Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Famille - Page 104

  • Vivre l'Avent et l'année liturgique avec les enfants

    IMPRIMER

    log_transmettre_l136.jpgVivre l'Avent et l'année liturgique avec les enfants

    Bonne année !

    Pour les chrétiens, l'année commence au premier dimanche de l'Avent.

    Afin de vivre l'année liturgique avec les enfants, Transmettre propose plusieurs outils qui ont fait leurs preuves :

    Un magnifique poster (format 42 x 42 cm) présentant l'année liturgique selon les calendriers correspondant aux deux formes du rite romain (ordinaire au recto, extraordinaire au verso).

    Vivre l'année liturgique avec les enfants, par Monique Berger. Un guide complet : présentation des temps et fêtes liturgiques; explication des vérités de la foi; conseils pratiques; des milliers de prières. Avec l'imprimatur à usage catéchétique. Un livre à offrir à tous les parents et catéchistes !

    Vivre l'Avent avec les enfantsUn Dossier Transmettre (numérique, PDF) pour comprendre et expliquer le temps de l'Avent, et le vivre avec les enfants.

    Abonnez-vous au mensuel Transmettre : le dossier du numéro de décembre est entièrement consacré au temps liturgique. Et en vous abonnant, recevez un cadeau très apprécié : Le Manuel du chrétien, grand succès de l'année.

  • Le meilleur des mondes à notre porte ?

    IMPRIMER

    On pourrait le penser :

    Un avenir sans « grossesses non désirées » et « sans avortements » : c’est ce que prévoit le Pr Carl Djerassi pour 2050, date à laquelle, pense-t-il, une bonne part des bébés du monde occidental naîtront par fécondation in vitro, par procréation médicalement assistée, donc. Connu comme l’un des inventeurs de la pilule contraceptive, le professeur austro-américain envisage l’obsolescence de son invention : jeunes hommes et jeunes femmes congèleront leurs gamètes, et se feront stériliser, certains de pouvoir recourir à la PMA, estime-t-il.
    Dans une interview au Daily Telegraph, le scientifique justifie ses prédictions par le taux de succès grandissant des fécondations artificielles, ce qui permettra selon lui de les envisager en dehors du contexte d’infertilité, tout en rassurant la « génération mañana » sur le fait qu’elle pourra tranquillement remettre la maternité ou la paternité à plus tard – avec la certitude que sperme et ovules, prélevés dans leur jeunesse, sont de « meilleure qualité ».
    A la manière d’un Jacques Attali, Djerassi croit tout pouvoir prédire – mais il est vrai que la culture ambiante pousse en ce sens. « La grande majorité des femmes qui choisiront la FIV à l’avenir seront des femmes fertiles qui ont congelé leurs ovules et remis leur grossesse à plus tard. Les femmes de vingt ans choisiront d’abord cette approche comme une forme d’assurance, qui leur procure la liberté face aux décisions professionnelles, ou en l’absence du bon partenaire, ou du tic-tac inexorable de l’horloge biologique. Cependant, je prédis que beaucoup d’entre elles décideront d’être fertilisées par IVF en raison des avancées des diagnostics génétiques préimplantatoires. Et une fois que cela se produira, l’IVF deviendra une façon normale, non-coïtale, d’avoir des enfants », pense-t-il.
  • La famille à la merci des sciences sociales

    IMPRIMER

    Une excellente chronique de Thibaud Collin sur son blog (La Croix) (relayée par le Salon Beige) analyse l'approche relativiste de la famille par les sciences sociales :

    Au vu des lois votées en France depuis près de quatre décennies, il est légitime de se demander si ce ne sont pas les sciences sociales qui ont raison : la famille ne serait-elle pas qu’un mot référant à toutes sortes de situations particulières dont l’histoire, l’ethnologie et la sociologie feraient leur objet ? C’est effectivement sous la pression d’un tel afflux d’études que « la » famille identifiée à une réalité stable et pérenne s’est trouvée affublée de l’adjectif « traditionnelle ». Simultanément la floraison d’autres adjectifs (« monoparentale », « homoparentale », « recomposée » etc.) a semblé confirmer qu’il existe une pluralité de modèles familiaux, modèles désignant ici non plus l’exemplarité et la norme, mais divers types sociologiques pour guider la description des pratiques sociales.

    Tout est-il politique ?

