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Jeunes - Page 147

  • Inoffensif, le cannabis ?

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    Lu ICI :
    La plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveau

    Les adolescents qui consomment du cannabis seraient particulièrement exposés à des comportements de dépendance et à d'autres effets à long terme, selon des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'école de médecine Icahn au centre médical Mount Sinai de New York. Leurs résultats ont été relayés mardi par le site MediQuality. 

    Les chercheurs ont compulsé plus d'une centaine d'études concernant les interactions entre le cannabis et le cerveau des adolescents. "Les études épidémiologiques révèlent de façon répétée un lien entre la consommation de cannabis et l'accoutumance subséquente à des drogues dures ainsi que les troubles psychotiques (par exemple la schizophrénie). [...] Lorsque la première exposition se produit vers le début plutôt que vers la fin de l'adolescence, l'impact du cannabis semble plus prononcé pour plusieurs troubles en lien avec la santé mentale, la réussite scolaire, la délinquance et le développement normal vers l'âge adulte", précise le Dr Jutras-Aswad, cité par MediQuality.

    Cette plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveau, qui n'a pas encore acquis sa stabilité adulte. Comme les récepteurs chimiques qui captent la substance sont situés sur les zones du cerveau liées à l'apprentissage, la recherche de récompenses, la motivation, la prise de décision, l'acquisition d'habitudes et les fonctions motrices, la consommation de cannabis aurait essentiellement des effets sur ces aspects, pensent les chercheurs.

    Les adolescents ne seraient toutefois pas tous égaux face au cannabis. Une certaine vulnérabilité liée aux gênes ou aux traits comportementaux est suggérée.

  • Cathelineau, un héros de l'insurrection vendéenne

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    Artège vient de publier une bande dessinée de 56 pages. Scénario de Coline Dupuy et dessins de Régis Parenteau-Denoël. (14,50 €)

    Présentation de l'éditeur :

    Jacques Cathelineau ! Un nom qui évoque l'épopée fratricide des guerres de Vendée en 1793.

    Et pour cause ! Épris de liberté, ce colporteur a joué un rôle phare dans les débuts de l'insurrection vendéenne contre la dérive de la Terreur. La vie de celui qu'on surnomme « le saint de l'Anjou » peut se résumer en une phrase : « vivre libre de croire ». À 34 ans, il devient le premier généralissime de la grande armée catholique et royale. Son curé et ami, l'abbé Cantiteau, retrace son destin dans une lettre écrite en 1807 au Pin-en- Mauges, à l'un des premiers historiens de la Vendée en quête de témoins. Suivons les méandres de ses souvenirs, au moment où il prend la plume. 

    Feuilletez la présentation de cette BD en cliquant ici.

  • Délires pédagogiques : un salubre coup de gueule

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    Les Médias Catholiques nous offrent cette recension d'un livre où un enseignant tonne contre les pédagogues et didacticiens qui ont pourri le métier de professeur (et dont nous avons dit précédemment tout le mal que nous en pensons, voir ICI).

    Dans « Vocation Prof « , publié en 2000, Franck Andriat disait son bonheur d’enseigner. Mais s’il reste ce professeur heureux il est aussi un professeur en colère. Et quand cet amoureux des belles lettres, écrivain prolixe, prend la plume pour exprimer son ras-le-bol, ça déménage!

    Dans son nouveau livre paru ce 23 août, « Les profs au feu et l’école au milieu », il décrit en dix com­mandements cin­glants et pleins d’humour, la situation d’un métier dont notre société a de plus en plus besoin et qui, paradoxalement, at­tire de moins en moins de jeunes.

    Au centre des critiques, les pédagogues et les didacticiens à l’origine des maux actuels de l’école qui ne parvient plus à remplir sa mission essentielle, celle d’amener le plus grand nombre à savoir lire, écrire et calculer.  Mais qui continuent à imposer leur vision « idéaliste » des choses. « Depuis les années 90, c’est réformette sur réformette. Les professeurs essaient se suivre au mieux mais c’est de plus en plus difficile. J’entends souvent des enseignants autour de moi dire ne plus savoir ce qu’ils doivent enseigner à leurs élèves ».

    Lire la suite sur Info.catho.be où l'on trouvera également le podcast d'une interview de l'auteur.

