Foi - Page 569
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La Semaine Sainte et la fête de Pâques au Saint-Sacrement (Liège)
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Paul-José Mpoku, un footballeur qui se sentirait bien dans l'évangélisation
Du site StandardRouche.be :
Même s’il s’en défend, c’est l’un des boss du vestiaire rouche. Avant d’aborder Bruges dimanche, Mpoku reconnaît que le Standard est au pied du mur pour les play-offs. Polo évoque aussi le Français de Sa Pinto, son petit frère Albert à Anderlecht, une éventuelle prime de champion, Harry Kane, le foot au Congo… et Jésus-Christ. Sans oublier bien sûr les cris de singe. Paul-José Mpoku passe « Sur le Gril ».
On le retrouve à l’Académie Robert Louis-Dreyfus, entre un entraînement et son épouse à aller chercher à la Maternité : Paul-José Mpoku est papa depuis ce lundi d’un petit Isaiah, son tout premier enfant. « C’est une joie immense, bien plus forte que marquer un but (rires). Je n’ai pas pleuré d’émotion, car je pleure très rarement : disons que j’ai pleuré… à l’intérieur. C’est un sacrée responsabilité, comme père et comme époux. J’ai même un peu les jetons : pour l’instant, pour changer le petit, j’observe comment les autres font (rires). S’il sera footballeur plus tard ? A mon avis, oui : dans la famille, tout le monde passe par là ! » (...)
Depuis l’âge de 15 ans, Paul-José Mpoku pratique la Foi avec conviction. « Dès que je peux, je vais chanter à l’Eglise. Je lis la Bible deux ou trois fois par semaine. Jésus m’apporte la sérénité et le calme : je ne suis pas parfait, mais je suis sûr qu’aujourd’hui, je peux maîtriser mes émotions sur un terrain. J’aime bien servir d’exemple et tenter de propager du bon autour de moi : si je n’étais pas footballeur, je me verrais bien… dans l’évangélisation ! Pas pasteur, mais missionnaire : aller vers les autres pour les aider. Mais je ne suis pas dupe : certains utilisent la religion pour semer la violence ou s’accaparer du pouvoir. J’aime bien cette phrase de la Bible qui dit : ‘Sois zélé, mais avec intelligence.’ Mais le plus important, c’est de ne jamais oublier d’où on vient et inciter les jeunes à aller plus loin que soi. C’est pourquoi j’aimerais créer une académie de foot à Verviers, où j’ai grandi, pour offrir une structure aux enfants et aux parents. » (...)
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Une page saisissante de l’Histoire méconnue des martyrs chrétiens albanais
De Famille Chrétienne :
Un cardinal rouge sang Don Ernest Simoni
LIVRE | 08/03/2018 | De Mimmo Muolo
Auteur : Mimmo Muolo
Editeur : Béatitudes
Nombre de pages : 160Don Ernest Simoni aura bientôt 90 ans. Ce prêtre catholique albanais est un des derniers témoins de la persécution communiste dont on ne doit pas enterrer trop vite la mémoire. Le journaliste italien Mimmo Muolo retrace ici le calvaire de ce géant de la foi qui émut le pape aux larmes, lors de son voyage à Tirana en 2014. Le vieillard au regard bleu endura dix-huit ans de travaux forcés, dont douze dans les terribles mines de Spaç (sous la dictature de l’inflexible Enver Hoxha) avant de passer encore dix ans dans les égouts de Scutari, au contact des excréments, pour nettoyer les conduits de la ville. Une page saisissante de l’Histoire méconnue des martyrs chrétiens albanais.
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Le "Notre Père" : le choc des traductions
De Sandro Magister traduit sur diakonos.be :
Pas de répit pour le « Pater Noster ». Le choc des traductions
« Cette traduction n’est pas bonne » a coupé court le Pape François en commentant à la télévision, le 6 décembre dernier, la traduction actuelle en italien de la phrase du « Pater noster » qui dit en latin : « Et ne nos inducas in tentationem ».
En Italie, la traduction que l’on récite ou que l’on chante pendant la messe est pratiquement calquée mot à mot sur le latin: « E non c’indurre in tentazione ». Tout comme la version anglaise aux Etats-Unis : « And lead us not into temptation ».
