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Enseignement - Education - Page 180

  • A l'Institut Sophia, le 3 octobre : début du cours ouverts à tous

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    A partir du 3 octobre, cours hebdomadaires, les lundis de 13h30 à 15h40 (à l’exception des congés scolaires)

    « Soins palliatifs, acharnement thérapeutique. Cellules souches. Clonage thérapeutique. Loi belge autorisant la recherche sur les embryons surnuméraires. Thérapie génique… »
    Tels sont les titres dans la presse actuellement. Mais qu’en est-il exactement ?

    La bioéthique est-elle réservée aux scientifiques et aux politiciens ? Comment le citoyen peut-il s’informer et participer au débat? Certains choix sont difficiles; comment accueillir la personne en souffrance ? Quid de l’engagement en tant que catholiques ?

    Ce cours de 20 heures réparti sur 10 semaines est destiné à un public n’ayant pas forcément une formation scientifique ou philosophique, mais toutefois curieux de comprendre et de communiquer sur toutes ces questions essentielles.

    Les cours ont lieu dans les locaux de l’Institut d’Etudes Théologiques (IET), 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles –

    PAF: 120 euros (60 pour les moins de 30 ans)

    Infos : 0477 042 367 (Carine Brochier)

    Inscriptions: Institut Sophia - institutsophia@yahoo.fr

  • Transmettre

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    Comment évangéliser l'enfance ?
    Comment faire grandir nos enfants dans l'amour de Jésus Christ ?
    Transmettre a pour but de vous aider à répondre à ces questions
      Chaque mois, la revue Transmettre propose :
    • Un dossier lié au temps liturgique ou sur un grand thème.
    • Un carnet de prières et un dessin à colorier.
    • Un commentaire d'un évangile du dimanche complété par un bricolage.
    • Des articles pour l'éveil à la foi, l'éducation et la catéchèse.
    • Une petite histoire de l'Eglise.
     
    • Guides de préparation aux sacrements (communion, confession, confirmation...). 
    • Albums pour l'éveil à la foi des tout-petits. 
    • Commentaires de la Bible et cahiers d'activité.
    • Cahiers de vacances, poster du cycle liturgique, carnet de prière...

  • Des écoles diocésaines authentiquement catholiques...

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    Message du pape aux évêques (indiens) (8/9/2011) :

    « Je vous encourage, a insisté le pape, à continuer « de prêter la plus grande attention à la qualité de l’instruction » dans les écoles des diocèses, « de façon à garantir qu’elles soient authentiquement catholiques, et donc en mesure de transmettre les vérités et les valeurs nécessaires au salut des âmes et au développement de la société ».

    http://www.zenit.org/article-28877?l=french

     

  • Australie : quand Jésus-Christ est banni de l'histoire

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    Un blog nous apprend ce fait qui malheureusement ne surprend plus :

    "Sous l’impulsion de la politiquement correcte pensée laïque et athée, l’Australie a décidé de supprimer de ses livres d’histoire toute mention de Jésus-Christ. Désormais, il n’y aura plus de datation à partir de la naissance du Fils de Dieu puisque les termes « BC » pour « Before Christ » (Avant Jésus-Christ) et « AD » pour « Anno Domini », seront remplacés par « BCE », c’est à dire « Avant l’ère commune »; et « CE » pour parler de l’ « Ere commune ».

    Dans le même ordre d’idées, on ne parlera plus non-plus de la fête de Noël, puisqu’il est question de célébrer la naissance du Christ, mais de « la saison festive ».

    Officiellement, cette mesure a pour but de lutter contre le racisme et les discriminations envers  l’une ou plusieurs des nombreuses communautés ethniques et culturelles du pays. Ainsi, ceux qui ne sont pas chrétiens ne se sentiraient plus lésés.  S’il est bien normal de veiller à ce que tout un chacun ait les mêmes droits et les mêmes devoirs, on ne voit pas en quoi la mention de Jésus-Christ dans les livres d’histoire constitue une menace ou une offense…"

    Source:  http://www.dailymail.co.uk/news/article-2033225/Australia-goes-PC-ban-BC-Birth-Jesus-removed-reference-point-dates-school-history-books.html

  • Saint-Exupéry : "Nous sentons le désert en nous"

