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Eglise - Page 1589

  • L'immigration, un droit naturel mais pas absolu

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    Le site "Cité et Culture" propose ce rappel :

    Accueillir ceux qui sont contraints de fuir leur pays

    L’Eglise reconnaît l’immigration comme un droit naturel du fait même de la destination universelle des biens : "Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples".

    On ne peut donc refuser à des personnes vivant dans des conditions particulièrement éprouvantes d’émigrer : "pour eux doivent être libres les voies de l’émigration, le droit naturel l’exige" . En conséquence, chacun est tenu de respecter la dignité des personnes concernées : tout immigré doit trouver dans le pays qui l’accueille les conditions d’une vie décente.

    Au premier rang de ces conditions minimales : une vie familiale normale. Doivent être respectés "la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu’elle puisse créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu", explique Pie XII . Alors que la question du regroupement familial se posait de manière aiguë en France dans les années 80, l’exhortation apostolique "Familiaris Consortio" confirme en 1981 "le droit d’émigrer en tant que famille pour chercher de meilleures conditions de vie".

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  • Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?

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    Walter_Crane04.jpgSœur Anne, ne vois-tu rien venir ?

    Selon Jean-Marie Guénois, directeur adjoint du Figaro (les "gras" sont de belgicatho)

    « le cinquantième anniversaire du Concile Vatican II qui va être célébré dans l'Eglise catholique en 2012 pourrait paradoxalement marquer le crépuscule de..."l'esprit du Concile" qui fut pourtant sa grande promesse (…).

    "L'esprit du Concile", c'était "La" signature du Concile Vatican II, son caractère propre. Il fut le moteur de ce que l'on a appelé le "progressisme" dans l'Eglise depuis un demi siècle. Un récent débat sur "les derniers des Mohicans" animé par Mgr Daucourt évêque de Nanterre donne une illustration assez juste de cet état d'esprit et de ses limites (…).

    Une sorte de fermeture de l'ouverture se profile. Vue de l'esprit ? Pas vraiment. Il suffit d'étudier, pour le réaliser, la "note avec indications pastorales pour l'Année de la foi" qui a été publiée, à Rome, le samedi 7 janvier, par la Congrégation pour la doctrine de la foi. Ce texte donne la ligne de "l'année de la foi", lancée par Benoît XVI (…) Cette "note" est toutefois beaucoup plus qu'une note car elle n'est rien d'autre que la mise en forme programmatique d'une politique que Benoît XVI avait annoncée dès 2005. La politique de son pontificat.(…) Ce n'est plus un voeu pieux mais un programme désormais organisé qui a pour objet de réaliser une réforme interne de l'Eglise, lente mais certaine. Il remet à l'heure les pendules doctrinales dans l'Eglise catholique. Et siffle la fin d'une certaine "récréation doctrinale" où tout et son contraire était possible dans la grande maison catholique.

    Ce programme sera-t-il suivi ? Il sera d'abord copieusement critiqué : dans les milieux progressistes comme le fossoyeur du "vrai concile" ; dans les milieux intégristes comme le complice d'un "faux concile". C'est dur, le métier de Pape !

    Au delà de cette dialectique simpliste il ne faut pas se tromper sur l'évolution de fond qui traverse aujourd'hui l'Eglise catholique. Pour le coup, cette vision épouse l'esprit de cette note et l'anime. Certains y voient un simple retour de balancier, il s'agit plutôt d'un axe stratégique : L'Eglise catholique commence à réagir à son déclin occidental. Le nouveau consistoire qui verra la création de 22 nouveaux cardinaux le 18 février prochain, confirme cette orientation. Si "l'esprit du Concile" se meurt, serait-ce "l'esprit catholique" qui revient ? »

    Tout l’article ici : Fin de la récréation doctrinale dans l'Eglise catholique ?