    Certes, une famille est une réalité constituée par des actes humains libres enchâssés dans des usages sociaux, ce que l’on peut nommer des mœurs ou des coutumes qui sont autant de supports disposant à ces actes. Il est indéniable que les coutumes varient selon le temps et les lieux ; Montaigne, saisi par cette évidence à l’orée des temps modernes, en avait déjà conclu à l’extrême plasticité de l’humaine condition et à l’incapacité d’une mesure morale objective et universelle. Peut-on alors conclure que la famille est un objet soumis au relativisme le plus strict ? C’est bien ce qu’un sociologue comme Eric Fassin, à la suite de Pierre Bourdieu et Michel Foucault, cherche à présenter comme une évidence. Afin de promouvoir toutes sortes de figures familiales alternatives, il affirme que «la vérité de la famille n’est pas plus inscrite dans l’éternité des catégories d’Etat que dans le ciel platonicien d’idées abstraites ; les familles s’incarnent dans des pratiques. Elles sont donc susceptibles de changement. »[1] Le présupposé est ici que tout dans le monde humain est construit par l’homme. Cette version relativiste de l’expression « tout est politique » est un réductionnisme. Dire que la famille relève de pratiques humaines conditionnées par des usages sociaux n’honore pas la totalité de ce qui se noue dans ce que l’on nomme famille. La question est alors : comment prendre conscience d’une dimension plus originaire et plus universelle sise en deçà des diverses réalisations historiques de la famille ?

    lire la suite sur le blog de T. Collin

  • La complémentarité homme-femme, base de la famille et de la société

    IMPRIMER

    Un homme et une femme, piliers du mariage et de la société

    Radio Vatican

    Le Pape François se rendra à Philadelphie, aux Etats-Unis, en septembre prochain, à l’occasion de la rencontre mondiale des familles. Il l’a confirmé lundi matin, en s’adressant aux participants à un colloque sur la complémentarité entre un homme et une femme, au Vatican.

    La réunion est organisée par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, et les conseils pontificaux pour la Famille, pour le Dialogue interreligieux et pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens. François leur a adressé lundi un discours sur l’état du mariage.

    Celui-ci, tout comme la famille, est aujourd’hui en crise. Le Souverain Pontife regrette la « culture du provisoire » qui caractérise notre temps et force toujours plus de personne à renoncer au mariage « comme engagement public ». Sous couvert de « liberté » est en cours une « une révolution des coutumes et de la morale », prévient François. « Mais en réalité, elle a porté de nombreuses personnes à la dévastation spirituelle et matérielle, surtout les plus vulnérables ».

    Il est évident pour le Pape que le « déclin de la culture du mariage est associée à une augmentation de la pauvreté  et à d’autres problèmes sociaux qui touchent femmes, enfants et personnes âgées ». Et d’ajouter alors que la « crise du mariage a donné naissance à une crise de l’écologie humaine ». « Les environnements sociaux et naturels ont besoin d’être protégés », complète-t-il.

    Mariage et famille sont les « piliers fondamentaux d’une nation », insiste François, « ses biens immatériels ». Et pour cela, ils doivent être défendus. « Leur apport indispensable à la société dépassent » la simple « émotivité et les nécessités du couple », une « union, rappelle le Pontife, entre un homme et une femme », un « bien unique, naturel, fondamental et beau pour les personnes, les familles, la communauté et la société ».

    Une jeunesse révolutionnaire et à contre-courant

    Il est important le rappeler d’autant plus pour la jeune génération. Le Pape invite ainsi à « penser surtout aux jeunes qui représentent le futur : il est important qu’ils ne se laissent pas impliquer par une mentalité nuisible du provisoire et qu’il soient révolutionnaires par le courage de chercher un amour fort et durable. C’est-à-dire aller à contre-courant. »

    Pas d’idéologie ici, nuance François : « la famille est un fait anthropologique, et donc un fait social et culturel. Elle ne peut pas être qualifiée avec des concepts idéologiques qui ont de la force seulement dans un moment donné de l’Histoire, puis retombent : la famille est famille ».

    En celle-ci se trouve une complémentarité entre un homme et une femme, à ne pas « confondre avec l’idée simpliste que tous les rôles et les relations de chaque sexe sont renfermés dans un modèle unique et statique », explique le Saint-Père. « Chaque homme et chaque femme apporte sa propre contribution personnelle au mariage et à l’éducation des enfants », une « harmonie dynamique au centre de toute la Création ». 

