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Foi - Page 929
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Semaine Sainte, Passion et Pâques : téléchargements
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Les intentions du pape pour avril 2012
INTENTIONS DE PRIERE POUR AVRIL
L'intention de prière générale de Benoît XVI pour avril est : «Pour que de nombreux jeunes sachent accueillir l’appel du Christ à le suivre dans le ministère sacerdotal ou dans la vie religieuse et missionnaire ».
Son intention missionnaire est : « Pour que le Christ ressuscité soit signe d’une réelle espérance pour les hommes et les femmes du continent africain ».
L'INTENTION MISSIONNAIRE pour le mois d'avril est commentée par l'Agence Fides
« Pour que le Christ ressuscité soit signe d'une réelle espérance pour les hommes et les femmes du continent africain »
L'Afrique est « le continent de l'espérance » par excellence. Mais comme toutes les réalités humaines, il n'est pas en mesure de trouver le fondement de son espérance en lui-même. S'il est vrai que l'Eglise africaine est pleine de jeunesse et de vitalité, il n'en est pas moins vrai que la société africaine a terriblement souffert au cours de ces dernières décennies suite aux luttes fratricides entre ses différents groupes ethniques. Comme le reste du monde, l'Afrique a, aujourd'hui encore, besoin du salut de Jésus Christ, Lui qui est notre seule paix et notre espérance, la seule source de réconciliation authentique.
Il est nécessaire que les blessures causées par ces guerres soient guéries par la grâce divine, par le pardon offert et reçu sincèrement. Comme le Bon Samaritain, le Seigneur se penche sur l'homme, sur tout l'homme, offrant l'huile parfumée de Son Esprit Saint pour guérir ses blessures, causées par les divisions, la haine et la violence. Dans les coeurs guéris par le Christ, l'humble Médecin qui s'est fait chair pour nous, une véritable espérance pourra de nouveau germer, espérance qui ne se fondera pas sur les seules paroles humaines mais sur la force et la promesse du Seigneur.
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Chronique quotidienne des chrétiens persécutés...
de nouvelles dépêches de l'Agence Fides :
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Liège : la Semaine Sainte à l'église du Saint-Sacrement
SEMAINE SAINTE à l’église du SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
1er AVRIL, DIMANCHE DES RAMEAUX
▶09h45 Bénédiction et procession des Rameaux suivies de la messe en latin (missel de 1962). Chants grégoriens et orgue
▶11h 15 Bénédiction et procession des Rameaux suivies de la messe en français (missel de 1970). Chants grégoriens et orgue.
3 AVRIL, MARDI-SAINT
▶17h00-19h00 Adoration eucharistique et confessions pascales
5 AVRIL, JEUDI-SAINT
▶20h00 Messe de la Dernière Cène en français (missel de 1970). Orgue (jusqu’au gloria) et chants grégoriens
6 AVRIL : VENDREDI-SAINT
▶15h00 : Vénération de la Croix à l’église du St-Sacrement Chant des impropères en grégorien. (Confessions possibles jusqu’à 16h00)
Vous êtes aussi invités au Chemin de la Croix avec Mgr l’Evêque dans les rues de Liège. Départ de l’église Saint-Pholien en Outremeuse à 18h (rendez-vous dès 17h30). Arrivée à la Cathédrale à 19h00 (office suivi des confessions).
7 AVRIL, SAMEDI-SAINT
▶20h00 : Vigile pascale suivie de la Messe de la Résurrection en français (missel de 1970). Chants grégoriens, motets classiques et orgue.
8 AVRIL, DIMANCHE DE PÂQUES
▶10h00 Messe du Jour de Pâques en latin (missel de 1962). Chants grégoriens et orgue.
▶11h15 Messe du Jour de Pâques en français (missel de 1970). Chants grégoriens et orgue
Pour plus de détails cliquez ici : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Rens. Tél. 04.344.10.89 ou e-mail sursumcorda@ skynet.be
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De Jésus à Jésus, en passant par Darwin
Emmanuel Cabello, sur didoc.be, se penche sur deux livres récents de Christian de Duve et de Jean-Christian Petitfils (que nous avons déjà évoqué).
De Jésus à Jésus, en passant par Darwin
Christian de Duve, Professeur émérite de l’UCL, Prix Nobel de Médecine, a publié récemment un livre sur Jésus. Il y exprime sa conviction d’homme de science. Peu de temps auparavant, un autre scientifique s’est penché sur la figure de Jésus : Jean-Christian Petitfils, historien.
De Jésus à Jésus, en passant par Darwin
Dans ce petit livre de 90 pages (De Jésus à Jésus, en passant par Darwin, Odile Jacob, Paris 2012), Christian de Duve nous livre un bref résumé, sobre et intéressant, de son itinéraire scientifique (pp. 19-43) ainsi qu’une description et une justification de sa pensée philosophique et religieuse actuelle (pp. 45-89).