    « Une réforme lente et incertaine » est peut-être la formule à retenir, car nombreux restent  ceux qui, scrutant leur horizon quotidien comme Sœur Anne guettait ses frères, n’aperçoivent encore que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie…

  • BXL et Tournai, 16 et 17 janvier : Divorcés, aimer encore

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    Le père Michel Martin-Prével en Belgique pour présenter son nouveau livre

     « Divorcés Aimer encore»

    le 16 janvier 2012 à 19h30 à Bruxelles (librairie UOPC).

    le 17 janvier 2012 à 17h30 à Tournai (librairie Siloé, rue des Jésuites 28)

    Le Père Michel Martin-Prével est membre de la Communauté des Béatitudes en France depuis 1981. Veuf après trente-deux ans de mariage, et père de trois enfants, il a été ordonné prêtre en 2009. Il exerce un ministère d'accompagnement auprès de couples en difficulté et de divorcés depuis plus de vingt ans. Il est également l’auteur de plusieurs livres aux Editions des Béatitudes dont : « La communion de désir » et « Lettre aux divorcés ». Il a une grande expérience pastorale avec des couples mariés, des époux séparés vivants seuls et des personnes divorcées remariées.« L’objet de ce livre est d’aider des divorcés, qui se trouvent dans n’importe quelle situation, à retrouver leur vocation humaine à l’amour et à prendre pleinement leur place dans l’Eglise, après avoir connu un échec conjugal».  L’auteur résume ainsi son travail en précisant qu’il ne s’adresse pas qu’à des personnes divorcées mais vise à faire comprendre à un large public la parole de l’Eglise sur cette question difficile, douloureuse et délicate du divorce. Pari audacieux d’autant plus qu’il entreprend avec courage, comme le remarque le père Sonnet dans sa préface, de montrer que si cette position parait dure et peu compréhensible dans la société actuelle c’est parce que l’Eglise entend rester fidèle à l’enseignement du Christ, pour redire la beauté et la grandeur du mariage chrétien. Une approche positive pour aider divorcés, restés seuls ou remariés à progresser vers l’attitude juste entre miséricorde et vérité, et vivre en paix leur situation.

    www.ouipourlavie.org

  • Un astre nouveau au firmament du Vatican

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    La Libre de ce jour publie la plaisante pasquinade que lui a adressée Mutien-Omer Houziaux :

    Une nouvelle consultante au Vatican

    Les Goemans, les Nougé, les Magritte, les Chavée, et autres hérauts belges du messianisme surréaliste risquent de perdre un peu de leur éclat singulier. En cette période de l’Epiphanie, c’est une nouvelle étoile qui vient d’apparaître au firmament des visionnaires de l’art aléatoire. L’astre nouveau a été baptisé Laurette; outre d’éminentes activités publiques, elle assumera désormais de tout autres fonctions, également élevées, quoique occultes. De source généralement bien informée, on apprend en effet que Rome l’aurait investie d’une prélature (putative) au titre de guide spirituelle et protectrice des catholiques belges. Chargée d’évaluer le travail des personnes à surveiller, elle aurait déjà, par courrier ultramontain, envoyé une première note plus que sévère à propos d’un suspect. Peu de choses ont filtré des prérogatives exactes confiées au nouveau primat (un titre encore non féminisé), mais il semble bien qu’une de ses principales missions serait de remettre le catéchisme de l’Eglise catholique en conformité avec la législation belge, en veillant toutefois à ne pas porter atteinte aux droits acquis d’autres confessions. Mission délicate s’il en est. Chacun sait, en effet, que le législateur belge a pris sur des questions au demeurant politiquement considérées comme mineures des positions avancées (comme on qualifie certains fromages de "un peu trop goûteux"). Au vu des informations qui circulent sur Internet, il semble que la tâche confiée à la nouvelle dignitaire pourrait connaître quelques revers de fortune, une certaine opposition se faisant de moins en moins silencieuse. Attendons donc le temps pascal : selon une tradition presque bimillénaire, il paraît que ce temps-là est propice à une certaine résurrection des esprits.

