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Foi - Page 1010

  • Un maître de spiritualité : saint Alphonse de Liguori (1er août)

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    artimage_383529_3338448_2011041031163.jpgAu cours de l'audience générale (30 mars 2011), Place St.Pierre, Benoît XVI a tracé un portrait de saint Alphonse de Liguori, évêque et docteur de l'Eglise, "un insigne théologien moraliste, un maître de spiritualité... Né dans une noble famille napolitaine en 1696, il fut un brillant avocat avant d'abandonner cette profession pour devenir prêtre en 1726". Puis le Pape a rappelé que saint Alphonse "entreprit une oeuvre d'évangélisation par la catéchèse parmi les plus pauvres, auxquels il aimait prêcher en leur présentant les fondements de la foi... En 1732, il fonda la Congrégation du Rédempteur" qui, sous sa direction forma des "missionnaires itinérants touchant jusqu'aux villages les plus isolés où ils encourageaient la conversion et la persévérance chrétienne, principalement par la prière".

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  • Corne de l'Afrique : on ne peut rester indifférent à la tragédie de la faim et de la soif

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    Sur Radio Vatican :

    "Au cours de l'Angélus de ce dimanche, Benoît XVI a lancé un appel à la mobilisation contre les périls qui menacent la Corne de l'Afrique.

    "Il est interdit de rester indifférent à la tragédie des affamés et des assoiffés" s'est-il exclamé dans son adresse en polonais aux fidèles réunis dans la cour du Palais Apostolique de Castelgandolfo pour la traditionnelle prière de l'Angélus.

    "Nous avons entendu dans l'Evangile de ce jour le récit du miracle de la multiplication des pains, avec lesquels Seigneur Jésus nourrit une foule affamée" rappelait Benoît XVI. Jésus "nous encourage à donner à manger" aux hommes qui ont faim et soif, "à partager le pain avec ceux qui en ont besoin". "A la suite du Christ, nous devons être sensibles à la pauvreté des peuples".

    Dans sa catéchèse en italien, le Pape dénonçait la situation vécue par les hommes et femmes de la Corne de l'Afrique, "qui pâtissent des conséquences de la famine, aggravées par la guerre et le manque d'institutions solides".

    Citant des passages de son livre "Jésus de Nazareth", Benoît XVI a enfin rappelé que "le Christ est attentif aux besoins matériels". Mais, explique le Pape, "il veut donner plus, parce que l'homme est toujours affamé de quelque chose en plus, il a besoin de quelque chose en plus. Dans le pain du Christ est présent l'amour de Dieu"."

    On peut aider notamment en soutenant le JRS : http://www.belgicatho.be/archive/2011/07/29/la-crise-humanitaire-somalienne.html

  • Buissonville (Rochefort) : l'affaire est grave et Mgr Vancottem ne peut se dérober

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    Suite à la parution des deux posts précédents, ICI et ICI, nous maintenons notre vigilance et nous demandons des réponses claires.

    L'abbé Gravet est très probalement un brave homme même si son comportement constitue un grave manquement à la loyauté à l'égard de l'Eglise catholique dont il se réclame; cependant, nous n'avons pas l'honneur de le connaître et nous ne voulons pas nous livrer à une querelle "ad hominem".

    L'objectivité des faits qui se sont produits dans le cadre de ce jubilé nous interpelle et soulève un certain nombre de questions auxquelles l'évêque, chargé de veiller sur les fidèles de son diocèse et d'éviter que des manquements graves, voire scandaleux, à la foi de l'Eglise ne s'y produisent.

    Les questions que nous posons sont les suivantes :

    - Un prêtre peut-il prendre des dispositions qui privent ses ouailles de la messe dominicale pour assister, en lieu et place de celle-ci, à une célébration de la Cène protestante, présidée par un ministre de l'Eglise réformée? 