    (Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)

  • Avortement, euthanasie, procréation artificielle : les paroles fortes du pape

    IMPRIMER

    L'avortement et l'euthanasie, des « péchés contre Dieu Créateur » avertit François

    Radio Vatican

    (RV) Le Pape François a mis en garde le corps médical contre la tentation de jouer avec la vie. Il s’agit, a-t-il dit, d’un péché contre Dieu Créateur. Le Saint-Père a reçu samedi matin quelque 5000 médecins catholiques italiens. « Veillez à ne pas soumettre la vie à des expériences, leur a-t-il recommandé, par exemple en fabriquant des enfants plutôt que de les accueillir comme un don ».

    C’est ainsi un véritable plaidoyer en faveur de la vie qu’il a prononcé, se situant dans la droite ligne de ses prédécesseurs. De l'avortement et l'euthanasie, à la fécondation in vitro, le Pape François est formel : la vie est toujours inviolable, il faut l’aimer, la défendre et la soigner et dans certaines circonstances, les médecins catholiques doivent aller jusqu’à l’objection de conscience.

    Le Souverain Pontife a souligné que l’avortement n’est pas problème religieux ni même philosophique. C’est un problème « scientifique » parce qu’il est « illicite » de détruire une vie humaine pour résoudre un problème. Et ce principe, a-t-il assuré, ne pourra pas changer avec le temps. « Tuer a la même signification aujourd’hui que dans le passé. Cela vaut aussi pour l’euthanasie, y compris l’euthanasie cachée dont sont victimes les personnes âgées ».

    Le Saint-Père s’en est pris à la pensée dominante qui propage une fausse compassion sur l’avortement, l’euthanasie et la fécondation in vitro. On veut faire croire que l’avortement est une aide apportée aux femmes, que l’euthanasie est un acte de dignité, que le fait de fabriquer un enfant est une conquête scientifique. L’enfant n’est pas est un droit, a-t-il martelé, mais un don à accueillir. La compassion évangélique est celle qui accompagne dans les moments de besoin, c’est celle du Bon Samaritain qui voit, qui compatit, qui s’approche et qui offre une aide concrète. Le Pape François a également pointé du doigt ceux qui utilisent des vies humaines comme des cobayes sous prétexte d’en sauver d’autres.

    La vie humaine est toujours sacrée, elle est toujours de qualité. Il n’y a pas de vie humaine plus sacrée qu’une autre. Le Souverain Pontife a donc exhorté les médecins catholiques à être fidèles à l’Evangile de la vie et respecter la vie comme un don de Dieu, à faire des choix courageux, à contre-courant et à recourir si nécessaire à l’objection de conscience. Leur mission de médecins les met au contact quotidien avec de nombreuses formes de souffrance. Le Pape François souhaite qu’ils adoptent l’attitude du Bon Samaritain surtout à l’égard des personnes âgées, des infirmes et des handicapés.

    Le Saint-Père a enfin attiré l’attention sur un paradoxe : aujourd’hui, les chances de guérison ont sensiblement augmenté grâce aux progrès scientifiques et techniques. Et pourtant, a-t-il regretté, la capacité de prendre soin des personnes, surtout les plus souffrantes et fragiles, semble avoir baissé. Les conquêtes de la science et de la médecine, a-t-il conclu, peuvent contribuer à améliorer la vie humaine à condition de ne pas s’éloigner de la racine éthique de ces disciplines. 

    (Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)

  • Les évêques américains ont élu leurs représentants pour le Synode de 2015

    IMPRIMER

    « La conférence épiscopale des États-Unis a élu les représentants qu’elle enverra au Synode pour la Famille qui se déroulera en 2015 : les quatre élus principaux sont l’archevêque de Louisville Joseph Kurtz, actuel président de la conférence épiscopale, l’archevêque de Philadelphie Charles Chaput, Daniel cardinal Di Nardo, archevêque de Galveston-Houston et l’archevêque Joseph Gomez de Los Angeles. Les deux élus remplaçants sont le futur archevêque de Chicago Blaise Cupich, et l’archevêque de San Francisco Salvatore Cordileone. Une élection dont on peut dire sans trop se tromper qu’elle viendra grossir les rangs du camp conservateur de la prochaine séance. En effet, en dehors de Mgr Cupich, qui est connu pour être l’un des modernistes les plus affirmés de toute la conférence américaine, les élus font partie des évêques aux positions assez traditionnelles des États-Unis. Tous ont déjà affirmé leur affection pour la liturgie latine ; Mgr Gomez est connu pour sa mésentente cordiale avec son prédécesseur, le très progressiste cardinal Mahony ; Mgr Cordileone est l’un des plus bruyants opposants au « mariage » homosexuel, et Mgr Chaput a récemment été aussi critique que le cardinal Burke au sujet de la première session du synode.
    Alors que le pape a récemment ignoré les orientations de la conférence en choisissant un progressiste pour le siège vacant de Chicago, il semble que les évêques américains sont en train d’affirmer leur penchant conservateur pour l’avenir. »