    Mutien-Omer Houziaux

  • Pendjab : l'enseignement catholique confronté à une volonté d'islamisation

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    Le site des Missions Etrangères de Paris souligne la dégradation de la situation de l'enseignement catholique au Pendjab. Extrait :

    "Outre les problèmes financiers, les écoles chrétiennes du Pendjab, y compris les plus réputées, doivent affronter les discriminations liées à l’islamisation progressive du pays. En 2005, le ministre de l’Education du Pendjab, Imran Masood, déclarait pourtant aux responsables de l’enseignement catholique de Lahore : « Nous ne vous considérons pas comme des étrangers. Vos écoles sont nos écoles (…) et nous pensons que les minorités doivent participent pleinement à l’éducation de notre nation (…). S’il vous plaît, ouvrez des écoles secondaires et des universités. Nous vous accorderons volontiers toutes les autorisations nécessaires et nous vous restituerons toutes les écoles qui ne l’ont pas encore été » (2). Mais en 2006, malgré ses promesses, le gouvernement rendait obligatoire pour les établissements secondaires du pays « l’enseignement de l’islam et de l’arabe (l’Islamiyat) comme matière principale, et de la morale pour les non-musulmans ». Une mesure rapidement dénoncée par les minorités comme fortement discriminatoire, les élèves ayant choisi les cours de morale échouant systématiquement aux examens..."

    Lire l'entièreté de l'article

  • Un voeu pieux : "Que les écoles osent affirmer leur identité catholique"

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    Nos églises sont désertées et en voie de désacralisation, nos médias et nos politiques bannissent toute référence au christianisme, mais, figurez-vous, la plupart des parents qui mettent leurs enfants à l'école libre sont très attachés à l'engagement catholique de ces écoles. Si, si, c'est relaté sur le site de catho.be : que-les-ecoles-osent-affirmer-leur-identite-catholique.

    Ces écoles qui ont désaffecté leurs chapelles pour en faire des parkings ou des salles de gymnastique, où l'on ne prie plus, où la religion enseignée relève davantage des sciences humaines que du catholicisme, où il est mal seyant de se réclamer du pape ou du primat de Belgique, où il faut renoncer de près ou de loin à tout ce qui pourrait apparaître comme une forme de "prosélytisme", ces écoles sont donc censées être invitées à affirmer leur identité catholique pour répondre aux attentes des parents. L'eusses-tu cru?

  • "Une souffrance cachée": une brochure de la conférence épiscopale

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    L'information est apparue ce matin sur le site de catho.be :

    "Dans la foulée des travaux de la Commission parlementaire «  », qui a abouti entre autres à la constitution de tribunaux d’arbitrage pour indemniser les victimes d’ dont les faits sont prescrits aux yeux de la loi, la Conférence épiscopale présente ce jeudi matin à la presse une brochure intitulée « Une souffrance cachée – Pour  une  approche globale des  abus  sexuels  dans  l’Eglise ». Ce document de 52 pages, publié aux Editions Licap, entend être la réponse des Evêques de Belgique et des Supérieurs des Religieuses et Religieux de Belgique aux cas d’abus sexuels commis notamment par des membres du clergé.  L’ouvrage est divisé en deux parties. La première vise, entre autres, à tirer les leçons de récits douloureux entendus de la part des victimes et porte à rompre le silence et à ne pas  ne pas laisser les abuseurs en paix.  La seconde partie entend poser les jalons en vue du traitement et de la prévention des abus sexuels..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

    Tout cela est sans doute bel et bien mais personne ne nous empêchera de penser que ces dérives tragiques se sont produites dans un contexte d'atonie religieuse et de relâchement généralisé et qu'il serait grand temps de retrouver un tonus religieux et spirituel à la hauteur des défis actuels. Dans la perspective de cette année de la foi qui s'ouvrira à l'automne prochain, nous sommes curieux de voir quelles propositions seront faites aux catholiques de Belgique pour sortir de cette léthargie déprimante. 

     

  • Une video de Mgr Di Falco sur la christianophobie

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    Un évêque s'exprime sans langue de bois; c'est à découvrir en cliquant sur le lien suivant : http://dimancheprochain.over-blog.com

  • Rencontre-conférence avec Mgr Léonard à Hal, ce dimanche 15 janvier

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    Dimanche 15 janvier à 15h30

    en la Basilique Notre-Dame,

    conférence de Mgr Léonard

    en visite pastorale dans le doyenné de Hal

    L'occasion de rencontrer et de soutenir notre archevêque constamment attaqué et diffamé pour des propos qui ne sont rien que catholiques et la plupart du temps déformés, et cela aussi bien à l'intérieur de l"Eglise que par la laïcité combattante.