  • Pie X et la communion des petits (21 août)

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    Sans titre.pngDu Livre des Merveilles (Fleurus-Mame, 1999), pp. 1019-1022

    Pie X et la communion fréquente

    « Laissez venir à moi les petits enfants »

    AU TINTEMENT ARGENTIN DE LA CLOCHE, LES FIDÈLES SE LÈVENT, et l'organiste se met en devoir d'accompagner d'une grande variation la procession qui sort de la sacristie.

    Le thuriféraire marche en tête, entouré d’un nuage parfumé qui se dégage de son encensoir. Puis vient un clerc dont un rochet immaculé recouvre la soutane. Il porte gravement la grande croix, élevant celle-ci très haut au-dessus de l'assemblée, qui la suit du regard tandis qu'elle descend la le déambulatoire et commence à remonter l'allée centrale. Dix enfants de chœur avancent derrière elle deux par deux, des plus petits aux plus grands, vêtus de robes rouges et de surplis. Les communiants leur emboîtent le pas, tout timides dans leur tenue éclatante de blancheur, les mains jointes et le regard baissé. Les fillettes, qui précèdent les garçons, portent sur la tête de fines couronnes de pétales roses, et leurs nattes brunes ou blondes sont recouvertes d'un voile blanc. Les parents émus, parés de leurs plus beaux habits du dimanche, regardent s'avancer dans la nef ces enfants qui vont recevoir le Corps du Christ pour la première fois. Le curé ferme la marche, et sa lourde chasuble richement ornée semble briller de mille feux à la lueur des cierges qui éclairent l'église.

    Une profonde génuflexion, une dernière série d'accords par lesquels l'organiste semble vouloir faire trembler les piliers du sanctuaire, et la procession se disperse en bon ordre. Les communiants rejoignent les premiers rangs qui leur sont réservés, tandis qu'officiant et acolytes pénètrent dans le chœur. La messe commence. Les enfants écoutent de toutes leurs oreilles les oraisons et les lectures qui se succèdent. Ils se disposent ensuite, pour la première fois de leur vie sans doute, à ne perdre aucune des paroles du sermon, car ils se doutent bien que le curé, monté en chaire, va parler tout spécialement pour eux.

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  • Le jugement et l'incarcération de Nicolas Bernard-Buss : un véritable scandale d'état

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    "Valeurs Actuelles" consacre une enquête détaillée aux circonstances de l'arrestation de Nicolas, à son curieux procès et à sa pénible incarcération. C'est édifiant. On en prendra utilement connaissance ICI.

  • 20-25 août : le Festival Saint Jean - "Trouvera-t-il la foi sur terre ?"

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    Un événement unique au cœur de l'été
    5 jours inoubliables - 20-25 août
    dans l'esprit des JMJ,

    au sein de la Communauté Saint Jean, 
    des centaines de jeunes de 16 à 30 ans réunis par le Christ...
    … C'est le FESTIVAL SAINT JEAN !!

    Le Festival St Jean est né de l’idée un peu folle de quelques frères, suite aux JMJ de 1997 à Paris et de la demande toujours plus pressante des jeunes de rencontrer le Christ. Le Festival St Jean ce sont donc des minis JMJ, en attendant celles que le Saint Père propose aux jeunes du monde entier !
    Le Festival St Jean, c’est cinq jours autour des frères et sœurs de St Jean pour s’approcher de Jésus, Le rencontrer dans l’adoration perpétuelle et les sacrements, cinq jours pour se former afin d’être des chrétiens engagés et actifs dans notre monde, cinq jours pour rencontrer des témoins et renouveler notre ferveur, cinq jours de joie et de fêtes pour rencontrer d’autres jeunes désireux eux aussi de grandir dans leur foi.

    Détails et inscriptions : http://www.festivalsaintjean.com/index.php

    voir aussi : http://blog.jeunes-cathos.fr/2013/08/le-festival-saint-jean-trouvera-t-il-la-foi-sur-terre/

  • Charismatiques : Bruxelles n’est pas Rio

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    Dans l’hebdomadaire « Le Vif », Olivier Rogeau s’interroge : « Esprit-Saint, es-tu là ? » :

    « La basilique de Koekelberg a accueilli, fin juillet, la session annuelle du Renouveau charismatique de Belgique. Pendant cinq jours, adeptes et sympathisants de ce courant spirituel catholique apparu il y a quarante ans dans notre pays ont participé aux eucharisties, aux veillées, aux ateliers de formation à l’évangélisation. Entre les temps de louanges, de témoignages et d’adoration du Saint-Sacrement, ils ont reçu les enseignements du père Leroy, « berger » (leader) de la session. 