    - Des prêtres catholiques peuvent-ils "concélébrer" avec un ministre du culte protestant, officiant ainsi dans le cadre d'un office éloigné de la foi de l'Eglise (dans la Présence substantielle du Christ dans l'Eucharistie notamment), plongeant ainsi les fidèles dans la confusion et en en scandalisant certains parmi eux?

    - L'évêque autorise-t-il un de ses prêtres à "monter" une opération spectaculaire (et médiatisée) destinée à susciter le débat et la contestation sur des positions clairement définies par l'Eglise : à savoir la nature du sacerdoce, le célibat sacerdotal, l'accès des femmes à la prêtrise?

    Nous ne lâcherons pas prise tant que des réponses claires n'auront pas été données à ces questions par l'évêque du diocèse concerné; à défaut, les congrégations romaines compétentes seront interpellées au sujet de cette affaire et invitées à donner aux fidèles les réponses auxquelles ils ont droit.

    A suivre, donc.

  • Provocation de Buissonville : le doyenné cautionne ?

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    Sur le blog du Doyenné de Rochefort, la célébration de la Cène dans l'église de Buissonville que nous avons rapportée ici était annoncée en ces termes :

    "Le dimanche 31 juillet 2011 en l’église de Buissonville à 10H45, nous fêterons les 60 ans de sacerdoce de l’Abbé Marcel Gravet.

    Dans un souci d’unité entre chrétiens, la Cène du Seigneur sera célébrée par Mme Annette Ruby, femme pasteur protestante en Alsace."

    http://www.doyennederochefort.be/pages/Dans_le_doyennecalendrier-1577549.html

    Sans titre.jpg

    Et voici (ci-contre) la parution de cette annonce dans le journal paroissial...


    Nous attendons la réaction de l'évêque, et à défaut de celle-ci, celle des autorités ecclésiastiques.

  • Une prière du Roi Baudouin

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    Une prière du Roi Baudouin, en ce jour où l'on se souvient de sa mort :

    Moi, je ne compte pas
    MOI :

    Qu'importe si je dois boire un amer calice,
    Et si je sens mon coeur triste jusqu'au trépas:
    Puisque c'est toi, JESUS, qui veux le sacrifice,
    Moi, je ne compte pas.

    A ton gré, mon JESUS, laisse tomber le voile,
    Montre-moi ta beauté, serre-moi dans tes bras,
    Ou du ciel obscurci dérobe chaque étoile:
    Moi, je ne compte pas.

    Donne-moi, mon JESUS, ta paix ou la tempête,
    Couronne mes efforts, ou ne me soutiens pas,
    Sous le poids des douleurs laisse courber ma tête:
    Moi, je ne compte pas.

    Que mon coeur soit meurtri, même par ceux que j'aime,
    Qu'importe mon JESUS, puisque tu m'aimeras !
    Que le bien que je fais soit soupçonné lui-même:
    Moi, je ne compte pas.

    Si d'incessants labeurs tu veux que je t'honore,
    Ou si je dois languir dans l'impuissance, hélas !
    Qu'importe, mon JESUS ! Tu le veux: je t'adore !
    Moi, je ne compte pas.

    Si je dois achever de gravir le calvaire,
    Si le Cyrénéen manque même à mes pas,
    Qu'importe, mon JESUS ! Tu verras ma misère.
    Moi, je ne compte pas.

    JESUS :

    Si ta foi, cher enfant, est si grande et si haute,
    Si tu veux t'oublier pour vivre dans mes bras,
    Moi je sais, moi je peux, moi je t'aime et je compte,
    Si tu ne comptes pas !

    MOI :

    Qu'importe mon plaisir, ma joie, ma souffrance !
    Jésus seul doit compter dans mon coeur ici bas.
    A lui seul gloire, amour, reconnaissance :
    Moi, je ne compte pas.

    http://users.skynet.be/prier/textes/PR0128.HTM

  • 31 juillet : fête de saint Ignace

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    images.jpgSaint Ignace naquit au château de Loyola, en Espagne, l’an 1491, Innocent VIII étant Pape, Frédéric III empereur romain germanique et Charles VIII roi de France.