    Ici, sur « riposte catholique » : Les évêques américains ont élu leurs représentants pour le Synode de 2015

    JPSC

  • Le cardinal Sarr, archevêque de Dakar, a ses réserves sur le récent synode « extraordinaire » sur la famille

    IMPRIMER

    theodore_cardinal.gifLe cardinal, archevêque de Dakar, revient sur les défis de l'Église d'Afrique évoqués avec le Pape lors de sa récente visite « ad limina » chez le pape François. Lu sur le site de « La Vie » :

    « En visite ad limina avec les évêques du Sénégal, de Mauritanie, du Cap-Vert et de Guinée-Bissau, le cardinal Théodore-Adrien Sarr, archevêque de Dakar, au Sénégal, évoque les défis de l’Église en Afrique dans une interview à I.Media, citée par l’agence Apic.

    Le cardinal Sarr reconnaît les difficultés posées à l’Afrique par le récent synode sur la famille, dont les débats ont parfois mis en lumière les écarts entre les préoccupations de l’Occident et du Continent africain. « En effet, car il faut comprendre que les préoccupations sociales de l’Occident aujourd’hui ne sont pas forcément les nôtres », avance-t-il.

    Le cardinal regrette par exemple la place tenue par la question de l’homosexualité.« L’Occident ne doit pas nous imposer sa vision actuelle de l’homosexualité. Nos peuples savent que l’homosexualité existe, ils gèrent cela à leur manière, mais on sent aujourd’hui une pression pour une dépénalisation de l’homosexualité », affirme-t-il. « Chacun a ses options, mais je ne suis pas d’accord avec le fait de présenter cela comme le nec plus ultra de l’évolution et du progrès de l’humanité. » 

    Au sujet du mariage, la question en Afrique se concentre surtout sur la polygamie. « Si la question des divorcés remariés commence à être importante dans nos pays, le premier problème, chez nous, c’est l’accueil des polygames qui veulent devenir chrétiens, ou qui veulent épouser un ou une catholique », explique le cardinal. 

    Islam et animisme

    Évoquant « la présence massive de l’islam dans cette sous région de l’Afrique de l’Ouest », le cardinal a estimé que les relations étaient bonnes avec la communauté musulmane. « Nous avons dit (au Pape) que, jusqu’à présent, les relations sont bonnes, que nous ne sommes pas inquiets, mais que l’on peut se poser des questions sur l’avenir étant donné l’offensive des islamistes un peu partout, et surtout en Afrique de l’Ouest avec ce qui se passe au Mali et au Nigeria », explique le cardinal.

    S’il ne ressent pas de menace des fondamentalistes, le cardinal a fait part de l’importance du respect de la laïcité dans les pays d’Afrique sub-saharienne. « Il faut que la diplomatie vaticane soit très attentive à encourager les Etats africains, au Sud du Sahara, à maintenir coûte que coûte leur option pour un Etat non confessionnel, une laïcité positive pour ainsi dire. Cela afin que toutes les communautés soient reconnues et libres de pratiquer », plaide-t-il. 

    Autre défi abordé par le cardinal Sarr, la place de l’animisme. « En lui-même, l’animisme ne constitue pas un danger, précise-t-il. Mais nous ne faisons pas attention à ce qui reste d’animisme en nous (…) Que nous soyons musulmans ou catholiques, il y a un fort héritage qui est en nous. Il faut dénoncer cette foi dans des forces occultes car pas mal de monde continue à s’y fier. A mon sens, il y a encore des ruptures à faire avec cet animisme présent en chacun de nous. » 

    Ref. Cardinal Sarr : "Les préoccupations sociales de l’Occident ne sont pas forcément les nôtres"

    Vous avez dit « périphéries » ?

