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Famille - Page 96

  • Parlement Européen : reconstitution de l’Intergroupe pour des politiques en faveur de la famille

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    Communiqué de presse de la FAFCE
    L’Intergroupe pour des politiques en faveur de la famille reconstitué au Parlement européen

    Bruxelles, le 10 Avril 2015

    La semaine dernière, l’intergroupe sur les politiques en faveur de la famille, la solidarité intergénérationnelle et le vieillissement actif a été enregistré au Parlement européen. Cet intergroupe est composé de deux sous-groupes, l’un dédié au vieillissement actif, coordonné par l’eurodéputé Lambert Van Nistelrooij (PPE - Pays-Bas) et l’autre, coordonné par l’eurodéputé Anna Záborská (PPE - Slovaquie), dédié aux politiques en faveur de la famille. Le sujet de la solidarité intergénérationnelle sera traité autant par l’un que par l’autre sous-groupe, les questions qui s’y rapportent ayant un caractère transversal. La FAFCE se félicite de la reconstitution d’une structure officielle du Parlement européen dédiée aux politiques en faveur de la famille pour le nouveau mandat législatif de 2014-2019.
     
    Les Etats membres de l’Union Européennes et la communauté internationale ont commémoré  l’année dernière le 20ème anniversaire de la Journée Internationale de la Famille (1994-2014) et le 8ème mandat électoral est de ce fait une excellente opportunité pour mettre en pratique les conclusions de cet anniversaire au niveau européen et au sein des Etats membres.
     
    Pour y parvenir, l’intergroupe peut servir de plateforme permettant une étroite coopération entre les parties prenantes par le biais de réunions politiques, de colloques publics et aussi par la participation active à la rédaction de résolutions du Parlement européen. Fondé en 1999, l’Intergroupe Famille est aujourd’hui la seule structure au sein des institutions européennes qui soit centrée sur les besoins des familles. La FAFCE suit l’Intergroupe Famille depuis son commencement et est convaincue qu’un dialogue ouvert concernant les intérêts et les besoins des familles peut à terme rehausser la prise en compte de la famille en général.

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, détient un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe, est membre de la Plateforme des droits fondamentaux de l’UE et représente les associations familiales de 15 Etats européens.

  • Les enfants, dit le pape, ne sont jamais une erreur

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    Les enfants ne sont jamais "une erreur"

    Catéchèse du mercredi 8 avril 2015 (traduction intégrale)

    Pape François

    ROME, 8 avril 2015 (Zenit.org) - « Les enfants ne sont jamais « une erreur » », affirme le pape François dans sa seconde catéchèse sur les enfants, donnée ce mercredi 8 avril, place Saint-Pierre, en italien. Certainement une des catéchèses les plus fortes que le pape ait jamais prononcées.

    Le pape dénonce le mal commis par les adultes : « Tous les enfants marginalisés, abandonnés, qui vivent dans la rue en mendiant et de toutes sortes d’expédients, sans école, sans soins médicaux, sont un cri qui monte jusqu’à Dieu et qui accuse le système que nous, les adultes, avons construit. »

    « Dans tous les cas, résume le  pape, ce sont des enfances violées dans leur corps et dans leur âme. Mais aucun de ces enfants n’est oublié du Père qui est aux cieux ! Aucune de leur larme n’est perdue ! »

    Il interpelle les adultes : « Que faisons-nous des déclarations solennelles des droits de l’homme et des droits de l’enfant si nous punissons les enfants pour les erreurs des adultes ? »

    Il en appelle à la responsabilité de chacun dans la société : « Ceux qui ont la tâche de gouverner, d’éduquer, mais je dirais tous les adultes, nous sommes responsables des enfants et de faire chacun ce qu’il peut pour changer cette situation. »

    Voici notre traduction intégrale.

    A.B.

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  • Pâques 2015: le Cardinal André Vingt-Trois devant le "Grand Jury" RTL-LCI

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    Mgr André Vingt-Trois, invité du "Grand Jury... par rtl-fr

     


    Mgr André Vingt-Trois, invité du "Grand Jury... par rtl-fr

     


    Le Debrief du "Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro" du... par rtl-fr

    JPSC

  • KTO : entretien exclusif avec le cardinal Müller

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    Entretien exclusif sur KTO avec le cardinal Gerhard Ludwig Müller, gardien de la doctrine à Rome. Cet homme, plutôt réservé, laisse transparaître sa personnalité. Brillant professeur en théologie dogmatique, il fut également évêque de Ratisbonne en Allemagne pendant une dizaine d'année jusqu'en 2012. C'est Benoit XVI qui l'a appelé au Vatican comme préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le pape François l'a confirmé à ce poste et créé cardinal. Ses recherches théologiques et ses convictions l'ont conduit à être tout à la fois curateur de l'oeuvre complète de Benoit XVI mais aussi ami du théologien de la libération Gustavo Gutiérrez. Dans son dernier ouvrage Pauvre pour les pauvres (Parole et Silence), il revient sur son expérience très concrète de l'Eglise dans les slums de Lima au Pérou. A Rome, le cardinal Müller se trouve au coeur des débats théologiques actuels.