C’est précisément ce type de version que François n’aime pas. La raison qu’il a donnée devant les caméras de TV2000, la chaîne des évêques italiens, en mimant le geste de pousser et faire tomber (voir photo), c’est que « ce n’est pas Lui, Dieu, qui me jette dans la tentation, pour voir ensuite comment je suis tombé. Non, le Père ne fait pas cela, le Père aide à se relever tout de suite. Celui qui induit en tentation, c’est Satan. La prière que nous disons c’est : Quand Satan m’induit en tentation, Toi, s’il te plaît, donne-moi un coup de main ».
Et vice-versa, le Pape aime bien – et il l’a dit – la nouvelle traduction en usage depuis l’année dernière en France et dans d’autres pays francophones : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation » qui a remplacé la précédente : « Et ne nous soumets pas à la tentation » qui est à son tour très semblable à celle qui est en vigueur dans plusieurs pays hispanophones, dont l’Argentine : « Y no nos dejes caer en la tentación ».
En Italie, la Conférence épiscopale se réunira en assemblée extraordinaire du 12 au 24 novembre prochain pour décider s’il faut ou pas introduire dans le « Padre Nostro » de la messe la nouvelle traduction qu’on peut déjà lire depuis dix ans dans la traduction officielle de la Bible en italien : « E non abbandonarci nella tentazione ».
Mais après cette déclaration de François, il semblerait que l’issue des débats ne fasse plus aucun doute – « Roma locuta, causa finita » –, et que la traduction de la Bible qui plaît davantage au Pape soit introduite dans le missel.
Et pourtant non. Il n’est pas dit que les choses prendront cette tournure. Parce qu’entretemps, Rome a de nouveau parlé. Et elle vient avec une nouvelle solution.
Cette fois, ce n’est pas le Pape en personne qui a parlé mais il s’en est fallu de peu. Il s’agit d’une voix qui lui est proche, très proche jusqu’à se confondre avec la sienne : celle de « La Civiltà Cattolica ».
Dans la revue dirigée par Antonio Spadaro, le jésuite intime de François, un autre jésuite, le célèbre bibliste Pietro Bovati, vient de publier un article intégralement consacré à l’analyse de cette question « difficile » : « Et ne nos inducas in tentationem ».
Dans la première moitié de l’article, Bovati explique comment une telle prière au Père céleste n’a pas manqué de soulever des difficultés d’interprétations au cours de l’histoire de l’Eglise. Et il montre comment des Père de l’Eglise influents tels qu’Ambroise, Augustin et Jérôme ont orienté l’interprétation dans ce sens : « Ne permets pas que nous entrions e/ou succombions à la tentation », ou encore : « Ne nous abandonne pas à / en tentation ». C’est-à-dire précisément « dans la direction que prennent les traductions modernes ».
Sauf que, arrivé à ce point, Bovati fait inopinément volte-face. Et il déclare vouloir proposer une nouvelle traduction. Une traduction qui ne coïncide en rien avec celle qui, en Italie, semble sur le point de devenir officielle, ni avec celle qui est déjà en usage en France, en Argentine et dans les autres pays.
La nouvelle traduction proposée par Bovati et qu’il défend bec et ongles, est celle-ci : « E non metterci alla prova » [Et ne nous mets pas à l’épreuve].
Pour justifier cette traduction, il explique que le mot « épreuve » est plus fidèle que « tentation » au grec « peirasmos » du texte original. Notamment parce que dans le Nouveau Testament, la « tentation » a le sens négatif de chercher à faire tomber par la séduction ou la tromperie, ce qui est en fait le contraire de ce fait Dieu, alors que l’« épreuve » ou le fait de mettre à l’épreuve correspond à travers toute la Bible à ce que Dieu fait avec l’homme, à plusieurs moments et de manière parfois insondable, et c’est ce dont Jésus lui-même a fait l’expérience au plus haut degré au jardin des Oliviers avant la Passion, quand il priait avec ces mots : « Père, si tu le veux, éloigne de moi cette coupe ! ».