    JPSC

  • Groupe éthique sociale et Union des étudiants catholiques de Liège: de l'humanisme à la famille

    IMPRIMER

     

    De l'humanisme à la famille232.jpg

     

    Inscriptions au lunch débat du 24 novembre prochain "Moyen Orient et Persécution religieuse" nécessaires pour le 19 novembre au plus tard. Tél 04.344.10.89 ou email : info@ethiquesociale.org. On peut aussi s’inscrire en ligne sur le site internet : www.ethiquesociale.org

     JPSC

  • Scandale au Kenya : l’ONU aurait introduit un agent abortif dans un vaccin contre le tétanos

    IMPRIMER

    Les évêques du Kenya accusent les Nations Unies de procéder à une réduction de la population via un agent abortif contenu dans un vaccin contre le tétanos. Plus de 2 millions de femmes seraient concernées ! De Sylvain Dorient sur le site « aleteia » :

    « Mardi 7 novembre, l’association des médecins catholiques du Kenya publiait une déclaration selon laquelle ils avaient découvert un élément qui provoquait des fausses couches dans un vaccin antitétanique administré à 2,3 millions de femmes par l’Organisation mondiale de la santé et l'Unicef. Le clergé catholique a encouragé tous ses fidèles à refuser le vaccin (voir Kenyatoday).

    Fausses couches 

    Dans le journal canadien lifesitenews, le porte-parole de l’association, le Dr Muhame Ngare, détaille : « Nous avons envoyé six échantillons venant de différents endroits du Kenya à un laboratoire sud-africain. Tous ont révélé la présence d’un antigen HCG ». L’HCG est l'hormone permettant au corps de la femme enceinte de reconnaître son enfant, pour qu’il ne soit pas attaqué par le système immunitaire. L’élément présent dans le vaccin bloque cette hormone, entraînant des fausses couches, selon les analyses du professeur Bellet (voir un article de Découverte).

    Qui ment ?

    Le gouvernement kenyan nie. Son ministre de la Santé, James Macharia, a affirmé à la BBC : « Je recommanderais ce vaccin à ma propre femme, à ma fille, je l’accepte à 100% et suis sûr qu’il n’a aucun effet indésirable ». Ce à quoi le Dr Ngare répond : « Soit ce sont eux qui mentent, soit c'est nous, mais posez-vous la question : quel intérêt les médecins catholiques auraient-ils à mentir ? Ils sont dans le pays depuis plus de cent ans, ils vaccinaient avant même que ce pays existe ». Il fait part des signes qui les ont inquiétés, récoltés auprès des 54 hôpitaux, 83 centre de santé et 17 écoles d’infirmières. Avant d’avoir les résultats des laboratoires sud-africains, le Dr Ngare avait déjà été étonné de constater que l’on procédait à cinq injections étalées sur plus de deux ans et que cette campagne ne concernait que les femmes. Ce procédé semblait similaire à des campagnes menées par l’OMS et l'Unicef au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines. À chaque fois, l’objectif aurait été un contrôle de la démographie par la stérilisation des femmes en âge de procréer. Dans le cas de ces trois pays, les femmes ayant été vaccinées seraient devenues stériles quelques années après les injections. 

    Des précédents au Mexique et aux Philippines

    Ces campagnes de stérilisation ont été dénoncées en leur temps. Au Mexique, le comité Pro Vida, s’est étonné en octobre 1994 d’une campagne de vaccination antitétanique destinée seulement aux hommes. Il a fait analyser les vaccins et a conclu à la présence de l’élément pathogène dans le vaccin. Même histoire ou presque aux Philippines en 1995, où la Ligue des femmes catholiques des Philippines a obtenu de la justice l’arrêt d’un programme anti-tétanique de l’Unicef parce qu’il contenait la fameuse hormone B-hCG (gonadotrophine chorionique humaine). Dans ce pays, 3,5 millions de femmes sont concernées ! Malgré l’énormité de ces affaires, elles n’ont pas été relayées par les grands médias. »

    Ref. Scandale au Kenya : un agent abortif caché dans un vaccin

    Be cool : big brother s’occupe de vous

    JPSC

  • Peut-on donner l’absolution à un divorcé remarié ?

    IMPRIMER

    De l’abbé Claude Barthe sur le blog du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    « La question de la situation des catholiques divorcés et remariés civilement a été particulièrement débattue lors de l’assemblée extraordinaire du Synode sur le thème « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », qui s’est achevée le 18 octobre dernier.