    S’agissant de la famille et du mariage, on notera que le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi défend les positions traditionnelles de l’Eglise, telles que Mgr Léonard, par exemple les a clairement exprimées récemment à l’Université de Liège. Pour rappel voici ce que disait notamment le Primat de Belgique (extrait de sa conférence) : 

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  • Synode sur la famille : admettre les secondes noces ?

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    Lu sur le site « Chiesa » de Sandro Magister  (extraits) :

    « ROME, le 2 avril 2015 – Le Jeudi Saint, on peut entendre cet avertissement, plus que jamais d’actualité, qui avait été adressé par l’apôtre Paul aux chrétiens de Corinthe : "Quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement… mange et boit sa propre condamnation".

    De cet avertissement l’Église catholique a tiré l’interdiction de donner la communion aux divorcés remariés.

    Toutefois, dans les Églises orthodoxes, c’est une pratique différente qui a prévalu. Elle en arrive à bénir les secondes noces et à permettre la communion eucharistique aux divorcés remariés.

    Les gens qui souhaitent que cette pratique soit également introduite dans l’Église catholique citent en effet les Églises orthodoxes comme un exemple de "miséricorde" qu’il conviendrait d’imiter. Ils se réfèrent, pour soutenir leur point de vue, à une remarque sibylline formulée par le pape François, le 28 juillet 2013, à bord de l’avion qui le ramenait de Rio de Janeiro à Rome :

    "Les orthodoxes suivent la théologie de l’économie, comme ils l’appellent, et ils donnent une seconde possibilité [de mariage], ils le permettent. Je crois que ce problème, on doit l’étudier dans le cadre de la pastorale du mariage".

    Mais, à la veille de la première session du synode consacré à la famille, au mois d’octobre dernier, l'archevêque Cyril Vasil, secrétaire de la congrégation pour les Églises orientales au Vatican, a lancé une mise en garde contre une interprétation "naïve" de la pratique des Églises orthodoxes en matière de mariage.

    Les remariages – a-t-il expliqué – sont entrés dans la pratique des Églises orientales à une époque tardive, vers la fin du premier millénaire. Ils y ont été introduits sous l'influence envahissante de la législation impériale byzantine, dont les Églises étaient les exécutrices. Et, à l’heure actuelle, la dissolution d’un premier mariage est encore pour ces Églises, dans presque tous les cas, la simple transcription d’un jugement de divorce qui a été rendu par l’autorité civile » […]

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  • Transmettre la culture de la vie

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    Les « marches » et autres manifestations « pour la vie » se succèdent,  avec des succès divers. La Belgique n’est pas, pour l'instant, à la pointe du succès sur ce point. Quoi qu’il en soit, dans la promotion de la culture de la vie, il est fondamental de ne pas abandonner la bataille de l’opinion publique. Sur le site "Didoc", Lucia Martinez Alcade nous rappelle quelques clés utiles pour réussir à transmettre le message:

    « Cela s’est vérifié aux Etats-Unis : bien que les médias les plus importants y soient pro choice (« pour le choix », c'est-à-dire en faveur de l’avortement), les pro life (« pour la vie ») ont réussi à entretenir le débat social jusqu’à obtenir un soutien majoritaire dans l’opinion publique.

    Avec une majorité de médias pro choice, 48% de la population des États-Unis se déclare pro life, face à 45% qui se déclarent en faveur de l’avortement, d’après l’enquête Gallup réalisée en mai 2013. Il a fallu quarante ans pour obtenir ce revirement de l’opinion publique, depuis que le Tribunal Suprême a éliminé les restrictions à l’avortement en 1973. Cela n’a été possible que grâce au dynamisme de la société nord-américaine.

    Avec ce panorama, comment communiquer la culture de la vie de façon efficace ? María Martínez Orbegozo propose six clés, qui tiennent compte des années de pratique de l’avortement dans la société occidentale et des différentes campagnes réalisées autour du sujet.

    Communication positive

    Dans des enquêtes réalisées auprès de femmes en âge de procréer et susceptibles d’affronter des situations induisant à avorter, on a constaté que les campagnes pro life négatives (par exemple, des photos de fœtus avortés) provoquaient un rejet. Il n’en va pas de même avec d’autres types de campagnes centrant leur message sur la femme, sur la valeur positive de la maternité, sur des clips mettant en scène des filles courageuses qui décident de garder leur enfant…

    « Les messages positifs t’inclinent à dire “oui” à ce qu’on te propose », signale María Martínez Orbegozo. Elle ajoute que les manifestations pro life produisent le même effet : on y voit de la joie, des familles, on y entend de la musique ; tout le contraire de l’attitude de féministes radicales qui manifestent de façon violente, en proférant des insultes et en posant des gestes grossiers.