    Il fut d’abord page du roi Ferdinand V (de Castille, ou Ferdinand II Le Catholique, roi consort d’Aragon) puis, sa nature ardente s’accommodant mal de la vie molle et oisive de la cour, il embrassa la carrière des armes. Il ne le céda en courage à personne, mais négligea complètement de vivre en Chrétien, dirigé uniquement par l’orgueil et l’amour des plaisirs. De ce chevalier mondain, Dieu allait faire l’un des premiers chevaliers chrétiens de tous les âges.

    Au siège de Pampelune, un boulet de canon brisa la jambe droite du jeune officier, qui en peu de jours fut réduit à l’extrémité et reçut les derniers sacrements, la veille de la fête de saint Pierre. Il s’endormit ensuite et crut voir en songe saint Pierre, qui lui rendait la santé en touchant sa blessure. À son réveil, il se trouva hors de danger, quoique perclus de sa jambe. Pour se distraire, il demanda des livres ; on lui apporta la Vie de Jésus-Christ et la Vie des Saints. Il les lut d’abord sans attention, puis avec une émotion profonde. Il se livra en lui un violent combat ; mais enfin la grâce l’emporta, et comme des hommes de cette valeur ne font rien à demi, il devint, dans sa résolution, un grand Saint dès ce même jour.

    Il commença à traiter son corps avec la plus grande rigueur ; il se levait toutes les nuits pour pleurer ses péchés dans l’obscurité et le silence. Une nuit, il se consacra à Jésus-Christ par l’entremise de la sainte Vierge, refuge des pécheurs, et lui jura une fidélité inviolable. Une autre nuit, Marie lui apparut environnée de lumière, tenant en ses bras l’Enfant Jésus. Peu après, saint Ignace fit une confession générale et se retira à Manrèze, pour s’y livrer à des austérités qui n’ont guère d’exemple que dans la vie des plus célèbres anachorètes : vivant d’aumônes, jeûnant au pain et à l’eau, portant le cilice, il demeurait tous les jours six ou sept heures à genoux en oraison. Le démon fit des efforts étonnants pour le décourager, mais saint Ignace triompha de toutes les tentations.

    "Quand je pense à ce qui est du monde, je m'y complais beaucoup, mais quand je suis fatigué et que je cesse d'y penser, je me trouve aride et insatisfait ; en revanche, quand je rêve d'aller à Jérusalem nu-pieds, de ne plus manger que des herbes, de me livrer à toutes les austérités comme les saints, non seulement j'éprouve de grands élans intérieurs, quand je médite sur des pensées de ce genre, mais même après les avoir quittées, je reste satisfait et allègre."

    C’est dans cette solitude qu’il composa ses Exercices spirituels, l’un des livres les plus sublimes qui aient été écrits par la main des hommes. Passons sous silence son pèlerinage en Terre Sainte et différents faits merveilleux de sa vie, pour arriver à celui qui en est de beaucoup le plus important, la fondation de la Compagnie de Jésus, que l’on pourrait appeler la chevalerie du Christ et le boulevard de la Chrétienté. Cette fondation est assurément l’une des plus grandes gloires de l’Église catholique ; sciences profanes et sciences sacrées, enseignement, apostolat, rien ne devait être étranger à la Compagnie de saint Ignace. Les vertus du fondateur égalaient ses grandes œuvres ; elles avaient toutes pour inspiratrice cette devise digne de lui : Ad majorem Dei gloriam ! « À la plus grande gloire de Dieu ! »

    Il mourut à soixante-cinq ans, le 30 juillet 1556, Paul IV étant Pape, l’empereur Charles-Quint abdiquant cette même année et Henri II étant roi de France.

    ("Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950).   http://www.mariedenazareth.com/2397.0.html?&L=0

  • Namur : l'évêque réagira-t-il à une provocation délibérée ?

