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Foi - Page 841

  • L'archevêque invite les enseignants à soigner l'éducation à la foi dans les écoles

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    ...mais c'est en Argentine. On espérerait autant dans nos écoles où l'enseignement de la religion pourrait parfois être remis en de meilleures mains. Nous revient, ces jours derniers, cette réflexion d'une professeure de religion dans un collège catholique confiant à ses élèves qu'elle ne ferait pas baptiser son enfant "parce qu'elle ne croit pas à toutes ces conneries" (sic). 

    AMERIQUE/ARGENTINE - Engagement des enseignants en vue de l’éducation à la foi dans les écoles

    Rosario (Agence Fides) – L'Archevêque de Rosario, S.Exc. Mgr José Luis Mollaghan, a demandé à la communauté des enseignants et des éducateurs de soigner « l’éducation à la foi dans les écoles de l’Archidiocèse ». Ainsi que cela a été indiqué à Fides, l’Evêque a invité à réfléchir à la signification de l’Année de la Foi, proclamée par le Pape Benoît XVI, pour les écoles et les communautés éducatives. En revenant au Catéchisme de l’Eglise catholique – a-t-il dit – il sera possible d’aplanir ensemble certains des obstacles qui concernent l’enseignement de la Foi.

    Selon une note envoyée à l’Agence Fides par les étudiants de l’Université catholique d’Argentine, Mgr Mollaghan s’est exprimé dans le cadre du XVI° Cours archidiocésain d’Education catholique, qui a eu lieu ces jours derniers et auquel ont participé les autorités civiles et religieuses ainsi que des autorités et professeurs de l’Université catholique argentine (UCA). Y ont pris part également plus de 600 enseignants auxquels l’Evêque a déclaré : « la mission d’éduquer est ardue. Le rôle de l’école ne peut se limiter à la diffusion d’information ou à la communication de telle ou telle compétence. Le but est de prendre conscience que nous devons éduquer à la foi ». (CE) (Agence Fides 22/02/2013)

  • "Tu es Petrus"

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    Pour la fête de la Chaire de Saint Pierre

    Giovanni Pierluigi da Palestrina - Tu es Petrus - 

  • La chaire de saint Pierre

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    reliquaire-de-la-chaire-de-st-pierre-bernini-copie.jpgOn fête aujourd'hui, et c'est de circonstance, la chaire de saint Pierre. Missel.free en retrace l'historique :

    Il convient ici de rappeler que la chaire est le siège éminent réservé à l’évêque lorsqu’il préside une assemblée. Il importe peu de savoir s’il y eut jamais, à Rome, une chaire regardée comme la vraie chaire de saint Pierre, mais il faut souligner que l’on y fit grand cas de chaires qui rappelaient le magistère suprême de Pierre que, dès le IV° siècle on célébrait par une fête particulière, Natale Petri de Cathedra, fixée au 22 février.

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  • Le bulletin de février-mars de l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    ... est disponible en cliquant sur le lien suivant Bulletin_2_2013.pdf

    Un contenu riche et des échos souvent dramatiques de la situation de l'Eglise en Syrie, au Pakistan et ailleurs, mais aussi avec des initiatives marquées du sceau de l'Espérance.

  • Qui gouverne l'Église?

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    Dans « La Libre » de ce jour, Bosco d’Otreppe brosse un tableau  du gouvernement de l’Eglise catholique et singulièrement de ses organes centraux.

    A cet égard, il rappelle notamment les critiques (déjà bien présentes, voici un demi-siècle, dans l’enceinte du concile Vatican II, lors de l’examen de la constitution dogmatique « Lumen Gentium ») relatives au  « manque d'importance attribué au collège épiscopal qui, pour beaucoup, pourrait devenir une sorte de parlement qui rapprocherait alors l'Église de l'idéal démocratique. La question est cependant très difficile. Comme l'expliquait Frédéric Mounier dans le journal La Croix de ce 18 février, l'Église s'inspire d'une conception juridique orientale : « sans nier les différences hiérarchiques ou fonctionnelles, ni surtout l'autorité du primat (pape ou évêque), les membres de l'Église se mettent ensemble, sous la conduite d'un patriarche (pape ou évêque) à l'écoute de l'Esprit. Tout synode est ainsi un acte véritablement liturgique, et non parlementaire. (...) Au-delà de la recherche d'un consensus, il s'agit de rechercher ce qu'il faut selon la volonté des personnes et celle de Dieu. D'où cette difficulté à évaluer le système de gouvernement de l'Église selon des critères exclusivement sociologiques»,  pour conclure : « la question de la démocratie et de l'Église est très vaste et très difficile (nous pourrons y revenir), mais au-delà de cette conception juridique orientale, de nombreux catholiques regrettent la centralisation du pouvoir dans l'Église, et attendent du prochain Pape qu'il mette en place un véritable synode qui aurait alors un pouvoir délibératif, et pourrait être plus à l'écoute de ce qui se vit sur le terrain. »

