
Eglise - Page 1181
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BXL, La Viale, vendredi 20 mars : Chemin de Croix
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BXL - Sainte-Catherine, 28 mars : Veillée pour la Vie avec Mgr Léonard

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Québec : le nombre de désaffectations d'églises est inquiétant
Lu ICI :
Églises du Québec: 72 cas de changement d'usage en 2014!
« Alors que les fermetures, les mises en vente et les démolitions des édifices religieux au Québec se multiplient, près de 200 bâtiments n’ont pas trouvé de nouvelle fonction pour assurer leur avenir. “Ce sont des tendances inquiétantes qui annoncent de lourdes pertes”, met en garde dans son dernier bulletin d’information le Conseil du Patrimoine Religieux du Québec (CPRQ) basé à Montréal. »
«Le Conseil du Patrimoine Religieux précise qu’au 6 novembre 2014, 72 cas de changement d’usage avaient été recensés pour l’année en cours. C’est ce que révèlent les derniers résultats de l’enquête du CPRQ sur la situation des lieux de culte en mutation, dévoilés à l’occasion du dernier Forum sur le patrimoine religieux.»
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Attention, un pape peut en cacher un autre
De Sandro Magister (chiesa.espresso.repubblica.it) :
Journal du Vatican / La double démarche du pape argentin
Il est parfaitement fidèle à la tradition lorsqu’il parle de l’avortement, du divorce, de l’homosexualité. Mais il est par ailleurs ouvert à des changements dans la doctrine et dans la pratique. Voici une anthologie qui accroît le mystère
par Sandro MagisterCITÉ DU VATICAN, le 17 mars 2015 – Parmi les nombreuses déclarations du pape François, il y en a qui ne font presque jamais la Une des journaux. Et dans les rares occasions où elles y parviennent, elles sont immédiatement balayées par d’autres titres qui disent le contraire et qui triomphent.
C’est ce qui se produit à chaque fois qu’il s’exprime en "fils de l’Église" – comme il aime à se définir – et en fidèle témoin de la tradition, à propos de questions telles que la contraception, l'avortement, le divorce, le mariage homosexuel, l'idéologie du "gender", ou l'euthanasie.
À propos de ces questions-là, le pape François ne reste certainement pas silencieux. Et lorsqu’il en parle, ce qui arrive beaucoup plus fréquemment qu’on ne le pense, il ne s’écarte pas d’un millimètre de ce qu’ont affirmé avant lui Paul VI, Jean-Paul II, ou Benoît XVI.
Et pourtant, dans l'opinion dominante, aussi bien laïque que catholique, ce pape passe pour être celui qui innove, qui modifie les paradigmes, qui rompt avec les dogmes du passé, même et surtout à propos des questions de vie et de mort qui ont créé tant de problèmes à ses prédécesseurs.
On peut lire ci-dessous une anthologie, classée par ordre chronologique, des interventions du pape Jorge Mario Bergoglio à propos des questions mentionnées plus haut, depuis la fin du synode du mois d’octobre dernier jusqu’à aujourd’hui.
Cela fait 21 interventions en moins de cinq mois. Certaines d’entre elles attaquent avec beaucoup de vigueur "l’esprit du temps". Elles sont toutes parfaitement en ligne avec la doctrine traditionnelle de l’Église. La dernière citée jette beaucoup d’eau sur le feu en ce qui concerne les attentes de changement dans le domaine du mariage, attentes qualifiées par le pape François de "desmesuradas", démesurées. -
Après le viol d'une religieuse âgée, l'Inde a du mal à battre sa coulpe
Sur le site d'Eglises d'Asie :
Viol d’une religieuse catholique de 75 ans : l’Inde peine à faire son mea culpa
Une religieuse catholique septuagénaire a été victime d’un viol collectif dans l’Etat du Bengale-Occidental. L’agression s'est produite vendredi 13 mars dans le couvent de Jésus-et-Marie, situé près de la ville de Ranaghat, à quelques km de Calcutta.