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    Dans le secteur pastoral de Haversin, un prêtre a décidé de célébrer ses 85 ans et ses 60 ans de prêtrise d'étrange façon :

    "Ce dimanche 31 juillet (10 h 45), l’église de Buissonville sera probablement trop petite pour accueillir toutes les personnes qui viendront dire merci à leur ami Marcel. La cérémonie sera placée sur le thème de l’ouverture. « Dans un souci d’unité entre chrétiens, explique l’intéressé, la Cène du seigneur sera célébrée par Annette Ruby, qui est pasteur protestant en Alsace. Les prêtres qui le souhaitent pourront concélébrer. Voilà une démarche qui ne manquera pas de susciter des réactions que j’espère nombreuses. J’espère après coup, obtenir de nombreuses réponses à des questions du genre : comment avez-vous ressenti la célébration de la Cène par une femme mariée et mère de plusieurs enfants ? Qu’attendez-vous d’un prêtre ou d’un pasteur ? Quelles interpellations souhaitez-vous adresser aux plus hautes autorités de l’Église ? En rassemblant tous ces témoignages, nous espérons instaurer une réflexion profonde sur ces sujets et constituer un document à diffuser d’ici un an ou deux sous la forme la plus opportune. »

    source : http://www.lavenir.net/Article/Detail.aspx?articleID=DMF20110728_00027439

    Il ne reste que quelques heures. L'évêque laissera-t-il cet "office" se dérouler au mépris de toute cohérence pastorale et des exigences d'un sain oecuménisme qui ne peut tolérer l'ambiguité et le n'importe quoi. Nous sommes devant un acte grave qui ne peut avoir lieu sans une intervention adéquate de l'évêque, garant de la foi reçue des apôtres et de l'orthodoxie catholique dans son diocèse.

  • Le président de Human Life International dénonce une véritable persécution

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    Dans "Spirit & Life", Monseigneur Barreiro, Président intérimaire de HLI, dénonce les atteintes légales qui menacent la liberté de l'Eglise :

    "Depuis quelques années nous assistons dans le monde entier au montage d'une persécution contre l'Église catholique. Nous avons des pays qui ont pénalisé l'enseignement de la doctrine catholique sur l'homosexualité comme un crime, affirmant qu'une telle prédication conduit à une discrimination contre ceux qui ont un penchant homosexuel ou qui pratiquent ce type de conduite. Récemment, le gouvernement irlandais a proposé une législation en vertu de laquelle les prêtres risquent jusqu'à cinq ans de prison pour défaut de divulgation des crimes sexuels contre des mineurs, si les crimes ont été évoqués dans la confession sacramentelle. Il est triste de constater que c'est le gouvernement irlandais et pas une puissance étrangère coloniale qui serait de retour en Irlande comme au temps des lois pénales qui persécutèrent les catholiques et l'Eglise catholique. (à l'époque de domination anglaise ndt)

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  • Pâque Nouvelle : l’Église existe pour évangéliser

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    pâques nouvelles 3271.jpgLes revues belges de bonne qualité destinées à la formation chrétienne de l’ « honnête homme » ne courent pas les rues. Pâque Nouvelle en est une. La deuxième livraison 2011 de ce périodique trimestriel vient de paraître.

    Dans la rubrique consacrée à la doctrine de la foi, l’abbé Serge Théate, professeur d’écriture sainte au grand séminaire de Namur, aborde le sujet de la rétribution divine du bien et du mal  (Dieu punit-il nos actes mauvais ? Les bons sont-ils toujours récompensés ?) en montrant combien cette notion s’est purifiée au fil de l’histoire biblique pour acquérir la plénitude de son sens dans la personne du Christ.  Mgr Julien Ries, ensuite, évoque les représentations de l’au-delà telles qu’elles se sont développées dans l’Église à partir des textes fondateurs du christianisme, dont il résume ainsi la doctrine en la matière : « la certitude d’un jugement pour tout homme et dont la référence est son comportement au cours de sa vie ; l’état de béatitude de celui qui se trouvera définitivement avec le Christ dans sa gloire ; la situation misérable de celui qui, librement, a choisi de se séparer du Christ de manière définitive » et précise-t-il ailleurs « le besoin de purification, exprimé dans les doctrines de la réincarnation des religions anciennes et dans la croyance de beaucoup de nos contemporains, qui trouve dans le purgatoire une expression conforme à l’amour de Dieu pour l’homme et au mystère de la Rédemption par le Christ ».

