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Jeunes - Page 149

  • Euthanasie : les Veilleurs se mobilisent à Bruxelles

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    Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat depuis le mercredi 9 octobre.

    En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se postent devant le Sénat (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

    - ce dimanche13 octobre 2013 à 16h00

    ATTENTION

    Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

    Il s'agit de respecter la norme légale d'une distance minimale d'1 mètre entre chaque veilleur debout. Ainsi, agira-t-on en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

    http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Gaultier-Bes-de-Berc-Les-Veilleurs-attaquent-le-mal-a-la-racine

  • Quand l'enseignement religieux est défaillant

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    C'est en tout cas ce que l'OFSTED conclut à propos de l'enseignement religieux en Angleterre comme le rapporte P.A. sur InfoCatho.be :

    D’après l’Ofsted, un des organismes britanniques chargé de contrôler le système d’éducation nationale dans le pays, l’enseignement religieux dans les écoles anglaises est de trop piètre qualité. Dans six écoles sur dix, les élèves n’ont qu’une connaissance superficielle de la foi. L’Ofsted s’alarme en particulier de l’enseignement des fondements du christianisme. Le sujet est loin d’être une priorité dans beaucoup d’écoles. Certaines d’entre elles ont carrément remplacé ces leçons par des cours d’éducation à la santé ou de développement personnel.

    (d’après la Croix)

    Il serait évidemment intéressant de savoir ce qu'il en est chez nous...

  • Quand un sénateur belge envisage d'euthanasier des nouveaux nés

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    Dans l'émission Controverse, le sénateur MR Jacques Brotchi et le chef de groupe cdH au Sénat, Francis Delpérée, débattent de l'opportunité d'élargir l'euthanasie aux enfants.

    http://www.rtl.be/videos/video/460173.aspx

  • France : un tiers des nouveaux séminaristes séculiers sont entrés cette année en dehors des structures diocésaines

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    Lu sur le site « Riposte Catholique » :

    En cette rentrée 2013, 9 nouveaux séminaristes français sont entrés au séminaire de l’Institut du Christ-Roi en Italie. 12 Français, sur 20 entrées, sont entrés au séminaire de la Fraternité Saint-Pierre en Allemagne. 12 Français sont également entrés dans le séminaire de la Fraternité Saint-Pie X à Flavigny. Voila pour les séminaristes français dans les instituts traditionalistes.

    De son côté la communauté Saint-Martin connait une rentrée exceptionnelle avec l’arrivée de 31 séminaristes.

    Ce qui fait donc un total de 64 nouveaux séminaristes français en dehors du circuit diocésain. Je ne parle pas ici des entrées dans les instituts religieux ; je me limite aux vocations séculières.

    Je n’ai pas les chiffres des entrées dans les séminaires diocésains, mais le nombre d’entrées en 2012 était de 127 (contre 247 en 1995). En estimant que le nombre d’entrées reste constant, on s’aperçoit qu’un séminariste sur 3 entre dans un institut indépendant des diocèses.

    Dans La Nef, l’abbé Spriet, ancien de la Fraternité Saint-Pierre, devenu diocésain, écrit :

    « Où se situe le problème ? La raréfaction des entrées au séminaire en France ne s’explique pas par une diminution des personnes appelées : le Seigneur ne cesse pas d’inviter les âmes à le servir dans le ministère presbytéral. La difficulté se trouve du côté des hommes. À cet égard la parabole du semeur peut nous éclairer. La semence de la vocation tombe dans des cœurs plus ou moins disposés. Le démon existe et il agit. Le monde aussi qu’il soit « moderne » ou maintenant « postmoderne ». Nous pouvons donc nous demander : qu’est-ce qui empêche la semence de porter du fruit ? Mais aussi : qu’est-ce qui aide la semence à germer ?