« Il ne s’agit donc pas seulement – écrit Bovati – de prier le Père pour être en mesure de surmonter les tentations et de vaincre les séductions du Malin, même si c’est bien sûr nécessaire, mais également de supplier le Bon Dieu de venir en aide à celui qui est petit et fragile pour qu’il puisse traverser la nuit sans se perdre. Pensons par exemple à tous ceux qui s’adressent à Jésus pour demander la guérison, pensons également aux nombreuses demandes que nous répétons quotidiennement, en reprenant les formules des Psaumes ou des oraisons liturgiques, pensons enfin à toutes ces invocations qui naissent dans notre cœur quand nous percevons un danger ou que nous sommes pris par l’angoisse pour l’avenir, ou quand nous sommes déjà touchés par un symptôme du mal. Eh bien, toutes ces différentes formes de demandes aux Seigneur sont rassemblées et comme condensées dans une unique supplique, celle qui dit : « Ne nous mets pas à l’épreuve ».
L’article de Bovati mérite d’être lu dans son intégralité. Et qui sait si les évêques italiens ne s’en inspireront pas quand il décideront quoi faire en novembre prochain.
Une dernière remarque, de nature musicale. Les mots « E non metterci alla prova » s’adapteraient parfaitement à la mélodie classique du Notre Père chanté. Une chose qui est en revanche impossible avec l’alambiqué « E non abbandonarci nella tentazione » qui risque fort d’être approuvé.
Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso.
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"Le sacrifice du Christ et le sacrifice de l’Eucharistie sont un unique sacrifice"
De zenit.org :
Catéchèse : l’Eucharistie, « c’est le Corps de Jésus ; c’est tout »
La messe ne se paye pas, la rédemption est gratuite (Traduction intégrale)
L’Eucharistie, affirme le pape François à l’audience générale, « c’est le Corps de Jésus ; c’est tout ». Nous n’avons pas besoin de nous poser de questions, explique-t-il. « La foi vient à notre aide ; par un acte de foi, nous croyons que c’est le corps et le sang de Jésus. C’est le “mystère de la foi”, comme nous le disons après la consécration. Le prêtre dit : “Mystère de la foi” et nous répondons par une acclamation ».
L’audience générale de ce mercredi 7 mars 2018 a eu lieu dans la Salle Paul VI, tandis que de très nombreux pèlerins y participaient en direct par vidéo dans la basilique Saint-Pierre, en raison de l’affluence. Le pape est allé les y saluer au terme de la rencontre. Poursuivant son cycle de catéchèse sur la messe, le pape François s’est centré sur la prière eucharistique, qui « qualifie la célébration de la messe et en constitue le moment central, ordonné à la sainte communion ».
Le pape a aussi évoqué la possibilité de faire dire la messe pour une intention particulière : « “Père, combien dois-je payer pour que mon nom soit prononcé ici ? – Rien !”. C’est compris ? Rien ! La messe ne se paye pas. La messe est le sacrifice du Christ, qui est gratuit. La rédemption est gratuite. Si tu veux faire une offrande, fais-la, mais ce n’est pas payant. C’est important de comprendre cela. »
Voici notre traduction intégrale de la catéchèse du pape.
HG
Catéchèse du pape François (traduction intégrale)
Chers frères et sœurs, bonjour !
Nous continuons les catéchèses sur la messe et, dans cette catéchèse, nous nous arrêtons sur la prière eucharistique. Une fois conclu le rite e la présentation du pain et du vin, commence la prière eucharistique, qui qualifie la célébration de la messe et en constitue le moment central, ordonné à la sainte communion. Elle correspond à ce que Jésus lui-même a fait, à table avec les apôtres lors de la dernière Cène, quand il « rendit grâce » pour le pain, et ensuite pour le calice du vin (cf. Mt 26,27 ; Mc 14,23 ; Lc, 22,17.19 ; 1 Cor 11,24) : son action de grâce revit dans chacune de nos Eucharisties, en nous associant à son sacrifice du salut.
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Le plus vieux des Belges est mort; il était prêtre et "traditionnel" mais on sera indulgent vu son grand âge !
Lu sur L’Avenir (Sambre-Meuse, p. 1) :
Doyen du pays, l’abbé Clemens est décédé
Pour ses 100 ans, Benoît XVI – qui était alors toujours pape – lui avait adressé ses vœux et envoyé un portrait dédicacé. Durant l’été 2014, il avait été désigné «prêtre le plus vieux du monde». «Il cumulait ainsi plusieurs records puisqu’il était à la fois le doyen de l’entité d’Ham-sur-Heure-Nalinnes, de Belgique et du Benelux tout en étant le plus vieux curé du monde, souligne le bourgmestre Yves Binon qui l’a bien connu. … Le bourgmestre décrit un prêtre empreint d’une certaine rigueur et traditionaliste dans sa perception de la religion. «Mais c’était normal, vu son grand âge,» explique-t-il. Pensez qu’il était déjà là lors de la construction de l’église de Nalinnes-Bultia. Il en a d’ailleurs été le seul curé jusqu’à aujourd’hui. Voici peu, il y avait encore du monde à ses messes.»
