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Eglise - Page 1507

  • La signification symbolique des cendres

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    Source : missel.free

     La symbolique des cendres

    La cendre, dont la signification originelle est fort discutée, bien que son usage soit répandu dans la plupart des religions antiques, est souvent associée à la poussière[1], et symbolise à la fois le péché et la fragilité de l'homme.

    I. Le cœur du pécheur, d'abord, est semblable à la cendre : le prophète Isaïe appelle l'idolâtre un « amateur de cendres[2] », et le Sage dit de lui : « Cendres, que son cœur ! Plus misérable que la poussière, sa vie ![3] » C'est pourquoi le salaire du péché ne peut être que cendre : les orgueilleux se verront « réduits en cendre sur la terre[4] », et les méchants seront piétinés comme cendre par les justes[5]. D'ailleurs le pécheur qui, au lieu de s'endurcir dans son orgueil[6], prend conscience de sa faute, confesse précisément qu'il n'est que « poussière et cendre[7] » ; et pour signifier aux autres et à lui-même qu'il en est convaincu, il s'assoit sur la cendre[8] et s'en couvre la tête[9].

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  • Heureux celui qui ose le chemin du désert

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    Pour ce mercredi des cendres, Eric de Beukelaer propose cette méditation intitulée "Des soldes et des cendres"

    Les soldes. Moins dépenser pour plus acheter. Se perdre dans les entrailles maternantes de ces temples de la consommation que sont les centres commerciaux. Vivre un temps de douce frénésie collective, afin de relancer la machine économique. Sainte croissance, priez pour nous. Pour celui qui en a les moyens - pourquoi pas ? La vie est parfois si tendue. Alors, se lâcher un peu ne fait de tort à personne. OK. Mais est-ce bien cela le fond des choses ? "Laisse-toi vivre. Profite. On ne vit qu’une fois. Tu le vaux bien." OK, OK Et puis quoi ? Les Cendres - Mercredi des cendres. Début du temps de carême. Moins consommer pour vivre autrement. Se perdre dans le désert. Lieu ingrat, dépouillé, bref vide. Non pas le désert des aventuriers en Land Rover, rêvant au Dakar. Non, le désert qui dure : silencieux, inutile et inactif. En hébreu, désert se dit "mishbar". En jouant sur les consonances, ce mot peut être relié à "mit-dabar" qui signifie "de la parole" . Un ami plus compétent m’a dit que le jeu de mots n’avait aucun fondement sémantique, mais peu m’importe : celui qui entre dans le désert, part à la rencontre de la parole, de sa parole. En effet, au cœur de nos vies se cache un désert, un espace de solitude radicale. Qui d’entre nous se sent durablement et intégralement compris, aimé, accueilli ? Celui qui veut durer en amour ou en amitié doit apprendre à respecter le jardin secret et les silences douloureux de l’âme sœur, ce désert inaccessible qui fonde l’identité et l’altérité. Aucune vie adulte digne de ce nom n’est possible sans la reconnaissance et l’apprivoisement de ce creux qui vibre au cœur de notre moi profond. Seul celui qui se sait seul et qui assume pareille radicale solitude est lucide dans sa rencontre de l’autre. Il faut une vie et davantage pour parcourir ce chemin, car le désert est tout sauf un endroit séduisant. A vrai dire, il fait peur. Il est ce lieu aride où sont démasqués nos besoins infantiles et cocons matriciels. C’est pourquoi - si facilement - nous le fuyons en consommant - bien au-delà de nos besoins réels. Cela nous distrait de vivre. Au désert, la perspective change. L’humain commence à renaître dans les douleurs d’un enfantement. Le masque du carnaval de nos vies craque de partout et derrière, il y a un enfant qui pleure. Alors - mais alors seulement - la voix de Celui qui est, qui était et qui vient, se fait entendre. C’est la voix qui dit à Abraham : "Va, quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père, pour le pays que je t’indiquerai" (Genèse 12,1) . Avec le Mercredi des cendres et le début du carême, s’ouvre pour tout qui veut une porte vers quarante jours de désert - périple de mort à nos peurs en vue d’une résurrection. Heureux qui fait le pas et tente le voyage. Il existe un autre pays que celui de notre condition creuse et anonyme de petit consommateur besogneux. Heureux celui qui ose le chemin du désert pour parcourir le royaume austère de l’authentique spiritualité. Il se découvrira sujet.