    Le rapport au monde. Les jeunes qui entendaient un appel dans les années 50-60 étaient fascinés par la modernité. Ils voulaient rejoindre le monde pour l’évangéliser et, pour ce faire, supprimer ce qui leur semblait un obstacle pour atteindre cet objectif : quitter la soutane, être « prêtre-ouvrier », désacraliser la liturgie… Aujourd’hui il n’en est plus ainsi. La modernité ne fascine plus. Elle a montré ses limites et ses faiblesses. Le temps de l’euphorie et d’une certaine naïveté est passé. Les jeunes qui entrent au séminaire veulent même réagir face à la sécularisation de notre France. Avec le même souci apostolique au cœur que leurs aînés, ils prennent le chemin inverse : remettre la soutane, annoncer explicitement l’Évangile, célébrer la liturgie selon les directives de l’Église et la resacraliser. Les nouveaux prêtres de Michel de Saint Pierre (1964) sont les prêtres âgés d’aujourd’hui… Aussi tous les séminaires diocésains qui ressemblent encore de près ou de loin au schéma sacerdotal des années 60-70 n’attirent plus. Aujourd’hui, les jeunes n’ont pas envie de se battre pour pouvoir réciter le chapelet au séminaire ou rendre compte de leur désir d’adorer le Seigneur à la chapelle… Au contraire, ils recherchent des séminaires qui offrent une liturgie soignée (voire grégorienne et latine), une formation solide et une piété authentique. »

    POSTED ON 5 OCTOBRE 2013 BY MAXIMILIEN BERNARD

    Séminaires : un tiers des entrées en dehors des diocèses

    Et pendant ce temps à Rome et ailleurs, on ressort entre vieilles personnes les vieilles rengaines sur les réformes de structures, l’identité et le statut du prêtre, l’ordination des femmes et des hommes mariés au sein d’une Eglise plus papotante que jamais. JPSC

  • Parler de Dieu à l'école ?

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    Sur Liberté Politique (Père Jean-Jacques Flammang scj) :

    Faut-il parler de Dieu à l’école, et si oui dans quelles matières ? Pour le moment, c’est surtout au cours de religion où il est question de Dieu, alors que le fait religieux est abordé dans d’autres matières comme l’histoire ou la littérature, les sciences sociales ou la philosophie. Une chose est claire : la transmission de la culture européenne ne peut se faire sans référence à Dieu et aux religions. Se pose alors la question de savoir sous quel angle aborder tout ce qui concerne le religieux.

    UNE NEUTRALITE en la matière n’est pas possible. Chacun de nous se rappelle ses professeurs et leurs attitudes. Les uns ne rataient jamais une occasion pour attaquer la religion ou pour se moquer des croyances religieuses, les autres étaient plutôt discrets et on ne savait pas s’ils croyaient ou pratiquaient une religion, d’autres encore ne cachaient nullement leurs opinions religieuses et communiquaient librement sur ce sujet. Du côté des élèves se retrouvaient des attitudes semblables, de sorte que vouloir éliminer la religion de l’école, c’est finalement en éliminer et les professeurs et les élèves.

    Après les essais du XXe siècle de vouloir donner à l’école un enseignement sans les religions, des pays comme la France ont dû se rendre compte qu’un tel programme est néfaste pour les élèves. Il néglige tout un volet de la culture et donc ne permet pas de comprendre le monde dans lequel on vit. Il a donc fallu réintroduire à l’école, sous une forme ou une autre, sinon Dieu au moins le phénomène religieux.

    Lire la suite sur Liberté Politique

     

  • Mensuel "La Nef": le numéro d'octobre 2013 vient de paraître

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     Bienvenue

    La grande interview du pape François aux revues jésuites a visiblement beaucoup déconcerté ou surpris. C’est compréhensible, il convient cependant de prendre un peu de recul et d’analyser ses propos avec un esprit de nuance, ce que nous essayons de faire dans ce numéro d’octobre.
    Pour nous, ce mois d’octobre est marqué par le blog de La Nef qui est lancé avec une personne pour s’en occuper: n’hésitez pas à le consulter, il montera peu à peu en puissance dans les semaines et les mois à venir.
    A bientôt donc sur notre blog.