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    "On nous a élevés et pourtant en nous, nous sentons le désert.
    La termitière humaine est plus riche qu'auparavant, nous disposons de plus de biens et de loisirs, et, cependant, quelque chose d'essentiel nous manque que nous savons mal définir. Nous nous sentons moins hommes... Fils de l'âge du confort, on nous a élevés, on nous a donnés le pain, on nous a enseignés et pourtant. en nous, nous sentons le désert.
    On a cru que, pour nous grandir, il suffisait de nous vêtir, de nous nourrir, de répondre à tous nos besoins. Et l'on a peu à peu fondé en nous le petit bourgeois de Courteline, le politicien de village, le technicien fermé à toute vie intérieure. "On nous instruit, me répondrez-vous, on nous éclaire, on nous enrichit mieux qu'autrefois des conquêtes de notre raison." Mais il se fait une piètre idée de la culture de l'esprit, celui qui croit qu'elle repose sur la connaissance de formules, sur la mémoire de résultats acquis. Le médiocre sorti le dernier de polytechnique en sait plus long sur la nature et sur ses lois que Descartes, Pascal et Newton. Il demeure cependant incapable d'une seule des démarches de l'esprit dont furent capables Descartes, Pascal et Newton. Ceux là on les a d'abord cultivés."

    Antoine de Saint-Exupéry

    source : http://www.volodalen.com/15psychologie/psychologie60.htm

  • Le sexe, une "construction" ?

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    Le blog "Le soupirail et les vitraux" relève les propos du Professeur Picq à ce sujet dans "Le Monde" :

    "Extraits d'une intéressante tribune du Pascal Picq dans Le Monde, paléoanthropologue, maître de conférences au Collège de France, auteur de nombreux ouvrages scientifiques sur la question "Qu'est-ce que l'humain ?"

    [...] Dans l'évolution, c'est toujours l'homme qui pose problème, et les sciences humaines. [...] D'un point de vue biologique et évolutif, les espèces les plus sexuées sont les mammifères et les oiseaux ; les espèces les plus complexes physiologiquement, éthologiquement, cognitivement et, bien sûr, dans la diversité des sexualités. (Le sexe de la plupart des reptiles se fixe en fonction de la température d'incubation et 10 % des espèces de poissons changent naturellement de sexe au cours de leur vie.) - Le sexe biologique est fortement déterminé par les chromosomes, sachant que les femelles sont XX (homogamiques) chez les mammifères et XY chez les mâles (hétérogamiques), tandis que c'est l'inverse chez les oiseaux, avec des femelles ZW et des mâles ZZ.

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  • Les Etats-Généraux du Christianisme

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    Nous vous soumettons cet évènement avec son programme ambitieux et la participation de personnalités très variées. En cliquant sur l'image ci-dessous, vous aurez accès au programme complet que vous pourrez télécharger. Parmi les intervenants, on nous annonce des figures dont nous nous sentons proches (Jean-Marie Le Méné, Chantal Delsol, François de Lacoste de Lareymondie, Fabrice Hadjadj...) et d'autres, plus éloignées. Mais pouvons-nous nous enfermer dans nos cénacles sans entendre ce qui peut se dire ailleurs?egc-2011-lille.jpg

    Tous les renseignements se trouvent ici : http://www.lavie.fr/religion/etats-generaux-du-christianisme/

  • La culture, c'est accessoire...

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    Le site Herodote.net déplore les amputations dont pâtit l'enseignement de l'histoire dans l'Hexagone. Mais le propos s'élargit à l'abandon de la culture humaniste :
    Extraits :

    "L’année passée, notre collaborateur Yves Chenal, qui est par ailleurs normalien et professeur agrégé dans un lycée parisien, avait déjà manifesté sa crainte que les nouveaux programmes de la classe de première ne dénaturent l'enseignement en faisant disparaître la chronologie et, plus grave, remplacent les dissertations par des QCM (questionnaires à choix multiples) ou des jeux type Questions pour un champion."

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  • Et les cours de religion ?

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    Après les jours de ferveur passés par de nombreux jeunes à Madrid lors des JMJ, quel sera le menu des élèves au cours de religion? Une tribune parue dans la Libre, il y a deux ans, reste malheureusement tout à fait d'actualité. Charlotte de Saint-Moulin, de retour d'un voyage en Terre Sainte avec les jeunes de sa chorale, dressait alors un état des lieux alarmant. Comment pourrait-il en être autrement quand on examine le manque de clarté des programmes du cours de religion, la faible préparation de nombreux maîtres chargés d'enseigner cette "matière", la précipitation avec laquelle on désigne des enseignants pour enseigner la religion où il reste de nombreuses postes non encore affectés, la pratique courante de compléter les horaires des enseignants en leur donnant des heures de religion... Dans ces conditions, la conviction des professeurs de religion et leur détermination à présenter objectivement le contenu de la religion catholique ne sont pas toujours au rendez-vous, loin de là.