L’Inde, sous le choc, dénonce la censure de son gouvernement concernant la recrudescence des actes de violences envers les femmes ainsi que les attaques antichrétiennes.
Selon Arnab Ghosh, l’un des principaux responsables de l’enquête, l’attaque aurait été soigneusement préparée. « Les images de télésurveillance montrent six hommes, âgés entre 20 et 30 ans, munis d’outils de cambriolage et d’armes pour certains, escaladant le mur d'enceinte aux alentours de 23h40, entrant dans l’école et coupant les fils du téléphone », a-t-il déclaré à l'AFP.
Ces derniers, entrés par effraction dans l’école catholique, attenante au couvent de Jésus-et-Marie, ont mis à sac les locaux. Ils ont bâillonné le garde, frappé puis ligoté les deux autres religieuses qui composaient la petite communauté, avant de violer la troisième religieuse (laquelle serait la supérieure du couvent selon l'agence Apic). Les agresseurs ont ensuite volé de l’argent liquide appartenant à l’école et se sont emparés d'un ordinateur portable et d'un téléphone mobile.
Selon la police, l’attaque du 13 mars était « un cambriolage », bien qu’il ait été constaté que les assaillants avaient vandalisé et profané l’église, lacérant les bibles, brisant les statues et emportant le ciboire contenant les hosties consacrées.
Ce lundi 16 mars, la police a annoncé avoir arrêté huit personnes, dont quatre ont pu être identifiées rapidement grâce aux caméras de surveillance. Dimanche dernier, après avoir diffusé le portrait robot des agresseurs, les forces de l’ordre avaient promis une récompense de 100.000 roupies (env. 1.500 euros) à toute personne susceptible de fournir des renseignements sur les hommes recherchés.
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Famille chrétienne : 3 minutes en vérité avec le cardinal Sarah
JPSC
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De Pie XII à François, l’impossibilité chronique de désigner les assassins
De Dominique de la Barre sur le site du journal suisse « Le Temps » :
« A première vue, Pie XII et le pape François présentent peu de traits communs. Le premier affiche une figure élancée d’aristocrate, le second, d’origine modeste, une physionomie rondouillarde; l’un fait une carrière brillante au sein de la curie, tandis que l’autre se révélera un évêque de proximité; là où Pie XII adopte une attitude hiératique, François fait appel à un langage simple, voire familier. Pourtant, à septante ans de distance, un point les réunit, à savoir la difficulté à déterminer la bonne réponse à apporter face à des forces hostiles à l’Eglise comme à l’humanité tout entière.
Eugenio Pacelli est élu pape alors que règne le temps des totalitarismes et des guerres. Bon connaisseur de l’Allemagne pour y avoir vécu dix-sept ans, il devra aborder la question de l’attitude à adopter envers le nazisme et sa conception païenne de l’homme. On a beaucoup reproché à Pie XII ses silences face à la Shoah mais à vrai dire ces silences se font entendre dès l’invasion allemande de la Pologne, pays de tradition catholique, à laquelle fera suite une occupation d’une extrême brutalité, au cours de laquelle six millions de Polonais trouveront la mort, dont trois millions de juifs et trois millions de «gentils». Dès 1939, ceux-ci attendront en vain une condamnation des violences nazies; en majorité catholiques, les Polonais s’attendent à ce que le pape veille en premier lieu sur ses propres ouailles, qu’il réprouve les violences commises par les Allemands, dont environ un quart sont aussi catholiques, et qu’il expose de manière claire ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. En vain. Pie XII, alors fraîchement élu, s’en tiendra à une stricte neutralité entre les belligérants et à une diplomatie discrète. Lorsque la réalité de la Shoah deviendra claire, Pie XII sera pressé de toutes parts d’élever la voix en public contre ce qui apparaît de plus en plus nettement comme une extermination systématique des juifs d’Europe. En 1942, à l’occasion du message radiodiffusé de Noël, le pape prononcera la phrase suivante: «Ce vœu [de mettre fin à la guerre], l’humanité le doit à des centaines de milliers de personnes qui, sans aucune faute de leur part, par le seul fait de leur nationalité ou de leur race, sont vouées à la mort ou à une progressive disparition.»