     

    Christophe Geffroy, Directeur de La Nef

    Sommaire du n°252 d'octobre 2013              FIC73476HAB33.jpg

    SOMMAIRE DU N°252 D’OCTOBRE 2013

    ÉDITORIAUX
    La foi est première, par Christophe Geffroy
    Quelle écologie humaine ?, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Mgr Pietro Parolin, un nouveau Secrétaire d’État, par Jacques de Guillebon
    Joie à la Garde, entretien avec le Père Marc
    Hommage à l’abbé Chanut, par l’abbé Christian Gouyaud
    La Schola Saint-Grégoire, entretien avec le TRP Dom Hervé Courau
    Le blog de La Nef relancé, entretien avec Louis Jamin
    Vie de l’Église : La folie du genre, par Loïc Mérian
    Entrées 2013 aux séminaires : un signe des temps ?, par l’abbé Laurent Spriet 
    Syrie et Égypte : l’Occident aveuglé, par Annie Laurent 
    Géopolitique d’abord : Syrie : un désastre !, par Paul-Marie Coûteaux 
    Lettre ouverte à ceux qui veulent vraiment gagner, par Henri Hude 
    Chronique Vie : N’oubliez pas l’avortement, par Pierre-Olivier Arduin 

    ENTRETIEN
    La kénose, sagesse de Dieu, entretien avec le Père Nicolas Buttet 

    DOSSIER : LE POPULISME
    Le populisme : essai de définition, par Jacques de Guillebon 
    Quelques raisons expliquant le populisme, par Christophe Geffroy 
    Un conservatisme politique, entretien avec Vincent Coussedière 
    Populisme et patriotisme, par le Père Bernard Peyrous 
    La Manif pour tous, un populisme français ?, par Guillaume Bernard 
    Extrémiste !, par Michel Toda 
    Le populisme en Europe, par Marine Tertrais 
    La « politique du peuple », par Falk van Gaver
    Sorel populiste ?, par Falk van Gaver 
    Le populisme selon Christopher Lasch, par Falk van Gaver 
    La révolte de Ludd, par Falk van Gaver 

    VIE CHRÉTIENNE
    La soif de la foi (6/6), par un moine de Solesmes 
    Question de foi x « Slava Rossii ! », par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Catholiques et Juifs dans la France de Vichy, par Limor Yagil 
    Au fil des livres : Retour à saint Benoît, par Philippe Maxence 
    Notes de lecture, chroniques musique, sortir, cinéma,
    Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : François Huguenin 
    Portrait : André Bonnet, par Marine Tertrais 

    BRÈVES 
    Toutes les annonces du mois en ligne

    Réf.ici : Bienvenue

  • Entrées 2013 aux séminaires : un signe des temps ?

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    portrait-f65ec.jpgLa question des vocations demeure en France -comme en Belgique et ailleurs en Europe-  plus préoccupante que jamais. Mais, cette année, on compte tout de même un petit succès dans les communautés les plus traditionnelles : ainsi,  10 Français sont entrés en première année à la Fraternité Saint-Pierre, 11 à l’Institut du Christ Roi…et, last but not least, 31 à la Communauté Saint-Martin (voir notre photo ici : C’est la rentrée au Séminaire de la Communauté Saint-Martin ! )

     S’il n’y a pas de recette miracle, encore faut-il se poser les bonnes questions et savoir lire les signes des temps. Petite tentative de l’abbé Laurent Spriet (photo ci-contre)  en ce sens, dans le récent numéro du mensuel « La Nef » (octobre 2013) :

    «Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! » Voilà une injonction particulièrement délicate à mettre en œuvre. C’est pourtant le refrain adressé par l’apôtre saint Jean aux différentes communautés chrétiennes au début du livre de l’Apocalypse. Pour y parvenir, il faut tout d’abord prêter attention aux signes que le Seigneur nous adresse à travers l’histoire, et ensuite exercer un discernement pour vérifier que le message perçu est celui que Dieu veut nous donner. C’est un exercice très difficile de décryptage (cf. Vatican II, Gaudium et spes, n. 4 et n. 11). À partir de la réalité objective des entrées de jeunes Français au séminaire ces dernières années, essayons de percevoir ce que l’Esprit Saint peut vouloir nous dire au sujet des vocations sacerdotales. Notre tentative d’analyse s’appuiera aussi sur le dernier livre de Mgr Defois intitulé Le pouvoir et la grâce (1) dans lequel l’archevêque émérite de Lille analyse le rapport des prêtres au monde et à la modernité, du concile de Trente au concile Vatican II. Un livre passionnant qui donne vraiment matière à réflexion.

