) Pourquoi, comment, quand “en” parler mais, suffit-il d’“en” parler? 
    Session animée par
    Véronique Hargot-Deltenre,
    mariée et mère de 8 enfants, formatrice à l’Ecole Vie-Amour.be. Elle donne une formation sociale, théologique et sexologique. Pour parents ou grands-parents.
     

     

      Du 21/11/2014 à 18:00 au 23/11/2014 à 17:00 
    à la Communauté des Béatitudes, rue du fourneau, 10; Thy-le-château

     

     Communauté des Béatitudes

    Téléphone 071 660 300
    E-mail  thy.retraite@beatitudes.org