    Eric de BEUKELAER

    Blog : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/
  • Les désordres romains ne touchent pas que l'Europe...

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    « Les scandales de l’Eglise mettent en difficulté les chrétiens de l’Inde »

    Interview du Cardinal Telesphore Placidus Toppo qui décrit la situation des croyants dans son pays : «Je vois des églises toujours plus vides : nous devons rester unis et proches du Pape.»

    (Fabio Marchese Ragone, Vatican Insider, 20/02/12 - traduction de notre amie B.T.)

    “Celui qui agit ainsi n’est pas un vrai chrétien. En Inde, nous avons eu connaissance de ces fuites et cela nous a beaucoup peiné ». C’est avec fermeté, et avec une nuance de reproche, que s’exprime le Cardinal Telesphore Placidus Toppo, 72 ans, archevêque de Ranchi au nord-est de l’Inde, pays où, selon le dernier rapport publié par le « Catholic Secular Forum », il y a eu, en 2011, 2141 chrétiens victimes de violence, persécutés et discriminés.  L’archevêque est arrivé à Rome pour participer au consistoire convoqué par le Pape Benoît XVI, grand moment de fête avec le Saint Père et les 22 nouveaux Cardinaux, mais aussi moment de réflexion sur les derniers événements qui ont impliqué la curie romaine.

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  • Une pionnière des soins palliatifs s'est éteinte

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    Belgique : Hommage à Sr Léontine, pionnière des soins palliatifs

    La directrice de la clinique Saint-Jean s'est éteinte (source : Zenit.org)

    Soeur Léontine – au siècle, Jozefa de Buyscher  -, pionnière des soins palliatifs, s’est éteinte à Bruxelles, dimanche 19 février à l’âge de 88 ans, annonce la clinique bruxelloise Saint-Jean dont elle a été la directrice pendant 25 ans. Les évêques de Belgique lui rendent hommage. Ils reconnaissent à Sr Léontine « une place essentielle dans les débats sur la fin de vie ».

    Jozefa de Buysscher était née en 1924 à Anvers, benjamine d’une famille de huit enfants. Après la Seconde Guerre mondiale, une tante religieuse hospitalière, lui suggère de devenir aide-soignante à la clinique Saint-Jean à Bruxelles. Elle prononcera ses vœux dans la congrégation des Sœurs hospitalières augustines, en charge de cet hôpital, le plus vieux de Bruxelles, depuis le XVIe s. C’est sa supérieure qui lui a ensuite demandé d’étudier la médecine : c’est ainsi qu’elle deviendra directrice de la clinique Saint-Jean. Et, une fois à la retraite, elle se consacra aux malades en fin de vie et crée une unité de soins palliatifs, qui s’ouvre, en 1990, avec 12 lits.

    En 1990, soulignent les évêques belges, elle a en effet mis en place la première structure permettant aux malades de « mourir dans la dignité », « entourés de leurs familles ». « Les soins palliatifs, souligne le communiqué, prennent en compte la situation médicale, physique, humaine, et spirituelle du malade et l’accompagnent jusqu’à à la fin de sa vie en soulageant au maximum la douleur ». Après la Clinique Saint-Jean, d’autres cliniques et associations ont permis la création d’un tel service, certaines envisageant aussi les soins palliatifs à domicile.

    Les funérailles de Sœur Léontine sont prévues à Bruxelles, samedi prochain, 25 février, à 10 h 30, en l’église Notre-Dame du Finistère.

  • Rien de tel que l'école catholique...