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Une bénédiction des unions homosexuelles au programme du prochain synode ? Des théologiens suisses s'avancent...
Décidément, les enchères relatives aux décisions que pourrait prendre le prochain Synode sur la Famille sont en train de monter; on en jugera en lisant les propos figurant sur le Portail Catholique Suisse :
Le prochain synode sur la famille pourrait ouvrir la voie à une possible bénédiction des couples homosexuels par l’Eglise catholique. Pour l’heure, sa conception se présente sous la forme d’un accueil inachevé: elle accepte les personnes homosexuelles, mais rejette leur sexualité. Une situation qui pourrait évoluer.
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Saint Héribert de Cologne (16 mars)
Saint-Héribert (source)
(...) Saint Héribert fut à la fois un grand homme d'État, chancelier de l'empire germanique, et un éminent pontife, archevêque de Cologne.Héribert naquit vers l'an 970; il était fils du comte Hugo de Worms. Ses études commencées à l'école du chapitre de cette ville, se continuèrent à l'abbaye de Gorze, près de Metz, où il surpassa les moines par l'étendue de son savoir, ses connaissances théologiques et sa profonde piété. A son retour, l'évêque de Worms le nomma prévôt de la cathédrale, l'ordonna prêtre et le fit entrer dans la chancellerie royale, où convergeaient toutes les activités politiques et administratives de l'empire.
Le jeune clerc n'aurait pu recevoir une meilleure formation diplomatique, mais son séjour à la chancellerie devait en plus avoir une importance décisive sur le cours de sa vie, car c'est là qu'il fut remarqué et apprécié par l'empereur Othon III. Celui-ci en fit, en 993, son chancelier pour les affaires d'Italie, pays compris dans le saint empire romain germanique, et son conseiller intime, son compagnon inséparable. Il voulut aussi lui confier l'évêché de Wurzbourg, mais Héribert se désista en faveur de son frère Henri.
Héribert devait la ferveur royale à son service désintéressé pour l'État Il n'aspirait pas, comme la plupart des nobles de l'entourage impérial, à étendre les possessions de son lignage. Demeurant toujours dans le voisinage d'Othon, il s'appliquait à déjouer les plans irréfléchis de l'impétueux et inexpérimenté monarque, comme inversement de favoriser toutes ses bonnes dispositions et ses actes généreux de dévotion, Il l'accompagna dans ses deux premières expéditions à Rome, assista à son couronnement en 996 et participa activement à plusieurs conciles. Il influença efficacement l'élection de deux papes pieux et capables, Grégoire V et Sylvestre II.
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La minorité chrétienne du Pakistan victime d'un nouvel attentat
De rfi.fr :
Selon un dernier bilan fourni par les services de secours, au moins 14 personnes sont mortes et des dizaines d’autres ont été blessées ce 15 mars dans une double explosion à Lahore, au Pakistan. Les déflagrations ont retenti dans un quartier chrétien, au moment de la messe du dimanche. Cet attentat s’ajoute à la longue liste des violences contre les minorités religieuses du pays.
Les églises étaient bondées de fidèles en ce jour de prière dominicale dans le quartier chrétien de Youhanabad, à Lahore. Deux explosions ont retenti, à quelques minutes d’intervalle, près de deux lieux de culte. Ce sont des kamikazes qui se sont fait exploser, ont annoncé les talibans pakistanais, qui ont rapidement revendiqué l’attentat.
Sirènes
Alors que les sirènes des ambulances résonnaient encore dans les environs, certains habitants réagissaient déjà violemment à ces attaques. Des centaines d’entre eux se sont rassemblés sur la principale avenue du quartier pour protester. La foule a lancé des pierres sur des policiers, les accusant de ne rien faire pour les protéger, puis deux personnes soupçonnées d’avoir participé aux attentats ont été lynchées, leur corps brûlé.