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  • BXL, 24 avril : "Nouvelles approches dans le traitement de l'infertilité" (NaProTechnology)

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  • La radicalité du cardinal Sarah

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    Le cardinal guinéen, préfet de la Congrégation pour le culte divin, assume pleinement ses positions au risque de l’intransigeance, par fidélité au Christ qui nourrit sa profonde vie intérieure. Le correspondant du  journal « La Croix » à Rome a commenté hier son livre :

    DIEU OU RIEN.
    Entretien sur la foi
    Cardinal Robert Sarah avec Nicolas Diat,
    Éditions Fayard, 415 p., 21,90 €

    Pour ceux qui craindraient qu’un vide spirituel régnât au sein de la Curie romaine, le livre d’entretien avec le cardinal Robert Sarah les rassurera. Les plus de 400 pages d’interview menée par le spécialiste du Vatican, Nicolas Diat, permettent d’écouter un sage, pétri d’heures d’oraison, façonné par des jours de jeûne absolu et d’adoration, tout entier voué au Christ et à son Église. D’où le titre de l’ouvrage, tranchant comme l’épée :Dieu ou rien.

    Il résume la radicalité, qui habite tant le propos que le personnage de Robert Sarah. Celle d’abord qui ressort du parcours édifiant d’«un petit garçon d’un village pauvre», par lequel s’ouvre le livre. Le cardinal africain provient du fin fond de la Guinée, «du bout du monde» ou «des périphéries» pour reprendre une image bergoglienne. Il a été très marqué par des missionnaires français, les spiritains, qui ont évangélisé cette contrée reculée par le témoignage d’une foi que la croix du Christ n’effraie pas. Cet héritage sert de référence à travers tout le livre.

    Les parents de Robert Sarah aussi : «Ils sont vraiment le signe le plus profond de la présence de Dieu dans ma vie.» Ces cultivateurs n’ont pas hésité à laisser leur fils unique suivre sa vocation sacerdotale qui le conduisit loin de la case natale pour un séminaire en Côte d’Ivoire puis jusqu’à Nancy et au Sénégal.

    Ni l’éloignement familial, ni les heures au fond d’une cale d’un bateau pour Bingerville, ni les années lorraines sans pouvoir communiquer avec ses parents, ni encore les soubresauts politiques dans une Guinée se libérant de son colonisateur, n’auront raison de la vocation du jeune homme. Au bout de ce parcours du combattant, il sera le seul de ses compagnons de route à parvenir jusqu’à l’ordination, dans la cathédrale de Conakry, le 20 juillet 1969.

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  • Famille : déléguer des décisions aux conférences épiscopales est « anticatholique », selon le cardinal Müller

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    Le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi affirme que si les conférences épiscopales ont une autorité sur certains sujets, elles ne constituent pas un magistère sans le pape et sans la communion avec tous les évêques. Bref, pas d’échappatoire pour le pape François. Lu sur le site de « La Croix » :

    « Déléguer certaines décisions doctrinales ou disciplinaires sur le mariage ou la famille aux conférences épiscopales « est une idée absolument anticatholique », affirme le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF).

    Dans un entretien à paraître dans l’hebdomadaire français Famille chrétienne du 26 mars, le cardinal revient sur les débats houleux du Synode des évêques sur la famille en octobre dernier, et réaffirme l’indissolubilité du mariage chrétien.

    À la question de savoir si certaines décisions doctrinales ou disciplinaires sur le mariage et la famille pourraient être déléguées aux conférences épiscopales, le cardinal allemand répond que « c’est une idée absolument anticatholique qui ne respecte pas la catholicité de l’Église ».

    « Les conférences épiscopales ont une autorité sur certains sujets, reconnaît-il, mais ne constituent pas un magistère à côté du Magistère, sans le pape et sans la communion avec tous les évêques ».

    Au mois de décembre, la Conférence épiscopale allemande avait adopté « à une large majorité », le rapport final de leur groupe de travail sur l’accompagnement des divorcés remariés prévoyant leur accès « sous conditions » aux sacrements de l’Eucharistie et de la réconciliation.

    Les propos du cardinal Müller évoquent également la tentative du diocèse de Fribourg-en-Brisgau en Allemagne, avant le Synode d’octobre 2014, de prendre ses propres mesures concernant notamment l’accès à la communion des divorcés remariés. Le Vatican avait aussitôt demandé de ne pas lancer d’initiatives à même de créer la « confusion ».