    Pendant un quart de siècle, le rendez-vous annuel des charismatiques s’est tenu à Beauraing, plus rarement à Banneux, hauts lieux de dévotion mariale. Toutefois, depuis l’an dernier, Bruxelles prend le relais, au grand dam de certains adeptes, qui ont lancé une pétition pour protester contre cette « délocalisation ». Arguments des anti-Koekelberg : Beauraing dispose de structures d’accueil et d’hébergement mieux adaptés et est situé dans un cadre rural plus « propice au recueillement ». Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles et fervent supporter du Renouveau, a lui-même qualifié la décision d’« étonnante » et de « peu réaliste ». « Les organisateurs de la session ont choisi la capitale pour répondre à l’appel de l’Eglise à porter le message d’amour du Christ au cœur des villes, là on en a le plus besoin », justifie un responsable. 

    « Le pape François l’affirme : si l’Eglise n’évangélise pas, elle n’est qu’une baby-sitter, martèle le père Leroy. Le Renouveau est la redécouverte de l’action de l’Esprit qui donne la force d’évangéliser. Hélas, nos groupes de prière ne sont souvent que des cocons chauds, des baby-sitters qui ne s’occupent que de leurs membres ! » L’accent mis sur l’évangélisation en milieu urbain traduit aussi une sombre réalité pour le mouvement charismatique : l’âge d’or des sessions de Beauraing n’est plus qu’un lointain souvenir. « Nous étions plus de 5 000 participants en 1989, pour 1 200 à peine ces dernières années », déplore un habitué du sanctuaire.

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  • 21 août - 1er septembre : le festival Anuncio

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    Charlène présente le festival sur "Jeunes cathos" :

    Le festival, qui existe depuis cinq ans, consiste en une dizaine de jours où on invite les jeunes à vivre une expérience d’évangélisation. L’intuition, c’est que, touchés par l’amour de Dieu, on a envie de le partager parce qu’on est persuadés que ça peut changer la vie de ceux qui l’entendent. On vit d’abord deux-trois jours de formation, de détente et de prière à la Sainte-Baume ou Sainte Anne d’Auray puis on est envoyés dans un lieu de mission. A l’origine, on n’avait pas le choix de la ville. Maintenant, c’est le cas, mais on a toujours la possibilité de demander à ne pas savoir : il y a une idée d’abandon, c’est très beau de se donner complètement. On vit cinq jours de mission, avec des temps fraternels, de prière, de formation, puis des envois en mission deux par deux où on va à la rencontre des personnes sur les places, dans les rues, ou à travers des activités (volley…)

    C’est l’occasion de faire des rencontres. Parfois on n’obtient pas un mot de la personne, parfois on a de très belles discussions avec la personne autour de Dieu dans leur vie, de la foi, de leurs croyances catholiques ou non… Le seul objectif, c’est d’aller à la rencontre de la personne, de lui parler de notre vie de foi, puis de l’interroger. L’évangélisation, ça n’est pas du prosélytisme ; la personne est libre, c’est très important.

    A l’issue de ces cinq jours de mission, les jeunes remontent à Paris, à Montmartre, au Sacré cœur, pour un festival de musique. (lire le témoignage de Charlène)

  • Que restera-t-il des JMJ de Rio ?

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     Sur le site de la nuova bussola quotidiana,  Massimo Introvigne met ses pas dans ceux du pape François. Extraits de la traduction publiée par notre consoeur de «  Benoît et moi »  

    « (…) Personne aujourd'hui en Occident - le monde islamique, l'Inde, et aussi les Philippines catholiques ont parfois des nombres encore plus grands - n'est capable de rassembler 3 millions de personnes. Et l'Eglise, aux JMJ, les a rassemblées, pour la prière et la messe, pas pour un concert rock. Que cela plaise ou non, dans un moment de crise qui n'est pas seulement économique, à la fin, l'Eglise apparaît comme la seule présence crédible (...).