    Un texte de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, en réponse à une question posée par un prêtre, vient d’apporter sur un point précis de la pastorale vis-à-vis de ces personnes un élément important, particulièrement éclairant dans la confusion générale des esprits. Cette réponse a l’avantage de se placer en amont de la problématique sur la communion eucharistique des divorcés remariés. Elle règle en effet ce que doit être l’attitude des prêtres exerçant le ministère de la réconciliation pour ces mêmes divorcés remariés.

    Nous publions donc ici le texte intégral en français, en respectant sa forme : 

    À la question d’un prêtre français : « Un confesseur peut-il donner l’absolution à un pénitent qui, ayant été marié religieusement, a contracté une seconde union après divorce ? »

    La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a répondu le 22 octobre 2014 :

    Lire la suite

  • Synode sur la famille : un nouveau livre critique les propositions de Kasper

    IMPRIMER

    Lu sur le blog « salon beige » :

    « Le Conseil Pontifical pour la Famille du Saint Siège a publié dans son bulletin n°21 du mois de novembre un compte rendu de la présentation du livre ‘l’Evangile de la famille dans le débat synodal : au-delà des propositions du Cardinal Kasper’. Ce livre est écrit par deux experts de l’Institut Pontifical Jean Paul II pour les Etudes sur le Mariage et la Famille. Les auteurs du livres sont les experts Stephan Kampowski, professeur laïc d’anthropologie philosophique, qui réalisa ses études aux Etats-Unis, en Autriche et à Rome ; et le P. Juan José Pérez-Sopa, professeur universitaire de théologie pastorale sur le mariage et la famille et professeur à l’Université Ecclésiastique San Dámaso de Madrid.

    Ce livre a été présenté à l'auditorium de l'Institut pontifical Jean-Paul II lors d'un événement au cours d'un évènement auquel a notamment assisté le Cardinal George Pell, préfet du secrétariat aux affaires économiques.

    Erreurs dans la thèse du Cardinal Kasper

    « Prenons comme sujet de référence le livre du Cardinal Kasper, ‘L’Evangile de la famille’, qui contient des réflexions très importantes, mais à notre avis contient aussi des imprécisions significatives. Notre apport vise à pouvoir développer les éléments positifs, contribuer à éclaircir ceux qui semblent ambigus, expliquer les raisons pour lesquelles certaines des affirmations nous paraissent erronées, mais surtout, aller au-delà du livre. »

    Ces experts sur le sujet, qui ne furent pas invités à participer au Synode sur la Famille, expliquent aussi que

    « aller plus loin que Kasper est une invitation à faire le pas que lui-même n’a pas fait, ou même passer d’une description de la beauté de l’évangile de la famille à une description de la capacité transformatrice de la pastorale de l’Eglise, du sujet moral et de la culture environnante. »

    Le livre a été publié en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne et en Allemagne.

    Ref. Le Conseil Pontifical pour la Famille publie un compte-rendu sur un livre critiquant les propositions du Cal Kasper

    L'institut Jean-Paul II pour la famille n'était pas représenté parmi les experts invités au synode "extraordinaire" d'octobre dernier.

    JPSC

  • Les Slovaques bientôt appelés à un referendum sur le mariage et l'adoption

    IMPRIMER

    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    La République slovaque a approuvé la tenue d’un référendum à propos du mariage

    La Cour constitutionnelle slovaque a entériné la tenue d’un référendum d’initiative populaire dont le premier objectif était de faire figurer dans la constitution du pays la mention selon laquelle le mariage n’existe qu’entre un homme et une femme. C’est la suite légale d’une pétition réussie qui a rassemblé plus de 400.000 signatures – plus de 10 % des électeurs – en faveur d’une telle modification constitutionnelle.

    Entre-temps le parlement slovaque a déjà adopté une loi définissant ainsi le mariage et rendant inconstitutionnel le « mariage » gay, dans un pays qui ne connaît pas non plus une quelconque forme d’union civile pour les couples de même sexe. Mais cela n’empêchera pas la tenue du référendum qui vise également, et dans la suite logique de cette première demande, à interdire l’adoption par les couples homosexuels et à permettre aux parents de ne pas envoyer leurs enfants aux cours d’« éducation sexuelle » dispensés dans les écoles.

    En revanche, et à la grande colère de l’Alliance pour la famille qui est à l’origine de la pétition, la Cour constitutionnelle a décidé d’écarter la quatrième question posée, visant à interdire toute institution future de partenariats de même sexe, au motif qu’elle serait « inconstitutionnelle ». (...)