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  • Bruxelles, 3 mai : "devenir homopapa pour les Européens"

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    stacks_image_3886.pngLe 3 mai à Bruxelles : "l’évènement le plus important dédié aux homosexuels désireux d’avoir des enfants ouvre ses portes au coeur de la capitale de l’Europe!"  (source)

    Pour la première fois à Bruxelles, les homosexuels (célibataires ou en couple) désireux d’avoir des enfants auront ainsi l’occasion de rencontrer lors de sessions collectives ou d’entretiens privés, et cela en un même lieu, un très large éventail d’organisations, d’associations locales et internationales [FR • BE • NL • US], des couples ayant réalisé leur projet d’adoption, des mères-porteuses, des experts, des centres médicaux, des activistes, etc. en vue de répondre à tous leurs questionnements et/ou recevoir un soutien dans leurs démarches.

    Cet évènement exceptionnel - qui a déjà été mis en place dans plusieurs villes, dont New York, San Francisco, Barcelone et Tel Aviv - est une initiative de l’association sans but lucratif MenHavingBabies (MHB) qui accompagne et soutient financièrement les homosexuels sur le chemin de la parentalité. Plus de 2.000 couples et célibataires à travers le monde, dont 500 européens, ont ainsi déjà pu bénéficier de leurs services et expertise. Les bénéfices de la journée seront reversés au Programme d’Assistance des Parents Gay (Gay Parenting Assistance Program / GPAP) en vue de soutenir et d’aider les candidats potentiels à l’adoption ou à la GPA en Europe. 

  • Les vingt ans d'Evangelium Vitae

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    Jean_Paul_II_-_1(1).jpgDe zenit.org :

    Evangelium Vitae, une feuille de route, claire, forte, concrète

    Entretien avec le P. Lelièvre pour les 20 ans de la publication de l'encyclique 

    « Une Lettre lumineuse, prophétique », « une feuille de route, claire, forte, concrète » : c'est en ces termes que le prêtre français Hubert Lelièvre salue l'encyclique Evangelium Vitae, du pape Jean Paul, 20 ans après sa publication (25 mars 1995).

    Le P. Lelièvre, fondateur de la Famille Missionnaire l'Evangile de la Vie est aussi délégué épiscopal à la famille, dans le diocèse d'Avignon. Il répond aux questions de Zenit, sur son engagement au service de la vie et de la famille.

    Zenit - L'encyclique Evangelium Vitae de saint Jean Paul II, souffle ses 20 bougies. Quels sentiments vous habitent à l'occasion de cet anniversaire ?

    P. Hubert Lelièvre - D'abord un sentiment d'une immense reconnaissance pour ce document dont Jean Paul II lui-même dira qu'il est le cœur du magistère de son pontificat (14.2.2000). Une Lettre lumineuse, prophétique. Saint Jean Paul II a vu de l'intérieur que le combat de la vie et de la famille était central pour l'Humanité d’aujourd’hui, avec une force particulière pour nos générations confrontées à la méta-tentation. Une tentation supérieure à celle du péché originel, autour des questions de la vie et de la famille. Jean Paul II, visionnaire au sens propre du terme, voyait bien le combat entre la Vérité et le nihilisme qui allait se dévoiler, se déchaîner de plus en plus, exprimée par l'apostasie silencieuse de la foi et le relativisme. Avec Humanae Vitae et l’Évangile de la Vie, nous avons les deux poumons pour la formation et l'engagement au service de la Vie. La colonne vertébrale étant la loi naturelle, donnée au Matin du monde, et inscrite dans la conscience de chaque personne humaine. Oui, immense reconnaissance à l’Église, ma Mère, de nous donner une feuille de route, claire, forte, concrète.

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  • Synode : 500 prêtres de Grande-Bretagne incitent à la fermeté

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    Lu sur la Matinale de La Vie :

    500 prêtres anglais et gallois appellent à la fermeté sur la question des divorcés remariés

    Près de 500 prêtres d'Angleterre et des Pays de Galles exhortent les participants au synode sur la famille de rester fermes sur l'accès des divorcés remariés aux sacrements. Dans une lettre publiée ce mardi 24 mars par le Catholic Herald (en anglais), les 461 prêtres signataires estiment que la doctrine et la pratique doivent « rester fermement et inséparablement en harmonie ». Ils exhortent les participants au synode d'octobre prochain sur la famille d'émettre une « proclamation claire et ferme » confirmant l'enseignement de l'Église sur le mariage : « Nous souhaitons, en tant que prêtres catholiques, ré-affirmer notre fidélité indéfectible aux doctrines traditionnelles concernant le mariage et le vrai sens de la sexualité humaine, fondée sur la Parole de Dieu et enseignée par le Magistère de l'Église depuis deux millénaires ».