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Liège : L’Eucharistie fait de nous des missionnaires
En l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy, 132 à Liège, de 19h00 à 20h30, l’abbé Claude Germeau animera une récollection de carême ouverte à tous sur le thème : « L’Eucharistie fait de nous des missionnaires » :
Invitation/Information
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Sursum Corda asbl. Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89 (si on ne répond pas : GSM 0498 33 46 94).
E-mail : sursumcorda@skynet.be.
Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Faire un don pour l’entretien et la restauration de l’église? Compte IBAN BE75 0016 3718 0851 de Sursum Corda asbl, Rue Vinâve d’île, 20 bte 64, 4000 Liège.
JPSC
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Quels enrichissements liturgiques entre les deux formes du rite romain ?
Lu sur le site web du mensuel « La Nef » :
« Benoît XVI, suivi notamment par le cardinal Robert Sarah, invite les deux formes du rite romain à « s’enrichir réciproquement ». De quoi s’agit-il précisément ? Explications.
Dans la Lettre aux évêques qui accompagne le Motu proprio Summorum Pontificum du 7 juillet 2007, Benoît XVI estime que « les deux formes d’usage du rite romain peuvent s’enrichir réciproquement ». Dans l’intention du pape, la réintroduction, dans le cadre paroissial, du missel promulgué par saint Jean XXIII, devrait susciter une émulation liturgique de telle sorte que chaque forme intègre certains aspects positifs de l’autre. Dans un message adressé aux organisateurs des dix-huitièmes rencontres liturgiques de Cologne (29 mars-1er avril 2017), le cardinal Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte divin, a repris à son compte ce thème de l’enrichissement mutuel des formes rituelles. Trois questions.
UN OGM LITURGIQUE ?
S’agit-il d’aboutir à une synthèse entre les deux usages liturgiques, espèce de messe « hybride » brillamment préconisée en son temps par l’abbé Bryan Houghton ? À lire attentivement tout ce que le cardinal Ratzinger a écrit sur la question, il semble clair que, pour lui, la liturgie ne se prête pas à ce genre de manipulation génétique ! Quand J. Ratzinger évoquait cette fameuse « réforme de la réforme » lors des « Journées liturgiques » qui se tenaient en l’abbaye de Fontgombault en juillet 2001, il entendait que l’ancien Missel fût maintenu comme « point de référence », « critère », « sémaphore », parce que ce rite est « vénérable » et signifie « l’identité permanente de l’Église ». En se concentrant sur la réforme du Missel de Paul VI, il appert que Benoît XVI s’intéressait avant tout au bien commun de l’Église, c’est-à-dire à la forme ordinaire à laquelle participent habituellement la grande majorité des fidèles.Est-ce à dire que la forme extraordinaire est intangible ? Ce serait méconnaître profondément l’essence de la liturgie : un corps organique fruit d’un développement continu. Surtout pas une fabrication artificielle à la manière d’une production technique, mais un processus vivant de croissance, hors duquel le rite se fossilise jusqu’à devenir ce « cadavre embaumé » évoqué par Louis Bouyer. En ce sens, on peut bien parler d’un apport mutuel de l’un à l’autre usage liturgique. La condition sine qua non, c’est que les deux formes se côtoient.
Je suis enclin à penser que, pour envisager les choses de façon positive en termes de complémentarité et non de façon dialectique en termes d’opposition, il est souhaitable que les mêmes prêtres célèbrent les deux formes dans un même lieu : la paroisse, puisque le Motu proprio Summorum Pontificum redonne la main aux curés dans cette affaire. Quel dommage qu’une compréhension partielle et unilatérale du sentiment de Benoît XVI sur ce sujet fasse balayer d’un revers de main par des prêtres de certaines communautés Ecclesia Dei ce passage de la Lettre du pape aux évêques : « Évidemment, pour vivre la pleine communion, les prêtres des communautés qui adhèrent à l’usage ancien ne peuvent pas non plus, par principe, exclure la célébration selon les nouveaux livres. L’exclusion totale du nouveau rite ne serait pas cohérente avec la reconnaissance de sa valeur et de sa sainteté. » L’enrichissement réciproque, c’est l’herméneutique de la continuité liturgique !