    Voir l’article ici : Qui gouverne l'Église?

    L’Eglise n’est autre, pour reprendre la célèbre formule de Bossuet, que « Jésus-Christ répandu et communiqué » par le soin des apôtres et leurs successeurs légitimes.

    C’est à eux que le Seigneur a confié sacramentellement la grâce de faire paître le troupeau et de la transmettre de main en main aux évêques, jusqu’à la consommation des temps.

    C’est eux que le Christ a institués pour gouverner le peuple fidèle en son Nom  avec, à la tête du collège épiscopal (et jamais sans cette tête) son Vicaire : « Tu es Petrus, et super hanc petram aedificabo ecclesiam meam. » (Marc, VIII, 29).

    Foncièrement, l’Eglise ne peut donc être une démocratie mais une communion hiérarchique du corps ecclésial avec son Seigneur.

    La question évoquée de doter de pouvoirs délibératifs le synode « permanent » des Évêques créé par Paul VI en 1965, à l’issue du concile Vatican II n’est pas neuve. Quoi qu’il en soit, cet ersatz  de parlement épiscopal dont on pourrait flanquer le pape (avec son consentement) ne pourrait jamais rien décider sans lui : car c’est à Pierre que le Christ a confié, en dernier ressort,  le soin de confirmer les frères dans la foi .

    JPS

  • Un chrétien arménien martyrisé en Syrie

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    ASIE/SYRIE - Chrétien arménien martyrisé alors que les violences et les enlèvements se poursuivent

    Alep (Agence Fides) – Un fidèle de la communauté arménienne apostolique a été tué à bout portant par des terroristes en proie à la fureur religieuse. Yohannes A. (l’Agence Fides préfère ne pas diffuser le nom de la victime pour préserver la sécurité de sa famille NDR), selon la communauté arménienne locale, est « un martyr du conflit syrien en ce que tué in odium fidei ». L’homme se trouvait dans un convoi se dirigeant vers Alep. Le minibus à bord duquel il se trouvait a été arrêté sur le parcours par un groupe de miliciens islamistes qui a demandé leur carte d’identité aux voyageurs. Ayant remarqué que le nom de Yohannes s’achevait en « ian », ils l’ont identifié comme arménien. Il l’ont donc arrêté et fouillé, découvrant qu’il portait une grande croix autour du cou. A ce moment-là, l’un des terroristes a ouvert le feu sur la croix, déchiquetant la poitrine de l’homme. Selon une source de Fides au sein de la communauté arménienne, « les terroristes étaient exaltés, hors d’eux-mêmes, comme s’ils avaient fait usage de drogue ».
    Les modalités mises en œuvres dans le cadre de ces barrages routiers disséminés sur les routes de Syrie sont communes aux différentes bandes. Les autobus sont arrêtés aux barrages et les voyageurs dérobés ou sélectionnés en vue d’enlèvements ciblés, comme cela a été le cas des deux prêtres Michel Kayyal (arménien catholique) et Maher Mahfouz (grec orthodoxe) enlevés le 9 février et se trouvant encore entre les mains de leurs ravisseurs.
    Un autre épisode signalé à Fides concerne un groupe de chrétiens qui se rendait de Qamishli à Beyrouth afin de fuir la dramatique situation locale. Le bus sur lequel ils voyageaient a été frappé de plein fouet par une roquette qui a tué deux personnes : un homme dénommé Boutros et une femmes de 22 ans dénommée Naraya, qui aurait dû se marier prochainement. Les bandits ont tout volé. Le groupe a préféré revenir sur ses pas, à Qamishli, plutôt que d’affronter un voyage présentant un risque mortel. (PA) (Agence Fides 20/02/2013)