    État des lieux. En France, en 2012, le nombre total des candidats au sacerdoce était de 691, dont 80 issus de « communautés nouvelles » (soit 12 %) et 89 de nationalité étrangère en vue d’une incardination en France (soit 13 %). En 2000, ils étaient 976 ; en 1995 : 1155 ; en 1974 : 1509 ; et en 1966 : 4536. Le nombre d’ordinations presbytérales en 2012 était de 94 ; il y en a bon an, mal an une centaine chaque année depuis 1995 (2). Le nombre de ceux qui commençaient leur formation (3) était de 127 (247 en 1995). En 2012 toujours, 92 candidats en cours de formation ont quitté le séminaire : 7 se sont orientés vers la vie consacrée, 53 sont partis en 1er cycle (philosophie), 34 en second cycle (théologie). En 1995 le nombre de prêtres diocésains en France était de 22 500. Il est passé à 13 112 en 2011 (4).

    Où se situe le problème ? La raréfaction des entrées au séminaire en France ne s’explique pas par une diminution des personnes appelées : le Seigneur ne cesse pas d’inviter les âmes à le servir dans le ministère presbytéral. La difficulté se trouve du côté des hommes. À cet égard la parabole du semeur peut nous éclairer. La semence de la vocation tombe dans des cœurs plus ou moins disposés. Le démon existe et il agit. Le monde aussi qu’il soit « moderne » ou maintenant « postmoderne ». Nous pouvons donc nous demander : qu’est-ce qui empêche la semence de porter du fruit ? Mais aussi : qu’est-ce qui aide la semence à germer ?

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  • Belgique : la culture de mort aurait de beaux jours devant elle

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    Selon « le Vif » de ce mercredi 2 octobre, un sondage révèle ce mercredi que 75% des Belges acceptent que l'euthanasie puisse être appliquée aux mineurs d'âge, sans leur consentement :

     « Alors que le débat sur l'éventuelle extension de la loi de 2002 sur l'euthanasie aux enfants doit prochainement reprendre en commissions réunies de la Justice et des Affaires sociales du Sénat, un sondage "Dedicated-La Libre-RTBF" révèle mercredi que 75% de la population belge acceptent que l'euthanasie puisse être appliquée aux mineurs d'âge sans leur consentement. 

    Au total, 38% se disent "tout à fait favorables" et 36% "plutôt favorables" à une loi autorisant l'euthanasie de mineurs souffrant de maladie incurable, particulièrement pour des mineurs qui ne seraient plus en état de donner leur consentement. 

    Les Flamands (40% "très favorables") y sont un peu plus acquis que les Bruxellois (37%) et surtout que les Wallons (34%). 

    Les Belges vont donc plus loin que les volontés politiques. Les sénateurs ne planchent en effet pour l'instant que sur une extension de la loi à de jeunes mineurs "capables de discernement" et de se positionner sur une fin de vie anticipée. 

    Le sondage révèle également que 79% des Belges sont favorables à une extension de la loi pour les personnes majeures souffrant de démence, type Alzheimer, ou de démence vasculaire grave. 

    Le sondage a été effectué par internet sur un échantillon de 2.714 électeurs belges. 

    Réf. Les Belges "favorables" à l'euthanasie des enfants

    JPSC 

  • C’est la rentrée au Séminaire de la Communauté Saint-Martin !

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    Photo des séminaristes de 1e année de la Communauté Saint-Martin, devant leur futur séminaire d’Evron (Mayenne).

    evron.jpg

    Voilà qui devrait faire réfléchir certains pasteurs diocésains dont les séminaires sont durablement vacants. Rendons grâce au Seigneur d’avoir permis à Mgr Guérin de fonder - malgré l'opposition de l'épiscopat français de l'époque - une telle Communauté qui s’applique à recevoir les enseignements de l’Eglise et à les mettre en œuvre.