La thèse centrale du livre, enveloppée par les souvenirs personnels de l’auteur, est l’affirmation que l’espèce humaine est marquée par un « péché originel génétique ». Pour l’auteur, cela veut dire que notre patrimoine génétique, hérité de nos ancêtres et préservé par la sélection naturelle, présente des traits comme l’« égoïsme de groupe » et l’hostilité à l’égard d’autres groupes. Il y a quelque cent mille ans, ces traits étaient nécessaires à la survie de nos ancêtres, mais aujourd’hui ils risquent de déclencher des conflits pouvant aller jusqu’à l’holocauste nucléaire. Il faut impérativement apporter un remède à ce danger. Et ce remède, nous le trouvons dans la doctrine de Jésus de Nazareth. Christian de Duve voit en lui un homme sage. Mais, pour notre Prix Nobel, il faut expurger ses enseignements de tout dogmatisme et condamnation, et sa vie de tout miracle. Par ailleurs, la personne de Jésus doit renoncer à toute prétention à la divinité, qui n’est qu’un ajout des siècles postérieurs.
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La devise du nouvel évêque d'Ajaccio : "le Christ a aimé l'Eglise"
Sa devise : « Le Christ a aimé l'Eglise » (source : eglise.catholique.fr)
« Christus dilexit ecclesiam » (Ephésiens 5, 25). « Dans ce passage, explique Mgr de Germay, Saint Paul parle du mariage et dit : « Vous les maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l'Eglise et s'est livré pour elle ». J'ai choisi cette devise car elle montre le lien très fort entre le Christ et l'Eglise. Je crois qu'aujourd'hui, on a du mal à faire ce lien. Pourtant, l'Eglise est le moyen que le Christ a choisi pour poursuivre son œuvre, jusqu'à la fin du monde. Cela veut dire aussi que nous sommes appelés à L'aimer et à poser sur Elle un regard de foi qui va au-delà des apparences, de la dimension humaine de l'Eglise, qui est parfois très belle, parfois décevante. Mais à travers Elle, le Christ est présent et poursuit son œuvre de salut. Il y est aussi question du mariage. Et toutes les questions autour du mariage et de la famille sont un enjeu fondamental pour l'Eglise et pour la société ».
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Mgr Moraglia : « nous aimons plus nos filets que l’objet de la pêche »
Lu sur le « Forum Catholique » cet extrait d’une homélie du nouveau Patriarche de Venise nommé par Benoît XVI :
« Jeudi 19 mars, hier donc SER le patriarche de Venise s'est adressé à ses prêtres, dans la basilique cathédrale de San Marco. Messainlatino extrait de son exhortation quelques phrases significatives de l'esprit dans lequel Monseigneur Moraglia entend désormais oeuvrer:
"Nous aimons plus nos filets et nos barques que la fatigue et l'objet de la pêche. Au delà des métaphores, nous risquons plus d'aimer nos œuvres, nos titres académiques, nos publications, les structures que nous avons échafaudées, qui nous entourent et servent à notre activité pastorale que la fin ultime pour laquelle ces choses ont été établies, c'est à dire le bien des âmes. Le risque est de devenir entrepreneurs, doyens, intellectuels, psychologues, assistants-sociaux mais pas des pasteurs ! Ce qui nous éloigne de la charité pastorale, c'est de nous servir de la chaire pour prêcher autre chose ou des choses qui ont peu ou rien à voir avec l'Evangile..."
Monseigneur ne perd pas de temps et à son premier discours il n'hésite pas à exprimer de façon claire la doctrine de l'Eglise en matière de sacerdoce et de ministère presbytéral (NB: photos extraites de la Messe de Dimanche) ».
L'esprit de dépossession de nos œuvres est le meilleur signe de celui de la dépossession de soi et ceci ne concerne pas que les prêtres…
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Les richesses de notre foi face aux misères du libéralisme
Une publication de la fraternité des chrétiens indignés, avec un magnifique texte fleuve de Anne Josnin, critique du libéralisme en forme de prose poétique, sur Liberté Politique.
Nous entendrons, dans le texte qui suit, par libéralisme ce fond commun aux conceptions politiques et sociales modernes, d'où sont issus les partis de droite comme de gauche. Nous n'avons donc pas pour objectif de donner des éléments de discernement pour les prochaines élections. Nous cherchons ici à rendre manifestes les erreurs cachées de ce libéralisme. Ses conceptions philosophiques de la connaissance, de la nature, de l'homme, de la politique sont emprunts d'un néo-paganisme dont il est l'heure de se détacher. C'est du moins ainsi que nous comprenons l'appel de Benoît XVI à quitter la civilisation de l'avoir pour entrer dans celle de l'être. Nous sommes appelés à un travail de refondation dans notre vie personnelle, sociale et politique, notamment en dégageant et promouvant les vertus propres à cette nouvelle civilisation, comme celles de l'amitié ou de la sobriété. Dans cette tâche immense et enthousiasmante, notre Eglise nous invite à nous laisser enseigner aussi , sans crainte, par d'autres cultures. Il s 'agit donc bien d'un appel à refonder, ou plus précisément, christianiser intégralement les fondations pour un nouvel art, à l'échelle mondiale, du vivre ensemble. Ensuite il sera encore temps de discuter de ce que les penseurs de notre modernité, Hayek comme Proudhon, peuvent apporter de leurs génies propres.