  • Le principal défi de l'Eglise en 2012

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    Quel sera le principal défi de l'Eglise en 2012 ?

    Aleteia propose un dossier consacré à cette question qui se pose de manière particulièrement cruciale dans notre pays alors qu'on prévoit de désacraliser des dizaines d'églises et qu'on enregistre une chute vertigineuse des prêtres en activité :

    "Le défi majeur auquel l’Eglise fait face aujourd’hui est la « profonde crise de la foi qui touche de nombreuses personnes ». Pour y répondre, le pape convoque une « Année de la foi », qui se déroulera de 2012 à 2013, afin d’encourager tous les membres de l’Église à être des témoins de Jésus-Christ, capables d’indiquer aux nombreuses personnes en recherche de vérité la « porte de la foi ».

    Dans ces temps de crise, l’Eglise se trouve confrontée à de formidables défis. On parle souvent de crise dans la pratique religieuse, de crise des vocations au sacerdoce et de la vie consacrée, de divisions au sein même de l’Eglise... Certains prônent une réforme de l’Eglise. Mais quel est le principal défi auquel l’Eglise fait face aujourd’hui ?"

    Voir la réponse détaillée sur ce site : http://www.aleteia.org/

  • Saint Aelred de Rievaulx, docteur de la charité et de l'amitié

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    StAelred.jpgAelred de Rievaulx (1109-1167)

    Aelred naquit vers 1109, d'une famille qui habitait le Nord de l'Angleterre. Enfant remarquablement doué, il fut élevé à la cour d'Ecosse avec le fils du roi. Aimer, être aimé, telle était sa nature. Lorsqu'il eut compris que rien ne doit être préféré à l'amour du Christ, il entra au monastère de Rielvaux, en 1135. Désormais rien de ce qui n'était assaisonné au sel de l'Ecriture Sainte ne put en aucune manière entraîner son affection.

    Saint Aelred, le "Docteur de la charité et de l'amitié"

    D'une grande douceur au milieu de ses frères, il les surpassait tous par sa vertu. En 1143, il fut envoyé comme abbé dans la fondation de Rievaulx à Revesby, près de Lincoln. Quatre ans plus tard, la communauté de Rievaulx l'élisait comme abbé. Aelred voulut que la gloire propre de sa maison fut d'être plus que toute autre la demeure de la charité et de la paix. De cette vertu qui lui était si agréable, il devait parler avec une grâce singulière dans les traités qu'il nous a laissés. Le “Miroir de la Charité”, et plus encore, le “Traité de l’amitié spirituelle” ont fait d'Aelred le “Docteur de la charité”, de l’amitié humaine tout spécialement, qui mène à Dieu.

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  • Liens du jour (12/1/2012)

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    Euthanasie, deux nouvelles affaires (Jeanne Smits)

    Bataille culturelle en Espagne ...et en France (Benoît-et-moi)

    Zenit.org :

    L'Eucharistie donne la force d'aimer Dieu et les frères
    Catéchèse de Benoît XVI sur l'institution de l'eucharistie

    Jeunes, soyez heureux d'être membres de l'Eglise
    A propos de la fête du Baptême du Christ

    Les Musées du Vatican dépassent les 5 millions de visiteurs
    Pour une nouvelle « philosophie de sauvegarde »

    De l'influence des media sur les relations familiales
    Congrès à l'Université pontificale du Latran

    La « grande joie » du futur cardinal belge, le P. Julien Ries
    Un « forçat du travail »

    Les archives secrètes du Vatican révélées : exposition
    Aux Musées du Capitole à partir du 1er mars 2012

    Généthique :

    La Belgique, n°1 en nombre de donneurs d'organes 11/01/12

    "IVG médicamenteuse  : moins on en parle, plus ça fait mal" 10/01/12