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    Dans "De Standaard" du 14 février 2012 (Maxie Ecker)

    'Over seks willen we alles weten'(= Nous voulons tout savoir sur le sexe)

    Chlamydia in opmars bij jongeren (= La chlamydia (une MST) augmente chez les jeunes)

    ("Chapeau" de l'article :)

    MECHELEN - In welke vormen en maten kun je condooms kopen? Hoe zeg ik dat ik veilig wil vrijen? De leerlingen van het Sint-Romboutscollege nemen geen blad voor de mond. 'Open over seks praten beschermt hen tegen soa's.'

    (trad. : MALINES: Dans quelles formes et tailles acheter des préservatifs? Comment dire que je veux avoir des rapports sexuels en toute sécurité? Les élèves du Collège Saint-Rombaut ne ​​mâchent pas leurs mots. Un dialogue ouvert sur ​​le sexe les protège contre les MST.)

    L'article, photo à l'appui, explique comment ces jeunes apprennent à se servir de préservatifs qu'ils enfilent sur des pénis en plastique, car, comme le souligne leur professeur de religion, "les jeunes parlent ouvertement de sexe, plus que jamais. Une bonne évolution, je pense"... C'est pour la bonne cause. Pour endiguer la chlamydia.

  • Mgr Bonny et la pièce de Romeo Castellucci

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    Un ami - que nous remercions - a bien voulu traduire pour nous l'article de Mgr Bonny paru dans la presse flamande il y a une quinzaine de jours.

    Le 4 février 2012, Mgr Johan Bonny a assisté au Singel à Anvers à une pièce de Roméo Castellucci : « Sur le concept du visage du fils de Dieu ». Il a écrit à ce sujet un billet d’opinion publié dans De Standaard et  De Morgen le 7 février 2012.

    "Je ne suis pas un critique d’art et encore moins et un grand connaisseur du théâtre moderne. Je ne vais pas m’atteler à une critique artistique de la pièce de Roméo Castellucci « Sur le concept du visage du fils de Dieu ». Je peux cependant dire que cette pièce m’a impressionné. Le titre de la pièce dit bien de quoi il s’agit : du visage de Jésus-Christ. Pendant toute la durée de la pièce, il y a à l’avant plan un énorme portrait de Jésus comme Salvator Mundi, peint par Antonello da Massina (circa 1465-1475). Tout le spectacle se déroule sous le regard de Jésus qui regarde les spectateurs, droit dans les yeux. La première chose qui m’a frappé c’est l’authenticité de l’histoire : un fils qui s’occupe, avec une patiente infinie, de son père qui décline mentalement et qui, en conséquence, est incontinent.

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  • Un festival marial des familles en août prochain

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    Affiche FMF 2012 petite.jpg

    Cliquer sur l'image pour accéder au site et aux informations relatives à ce "festival"

  • Eglise conciliaire et années soixante

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    Rade.jpgIl s’agit d’un essai paru chez L’Harmattan, sous la plume de Louis Rade. Louis-Marie Lamotte en a rendu compte sur le blog de réflexion « contre-débat ». Extraits :

    « Que s’est-il donc passé ? Pourquoi la pratique religieuse a-t-elle chuté ? Pourquoi le message moral de l’Eglise passe-t-il si mal et son message sociopolitique plutôt bien alors qu’il y a un siècle c’était l’inverse ? Pourquoi les vocations se sont-elles taries malgré des efforts sérieux ? »  

    « C’est à ces questions que Louis Rade s’efforce de répondre, dans« Eglise conciliaire et années soixante », un ouvrage publié par L’Harmattan dans la collection « Logiques sociales ». Il ne s’agit en effet pas de mener une étude théologique, mais d’apporter une « contribution à l’édifice interprétatif, en fournissant un schéma hypothétique pouvant s’accorder avec un maximum de faits et surtout tenant compte des plus récentes analyses de ce qui se passa vraiment en Occident riche, et dont le concile est un épisode » (p. 7). L’ouvrage, qui se veut donc une réflexion sur la crise de l’Eglise à partir de la question du rapport de celle-ci au monde propose ainsi un modèle simple (…) : l’ouverture au monde postconciliaire n’a pas été tant une ouverture à la modernité qu’une ouverture au « soixantisme » issu de la croissance économique d’après-guerre, dont les effets ont été décuplés par la disparition ou du moins l’affaiblissement de la « musculature surnaturelle » de l’Eglise (p. 13).  Voir ici : samedi 18 février 2012