Vous trouverez ici une réflexion personnelle, non universitaire, fruit d'une méditation mûrie au fil des années, de mon expérience humaine, comme femme, comme mère et comme professeur de philosophie, fruit aussi de mes lectures passionnées, de mes réflexions partagées et de mon dialogue intérieur.
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Dieu est-il à l’image de l’homme ? quelques réflexions
Une méditation au seuil de la semaine sainte :
« Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu. » Cette boutade du Sottisier (XXXII), qui ne la connaît ? Ce serait toutefois faire preuve de beaucoup de légèreté, et d’ignorance, que de s’en tenir à un mot d’esprit en cette matière, qui mérite un peu plus d’attention.
Certes, dans tout ce qui nous est dit de Dieu, les expressions ne manquent pas où il apparaît semblable à ce que nous sommes. L’est-il ? A-t-on le droit d’en parler de la sorte ?
Pour avoir atteint à une conception assez pure de l’Etre, Parménide déjà en était arrivé à préconiser de n’en rien dire, sinon que « l’Etre est » ...
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Que l’homme imagine Dieu à son aune, le peut-il éviter, dès lors que toute appréhension se fait selon le mode de celui qui appréhende ?
Qu’il y ait danger d’abus à imaginer Dieu, la chose est indéniable, puisque le caractère sensible de l’image n’est pas directement compatible avec un être que les sens ne peuvent nullement percevoir.
Qu’il faille donc user de prudence dans les représentations que nous nous faisons de Dieu, et particulièrement quand nous lui attribuons nos façons d’être, de penser et d’agir, cela va — ou devrait aller — de soi.
Qu’il soit possible de parler de Dieu en termes humains, à quelles conditions, en vertu de quoi, et dans quelle mesure, c’est ce que nous allons tâcher d’examiner.
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BXL, 16 avril : Etre chrétien au Moyen Orient aujourd'hui
Chapelle de la Résurrection - asbl Chapelle pour l’Europe
22/24 rue Van Maerlant - 1040 Bruxelles
Tél : 02/230.92.42Lundi 16 avril 2012, 13:00
Paul Karam : Etre chrétien au Moyen-Orient aujourd’hui
P. Paul Karam, directeur des Œuvres Pontificales Missionnaires au Liban sur les perspectives des chrétiens au Moyen-Orient et les orientations du synode maronite :
Difficultés, attentes perspectives ?
Chrétiens du Liban : orientations du synode maronite
Avec cet évènement, Missio conclura sa campagne 2011-2012 sur la solidarité avec les Chrétiens du Moyen-Orient.
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Jean Climaque dresse une échelle vers le Ciel
SAINT JEAN CLIMAQUE (525-605) est fêté le 30 mars
"Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera dix-neuf ans sous la direction d'un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l'emmène auprès d'abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l'eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond : « J'ai lavé les pieds de l'higoumène du Sinaï. »
La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant quarante ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu'on enseigne plus par les œuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu'il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l'Égypte, il revient au Sinaï et c'est à ce moment qu'il est élu higoumène du monastère Saint- Catherine.
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La grande pitié des églises de Wallonie : la détermination de Monseigneur Jousten
L'Avenir consacrait, ce jeudi 29 mars, tout un dossier à la gestion des églises, censée constituer un calvaire pour les communes. L'évêque de Liège, Monseigneur Jousten, a été interviewé à cette occasion. La détermination de l'évêque nous réjouit même si nous sommes toujours en attente d'un grand projet pastoral susceptible de réformer nos diocèses et de revivifier la foi dans nos contrées. Nous observons également que lorsque quelques croyants déterminés passent aux actes, il y a moyen de sauver une église comme le prouve l'histoire de l'église du Saint-Sacrement à Liège dont le sort a été pris en main par l'asbl "Sursum corda". En revanche, certaines églises meurent lorsqu'elles sont littéralement abandonnées par les responsables pastoraux; les exemples ne manquent pas, malheureusement.
"Mgr Jousten est ouvert à la fusion des fabriques d’églises, en douceur. Mais pas question de fermer les églises et/ou de les désacraliser.
Mgr Jousten, vous êtes évêque de Liège et en charge des églises en Wallonie. Que comptez-vous faire ?
Pendant longtemps en Wallonie, on n’a pas accordé d’importance à la beauté des lieux. La prise de conscience est récente. Entretenir un bâtiment, lui rendre sa beauté, c’est un acte politique. Je trouve que certains bâtiments, ne pas les restaurer, c’est un péché. Je ne parle pas que d’églises.
L’état de certaines églises est préoccupant.
Il y a une série d’églises dans un état déplorable, rien qu’au niveau propreté ou peinture. Dans certains endroits, la commune met le paquet. Mais l’église relève de la fabrique d’église. Il faut qu’ils assument leurs responsabilités.
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