    Ici: 27/9/2013 

    La Communauté Saint-Martin forme des prêtres pour subvenir aux besoins des diocèses des pays où la pénurie de vocations se fait durablement sentir. Suivez notre regard…

    JPSC

  • Des prêtres pour toutes les nations

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    bulletin-12.jpgDans les pays de tradition chrétienne, la baisse préoccupante du nombre de prêtres, la hausse de leur moyenne d’âge et la demande d’une nouvelle évangélisation tracent les contours de la nouvelle situation ecclésiale. Toutefois, à côté de situations difficiles, on enregistre des signes de reprise, surtout là où existent des propositions claires et fortes de vie chrétienne.

    « Des prêtres pour toutes les nations « (DPTN) est une association qui a pour objet de financer des bourses d'études en faveur de prêtres et de séminaristes qui étudient à l'Université de la Sainte-Croix à Rome. Tous les six mois, ses abonnés francophones reçoivent le bulletin de l’association. des infos sur les séminaristes qui poursuivent leurs études à Rome, à l’Université pontificale de la Sainte-Croix.

    Certains d’entre eux résident au Collège ecclésiastique international « Sedes Sapientiae » : ils sont en ce moment 86 et procèdent de 30 pays. À l’Université, ils côtoient des centaines d’étudiants venus de 75 pays. La Ville éternelle leur fournit une expérience hors pair de l’universalité de l’Église.

    Chaque année DPTN permet notamment à des prêtres et des séminaristes de toutes les nations d’étudier à l’Université de la Sainte Croix. Le coût moyen d’une année d’étude à Rome est de 12.500 € .Pour les prêtres et les séminaristes de beaucoup de diocèses, cette somme est inabordable. Chaque fois qu’un donateur verse 30 € à DPTN, il offre une journée de formation et avec 150 €, il offre une semaine.

    Coordonnées : association DPTN Belgium, avenue du Castel 90/11, B-1200 Bruxelles. Tél. +32 (0) 477 24 63 43 courriel bureau@biolley.be site web : www.dptn.be cpte banque BE81 7320 2294 7524

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    L'Université pontificale de la Sainte Croix est un institut universitaire d'études ecclésiastiques, constitué des facultés de ThéologieDroit canoniquePhilosophie et Communication Sociale, aux trois niveaux du curriculum universitaire (baccalauréat, licence / master et doctorat).

    Situé près de la Piazza Navona, l'Institut supérieur de Sciences religieuses de l'Apollinaire, partie intégrante de l'Université, est lié à la Faculté de Théologie. Il est caractérisé par le développement de l'enseignement à distance.

    Cette université répond au désir de saint Josemaría Escrivá, fondateur de l'Opus Dei, de promouvoir à Rome un centre d'études universitaires au service de la mission de l'Église dans le monde entier. Ce n'est que sous son successeur Alvaro del Portillo, que les autorisations du Saint-Siège, permirent la mise en œuvre de cette idée dès l'année académique 1984 - 1985.

    Érigée formellement par décret du 9 janvier 1990, l'Université a été confiée à la Prélature de la Sainte Croix et l'Opus Dei : son Grand Chancelier est le prélat de l'Opus Dei. L'actuel Grand chancelier est Javier Echevarría 

    JPSC

  • Des chrétiens pessimistes, c'est moche !

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    Le pape s'est adressé aux jeunes de Sardaigne de façon très directe (extrait) :

    Je pense à l’Evangile qui se déroule sur la rive du lac de Galilée, où vivent et travaillent Simon et son frère André, avec Jacques et Jean, eux aussi frères, tous pêcheurs. Jésus est entouré par la foule qui veut écouter sa parole; il voit ces pêcheurs à côté des barques en train de nettoyer les filets.