    Louis RADE, Eglise conciliaire et années soixante, L’Harmattan, Paris, 2011, 239 pages

  • Le cardinal Ries salué par ses pairs

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    IMG_4953.JPGDépêché à Rome par « La Libre », Christian Laporte a assisté au consistoire cardinalice. Extraits de son compte rendu :

    « Le cardinal Julien Ries rejoint Godfried Danneels parmi les “princes de l’Eglise”. Le nouveau prélat était particulièrement ému.

    A la fin du consistoire ordinaire public qui a créé, samedi matin, 22 nouveaux cardinaux, et malgré une déjà longue et donc épuisante cérémonie, certains parmi ces fraîchement néo-promus auraient bien, coiffés de leur barrette rouge toute neuve et de leur anneau encore serrant, fait cinq fois le tour de l’autel principal de la basilique Saint-Pierre, histoire d’étaler leur nouveau statut aux membres de leur famille, mais davantage encore pour en jeter à leurs "supporters" venus parfois en car - pour les Italiens - et même en avion pour les "fans" de l’archevêque de New York (…)

    Rien de tel pour "notre" désormais second cardinal, Julien Ries, qui s’est pour sa part discrètement éclipsé dès la fin de la cérémonie de la majestueuse basilique en chaise roulante sous la bienveillante protection de ses amis de la famille spirituelle de l’Œuvre, question de se reposer un brin car la "création" d’un cardinal est loin d’être un long fleuve tranquille. Mgr Ries nous a ainsi avoué s’être réveillé à quatre heures du matin. Pas évident donc d’affronter un programme qui ne se terminera que lundi après un repas fraternel avec le Pape. D’autant plus qu’il faut rappeler que le nouveau prélat belge affiche neuf décennies au compteur. Et a mené une vie doublement active :

    D’abord comme professeur et chercheur aux universités de Louvain, Louvain-la-Neuve et Milan tout en continuant encore à écrire aujourd’hui. Ensuite aussi comme prêtre de paroisse dans le diocèse de Namur. Et enfin comme compagnon de route de la famille spirituelle l’Œuvre, un mouvement chrétien toujours en expansion après avoir dû affronter pas mal de critiques, y compris en Belgique, où la commission d’enquête parlementaire l’avait rangé parmi les mouvements sectaires - mais il est vrai qu’on y avait aussi propulsé la Communauté de Sant’Egidio.

    La Belgique n’était sans nul doute pas le pays le plus représenté à la basilique Saint-Pierre lors de la cérémonie d’intronisation, mais tous les compatriotes que nous avons croisés étaient au moins aussi émus que leur nouveau cardinal et que le Pape lui-même. Ce dernier aurait, nous dit-on, certainement contribué au choix de Ries dont il est un lecteur assidu de longue date. Parmi les spectateurs, il y a bien sûr des officiels comme l’ambassadeur de Belgique près le Saint-Siège, Charles Ghislain.

    L’Eglise belge, de son côté, était présente avec les deux évêques du nouveau cardinal, celui de Namur, Rémy Vancottem rappelant les origines arlonaises et la vie pastorale de Julien Ries et celui de Tournai puisque c’est à Ath que le "héros" belge du jour vit encore des jours très heureux consacrés, mais oui, à la recherche et à la prière. Et il y avait bien sûr aussi le cardinal Danneels qui reste grand électeur du Pape (…).