  • Pakistan : un islamiste abat un chrétien de sang froid

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    ASIE/PAKISTAN - Un chrétien tué de sang froid par un musulman suite à une discussion sur des thèmes religieux

    Lahore (Agence Fides) – Roshan Masih, un chrétien de 45 ans, a été tué à coups de fusil par un musulman à Lahore, chef-lieu de la province du Punjab, après une discussion portant sur des questions religieuses. Comme cela a été indiqué à l’Agence Fides, l’épisode a eu lieu le 16 février dernier et a provoqué trouble et amertume au sein de la communauté chrétienne locale. Il s’agit d’un homicide de sang froid lié très probablement au fait que Roshan Masih a été considéré comme « blasphémateur » à cause des arguments qu’il a déployé pour défendre la foi chrétienne.
    Roshan Masih était un chrétien converti de l’hindouisme. Il avait établi sa résidence à Lahore voici quelques 20 ans après être devenu chrétien. Quelques jours avant d’être assassiné, il avait eu une discussion sur des thèmes religieux avec le musulman Sohail Akhtar. Ce dernier a attendu le moment propice et, le 16 février, armé d’un fusil, voyant Roshan assis devant le magasin d’un autre chrétien, Sadiq Masih, il a ouvert le feu à l’improviste, le tuant sur le coup.
    Ce cas a été signalé par l’ONG Legal Evangelical Association Development (LEAD) qui a porté plainte (First Information Report), accusant Sohail Akhtar de meurtre avec préméditation. Le meurtrier a été arrêté et se trouve en garde à vue, la police devant mener l’enquête avant de transmettre éventuellement le cas à l’autorité judiciaire.
    « Il s’agit véritablement d’une tragédie. Un innocent a été tué pour avoir défendu sa foi, après un litige banal. Cet épisode est emblématique de la condition des chrétiens au Pakistan. Les autorités doivent garantir les droits fondamentaux des minorités chrétiennes » a commenté pour Fides Maître Sardar Mushtaq Gill, avocat appartenant à l’ONG LEAD, organisation engagée dans la défense et la promotion des minorités religieuses dans le pays. (PA) (Agence Fides 20/02/2013)

  • A huit jours de son retrait, Benoît XVI tend encore la main à la FSSPX

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    sur son blog, Jean-Marie Guénois consacre une longue note à cette dernière main tendue  :

    Il est minuit moins le quart Mgr Fellay...
    « Il est minuit moins le quart Mgr Fellay ». Cette parodie du titre du film consacré au Docteur Schweitzer, un grand protestant, est très mal choisie pour évoquer la très catholique question Lefebvriste, mais il se trouve que ce dossier qui semblait perdu pourrait marquer les tous derniers jours du pontificat de Benoît XVI. Des discussions, ultimes, sont en cours entre Rome et Ecône... Jusqu'au bout le Pape tente de trouver un accord.
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    Mais déjà un commentaire paru ICI met un sérieux "bémol"...
  • Charleroi, 24 février : concert-lecture avec Michael Lonsdale

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    Sans titre.pngCe dimanche 24 février à 16h, la Basilique Saint-Christophe de Charleroi accueille un concert spirituel « Les 14 stations du Chemin de croix » de Paul Claudel. 

    Sur scène, l’ensemble « AquaViva », composé de Michael Lonsdale, comédien-récitant et metteur en scène, Odile Samoël, comédienne-récitante, Bernard Masson, baryton, Eric Sanarens, percussions, et du Père Vincent-Marie, grandes orgues. 

    http://www.diocese-tournai.be

  • Que faire face aux libertaires ?

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    (...) Que faut-il faire face aux libertaires ? Devenir identitaire ? La droite a passé son temps à être ce que la gauche n'était pas, universaliste quand la gauche était antisémite (sous Marx par exemple) et antisémite quand la gauche se voulait universaliste. Nationaliste quand la gauche était internationaliste et européenne (vive le concert des dynasties) quand la gauche était nationaliste ("la patrie ou la mort").
     