    Il monte sur la barque de Simon et lui demande de s’éloigner un peu de la rive, et ainsi, s’étant assis dans la barque, il parle à la foule. Sur la barque, Jésus parle à la foule. Quand il a terminé, il dit à Simon d’avancer au large et de jeter les filets. Cette demande est une épreuve pour Simon – écoutez bien ce mot, une épreuve – car lui et les autres venaient de rentrer d’une nuit de pêche qui s’était mal terminée. Simon est un homme pratique et sincère, et il dit tout de suite à Jésus : « Maître, nous avons peiné toute la nuit et nous n’avons rien pris ».

    C’est le premier point : l’expérience de l’échec… dans vos questions, il y avait cette expérience. Le sacrement de la confirmation – comment s’appelle-t-il ce sacrement? La confirmation… non, ça a changé de nom : sacrement de l’adieu ! Il font cela et ils partent de l’Eglise, c’est vrai ou pas ? C’est une expérience de l’échec. Une expérience de l’échec. Les jeunes qui ne sont plus dans la paroisse… vous avez parlé de cela. Quelque chose va de travers, une déception…

    Dans la jeunesse, on se projette vers l’avant mais parfois il arrive de vivre un échec ou une frustration: c’est une épreuve, et c’est important ! Je voudrais maintenant vous poser une question, mais n’y répondez pas à haute voix, répondez chacun dans votre cœur en silence : pensez aux expériences d’échec dont vous avez fait l’expérience, pensez-y. Nous en avons tous... Dans l’Eglise, nous faisons si souvent cette expérience : les prêtres, les catéchistes, les animateurs se fatiguent beaucoup, dépensent beaucoup d’énergie, ils font tout leur possible, et à la fin ils ne voient pas toujours de résultats correspondant à leur efforts. Vos “porte-parole” l’ont dit aussi, dans les deux premières questions. Ils ont fait référence aux communautés où la foi apparaît un peu fanée, où peu de fidèles participent activement à la vie de l’Eglise, où l’on voit des chrétiens parfois fatigués et tristes, et beaucoup de jeunes, après avoir reçu la Confirmation, s’en vont, c’est le sacrement du congé, de l’adieu, comme je l’ai dit. C’est une expérience d’échec, qui laisse vide, qui nous décourage, c’est vrai n’est-ce pas ? C’est vrai ou pas ?

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  • Se fiancer ? Pourquoi ?

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    Lu sur le blog "Jeunes Cathos" :

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    Ayant reçu la bénédiction des fiancés le week-end dernier, nous répondons à la demande de Jeunes Cathos Blog pour témoigner de cette étape importante de notre vie de couple.

    Nous sommes deux jeunes lyonnais de 23 et 22 ans. Notre rencontre n’a rien d’original – pour certains elle serait presque caricaturale ! Nous nous connaissons depuis nos années de lycée et nous nous voyions souvent lors de soirées rallye et dans le cadre du scoutisme. D’abord amis, nous avons décidé de cheminer ensemble il y a un an et demi avec, très vite, le mariage en ligne de mire. Fiancés dans le secret de nos cœurs, nous avons officialisé notre amour en annonçant notre mariage à nos familles et amis à Pâques.

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    « C’est en effet aller à contre courant de la société actuelle. Bien souvent, les jeunes s’installent ensemble et attendent parfois de nombreuses années avant d’oser l’engagement. Ils ne se rendent donc pas compte de la beauté, la richesse et l’importance des fiançailles. Choisir de se fiancer aujourd’hui, c’est accepter de se laisser du temps. C’est permettre à un couple d’apprendre à s’aimer. »

    Vous dites que l’amour s’apprend…

    « Evidement ! On tombe amoureux mais on apprend à aimer. Aimer, c’est vouloir aimer aujourd’hui et demain, chaque jour de notre vie, dans les joies et les souffrances. La volonté d’aimer s’éduque et engendre ainsi la fidélité. »

    Que représentent pour vous les fiançailles ? 

    Cette décision fait suite à un long temps de réflexion et de questionnement. Les fiançailles permettent de se dire mutuellement que nous avons une volonté commune : celle de se donner l’un à l’autre par le mariage et de faire ainsi naître une nouvelle famille.

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