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  • Philippines : ombres et lumières

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    Sans titre.jpgVoici le témoignage d'un jeune couple ami parti aux Philippines en mission humanitaire :

    "Foi et culture philippines : Paradis ou Enfer ?

    En apparence, les Philippines sont le pays le plus catholique du monde. Les Jeepney portent fièrement des énormes inscriptions “God is Good” (“all the time”), les gens vous parlent ouvertement de la foi, il ne se passe pas un jour sans que l’on croise une procession religieuse quelconque, et même le plus pauvre et le plus ridicule des quartiers possède sa chapelle tandis que Santo Niño veille sur les affaires des magasins dans lesquels il est exhibé (c'est-à-dire tous). Et tout cela pendant que les églises pleines à craquer réussisent le tour de force de réunir un public dont la moyenne d’âge est encore plus jeune que celle de la population philippine moyenne (22-23 ans, la population la plus jeune d’Asie). Qu’il est rafraîchissant par moment d’être entouré de tout plein de petits enfants débordant de vie, et en prière, quand on a été habitué à une société plus âgée, à notre métro si triste et nos églises presque sans vie !

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  • La catéchèse en plein renouveau ?

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    Nous avons signalé cette critique de la "nouvelle catéchèse" présentée par les évêques de France de la part de Jean-Marie Guénois sur "religioblog". Là où les évêques annoncent un "plein renouveau", le chroniqueur décèle un fiasco compromettant la transmission de la foi. En va-t-il autrement chez nous où la jeune génération ne sait même plus quels sont les sept sacrements ou la signification des fêtes du calendrier liturgique? Tout cela parce que depuis plus de quarante ans, on a multiplié des expériences catéchétiques axées sur "l'approche existentielle". La note parue sur "metablog" met le doigt sur les graves carences de cette approche :

    "Si je vous en parle, c’est que les critiques de Jean-Marie Guénois font écho à ma propre expérience, assez lamentable, d’ex-gamin des années 70. Ce que Guénois dénonce aujourd’hui, je l’ai vécu par miettes il y a trois décennies au moins.
    Première miette. C’est l’année de ma première communion, pour l’occasion mes parents m’ont inscrit au catéchisme. Nous sommes assis sagement, une dame dit «Jésus est ton ami», elle distribue une feuille, chacun doit se dessiner avec ses copains – fin de la séance. Nous étions petits mignons et bien élévés, tout de même, d'une semaine l'autre, on trouvait ça neuneu. (J’apprendrai bien plus tard que ‘Jésus’, c’est le ‘Christ’ que mes parents m’indiquent dans les églises: ils m’y emmènent à l’occasion, mais le guide bleu à la main.) – Et puis: une autre dame est venue pour nous préparer à la confession (késako?), et nous remet un formulaire à remplir, j'avais coché 'NON' à adultère, ma mère tombe dessus, elle m’interroge interloquée - bien sûr que je ‘sais’ de quoi il s’agit: adulte, adultère! Mes parents n’ont pas ri à ce mot d’enfant, fini le caté."

  • Les "pédagogistes" sur la sellette

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    Les pédagogistes sauveront-ils l’école ?, se demande "Daniel54" sur Agoravox. On se doute que non; même si le propos est hexagonal, il vaut pour nos pédagogistes belges qui ne méritent pas mieux :

    "Qui sont-ils, ceux que l’on nomme « les pédagogistes » ? Une chose est certaine, ils font la loi à l’Education Nationale depuis plus de 20 ans . Les « Sciences de l’Education » leur servent de socle pour avancer leurs théories « fumeuses ». A vrai dire , cette science n’a de scientifique que le nom . Elle a abreuvé les IUFM (Instituts Universitaires de Formation des Maîtres) . Merci à ces IUFM , maintenant supprimés (ouf !) qui ont permis souvent aux enseignants formateurs de gravir plus rapidement les échelons que les autres. Il reste cependant qu’ils ont réussi à formater ces jeunes professeurs avant qu’ils soient jetés dans la cage aux lions !

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