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A ne pas manquer : l'exposition "Chrétiens d'Orient" à Tourcoing (jusqu'au 11 juin)
Du supplément du Soir Mad, p. 37 :
« Chrétiens d’Orient », un patrimoine unique et multiple
Le musée de Tourcoing accueille les chefs-d’œuvre emblématiques de 2.000 ans de présence chrétienne en Orient. L’exposition, qui a demandé trois ans de préparation et fait un tabac à l’Institut du monde arabe à Paris avec 160.000 visiteurs, reprend au Musée de Tourcoing dans une scénographie un peu plus courte mais tout aussi prenante. Conçue au départ avec beaucoup de clarté, elle se visite sans cette impression de pédagogie lourde qui est souvent le lot des expositions archéologiques. Embrasser 2.000 ans d’une histoire religieuse, politique et artistique complexe sans plonger le visiteur dans un tournis de données indigestes tenait pourtant de la gageure d’autant que le christianisme aux Proche et Moyen-Orient se divise en Eglises différentes, copte, assyro-chaldéenne, syriaque arménienne, maronite… nées de controverses théologiques. Dans sa présentation à Paris, Jack Lang, président de l’IMA, qui a porté l’évènement au créneau et mobilisé les collectionneurs, parlait d’une première mondiale. Pour la première fois, en effet, les chrétiens d’Orient sont le centre d’une exposition qui veut aller à l’encontre des clichés et de l’ignorance. Ce n’est pas seulement une leçon d’histoire et d’histoire de l’art, mais une opération de sensibilisation du public à l’avenir très compromis de cette population.
Musée des beaux-Arts Eugène Leroy, Tourcoing, jusqu’au 11 juin, sauf mardis et fériés. www.murba-Tourcoing.fr
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"Accompagner les situations difficiles avec Louis et Zélie Martin" : conférence par Guillaume d'Alançon à Bruxelles le JEUDI 3 MAI
3 mai 2018 - Conférence "Accompagner les situations difficiles avec Louis et Zélie Martin"
Tout au long de leur vie, les saints Louis et Zélie Martin, les parents de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, ont rencontré et accompagné de nombreuses personnes qui se trouvaient dans des situations difficiles. Aujourd'hui, en suivant leur exemple, de nombreuses personnes continuent ces accompagnements dans les centres d'accueil Louis et Zélie Martin. Comment peuvent-ils également nous aider aujourd'hui? C'est ce que Guillaume d'Alançon, auteur de nombreux livres sur les époux Martin et fondateur des accueils Louis et Zélie viendra nous expliquer ce jeudi 3 mai 2018 à 20h.Guillaume d'Alançon est délégué épiscopal pour la famille et la vie du diocèse de Bayonne. Marié et père de 5 enfants, il est l'auteur d'ouvrages en histoire et spiritualité.
Auteur du livre "L'amour avec Louis et Zélie Martin"
Louis et Zélie. Les Martin. La simplicité tinte en prononçant leur nom. Il ne s'agit pourtant pas d'une histoire à l'eau de rose. Les épines de leurs difficultés se sont consumées à la chaleur de la miséricorde divine. Comme un feu, ce couple nous indique le chemin : Jésus !Pour que l'amour irradie. Un itinéraire spirituel lumineux. -
Belgique : les baptêmes en chute libre
Bel RTL - Journal Parlé 07h
Date : 06/03/2018 07:00
Durée de l'extrait : 1 min 25 s
Contexte :
... problème Constat est réponse avec vous Bernard Lobet la religion catholique a baigné toute l'enfance de Julie j'étais quand même Scolarisé dans une école catholique je suivais les cours de religion catholique qui est quand même c'est ma confirmation même ça je pense que je ne faisais plus parce que j'avais des copains et des copines ...
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"Heureux ceux qui pleurent : ils seront consolés" : conférence par Martin Steffens à l'église de Salzinnes le vendredi 16 mars