Cibles
Ces attentats sont les plus meurtriers contre la minorité chrétienne du pays depuis l’attaque qui avait causé la mort de plus de 80 personnes dans une église de Peshawar en décembre 2013. Les minorités religieuses sont régulièrement la cible de violences au Pakistan. Fin janvier, un attentat contre une mosquée chiite du sud du pays avait fait plus de 60 morts.
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La joie d'être aimé; un parcours dans la Bible
La joie d'être aimé(Parcourir ensemble la Bible, tome 1)64 pages - 7€15La première Parole de Dieu est celle de l'amour, la première étape de la foi est donc la joie d'être aimé, quand nous entrons dans la reconnaissance de l'œuvre et de l'action de Dieu.
Laissons-nous guider par la Parole biblique, en prenant le temps d'écouter les textes, de les goûter, de les ruminer, de les méditer et de les prier.
N'hésitons pas à provoquer des petits groupes pour échanger. Les autres projetteront une autre lumière pour faire entendre d'autres résonances. Souvent, Dieu nous parle à travers ceux qui nous accompagnent.
L'auteur
Le père Charles Mallard, curé au Mourillon (Toulon), est aussi professeur au séminaire de La Castille. Passionné par la transmission de la foi, il propose un chemin de découverte de la Bible sur un rythme de 4 trimestres :
1. La joie d'être aimé - 2. Aimer pour avancer - 3. Le choix d'aimer - 4. Aimer toujours plus
Il accompagne ses lecteurs chaque mois dans une page du magazine Église de Fréjus-Toulon et répond à leurs questions dans le cadre de son émission de formation chrétienne (bimensuelle) sur RCF. -
Synode sur la famille : le pape dénonce des "attentes démesurées"
Synode pour la famille : le pape constate des "attentes démesurées"
Interview à une télévision mexicaine (Zenit.org - Marina Droujinina)
“Je crois qu’il y a des attentes démesurées“, explique le pape à propos du synode pour la famille, dans une interview accordée cette semaine, deux ans après son élection, à une chaîne de télévision mexicaine. Le pape François a abordé plusieurs sujets de la vie ecclésiale, mais aussi les thèmes de l’actualité.
Synode : des attentes démesurées
A une question sur le synode pour la famille : “Je crois qu’il y a des attentes démesurées“, répond le pontife sans détour sur la possibilité de la communion pour les catholiques divorcés et remariés ou sur l’approbation du monde des personnes homosexuelles.
En donnant la communion aux personnes divorcées remariées “on ne résout rien“, explique le pape: “Ce que l’Église veut, dit-il, c’est que tu t’intègres à la vie de l’Église“. Pour ceux qui disent “non, moi je veux communier et c’est tout“ la communion n’est qu’une “cocarde“, qu’un “titre honorifique“, estime le pape.
Aujourd’hui, l’Église doit “affronter“ différents points, continue le pape, “la préparation au mariage, l’accompagnement de ceux qui vivent en concubinage, (…) de ceux qui se sont remariés, de ceux qui se préparent à recevoir le sacrement du mariage“. Le pape croit que de nombreux mariages “ne sont pas préparés“ et que des mariages “sociaux“ “sont nuls“, “par manque de foi“.
Conversion au sommet
Le pape François souhaite une véritable “conversion des cœurs“ au sommet de l’Église.
Avec toute sa franchise le pape juge que la curie romaine est “la dernière cour qui reste en Europe“, tandis que les autres se sont “démocratisées“. Le pontife revient sur son discours de décembre 2014 devant les responsables de la curie romaine dans laquelle il a énuméré les 15 « maladies curiales ». Aujourd’hui, il ajoute une seizième maladie de “ceux qui n’ont pas le courage de critiquer en face“. Il faut “que les choses sortent“, dit-il. Le pape souhaite que ses collaborateurs aient “le courage de ne pas se taire“ s’ils ne sont pas d’accord avec lui.