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  • La conférence du cardinal Burke sur "l'orthodoxie catholique, antidote à la culture de mort"

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    Cette conférence a été mise en ligne par Jeanne Smits sur son blog: voici les liens:
    La première partie (Introduction) a paru ici.

    La deuxième partie (Présupposés fondamentaux) est ici.

    La troisième partie (Le Magistère et la promotion de la culture de vie (1/2) est ici.

    La quatrième partie (Le Magistère et la promotion de la culture de vie (2/2) est ici.

    La cinquième partie (Défis à l'obéissance au magistère) est ici.

    La sixième partie (Le Magistère et la vie publique) est ici.

    La septième partie (Le scandale de la désobéissance au Magistère) est ici.

    La huitième partie (Le bien commun et la promotion de la culture de vie) est ici.

    La neuvième partie (Conclusion) est ici.

  • Le rite de la communion dans la forme ordinaire de la messe

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    Un quotidien français rapporte ces déclarations faites  par le Cardinal Antonio Canizares :

    "Dans une interview accordée au média internet hispanophone ACI Prensa, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a recommandé avec une insistance inédite que les fidèles communient sur la langue et à genoux. Venant de lui, en des termes aussi nets, cette prise de position est pour le moins importante. Même si fait toujours défaut une disposition claire adressée d’autorité aux évêques de rite latin du monde entier… La question posée par ACI Prensa était de savoir s’il est recommandable que les fidèles reçoivent la communion dans la main.

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  • Le 29 juillet 1907

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    C'est le 29 juillet 1907 que Lord Baden Powell a fondé le scoutisme.

    Grâce à cette initiative, des générations de jeunes ont découvert l'esprit de fraternité, l'amour de la nature, la loyauté civique, le sens de l'effort et du dépassement de soi, mais aussi le sens de Dieu. La dimension religieuse fait partie intégrante des fondements du scoutisme et son fondateur a insisté sur la nécessité de l'inscrire dans l'esprit du mouvement.

    Il est donc infiniment regrettable que les cadres de la Fédération des Scouts Catholiques de Belgique aient renoncé à la maintenir dans leur fédération qui est devenue "les scouts". Heureusement, la "base", dans de nombreuses unités, réserve encore une place à cette dimension et des aumôniers ou des "animateurs spirituels" y exercent un rôle important pour accompagner les jeunes dans leur croissance spirituelle.

    Sur un site, je trouve ceci qui me paraît tout à fait adéquat :

    "Le scoutisme veut fournir à chaque jeune une occasion de découvrir Dieu, par la vie dans la nature, qui permet émerveillement et contemplation, par la vie avec les autres : une patrouille qui vit la loi scoute est un signe vivant de l’amour de Dieu ; les efforts fournis ensemble en s’entraidant, les moments de joie, les amitiés nouées par la vie fraternelle, sont autant d’occasions de sentir Dieu à l’œuvre à travers les hommes. Le témoignage personnel des aînés (chef de patrouille, chef, cheftaine) est essentiel dans cette découverte, par les temps de prière prévus dans les activités, la découverte du silence et du temps consacré à écouter, par la possibilité de rencontrer un prêtre, au camp ou pour la préparation des étapes de la vie scoute.
    Aujourd’hui, où règnent le doute et la désespérance, le scoutisme offre à chaque jeune une chance de trouver un sens à sa vie. Pour nous, ce sens, c’est le Christ, qui est « le Chemin, la Vérité, la Vie » Le scoutisme permet de le découvrir.
    "