    Il est certainement possible que parmi les trois millions de personnes, il y ait de simples curieux. Mais il y a eu aussi des milliers de confessions. Certes, les JMJ n'ont aucun effet magique ou miraculeux. Pour que changent l'Eglise et la société - par exemple pour que de ce consensus autour de l'Eglise naissent aussi des conséquences politiques qui amènent à s'opposer aux lois immorales comme celles sur l'avortement, les unions homosexuelles, l'homophobie - il faut d'infinies médiations, et il faut aussi une classe politique bien formée - qui, comme eut l'occasion de le dire Benoît XVI, «ne s'improvise pas» . 

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  • Wallonie, année 2060

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    Une anticipation de notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Wallonie, année 2060 

    Tout va très bien à bord du navire ! La Belgique n'existe plus depuis belle lurette et la monarchie non plus. Grâce à une coalition « rouge-verte », le taux de chômage avoisine les 40 % et la criminalité juvénile est en net recul. Celle-ci n'est plus que de 35 %, alors que du temps de Caïn et Abel elle était de 50 %. Dans les familles, tout va très bien aussi. Le divorce a pratiquement disparu, vu qu'on ne se marie plus. Seuls les homosexuels passent encore devant le Bourgmestre et adoptent beaucoup d'enfants. Quant à la  drogue, elle est depuis longtemps légalisée. Par contre, le tabac est interdit. L'Islam est devenue la première religion du pays et les églises ont été transformées en mosquées ou en discothèques. Dans nos prisons, les opposants au régime sont légion. L'âge de la majorité sexuelle ayant été rabaissée au berceau, les pédophiles n'y sont plus et il y a de la place pour les ringards. Dans les écoles, les profs ont des gilets pare-balles. C'est un peu chaud l'été, mais à la longue, on s'y fait. A l'étranger, même topo. Comme que le Vatican a été racheté par l'Arabie Saoudite, le pape Jean-Paul IV habite le sous-sol d'un HLM où il célèbre la Messe en complet veston. Vous voyez, pas de quoi se tracasser pour l'avenir. Que du bonheur en prévision ! Et dire qu'il y a des cinglés pour regretter le « bon vieux temps ! »...

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.com

  • L'attraction phare de Tomorrowland

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    Découvert sur la Libre :

    La Love Church est l’attraction phare de Tomorrowland depuis plusieurs années.

    “Tout est permis, y compris le sexe, mais vous ne disposez que de 10 minutes.”  Aux yeux de certains encore plus légendaire que le Festival de Boom en lui-même, la Church of Love ou Love Chapel est, comme son nom l’indique, l’Église de l’Amourde Tomorrowland. Les festivaliers y sont accueillis par deux bonnes sœurs aux sourires plutôt coquins – la tunique traditionnelle côté face mais… transparente côté pile ! Ces religieuses fournissent un précieux sésame avant de vous laisser entrer dans la chapelle sacrée : un préservatif. Car ces croyantes tiennent au principe sacré du safe sex .

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  • Cracovie accueillera les prochaines JMJ en 2016

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    Lu sur la Croix :

    Les prochaines JMJ auront lieu en 2016 à Cracovie

    Clôturant hier les 28es JMJ, le pape François a donné « rendez-vous en 2016, à Cracovie, en Pologne ». Ce choix honore la figure de Jean-Paul II, ancien archevêque de Cracovie, initiateur des Journées mondiales de la jeunesse et dont la canonisation est en préparation.

    Alors que les JMJ de Rio ont suivi de deux ans seulement l’édition de Madrid en 2011, pour cause de Coupe du monde de football au Brésil en 2014, le rendez-vous retrouvera ainsi un rythme de triennal pour leur organisation.

    Ces JMJ de Cracovie seront les secondes à se dérouler en Pologne, après celles de Czestochowa (150 km au nord-ouest de Cracovie) en août 1991, et les neuvièmes en Europe.

    Le pape latino-américain, 76 ans, a aussi quitté le Brésil après y avoir fixé, mercredi, un autre rendez-vous, en 2017 au sanctuaire marial d’Aparecida, qui célébrera alors le tricentenaire de la découverte de la Vierge noire.