    Chacun à Saint-Pierre et alentours s’est surtout efforcé de mieux découvrir les nouveaux cardinaux. Et surtout de les congratuler. Un exercice où Mgr Ries fit merveille (…). Il est vrai qu’il était le seul des nouveaux cardinaux à avoir eu les honneurs de la "Une" de "L’Osservatore Romano" de samedi matin ! Sous le titre "l’Homme religieux" - "L’Uomo religioso" - le journal a rendu un bel hommage à l’ensemble de son œuvre, soulignant que "Julien Ries est au centre de la recherche anthropologique " Ce que certains ont un peu oublié en Belgique, semble-t-il. Nul n’est prophète en son pays. Et parfois non plus dans son Université.

    Voir l’article complet ici : Le cardinal Ries salué par ses pairs  Rappelons en outre l’interview du nouveau cardinal réalisée par un de nos collaborateurs et que nous avons publiée sous ce titre : Un entretien avec le Cardinal Julien Ries

  • L'enjeu spirituel du ministère de Pierre

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    Source : Zenit.org

    Dans l'Église, tout repose sur la foi - Fête de la Chaire de saint Pierre

    ROME, dimanche 19 février 2012 (ZENIT.org) – « Dans l’Eglise, tout repose sur la foi », affirme Benoît XVI, invitant à revenir à la réalité profonde de la mission ecclésiale : être une « fenêtre vers Dieu ». 

    Le pape a présidé la messe, en la fête de la Chaire de Pierre, ce matin, 19 février 2012, dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Il était entouré des 22 nouveaux cardinaux, agrégés au collège cardinalice hier, 18 février, au cours du 4e consistoire public convoqué par lui.

    Benoît XVI a donné une homélie très concrète, redisant avec force la permanence de l’autorité de l’Eglise, éclairée par la Parole de Dieu, qui lui assure « un fondement stable au milieu des mutations historiques », en dépit des tempêtes dont elle est parfois l’objet. En outre, le pape a réaffirmé l’enjeu spirituel du magistère pétrinien, qui ne peut être atteint par les considérations de personnes.

    Tout dans l’Eglise repose sur la foi

    L'homélie de Benoît XVI fait comprendre plus profondément pourquoi le pape a convoqué une "Année de la Foi" (11 octobre 2012-24 novembre 2013).

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  • Cherchez où est l'erreur...

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    Nous lisons ceci sur Radio Vatican à propos de la journée qui a précédé le consistoire d'hier:

    "Les cardinaux ont rempli leur rôle de conseil auprès du Pape. Pendant toute cette journée, 27 d’entre eux ont pris la parole et se sont exprimés sur différents sujets, allant parfois bien au-delà de la nouvelle évangélisation, objet central de leur attention. Certains ont abordé les problèmes de cette nouvelle annonce de l’Evangile dans des régions et des cultures différentes les unes des autres. Parlant de l’urgence éducative, du renouvellement de la catéchèse pour faire face à l’analphabétisme religieux, de la transmission de la foi aux jeunes, de la formation des évangélisateurs, ils ont souligné la nécessité d’une foi mûre, capable de témoigner et de juger la réalité du monde. Leur boussole doit être le concile Vatican II comme l’a rappelé Benoît XVI à la fin des débats. Le concile et ses précieux contenus de vérité. « Sans cette vérité, nous ne savons pas où aller, avec elle, au contraire a affirmé le pape, la vie est riche et belle ». C’est cette conviction qui permettra de re-évangéliser l’humanité d’aujourd’hui selon Benoît XVI. Malgré les ombres et les difficultés évidentes, les cardinaux, tous autour du pape, ont au moins salué les nouvelles réalités ecclésiales, les journées mondiales de la jeunesse, ou les congrès eucharistiques internationaux : autant de signes positifs et encourageants."

  • Lève-toi et marche !

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    guerison-dun-paralytique.jpg

    Lève-toi et marche !
    Ouvre nos cœurs à ton appel,
    Seigneur Guéris nos paralysies spirituelles
    pour que, nous aussi,
    En nous aidant les uns les autres à venir vers Toi,
    A l'exemple de ceux qui ont apporté le paralysé,
    Nous marchions à ta suite Dans la joie en rendant
    Gloire à Dieu.

    notredamemontcarmel