    Il me semble que nous avons mieux à faire qu'à jouer à ce mauvais jeu de bascule. Ne pourrait-on pas dire qu'être chrétien c'est se dépasser soi-même, dépasser son identité en se surpassant, c'est-à-dire en s'appuyant sur elle pour devenir autre chose, en réalisant que nous sommes des animaux plus ou moins raisonnables qui cherchons à devenir des fils et des filles de Dieu.
     
    "On ne naît pas femme, on le devient" écrivait l'ineffable Simone de Beauvoir. Ah ! Le deuxième sexe et ses dissertations si... théologiques parfois ! Le bas bleu n'a fait que recopier Tertullien sans le dire, elle a pillé ce grand anarchiste chrétien (voilà un qualificatif qui fera plaisir à Jacques Ellul et à son homonyme de Guillebon).
     
    Tertullien dit en effet :"On ne naît pas chrétien, on le devient". Le chrétien, en quelque sorte choisit son identité devant Dieu. Il EST ce qu'il fait : "Heureux les morts qui sont morts dans le Seigneur car leurs oeuvres les suivent", ange par la grâce de Dieu ou bête par son obstination. Encore faut-il qu'il ne contredise pas sa nature ! Il ne peut pas se nier, seulement se surpasser... ou se renier. Comme dit Benoît XVI dans son fameux discours au Bundestag ; "L'homme est esprit et volonté, mais il est aussi nature et sa volonté est juste quand il respecte la nature". ...

  • Le pénultième angelus pontifical de Benoît XVI

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    Sur Radio Vatican :

    A onze jours de la fin de son pontificat, Benoît XVI a présidé son avant-dernier Angélus dimanche à midi. La place Saint-Pierre était noire de monde. Sur les banderoles on pouvait lire « Merci », « Nous t’avons beaucoup aimé », « Tu nous as tant donné », « Tu nous manqueras ». Les romains étaient particulièrement nombreux. Le maire de la capitale italienne, accompagné des membres de l’Administration, était venu saluer Benoît XVI. Interrompu à plusieurs reprises par les applaudissements, Benoît XVI a remercié la foule immense venue lui exprimer son affection et tous ceux qui lui ont manifesté leur proximité spirituelle ou qui l’accompagnent de leurs prières en ces jours si particuliers pour lui-même et pour l’Eglise tout entière.

    Les paroles du Pape ne sont pas passées inaperçues quand il a affirmé que dans les moments décisifs de la vie, nous devons décider si nous voulons suivre notre moi ou bien Dieu. Nos intérêts personnels ou le vrai bien. Benoît XVI a mis en garde contre la tentation d’instrumentaliser Dieu pour servir ses propres intérêts, contre le risque d’attacher trop d’importance au succès, au pouvoir ou aux biens matériels qui offrent une fausse image du bien. Il a appelé les membres de l’Eglise catholique à se renouveler dans l’esprit et à se réorienter fermement vers Dieu. 

    Sa catéchèse, il avait choisi de la consacrer au Carême qui a commencé le mercredi des Cendres. Le Pape a résumé son allocution en plusieurs langues, dont le français :

    Texte de l'allocution du Pape en français

    Chers pèlerins francophones, le Carême qui vient de commencer est une invitation à donner davantage de temps à Dieu, dans la prière, la lecture de sa Parole et les sacrements. Par le jeûne nous apprendrons à ne pas négliger la véritable nourriture, spirituelle, pour résister aux tentations de l’indifférence et du laisser-aller, de l’égoïsme et de l’orgueil, de l’argent et du pouvoir. Méditons la manière dont Jésus a surmonté les tentations et demandons-lui la force de lutter contre le mal. Que ce Carême soit pour chacun le chemin d’une authentique conversion à Dieu et un temps de partage intense de notre foi en Jésus Christ ! Je vous remercie de votre prière et je vous demande de m’accompagner spirituellement durant les Exercices spirituels qui commenceront ce soir. Je vous bénis tous de grand cœur.

    Ecoutez le pape sur le site de Radio Vatican

    Et après l’Angélus, un nouveau tweet du Pape a été publié : « Le Carême est un temps favorable pour redécouvrir la foi en Dieu comme base de notre vie et de la vie de l’Église ! »

    L'intégralité du message sur zenit.org

  • L'Eglise en péril : le songe de Don Bosco

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    Un enseignement délivré à des jeunes et qui prend toute sa signification à l'heure que nous vivons.